Archives Mensuelles: octobre 2013

Comment se motiver

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???????????Tout ici bas ne se fait que suite à un vouloir, c-à-d à une motivation… Mais quand on en manque ? Quand on sait qu’il faudrait que l’on fasse quelque chose, mais qu’on n’a pas l’élan pour « s’y mettre » ? Lorsque l’on se sent bloqué(e), il faut réactiver notre rêve (donc, nos ressources) pour pour aller dans ce sens-là et atteindre nos buts.

On vante partout la technique de la « pensée positive » – avec laquelle on est censé s’emplir d’une abstraite « énergie positive ».., mais cela revient à ignorer les problèmes, faire comme s’ils n’existaient pas, à nier les croyances négatives que votre corps et votre esprit ont formées depuis votre naissance … bref, à se mentir à soi-même.

Une affirmation est la répétition de quelque chose dont vous désirez qu’elle arrive dans votre vie : par ex, « je suis riche ! » – l’ennui, c’est qu’on ne les croit pas, l’inconscient les rejette devant l’évidence du contraire, et donc, ça ne marche pas ; on ne peut tout simplement pas se motiver en se mentant !

La pensée positive est cependant efficace en ceci : si l’on pense pouvoir faire une chose,  on osera se lancer, donc, on a plus de chance d’y réussir.

Heureusement, une meilleure alternative à la pensée positive existe ; comme notre cerveau fonctionne en posant des questions et en cherchant les réponses, il faut le faire via des questions que l’on pose à notre esprit, ce que l’on nomme des « afformations », grâce auxquelles on donne une forme à la positivité.

Donc, au lieu d’affirmer qu’on est riche (ce que notre esprit rejettera), si on demande : « pourquoi suis-je si riche ? » , notre cerveau commence à chercher une réponse. Ce faisant, on sème des graines pour une vie qui y correspond. (pour plus d’infos sur cette technique, voir l’article « obtenez ce que vous voulez » ;https://bonheuretamour.wordpress.com/2012/10/25/obtenez-ce-que-vous-voulez/ )

Une autre qualité est un énorme motivateur ; l’ambition. Grâce à elle, chaque battant est arrivé au sommet et a vaincu tous les obstacles.

Une ambition brûlante les a poussés vers le succès, la soif de la récompense leur fait réaliser des exploits, leur besoin d’un monde meilleur les motive à défier l’opinion commune et faire des découvertes utiles à l’humanité.
Contrairement à ce qu’on pense,  c’est plus le doute que l’assurance qui pousse les battants à en faire toujours plus. Si vous manquez de confiance en vie, pratiquez la méthode que je conseille dans ;http://bonheuretamour.com/lobservation-creatrice-pour-changer-de-vie/

Formez en esprit une image de ce que vous voulez dans la vie et de où vous voulez aller (ou vivre) ; pensez « grand » et visez haut !   Puis, désirez-le passionnément, emplissez-vous du désir de la récompense finale, et de faire ce qu’il faut pour l’obtenir ; voici comment grandit l’ambition.

Mais mes 2 techniques préférées sont les suivantes :

La pleine conscience (voir « les incroyables bénéfices de la pleine conscience » :http://bonheuretamour.com/incroyables-benefices-de-la-pleine-conscience/ )

Aussi : la méthode « 3 x 3″ (voir « Changez votre façon de penser et votre vie avec la méthode « 3×3″ :http://bonheuretamour.com/changez-votre-facon-de-penser-et-votre-vie-avec-la-methode-3×3/ )

Citations motivantes :

 

Le prix du succès est bien moins élevé que celui de l’échec  !

Si vous pensez que l’aventure est dangereuse, essayez la routine ; c’est mortel (P. Coelho).

Le succès est ce que vous attirez en étant la personne que vous voulez devenir (J Rohn)

Personne ne peut vous faire sentir inférieur, sans votre permission (E. Roosevelt)

Les jeunes n’en savent pas assez que pour être prudents, et c’est pour ça qu’ils réussissent …(P. Buck)

L’enseignement classique vous fera gagner votre vie, l’auto-enseignement vous fera gagner des fortunes (J. Rohn)

Pour gagner plus, il faut apprendre plus (B. Tracy)

Passez tellement de temps à vous améliorer que vous n’en avez plus pour critiquer autrui (C.D. Larson)

Votre vie ne s’améliore que lorsque vous vous améliorez (B. Tracy)

Les pauvres et les petits bourgeois travaillent pour l’argent, les riches font travailler l’argent pour eux (R. Kiyosaki)

On ne peut découvrir de nouveaux rivages que si l’on ose d’abord perdre la côte de vue (Christophe Colomb)

L’expérience est ce que vous obtenez lorsque vous ne recevez pas ce que vous voulez ( )

La plus grande erreur qu’on puisse faire est de penser qu’on travaille pour quelqu’un d’autre que soi (B. Tracy)

Le plus sûr moyen de ne pas échouer, est d’être déterminé à réussir (R.B. Sheridan)

Tentez de devenir, non un homme à succès, mais un homme de valeur (A. Einstein)

Ce n’est pas ce que vous avez qui compte ; c’est ce que vous faites avec ce que vous avez ()

La plupart des misères résultent d’un mauvais usage de son temps (N. Hill)

Ceux qui vivent en suivant le flux de la vie savent qu’ils n’ont besoin d’aucune autre force (Lao Tseu)

Le sens de la vie est de découvrir son don. Le but de la vie est de l’offrir aux autres (P. Picasso)

Nous ne voyons pas les choses comme elles sont, mais comme nous sommes (Talmud)

Emploie ton temps à t’améliorer grâce aux écrits ; ainsi, tu trouveras aisément ce que d’autres ont travaillé dur pour découvrir (Socrate)

Un être qui abandonne ne gagne jamais, et un gagnant n’abandonne jamais (N. Hill)

Des poches vides n’ont jamais freiné personne ; seuls une tête vide et un cœur vide peuvent faire ça (N.V. Peale)

Nous avons une énorme responsabilité d’apporter à l’attention des autres, une information qu’ils n’ont pas, ce qui a le potentiel de les faire repenser à des idées qu’ils avaient depuis longtemps (H. Zinn)

Comment l’excision change l’esprit

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Blooming Red RoseL’excision laisse une trace, une cicatrice profonde (physique et mentale), qui ne s’efface jamais. Mais pas seulement…

La libido est la force de vie en général, non seulement la pulsion sexuelle. Or, l’excision coupe celle-ci en même temps que le clitoris. En outre, comme la fillette qui la subit, doit souffrir cet énorme traumatisme (la terreur, la douleur, le choc) sans pouvoir y échapper, elle développe un syndrome d’impuissance acquise, c-à-d la croyance ferme que, en situation de faiblesse ou de malheur, elle est impuissante à s’en libérer – en sorte qu’elle n’a même plus l’idée de tenter de s’en sortir – elle s’en accommode du mieux qu’elle peut en tentant d’y survivre, et c’est tout.

Cette mutilation lui a fait perdre sa naïve confiance en la vie et en les autres humains En effet, non seulement les femmes de sa communauté, mais – horreur suprême – sa propre mère l’a trahie… Et trahie au point de non seulement lui infliger des souffrances atroces, mais de mettre sa vie en danger  ! Certaines fillettes en meurent, d’ailleurs… et chez celles qui survivent, il n’y a que le corps ; l’élan de survie a disparu…

L’ambition est morte avec la Vie ; il ne reste qu’une chose, un outil dont on peut se servir…

Si par la suite, quelqu’un ouvre à cette femme une porte vers la liberté, elle reste sur place comme une plante, au lieu de saisir sa chance vers une vie meilleure.  En fait, elle ne voit pas la porte, n’entend pas l’appel du sauveteur, ne sent pas le vent de la liberté…

En outre, l' »opération » et tout ce qui l’entoure ont généralement causé un syndrome de stress post-traumatique, qui la poussera à passer du côté de ses agresseurs (ou de ceux qui ont le pouvoir), à les défendre contre ceux qui voudraient la délivrer, elle ou d’autres (même ses propres filles) … Ce qui est justement ce qu’espèrent les agresseurs. La victime consentante, qui « en redemande » et y entraîne d’autres victimes, c’est le paradis pour eux !

Après ce qu’elles ont subi, elles ne veulent plus jamais (réflexe de survie normal) se retrouver en position de victime et donc, se placent du côté de leurs agresseurs et s’opposent violemment à tout changement.

Un autre réflexe de survie est que ce souvenir s’efface, disparaît dans une sorte de brouillard, en sorte que, ayant oublié comment c’était, elles ne comprennent pas pourquoi il faudrait éviter cela aux autres !  Malheureusement, leur faculté de sentir et l’aptitude à la compassion ont disparu ou du moins, ont fortement diminué – et c’est dommage, parce que sinon, cette pratique barbare aurait disparu depuis longtemps !

Il y a parfois aussi une jalousie latente ; la femme excisée se dit (inconsciemment) qu’elle a subi cela et qu’il n’est pas juste que d’autres s’en tirent… Tout ceci sous l’excuse des bonnes mœurs, de la santé ou de la religion, bien entendu !  ‘ »C’est pour ton bien », disent-elles aux futures sacrifiées !

Mais le pis est que beaucoup y croient ; elles acceptent passivement les préjugés culturels sur cette pratique multimillénaire (présente déjà dans l’Egypte antique) et nocive pour tout le monde (hommes compris).  L’idée que tout cela ne sert à rien et qu’on a subi toutes ces souffrances en vain, leur est insupportable !  Et c’est ainsi que cette tragédie se perpétue…

Quelque chose est mort en ces femmes ; elles sont, malgré leur dureté apparente, très passives et ne comprennent pas du tout pourquoi il faudrait se bouger puisque pour elles, « là-bas » sera comme « ici ».

Et en effet, ayant perdu la faculté de jouir (jouir de la vie comme sexuellement – puisque la sexualité traduit l’âme), elles seraient dans une autre situation, comme elles sont dans leur situation actuelle ; l’une vaut l’autre, tout les indiffère, puisqu’on leur a arraché leur âme et leur envie de vivre !

Je veux aussi dénoncer ceci : que notre culture mutile aussi les femmes, mais autrement ; l’Occident ayant la prétention d’être supérieur à d’autres cultures, ici, on ne fait rien au corps ; la castration est psychique… C’est tout aussi douloureux, si pas pis, et là aussi, beaucoup en meurent ou restent abruties à jamais, mais (ô hypocrite Occident !) cela a l’avantage de ne pas laisser de traces… Il n’y a ensuite plus qu’à crier « haro » sur le baudet, c-à-d sur d’autres cultures moins « subtiles » dans les maltraitances …

Conte : « le lapin visite le palais du dragon »

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scan0005Ce conte ancien, tiré du folklore coréen (et issu d’un conte indien illustrant les propos de prédicateurs bouddhistes), montre comment l’esprit vif peut nous tirer du danger. On pourrait le rebaptiser  » à malin, malin et demi  » !

Il était une fois, il y a bien longtemps, dans les profondeurs de la mer, un roi dragon qui – ça va de soi – vivait dans un palais.

Un jour, il attrapa une maladie étrange et dut s’aliter.  Il fut visité par les docteurs les plus renommés, qui essayèrent sur lui leurs meilleurs remèdes, mais en vain ; il restait malade…

Un vieux médecin, le plus réputé de tous, ausculta le roi et jugea qu’une seule chose pouvait le guérir : du foie de lapin.

Il fallut donc, comme il n’y a pas de lapins dans la mer, envoyer à terre un messager, chargé de ramener ce rongeur.

Le roi dragon choisit pour émissaire la tortue, et celle-ci partit, munie d’un dessin représentant un lapin pour pouvoir le reconnaître, car elle n’en avais jamais vu.  Une fois arrivée à pied sec, la tortue aperçut divers animaux, mais aucun ne correspondait au dessin.

Soudain, un petit animal s’approcha d’elle en sautant ; il avait, comme sur le dessin, de longues oreilles, une petite queue en touffe et de longues pattes arrière.

La tortue se présenta à lui et lui dit qu’elle venait de l’Océan. Et, comme le lapin lui demandait comment c’était, elle lui décrivit un pays de cocagne, jamais trop chaud ni trop froid, pourvu de sources d’eau fraîche, de fruits et plantes délicieux, et sans aucun loup, renard ou faucon.

Très intéressé, le lapin voulut y aller. Bien sûr, elle accepta de le guider jusque là.

Le lapin monta sur le dos de la tortue et, plein d’espoir, se laissa conduire jusqu’au palais du roi dragon. Mais là, il fallut déchanter : le roi lui dit qu’il n’était là que pour qu’on lui prenne son foie pour guérir, lui.

Comprenant qu’il avait été roulé, qu’il ne devait pas espérer de pitié chez un « grand » et qu’il devait penser vite pour sauver sa peau, le lapin imagina une échappatoire ; il se fit obséquieux : « Majesté – dit-il – si j’avais su que vous étiez malade, je serais venu vous voir moi-même… Hélas, ignorant votre état, j’ai laissé mon foie à terre ; je l’avais lavé et mis a sécher sur une grosse pierre plate, et quand Mr Tortue est venu me chercher, j’étais si pressé de découvrir votre beau palais, que j’ai oublié de le reprendre.  Cela m’indiffère que vous me tuiez maintenant, mais sans mon foie, je ne puis garantir que vous guérirez… Je vous propose que nous allions le chercher, et puis je vous l’apporte, d’accord ? »

« Oh je vois – dit le roi dragon – puisque c’est ainsi, retourne à terre, et ramène-moi ton foie au plus vite ! »

C’est justement là où le lapin voulait le conduire ! Tout le monde l’avait cru, en sorte que la tortue le ramena à terre pour chercher son foie.

Bien entendu, à peine eut-il touché le sol, qu’il détala de toute la vitesse de ses pattes, non sans se moquer de la tortue : « Stupide bête !

Comment quelqu’un pourrait-il aller où que ce soit sans son foie ? »… et il disparut.

La morale de ce conte est que, même soumis à des gens puissants, on peut les rouler si on a l’esprit fertile en astuces !

Se libérer de la peur qui nous ronge

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Teenage girl praying outdoors at twilight. Shallow DOF.Vivre dans le monde tel qu’il est actuellement, est stressant… On entre en conflit avec nos proches ou des étrangers, il faut se débattre avec nos finances ou l’on perd son travail, sans compter les craintes dues aux menaces de guerre ou de maladie, à la pollution ou au réchauffement climatique … Tout ceci nous frappe et nous plonge dans la détresse plus souvent qu’à notre tour … Ce mal-être émotionnel se traduit finalement par des maladies physiques. Subir la peur n’arrange rien, et aggrave même la situation… Bref, ce sentiment négatif est à éradiquer !

Si l’on « creuse » un peu, il n’y a que 2 grandes émotions : l’amour et la peur.  C’est en résistant à la peur qu’on se sent mal, et cette émotion fixe cette peur en nous.  Elle se manifestera ensuite sous forme d’anxiété ; gorge et estomac noués, battements de cœur, ..

Le schéma « fuir ou combattre », qui était efficace au temps des cavernes, s’est retourné contre nous ; en l’absence de prédateurs réels, il cause aujourd’hui des pensées anxieuses récurrentes et donc, un état d’alerte qui épuise nos surrénales et notre esprit.

Un docteur préconise la méthode suivante pour éliminer les peurs mentales ; selon lui, dès que l’on prend conscience d’une peur (mentale, irraisonnée) en soi, il suffit de fermer les yeux durant 20 à 150 secondes (2 minutes et demie) et la tension aura disparu (bien sûr, en cas de réel danger physique, il faut garder les yeux bien ouverts et laisser les rênes au corps, pour nous sauver).  J’ai essayé cette méthode et je dois dire que pour moi en tout cas, elle s’est révélée inefficace. …

Il existe heureusement d’autres méthodes plus performantes – par exemple, ces 3-ci :

1. « accueillir la peur » : nous avons tendance à résister à toute émotion pénible, mais ceci ne fait que renforcer la peur – qui au fond, est utile, puisqu’elle est un message. Simplement l’accepter – au lieu de chercher à la combattre – et même, lui ordonner de s’intensifier, la désarme et la détruit – au moins partiellement, et durant un certain temps.

2. « observer l’anxiété » : comme toute autre émotion, la peur est une énergie – ce qui fait que l’on peut se visualiser en train de la manipuler et de la contrôler… nos pensées n’ont qu’un niveau et pour cesser les pensées négatives, il ne faut surtout plus s’interdire de penser ce genre de choses – car quand on se dit de ne pas penser à une chose, on y pense. Il faut donc plutôt remplacer les pensées négatives par de nouvelles pensées positives.

On s’appuiera, pour y arriver, sur le fait que notre cerveau ne fait pas la différence entre ce qui est réel et ce qui est imaginé.

Si par ex, on s’angoisse lorsque l’on rencontre quelqu’un ou à l’idée d’un événement futur (examen, grosse dépense prévue sans qu’on ait l’argent, proche gravement malade, …), il faut voir le présent, imaginer le moment redouté, puis, s’imaginer soi-même flottant au-dessus de cet événement (comme un observateur de la situation) ; de quoi à l’air votre peur, exactement ? Tout en le faisant, tournez-la en noir et blanc puis poussez-la loin de vous.  Ainsi, vous vous sortez de la situation et observez votre crainte, qui semble irréelle, lointaine, petite.

Créez alors la scène que vous voulez voir ; au lieu de voir la scène redoutée comme une scène future, avancez dans le temps et regardez-la comme passée de 15 minutes. Comment voulez-vous être ? (car il vaut mieux être que faire) – voyez-vous dire et faire les choses qui feront la différence (être ce genre de personne). Là, allez encore plus loin ; imaginez l’autre partie réagissant favorablement (dans le sens que vous désirez). A présent, l’anxiété doit avoir disparu, mais si elle est encore là, refaites le processus, plusieurs fois, de plus en plus vite.

L’esprit est comme un bol, et si vous souffrez d’anxiété, c’est un bol plein de crasses…mais si vous versez continuellement de l’eau pure (des pensées positives de louange, pouvoir, espoir, intégrité), à la fin, toute la crasse sera partie et il ne restera que de l’eau pure.

3. « se draper dans l’amour » : pour éliminer la peur qui nous envahit, nous devons décider de quitter ce lieu de peur et d’aller nous réfugier au lieu d’amour en nous ; en effet, l’amour et la peur ne peuvent exister ensemble au même endroit !

Pour parvenir à ce lieu d’amour en soi, il faut se concentrer sur la région du coeur et là, évoquer le visage de ceux que l’on aime (leur sourire, les moments de tendresse, …),  les moments heureux de notre enfance (avec un ami, ou un nounours bien aimé, …) et ensuite, évoquer la reconnaissance qu’on a envers l’univers, pour tout les bonnes émotions qu’il nous procure.

En exécutant ces exercices, l’on peut sentir en soi qu’une énergie se crée un peu au-dessus du coeur ; il faut alors visualiser cette énergie d’amour se répandre, monter à notre tête et descendre jusqu’à nos pieds, nous enveloppant entièrement d’amour…

Lorsque cette énergie positive atteint l’estomac ou le ventre (centre où niche la peur), celle-ci disparaît et est remplacée par le bien-être et le calme de l’amour.

Attention : comme toute chose, souvenez-vous qu’on ne devient pas expert du 1er coup ! Il faut pratiquer souvent, et, plus on pratique cet exercice, plus on y devient compétent ; plus on parvient à passer de la peur à l’amour.

L’idéal est de pratiquer dès le moment où l’on prend conscience du sentiment d’angoisse ; en réagissant immédiatement, dès que l’on ressent la peur, on évite ses effets pénibles.

Et si l’on arrive à augmenter la période durant laquelle on vit dans l’amour, l’on peut se pardonner (et aux autres, et à la vie) de ne pas être parfaits et s’accommoder d’un monde imparfait… De toute façon, il nous paraîtra bien plus beau qu’avant – et le sera, puisque notre matière vibrera sur une fréquence plus élevée, nous procurant automatiquement plus de joie, d’abondance et d’harmonie dans notre vie…

Autres conseils utiles :

Surtout, réalisez bien ce que vous pouvez maîtriser – en ce cas, faites ce qu’il faut – et ce sur quoi vous n’avez aucun pouvoir – en ce cas, résignez-vous-y. Faites en sorte que ce sur quoi vous n’avez pas de pouvoir, n’ait pas de pouvoir sur vous.

Pour éviter que ce voleur de vie ne fasse de vous sa proie, voici quelques conseils :

– menez une vie occupée: comme le voleur de vie profite d’un esprit vide et d’une vie terne, ayez toujours des pensées productives et des actions ciblées.

– ne faites pas une tempête dans un verre d’eau : ne faites pas des montagnes de vos petits soucis. Pour ceci, il faut élever votre esprit, en sorte que ce qui vous semblait une montagne ressemblera bientôt à une taupinière. Ne permettez pas à de petits détails de tuer vos rêves et de détruire votre joie de vivre.

contre le souci, faites jouer la règle des moyennes : demandez-vous quelles chances a ce que vous craignez d’arriver.

– acceptez l’inévitable : si vous vivez des circonstances que vous ne pouvez fuir ou modifier, dites-vous que le passé est passé, que vous ne pouvez rien y changer, et que donc, ça ne sert à rien de s’angoisser dessus ou ruminer sur ce que vous auriez dû faire. Dites-vous que vous avez autre chose à faire de votre vie que de vous lamenter sur le lait répandu, comme Perrette.

fixez une valeur (en €) à vos soucis, pour prendre du recul : décidez combien vaut telle ou telle anxiété, et refusez de payer cela. Par ex, si un collègue vous critique, demandez-vous si l’angoisse et la douleur que cela vous cause vaut de les payer 50€ et de les ôter de votre feuille de paie. Si vous jugez que oui, donnez 50 € à votre collègue ! Si vous le faites, soit, vous perdrez tous vos sous et finirez à la rue, ou vous surmonterez rapidement vos ruminations anxieuses.

cessez de réveiller les tigres du passé en train de dormir : si vous les dérangez, ils se réveillent et vous mordent. Comprenez une fois pour toute que jamais vous ne pourrez défaire ce qui a été fait – cf le dicton : « hier est de l’Histoire, demain est un mystère, on n’a que le cadeau du maintenant, et c’est pour cela qu’on l’appelle « le présent » !

Les 4 règles du bonheur en couple

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MP900382690[1]Beaucoup de gens se mettent en couple alors qu’ils ignorent totalement les lois pour avoir une union solide et heureuse. J’avais déjà détaillé ces règles dans cet article (http://bonheuretamour.com/choix-du-conjoint-les-regles-de-lunion/ ), mais il était un peu longuet, et traitait d’autres points, alors, j’aimerais ici me concentrer seulement sur ces lois de l’union. Les voici :

– la loi du soin (combler les besoins émotionnels principaux de l’autre),

– la loi de protection (évitez d’être une cause de souffrance pour l’autre),

– la loi du temps (planifiez du temps pour être ensemble et vous accorder votre attention exclusive)

– la loi d’honnêteté (soyez totalement honnêtes l’un avec l’autre).

Revoyons ces 4 règles en détail ;

1. Protection (éviter d’être pour l’autre une source de peine) :

Pour vous aimer l’un l’autre, vous devez remplir vos « comptes d’amour » respectifs de beaucoup de points d’amour. Mais avant cela, vous devez vous assurer qu’il n’y a pas de « retraits » sur ce compte d’amour. En effet, ce n’est pas la peine de déposer des « points » d’un côté s’ils s’écoulent d’un autre !

Vous éviterez ces “fuites” en vous efforçant de ne jamais gêner ou blesser votre partenaire, et éviter les tue-l’amour à tout prix ; c-à-d les scènes, exigences, jugements irrespectueux, comportements agaçants et la malhonnêteté.

Ensuite, vous pouvez passer à la loi d’accord conjoint (c-à-d que toute décision sera prise à 2, et seulement si elle enthousiasme les 2 partenaires), qui vous protège contre toute décision blessante ou égoïste de la part de l’autre – comme une liaison extraconjugale, par exemple.

Cette loi est donc bien adaptée pour solidifier le couple ; elle nous fait comprendre que tout ce que nous faisons de mal envers l’autre, n’est pas permis, même si ça nous procure du plaisir.

2. Soin (combler les principaux besoins émotionnels de l’autre) :

Combler les besoins de l’autre est un excellent moyen de déposer des points d’amour sur le compte de l’autre (à propos de ce compte d’amour, voir http://bonheuretamour.com/lamour-est-comme-un-compte-en-banque/  ).

Si notre conjoint ne le fait pas pour nous, on devient frustré et on tente de se satisfaire ailleurs – ce qui cause pas mal de liaisons !

Parfois, un époux doit apprendre à combler un besoin où il n’est pas très fort : par ex, pour un homme, apprendre à montrer son affection, ou pour une femme, devenir une bonne amante (sexe).  Il lui suffit de faire un plan et d’accepter de le suivre jusqu’à ce que l’on devienne un expert.

Du moment que votre époux accepte de suivre cette règle de soin et s’occupe en priorité à remplir désormais vos besoins, il ne doit plus craindre une infidélité de votre part – car il engrangera plein de points d’amour et vous l’aimerez à nouveau.

Personnellement, je trouve qu’après avoir été trompée, une femme a son estime de soi détruite, elle est très déprimée et ne croit plus en rien (confiance en miettes)- de plus, elle a une rage envers son époux infidèle : dans ces conditions, elle ne peut avoir envie de lui – et l’obliger à coucher avec lui pour qu’il n’aille pas se satisfaire ailleurs, est une prostitution.

Donc, zut ! Il a choisi de tromper, il choisit (s’il veut garder son couple) de ne plus pouvoir « le » faire avec sa femme durant des semaines ou même des mois – sinon, il aura une fois de plus le beurre et l’argent du beurre !

3: Temps (donner à son partenaire une attention exclusive)

Sans minimum 15 h par semaine d’attention exclusive (= rien qu’à 2, et chacun ne s’occupant que de l’autre), on ne peut pas remplir les besoins de son conjoint et lui les vôtres – même si chacun connaît les besoins de l’autre et accepte de les remplir.

Planifiez à 2 – et minimum 15 jours à l’avance – votre horaire d’attention exclusive ; c-à-d les 15 h/semaine où vous vous donnerez affection, conversation, compagnie divertissante, et satisfaction sexuelle. Si vous ne vous réservez pas cette période de temps, vos bonnes intentions ne pourront devenir réalité.

Et comme quasiment tout ce que l’on fait doit être planifié, sous peine de ne pas être fait, il faut prendre ½ h chaque semaine (disons, le dimanche de 15 h  à 15 h 30) pour planifier du temps ensemble pour la semaine qui vient – tâchez que le temps passé à 2 (rien qu’à 2) se monte à au moins 1 h/jour ; en effet, si vous gardez toutes les heures ensemble pour le week-end, ça durera trop d’heures à la suite que pour pouvoir vous accorder une attention exclusive.

Ensuite, chaque partenaire doit noter ce programme dans son agenda, avant toute autre activité ; c-à-d que ce temps d’attention exclusive à 2, a la priorité sur tout le reste, et que tout ce reste (dodo, télé, sport, bricolage, sortie entre amis, …), sauf le travail et le soin aux enfants, doit être inscrit ENSUITE dans l’agenda.

Je suggère – une fois un horaire trouvé – de le garder semaine après semaine ; c’est plus facile à retenir.

Essayez – s’il se peut – de vous voir quand vous êtes plein d’énergie – et pas super-fatigués.

4. Honnêteté (être totalement honnête avec l’autre)

La loi d’honnêteté radicale dit bien ce qu’elle veut dire : il faut TOUT dire à son conjoint. Sans cela, ce qui fonde vraiment le couple, c-à-d une vraie et chaude intimité, ne peut se bâtir, car sans cela, il n’y a pas moyen de se découvrir et de combler les besoins de chacun… (à ce propos, voir : https://bonheuretamour.wordpress.com/2013/10/14/couple-faut-il-tout-se-dire/ .

L’honnêteté vous aidera à solutionner vos soucis et vous rapprochera de votre partenaire, en sorte que vous deviendrez vraiment des âmes-sœurs.  Cette vertu fait partie des précautions extraordinaires au début, puis devient un standard de vie : vous et votre partenaire communiquerez toujours franchement et ouvertement. Ainsi, pas moyen d’avoir une liaison.

Vous avouez à l’autre vos sentiments, vos envies, vos intentions, et vos problèmes avec lui (elle), ce qui le protège, lui et le couple.

Faites attention à ne pas laisser les tue-l’amour (voir point 1) ruiner votre relation : dès que vous en détectez un, signalez-le et faites effort pour ne pas y tomber vous-même ; dites-le sans critique, colère ou exigences.

Ces règles peuvent mener une relation au mariage, mais, avant cet événement, vous n’êtes pas obligés de les suivre – puisque vous ne vous êtes encore rien promis.

Bien sûr, votre souci, c’est que votre bien-aimé(e) suive ces règles après le mariage; sinon, vous aurez fait une erreur en l’épousant.  S’il n’en respecte aucune avant le mariage, c’est mal parti ; ce sera pire après ! Ou alors, cela indique qu’il n’a aucune intention sérieuse à votre égard. Dans les 2 cas, c’est mauvais : soit il ne fait que profiter de vous sans intention de s’engager, soit, vous serez uni(e) à quelqu’un qui vous maltraitera.

C’est à vous de montrer (et de prouver !) que vous exigez plus d’une relation et donnez aux êtres que vous fréquentez des infos sur comment ils peuvent combler vos besoins. Et, s’il s’y refuse, rompez : « mieux vaut être seul que mal accompagné » !  Je vous rappelle que le stress est cause de 90% des maladies et accidents ; et qu’une mauvaise relation nuit plus à la santé et à la survie que l’abus d’alcool, de tabac, l’obésité et le manque d’exercice REUNIS !

Couple : faut-il tout se dire ?

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Young couple kissing in an old european town square.L’honnêteté est essentielle pour bâtir et maintenir l’amour romantique ; c’est un besoin émotionnel important et, lorsqu’on y recourt, il peut provoquer ce genre d’amour. L’inverse, la malhonnêteté, est un tue-l’amour.

En plus, l’honnêteté est le seul moyen de vous découvrir et de vous connaître l’un l’autre ; sans lui, les ajustements nécessaires pour satisfaire l’autre, ne pourront se faire. Et s’avouer ses tares crée un espace où se pardonner, et plus d’intimité et de confiance (qui sont quand même les BASES d’un couple).

Je ne conseille pas de confier ses secrets honteux à un presqu’inconnu – mais une fois que le couple est soudé, il faut le faire. Et bien sûr, si l’on a un secret qui soit d’une nature opposée au couple (par ex, homosexualité), il faut l’avouer AVANT que le couple ne soit uni – c’est le devoir étroit de quiconque a un peu de sens moral !

Il n’est pas facile d’être honnête, surtout que notre société favorise le mensonge et l’hypocrisie ; même les prêtres et les conseillers conjugaux conseillent de taire les détails passés qui pourraient choquer ou  bouleverser le(a) partenaire. Ce faisant, ils « oublient » que si l’on est honnête, ce n’est évidemment jamais pour soi, mais pour l’autre ; pour protéger l’autre de notre mauvaise conduite.  Et d’ailleurs, la plupart des gens mentent pour se préserver des conséquences désagréables (pour eux) de leur mauvaise conduite… Donc, par égoïsme ; pour s’en tirer aux dépens de celui ou celle à qui ils mentent !

S’il est bon de mentir sur les péchés passés, qu’est-ce qui nous empêche alors de mentir sur ceux d’aujourd’hui, ou du futur ? Donc, soit l’honnêteté est toujours bonne, soit, vous aurez toujours une excuse pour être malhonnête.

D’abord, si l’autre nous dit tout, notre corps sent la vérité et ça induit un sentiment de sécurité, un calme en nous. Dans le cas contraire (si l’autre nous ment), on se sent agité, mal à l’aise, angoissé… ce qui est l’inverse du bonheur, et nuit à notre santé physique et mentale.

Si un ou des mensonges vous ont déjà causé des traumatismes( la découverte que votre partenaire vous trompe, par ex), eh bien, par la suite, TOUT autre mensonge – même petit, et même si votre esprit ne le perçoit pas – est immédiatement détecté par votre corps (une question d’ondes, je suppose) et vous replonge dans le trauma !

Je place ici un extrait du merveilleux livre de Marcel Pagnol ; « la Prière aux étoiles », où il explique cette nécessité de tout dire et surtout, de ne pas mentir : sur un grand amour, on peut bâtir un grand bonheur. Mais quand on bâtit, il faut creuser jusqu’au rocher. (…) il fallait d’abord niveler le sol – et pour combler les trous, le manœuvre apportait des brouettes de décombres qui venaient d’une maison démolie. Mais ces décombres, avant de les enfouir dans le sol, il les regardait l’un après l’autre. Il les triait (…). Il y avait des morceaux de brique, des pierres, des petits blocs de ciment, et il y avait de petites mottes de plâtre. Le plâtre, il le jetait, il ne s’en servait pas. Et il me dit : « le plâtre, c’est pas bon, parce que ça prend l’humidité avec une force terrible. Tu vois, tu fais une belle terrasse, avec le ciment le plus rapide et le plus dur. Si dans le remplissage du dessous, tu as laissé passer un seul morceau de plâtre, même qu’il ne soit pas plus gros qu’une amande, ce petit bastard va travailler, et il te mangera la santé du ciment. Oh, il faudra des jours, et des mois, et même parfois des années ; mais ce plâtre est là, sous le ciment dur. Il prend l’humidité qui est autour, et il s’en imbibe, et il se gonfle. Et un matin, sur la belle terrasse, tu verras une grande raie creuse, qui sera pleine d’herbe au printemps. Voilà ce que c’est que le plâtre ; ça a l’air mou, mais c’est méchant. » Florence, ce n’est pas plus méchant que les mensonges d’amour. Je t’aime, tu m’aimes. Un grand amour, ça se bâtit sur un terrain solide, comme une terrasse. Mais au départ, il faut bien trier les décombres. Il faut tout de suite jeter les morceaux de plâtre, c’est-à-dire les mensonges. Si dans un grand amour, il reste un mensonge, une seule chose inavouée, eh bien, ce plâtre va travailler méchamment. Longuement, lentement, sournoisement, il va se gonfler. Et la belle terrasse, d’où l’on voyait le ciel et les arbres, d’où l’on voyait la mer et les petites voiles, la belle terrasse se fend et s’effondre – et le grand amour, comme toutes choses, nourrira de l’herbe et des ronces, parce qu’il sera mort. Tu me comprends ?

La « Florence » du livre était une sotte qui n’a pas compris (mais qui eut quand même beaucoup de chance, « happy end » oblige) mais j’espère que VOUS avez compris !

La grande spécialiste des relations qu’est Barbara de Angelis raconte (dans « Are you the One for Me ») comment toutes ses amies admirent son calme,  lequel est dû au fait qu’elle est sûre de son mari pour être totalement ouvert et honnête avec elle !

–  les choses se découvrent un jour ou l’autre et alors, la fondation même de l’union – la confiance – est morte – et ensuite, bonjour pour la reconstruire ; il y faudra des années – et encore !

–  une femme peut tout  vous pardonner (même d’avoir tué), mais pas de lui mentir !

–  en plus , un mensonge est non seulement un tue-l’amour, mais le mensonge creuse un fossé entre les 2 partenaires, un mur, là où les 2 ne devraient faire qu’un.  Celui qui ment ne peut plus jamais se laisser aller, parler à bâtons rompus avec son(sa) partenaire ; il doit toujours être sur ses gardes pour ne pas laisser échapper son secret ; donc, il évite les conversations et la communication, si essentielle pour la bonne marche du couple, en pâtit !

–  celui qui sait quelque chose et ne le dit pas, a un pouvoir : gardant une carapace, il peut ou veut prendre le contrôle – il ne  fait pas confiance à l’autre et en plus, l’égalité est morte – or, toute relation a  – c’est indispensable – besoin d’égalité.

Dès le moment où les paroles ne concordent pas avec les actes ou les faits, il faut considérer qu’il y a mensonge … mais attention, ce mensonge peut être inconscient – ce qui le rend d’autant plus dangereux – car moins détectable ! En effet, certains mentent exprès, pour s’assurer un avantage, alors que d’autres mentent en toute innocence, simplement parce qu’ils ont toujours négligé d’être honnêtes avec eux-mêmes, et de s’examiner… Mais, exprès ou pas, le résultat est le même – c-à-d insuffisant et inacceptable.

Donc, adoptons la solution de l’honnêteté radicale : elle consiste à révéler à l’autre autant d’information sur vous que vous le pouvez ;  vos pensées, sentiments, craintes, désirs, ambitions, habitudes, goûts et dégoûts, histoire personnelle, activités quotidiennes, histoire personnelle, …  Cette honnêteté auto-imposée envers votre partenaire est essentielle au succès et à la sécurité de votre union.

Donc, oui, il faut tout dire : cette honnêteté radicale vous rapproche de l’autre et empêche que des habitudes tue-l’amour secrètes ne naissent, mettant votre couple en péril…

Pourquoi le monde va-t-il mal, & nous aussi ?

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Ladybower Reservoir In Derbyshire,Eh bien, parce que les gens se conduisent sottement – c-à-d posent des actes destructeurs ou auto-destructeurs. On me dira qu’il n’y a pas que cela ici-bas ; qu’il y a aussi des actes bénéfiques… Oui, mais beaucoup moins que les premiers…

Le monde étant ce qu’il est, chacun n’est pas « rempli » par l’Amour, et, pour survivre, choisit un mode – destructeur ou auto-destructeur – de satisfaction, un ersatz – une compulsion quelconque, qui lui tient lieu d’Amour, de béquille (alcool, drogue, shopping, sexe, travail, critique ou altruisme), de bouée de sauvetage.

Mais comme la réalité rattrape toujours ceux qui veulent la fuir, ils finissent pas souffrir du manque du vrai Amour et par subir les conséquences de leur compulsion…. C’est là qu’ils sont malheureux et, s’ils sont malins, cherchent de l’aide !

Et pourquoi les gens font-ils bien plus souvent le mal que l’inverse (c-à-d des actes sensés et bénéfiques) ?

Simplement, parce qu’une double contrainte les y pousse – et même pis ; cette contrainte double, est aussi un cercle vicieux !

En vous conduisant sottement (poussé par vos fantômes – voir : https://bonheuretamour.wordpress.com/2012/09/13/des-spectres-hantent-votre-esprit/ ) d’un côté vous essayez de conjurer le sort et de faire que ce soit plus jamais comme avant (= les souffrances que vous avez endurées étant enfant) mais en même temps, vous vous débrouillez (ou plutôt les fantômes – les fixations psychiques – en vous) se débrouillent, par cette conduite sotte (dont pensez à tort que c’est justement celle qui vous sauve) pour vous plonger dans ces mêmes ennuis que vous tentez d’éviter…

Bref, tout en ne voulant à aucun prix revivre les souffrances d’antan, vous faites exactement ce qu’il faut pour les ressentir encore et encore : oui, vous êtes psychologiquement attaché(e) à ce que vous haïssez le plus !

J’en vois des exemples tous les jours ; par exemple, mon ex-mari venant chaque quinzaine chercher notre enfant en se dépêchant, terrorisé par sa 2de femme, qui l’enguirlande s’il reste trop de temps (à partir de 10 minutes) chez moi.  C’est tout à fait pareil d’il y a 35 ans, quand il me voyait « entre 2 portes » parce que sa mère était jalouse ! Il s’est inconsciemment débrouillé pour choisir quelqu’un qui lui fait ressentir exactement la même chose que jadis !

Eckhart Tolle, dans « Oneness With All Life », a dit : A chaque fois que vous vous trouvez dans un état négatif, il y a quelque chose en vous qui veut la négativité, qui la perçoit comme agréable, ou qui croit qu’elle vous donnera ce que vous voulez. Sinon, qui voudrait se raccrocher à la négativité, se rendre soi et les autres malheureux, et créer des maladies dans son corps ?

Mais bizarrement, ceci est aussi une auto-médication, une tentative de se guérir ; c’est même (on le sait inconsciemment) la SEULE voie possible pour guérir !  Nos conduites folles ne sont en fait pas si idiotes qu’elles en ont l’air ; en effet, un être ne peut guérir qu’en ouvrant justement ce centre de souffrances anciennes pour pouvoir, via ce contact avec lui, le purifier.

Hélas, la purification n’a pas lieu parce que l’on s’adresse aux mêmes genres de gens ou institutions auxquelles on a eu affaire quand on était petit – c-à-d un genre de personnes ou de groupe fermé, mauvais, rigide, inflexible… en sorte qu’il arrive la même chose qu’avant : on se comporte comme un enfant faible, déraisonnable et dépendant, et l’autre partie campe sur ses positions … et la douleur continue.

Et c’est là que vos actes sots se changent en un cercle vicieux : tant qu’il est sous la coupe de ses émotions, l’être humain est incapable de raisonner logiquement… Donc, il suit (ou plutôt est mené par) vos tendances naturelles. Or, nous sommes ainsi faits que, en période de stress, la tendance naturelle de l’humain est de faire PLUS de la même chose.

Par conséquent, au lieu de faire autre chose, ce qui vous sortirait de vos ennuis, vous faites plus de la même chose ; vous insistez dans la voie et la conduite stupide qui vous a mené dans les ennuis où vous êtes !

Tout le monde a un côté sombre, et vous aussi … Il est tapi sous votre niveau conscient – donc, hors de votre contrôle. Ce boulet ne vous aide pas à atteindre vos buts dans la vie, ou à donner une bonne image de vous, bien au contraire !

C’est « un ami qui ne vous veut pas du bien », qui, hélas, est puissant et très affamé … Et il a une faim insatiable de malheur et d’auto-destruction … Il veut, le plus et le plus souvent possible, ce qui est mauvais pour vous !

Par conséquent, si vous n’arrivez pas à vous réconcilier avec vos besoins ténébreux, votre côté sombre continuera à contrôler votre vie et vous continuerez à faire ce qui vous nuit, et à avoir une vie chaotique, frustrante et malheureuse !

Bref, ces fixations psychiques sont la cause majeure de nos souffrances, notre partie ténébreuse, et à cause d’elles, on se sabote et s’auto-détruit continuellement ! Il faut nous l’approprier et le « dresser » sinon, c’est lui qui s’empare de nous et nous manipule comme une marionnette folle !

Voilà pourquoi tout va mal, et même de plus en plus mal, car ça fait boule de neige ; le mal qu’on subit nous démolit, en sorte qu’on est de plus en plus souffrant et qu’on prend des décisions de plus en plus sottes… Et ensuite, on passe notre douleur à d’autres, plus faibles – souvent les enfants – qu’on agresse et/ou auxquels on montre de mauvais exemples de comportements.

Mais il y a de l’espoir : Pour faire cesser un cercle vicieux il « suffit » (je sais que c’est dur)  de briser 1 maillon du cercle… Or, on sait maintenant que l’information modifie la structure du cerveau. Par conséquent, en prenant conscience de ce mécanisme, en vous ménageant des plages de calme pour pouvoir le distinguer, et voir comment il « joue » en vous, vous pouvez en sortir, prendre de meilleures décisions à l’avenir, et changer ce cercle vicieux en cercle vertueux !

Agressions…

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Hand ReachingCet article veut répondre aux commentaires de cet article du 11/5/2012 ; http://bonheuretamour.com/netes-vous-attiree-que-par-des-epaves-a-sauver/ , où je conseillais aux femmes  poussées à voler au secours d’âmes en détresse, de rester à l’écart des gens à problèmes, parce que « leurs problèmes deviennent très vite vos problèmes » ; c-à-d que, quels que soient nos efforts, on ne peut les sauver de la crasse mentale  où ils baignent… Ils s’y accrochent car ils ne voient pas leur intérêt à changer. Aussi par fainéantise (le status quo est plus confortable)  et  lâcheté mentale (voir Pourquoi fuir les sots ; http://bonheuretamour.com/pourquoi-il-faut-fuir-les-sots/ )

Bref, on s’y épuise. Mais il y a pis ; ces gens-là vous nuisent activement et vous attirent dans leurs ennuis.

Je sais que tous les vivants ont des soucis (seuls les morts n’en ont pas !), et que « vivre, c’est résoudre des problèmes », mais il faut les résoudre, justement !  Et si possible, pas en « passant » à d’autres sa propre douleur – ce qui augmente la noirceur du monde en général et fait « boule de neige » !

Je suis croyante et sûre qu’il faut aider son prochain (du reste, je fais du bénévolat), mais il ne s’agit pas de ça : quand on agit sottement, on récolte des ennuis…  Un être normal est poussé à changer cela car il cherche le bonheur. Dans ce cas, l’on tire les conclusions de ce qui nous arrive, on cherche des solutions, on les applique et l’on réajuste s’il le faut, jusqu’à ce qu’une solution fonctionne.  Bref, on se bouge pour se sortir au plus tôt des situations pénibles.

Là, réellement, « agir sert à penser et penser sert à agir » ! Bref, Ford est dans son tacot 😉

Mais nos « vilains cocos » ne font pas ainsi ; ils adoptent des modes de soulagement destructeurs ; dettes, alcool, … et rabaissent ou agressent les autres pour se « remonter ».

Certaines personnes m’ont écrit que ces êtres, sont en fait des victimes, d’où cet article. Il y a en effet beaucoup à en dire : oui, on peut les voir comme des victimes, mais non, il faut s’en indigner – toute autre attitude est une complicité avec le mal !  Comme disent les anglophones : « If you are not part of the solution, then, you’re part of the problem » !

Il arrive à tout le monde de blesser autrui, mais comme l’humain a une conscience et qu’il est clairement de notre devoir ici-bas de la développer le plus possible, dès qu’on remarque qu’on re-blesse l’autre, ce comportement nous fait honte, et l’on se dit qu’il faut trouver une solution pour faire cesser cela, qu’on doit faut régler notre problème, au lieu de se « revancher » sur un plus faible.

Donc, pour en revenir aux « bourreaux », chez eux, blesser autrui est, non un acte isolé, mais leur mode de fonctionnement habituel !

Nulle plus que moi ne comprend  (voir « des spectres hantent votre esprit » ; https://bonheuretamour.wordpress.com/2012/09/13/des-spectres-hantent-votre-esprit/  ) que tout effet a une cause, que ce n’est pas leur faute, etc…

Et même que la victime (mais on ne peut pas dire ça à une femme qui souffre déjà énormément)  fréquente cet homme à cause de ses propres fixations psychiques et justement pour ré-éprouver les anciennes et familières sensations douloureuses…  ici, souvenez-vous que je ne crois pas du tout que la femme soit masochiste ; simplement, elle aussi suit ses « fantômes » (fixations)… Et elle aussi devrait en prendre conscience et éliminer ce vice qui contrôle son cerveau.

Heureusement, comme elle souffre, la « sauveteuse » est poussée à sortir de ce chaudron bouillant et à chercher des solutions.

L’autre, malgré ses plaintes (car ces individus sont ingrats et vous en veulent du bien que vous leur faites) jouit en fait de la situation et donc, a tout intérêt à ce qu’elle reste comme elle est …

Je sais que ce n’est pas la faute des bourreaux ; que ce sont leurs fixations psychiques qui leur dictent leur comportement, et qu’ils n’ont – pour une ou l’autre raison – pas accès aux informations qui les libéreraient – ou s’il l’ont, qu’ils ne veulent ou ne peuvent pas changer … Et je suis consciente qu’il y a forcément une souffrance à la base de tout ceci !

Et d’un autre côté, je sais que les victimes sont des êtres qui ne se respectent pas, et qu’elles restent et veulent aider ce genre de gens justement pour se distraire de leur propre souffrance et de la nécessité de la traiter (je sais ceci d’autant mieux que ça a été mon cas, jadis)… Bref, tout le monde a «un petit système qui marche »… sauf qu’il marche bien mieux pour le bourreau que pour la victime !

Ces individus sèment le chaos dans leur vie et dans celle de leurs proches, et ils trouvent plaisir à nuire…

Donc, pourquoi toujours ne voir que les bourreaux comme des êtres en souffrance ?  Leurs victimes souffrent aussi et même beaucoup plus !

Les victimes sont poussées à se faire du mal (soulagement auto-destructeur), comme les bourreaux, à faire du mal à autrui (mode de soulagement destructeur) – c’est un CHOIX aussi, quelque part – car, même si le libre-arbitre n’existe pas, on peut toujours réaliser qu’on fait souffrir quelqu’un (soi ou un autre) et là, c’est notre responsabilité d’y faire quelque chose : on peut s’informer et décider d’agir autrement.

Je rappelle en tout cas aux « angélistes » que le « Mal », c’est ça ; c’est faire du mal aux autres ! Et même si les bourreaux ne font que transmettre le mal qu’ils ont subi jadis, ils ont – comme chacun – le devoir & le pouvoir de l’arrêter… et ne le font pourtant pas !

Remettons la faute sur le dos de ceux à qui elle appartient … le Mal est mal, et il faut le combattre !  Le tolérer en le voyant comme normal ou pis ; considérer ces loups comme des agneaux, c’est le multiplier !

Chasse aux Sorcières moderne

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Mother Holding Child's Hand

Ceci est un cri d’alarme ; vous devez savoir ce qui se passe actuellement ; le kidnapping légal d’enfants de mères à faible statut (violentées, divorcées et sans travail), via un système social et judiciaire abusif ! Je n’ai pas rédigé ces articles ; je ne fais que les copier, parce qu’ils tendent à « disparaître mystérieusement »…

Ce texte est fort long, mais si ça peut ouvrir les yeux à certain(e)s et les pousser à agir, ça vaut la peine de lire jusqu’au bout… Il s’agit de rien de moins que de sauver la vie ou la santé physique et mentale de milliers de mères et d’enfants innocents !

– un silence de mortes : interview de patricia romito

http://www.isabelle-alonso.com/un-silence-de-mortes-interview-de-patricia-romito/

Le 20 décembre 2006 by sporenda

Patricia Romito est professeure de psychologie sociale à l’université de Trieste (Italie). Elle travaille sur la santé mentale des femmes et les réponses sociales aux violences qu’elles subissent. Auteure de nombreux articles en anglais et de plusieurs livres en italien, elle a écrit un livre en français La naissance du premier enfant, étude psycho-sociale de l’expérience de la maternité et de la dépression post partum. À l’occasion de la sortie de son nouveau livre, elle a accepté de répondre à nos questions.

S. -Tout d’abord, je voudrais dire que votre livre m’a beaucoup impressionnée et que je le place au niveau des Dworkin, McKinnon etc. pour la justesse de ses analyses et sa force expressive.

En France comme dans d’autres pays, le nombre de meurtres de femmes par leur compagnon suite à séparation est important—une femme tous les 3 jours selon les derniers chiffres—mais on observe un phénomène relativement nouveau—il semble que les meurtres d’enfants dans le cadre du droit de visite et pour se venger de la femme après une séparation se multiplient. Pourriez-vous expliquer comment des législations récentes régissant divorce et séparation (garde alternée, autorité parentale, droit de visite, etc.) que des féministes ont accueillies favorablement mettent en danger les femmes et les enfants ?

P.R.- Dans les dernières années, beaucoup de femmes ont lutté, au niveau individuel et collectif, pour que les hommes prennent davantage en charge les enfants, pendant la vie commune ou après une séparation. En fait, les études menées dans différents pays sur la garde conjointe montrent que les mères continuent à faire le plus gros du travail, qu’il s’agisse du travail matériel, émotionnel ou organisationnel.

La situation devient beaucoup plus compliquée quand la femme se sépare d’un homme qui a été violent, qui souvent continue à l’être et qui profite du droit de visite ou de la garde conjointe pour continuer à harceler son ex-femme. Ce sont des situations très fréquentes, que les travailleuses des Refuges ou des Centres anti-violence (comme on les appelle en Italie) connaissent très bien. Parfois, dans ces cas, les tribunaux et les services sociaux organisent des visites « protégées » : le père voit l’enfant en présence d’un tiers – éducateur, travailleur social – pour éviter qu’il puisse agresser verbalement ou physiquement l’enfant ou la mère. Ces visites protégées peuvent continuer pendant des années, puisque ces pères ne veulent pas ou ne savent pas modifier leur comportement, avec des coûts psychologiques pour les enfants et les femmes, et des coûts économiques pour toute la société.

Il faut bien se rappeler que c’est la société – nous, les contribuables – qui payons ces coûts-là, et non pas les hommes violents. Mais dans certains cas, ce filet de protection ne suffit pas, et l’homme tue ses enfants, et parfois finit par se suicider. Au-delà de l’analyse de ce qui se passe dans la tête de ces hommes – leur violence, leur entêtement à considérer femme et enfants comme si c’était leurs possessions, leur souffrance aussi – il faut bien voir que ces situations sont rendues possibles par les décisions des divers acteurs sociaux : juges, travailleurs sociaux (des deux sexes), psychologues. Ces décisions se basent sur plusieurs présupposés :

  • la présence d’un père est indispensable au bon développement d’un enfant, même s’il est un homme violent ;
  • un père a des droits sur son enfant, et ces droits doivent prévaloir, même si c’est contre l’intérêt de l’enfant ;
  • il y a séparation entre violence envers la conjointe et violence envers l’enfant, un mari violent peut être un bon père ;
  • de toute façon, les femmes et les enfants mentent, et si elles/ils dénoncent des violences paternelles, c’est pour se venger, parce que les mères manipulent les enfants, etc.. (et ce, alors que plusieurs études ont montré que 21% des pères mentent, contre 3% des femmes !).

Ces assomptions, toutes contestables, montrent que nous sommes encore bel et bien dans une société patriarcale et déterminent le contexte dans lequel se produisent ces meurtres.

S. – Le stéréotype médiatique sur les violences—viols, femmes battues—est que les plaintes sont en augmentation, mais que cela n’implique nullement une augmentation de ces violences, que c’est en fait une conséquence du féminisme, car les femmes osent maintenant dénoncer—et judiciariser—des violences qu’elles supportaient en silence autrefois. Le constat que vous faites dans votre livre est tout autre ; pourriez-vous nous en dire quelques mots ?

P.R. – En fait, il n’est pas possible de savoir si les violences envers les femmes sont plus ou moins nombreuses aujourd’hui qu’autrefois, puisque l’absence délibérée de recherches et de chiffres a été une de manière de les occulter. Dans mon livre, je cite des données provenant de différents pays et concernant différentes typologies de violences masculines qui montrent que, face à une augmentation des plaintes, la proportion des cas qui ont ensuite été poursuivis en justice est diminuée. En Grande-Bretagne, une étude très récente du Home Office montre que seulement 14% des cas de viols dénoncés arrivent au procès. En même temps, d’autres données suggèrent que certains types de violences sont en diminution, comme, du moins aux Etats Unis, les meurtres entre conjoint-e-s. En particuliers, sont diminués les cas des femmes qui tuent leur partenaire. Comme cela arrive d’habitude après des années de violences de l’homme sur la femme, il est possible que des changements sociaux comme l’existence des refuges et des lois telles que l’ordre de protection donnent aux femmes battues d’autres possibilités d’échapper à un homme violent que de le tuer.

S. – À propos du traitement socio-médiatique de ces violences, votre diagnostic est que ’’du silence on est passé au bruit’’ mais que la voix des victimes n’est toujours pas entendue. Comment le bruit peut-il avoir le même résultat que le silence ?

P.R. – Parce que le bruit, le vacarme, finit par couvrir la voix des victimes. Louise Armstrong, activiste et écrivaine étatsunienne, décrit bien la cacophonie qui s’est produite autour de la questions des viols paternels, avec toutes sortes d’experts qui se sont construit une carrière en parlant de ça et, surtout, en construisant concepts, théories et explications de ces violences qui vont dans le sens de la déresponsabilisation des agresseurs et de la culpabilisation des victimes : la mère « incestueuse », le syndrome de la « fausse mémoire », le syndrome de « l’aliénation parentale », les fausses dénonciations en cas de séparation….

S. – Vous faites une analyse remarquable des stratégies socio-médiatiques—compartimentation, dépersonnalisation, inversion de responsabilité, etc.—utilisées pour occulter ces violences et vous soulignez que ces stratégies sont employées pour tous les groupes dominés. N’y a t’il pas quelque chose de spécifique dans celles qui sont utilisées contre les femmes ?

P.R. – Une des idées-guide de mon livre est que les femmes sont des êtres humains comme les autres, et que les stratégies utilisées pour les dominer, et pour occulter les manifestations extrêmes de cette domination, sont semblables à celles qui sont utilisées envers d’autres groupes dominés. D’ailleurs, certaines des tactiques que j’ai décrites à propos de l’occultation des violences envers les femmes sont les mêmes qui ont été utilisées pour occulter les violences envers les juifs. Je pense qu’il serait intéressant de poursuivre cette ligne de recherche comparative ; le problème est que, souvent, chaque groupe opprimé se voit comme étant unique, et n’apprécie pas ce genre de comparaisons.

 

S. – Une de ces stratégies d’occultation des violences masculines est la médicalisation du problème des violences dites domestiques, considéré maintenant comme relevant essentiellement des psychologues et des psychanalystes. En effet, lors des débats télévisés vus récemment lors de la Journée mondiale contre les violences, il y avait pratiquement toujours des psys parmi les débatteurs, et parfois il n’y avait que des psys. Vous faites un constat sévère sur la complicité d’une partie de cette profession dans l’occultation des violences envers les femmes et dans la tolérance sociale dont elles bénéficient. Quel est selon vous le problème de fond posé par la médicalisation des violences en général et plus spécifiquement en quoi certains concepts (syndrome d’aliénation parentale) ou méthodes (médiation familiale et rééducation des hommes violents) sont-ils dangereux pour les femmes et les enfants ?

P.R. – La médicalisation et la psychiatrisation d’un problème servent toujours à le dépolitiser. Conceptualiser la violence dite « domestique » comme un problème psychologique ou psychiatrique le présente comme dérivant d’une pathologie de l’homme – frustré, malheureux, alcoolique- ou de la femme – masochiste, co- dépendante ou au contraire, provocatrice. Cela permet d’ignorer toute une structure sociale patriarcale qui, jusqu’à très récemment aussi chez nous en Europe, a reconnu aux hommes des droits sur leurs épouses allant jusqu’à l’imposition des rapports sexuels (l’exception conjugale pour le viol est restée en vigueur en France jusqu’à 1980) ou à la correction physique. Des réponses aux violences comme la médiation familiale et les thérapies psychologiques pour les agresseurs sont dangereuses pour les femmes parce qu’elles donnent l’illusion que la question peut être ainsi résolue, ce qui n’est pas le cas : en particulier, il y a des études qui montrent que des femmes contraintes à la médiation, ou dont les partenaires suivent une thérapie, continuent à être agressées par ces hommes. Le problème est que, comme j’essaie d’expliquer dans le livre, la réponse « psychologisante » est une réponse facile et rassurante pour celui ou celle qui la donne. Depuis quelques années, en Italie, les femmes battues qui arrivent dans un centre anti-violence se voient proposer d’emblée une rencontre avec la psychologue, alors que seulement quelques-unes d’entre elles en auraient besoin. C’est, de la part des Centres, l’abandon de leur méthodologie originale, et une tendance très inquiétante.

S. – Vous inscrivez certaines de ces innovations conceptuelles et thérapeutiques dans le cadre d’un backlash antifemmes—dont les associations de pères sont une autre manifestation—et dont les objectifs sont de rétablir le contrôle patriarcal sur les femmes et les enfants, y compris dans ses manifestations les plus extrêmes. C’est une chose que peu de gens savent mais certains des inventeurs de ces concepts et méthodes qui ont cours en cour de justice et auprès des travailleurs sociaux dans certains pays sont aussi actifs dans des associations de pères ou pro-pédophilie. Pourriez-vous nous donner des exemples des collusions existant entre ces groupes ?

P.R. – Sur cette question, un sociologue québequois, Martin Dufresne, a publié un très bon article dans Nouvelles Questions Féministes. Dans plusieurs pays, les associations des pères séparés jouissent d’appuis importants dans le monde des médias et dans différents partis politiques. Il y a aussi des spécialistes – psychiatres, psychologues- qui travaillent à leurs côtés, utilisant des « théories » comme le syndrome de « l’aliénation parentale », discréditées au niveau scientifique mais encore très efficaces dans les tribunaux. En somme, ils sont un groupe de pression assez puissant et dangereux. Dans certains pays, ils ont appuyé des actes criminels, tels que des agressions sur des juges ou des travailleurs sociaux. Et un de leurs « experts » préférés, le psychiatre et psychanalyste Richard Gardner, l’inventeur du « syndrome d’aliénation parentale », a bel et bien revendiqué des idées pédophiles dans plusieurs de ses écrits.

S. – Vous dites des choses très intéressantes sur l’offensive médiatique visant à discréditer la ’’revendication victimaire’’ qui a poussé les victimes de violences masculines à se dire survivantes plutôt que victimes. Comment se fait-il que ce soient les femmes les plus victimisées qui ont le plus de difficultés à se reconnaître comme telles ?

P.E. – Se reconnaître en tant que victime peut être très humiliant, à moins qu’on ne puisse l’assumer en tant que revendication politique. Il y a aujourd’hui une attaque sociale envers le concept de femme victime de violences masculines. Cette attaque vient de la part des anti-féministes, qui accusent les femmes et les féministes d’exagérer et d’inventer un problème – la violence masculine- qui n’existerait pas sans elles. Mais parmi les féministes ce concept gêne aussi, parce qu’il renvoie à une image de la femme comme impuissante, dans un moment historique où la revendication politique de ce que signifie le fait d’avoir subi des violences est très mal vue. Dans un article récent concernant le traitement médiatique des meurtres de femmes, publié dans un journal féministe, l’auteure a écrit une note de 18 lignes pour se justifier d’utiliser le mot « victime » !

S. – A vous lire, on saisit pleinement l’amplitude de la conspiration sociale qui permet aux hommes de continuer exercer de multiples violences sans grandes conséquences pour eux, et qui permet aux moins machistes d’entre eux de continuer à bénéficier de multiples avantages du fait de leur sexe. Si la violence est en effet ’’un instrument rationnel du maintien de la domination masculine’’, comment être optimiste sur la fin de cette domination masculine puisque, par définition, les hommes sont les seuls à pouvoir exercer la violence qui assure leur domination ?

P.R. -Je dois être optimiste, parce que suis une activiste féministe et une enseignante ! Si je pensais qu’on ne peut rien changer, je devrais tout arrêter, je devrais arrêter de vivre en fait. Mais puisque je suis aussi une chercheure empiriste et finalement, assez positiviste, je m’appuie aussi sur quelques données. Aux Etats Unis, outre les données sur les meurtres entre conjoints déjà citées, des recherches menées sur la population générale semblent montrer qu’il y a eu une diminution des agressions sexuelles envers les enfants. Une étude comparative de l’Organisation mondiale de la santé montre qu’il y a des différences énormes entre différents pays dans la fréquence de la violence dite « conjugale », ainsi que, dans chaque, pays, entre la ville et la campagne : c’est dans les zones rurales qu’il y a le plus de violences. C’est bien la preuve qu’il a des sociétés, des cultures, qui tolèrent, voire encouragent la violence masculine et d’autres qui s’y opposent, et qu’on peut travailler pour aller dans le sens d’une société non-violente qui ne soit pas oppressive pour les femmes.

Editions Syllepse – 69, rue des Rigoles, 75020 Paris – 0144620889

L’approche « psychologisante »- ou comment revictimiser la victime avec de bonnes intentions, mais une ignorance totale de la question et des préjugés tirés de théories insanes !

Mauvais conjoint, bon parent ? Des liens parentaux dans la violence conjugale.

  Article de Sokhna Fall (www.memoiretraumatique.org/ )  -> article « disparu » (hasard ?)

Thérapeute familiale, victimologue, ethnologue

vice-présidente de l’association Mémoire Traumatique et Victimologie

(On a ici droit à l’approche « psychologisante », donc, à une certaine bonne volonté, mais surtout à un charabia insane, à  « l’innocence au sourire sanglant » et à des conclusions contradictoires et aberrantes :   ex : Le passage à l’acte de la violence conjugale me paraît bien la révélation d’une défaillance – rarement passagère – des capacités parentales de l’auteur.

Et plus loin : Il me semble, par conséquent, que toutes les situations de violences conjugales portées à la connaissance de la Justice, devraient donner lieu, en plus des actes de procédure pénale, à différentes mesures, impliquant les 2 parents ( ?? : Ca va pas, la tête ?!), afin de protéger les enfants.

(…) La presse a insisté sur le fait que le père ne respectait pas le contrôle judiciaire puisqu’il se présentait au domicile de la mère en dehors de l’exercice de ses droits parentaux. Mais la décision de justice a autorisé cette transgression en autorisant l’auteur à se rendre au domicile de sa victime. Qu’est-ce qui justifiait que cet homme soit considéré comme dangereux pour son ex-compagne sauf dans les moments où il venait chercher leur enfant ? Est-ce à dire que c’est l’enfant, en l’occurrence âgé de 18 mois, qui devait constituer le rempart efficace à la violence conjugale ? On pourrait presque dire que, par ses transgressions, dont la police et la justice avaient été informées, ce père était plus protecteur que l’appareil judiciaire puisqu’il alertait sur les failles du jugement. Ce dernier a parié ou même « fantasmé », sur le dos fragile de l’enfant et le corps sanglant de la mère, (pathos et charabia, nous voilà !) que le mauvais mari ne saurait être un mauvais père, que la grâce de l’amour parental (pourtant inopérante jusque-là) empêcherait magiquement l’auteur de profiter de l’occasion pour s’en prendre de nouveau à sa victime. La mise en danger est d’autant plus flagrante qu’il n’est pas rare que suite à la séparation, les auteurs ne disposent pas de domicile adéquat pour recevoir l’enfant et exercent leur droit de visite au domicile du parent victime, et c’est peut-être pour cette raison qu’il n’avait pas été prévu que ce soit la mère qui amène l’enfant à son père. C’est donc à son domicile, là où elle pouvait penser être en sécurité, que la mère d’Ibrahima a été massacrée près de son fils, avec la complicité d’une décision judiciaire surréaliste.

Sans organiser de façon aussi explicite l’exposition de la victime à la récidive de l’auteur lors de l’exercice des droits parentaux, la plupart des jugements du pénal négligent tout simplement, jusqu’ici, de penser comment s’exerceront ces droits en dépit de l’interdiction de contact. Aux victimes de la violence conjugale de trouver l’organisation qui permettra à l’auteur de rencontrer les enfants sans se sentir ou sentir ceux-ci « trop » en danger. Certaines rechignent à se soumettre à ce qui peut leur sembler se livrer et/ou livrer leurs enfants à un ogre, et prennent le risque de se soustraire à ces décisions de justice (ce qu’avait peut-être effectivement fait la mère d’Ibrahima), donnant ainsi de nouveaux prétextes de violence à l’auteur et s’attirant la réprobation sévère des professionnels qui les accusent alors de « mêler les enfants à leur conflit de couple ». L’auteur, pour sa part, est délibérément mis en difficulté en ces occasions de rencontre (ah : c’est LUI qui est « mis en difficulté » ! Le pauvre ! plaignons-le !), très susceptibles de réveiller en lui une tension dangereuse et de le conduire à rejouer le scénario destructeur d’un cycle de violence. Il peut aussi, de façon banale, se croire autorisé à profiter de ces moments, non pour exercer son rôle parental, mais pour tenter de reconquérir son conjoint. Le vocabulaire de la justice et du secteur social, focalisé sur le « conflit », favorise l’idéalisation de la situation « d’avant » et invite subtilement auteur et victime à se réconcilier alors qu’aucun d’eux n’a eu les moyens de traiter les problématiques complexes qui ont amené la violence de l’un à éclater à l’intérieur de leur relation. La Justice encourage ainsi ce que déplorent à juste titre policiers et travailleurs sociaux; c’est-à-dire, le va-et-vient de la victime dans les bras de son bourreau.

(…) La mise en place, immédiate et systématique, lors d’une mise en examen (l’ennui, mes braves gens,  c’est que les auteurs ne sont quasiment JAMAIS mis en examen !!!) pour violences conjugales d’un dispositif de « lieu neutre », pour l’exercice des droits parentaux, me paraît la seule façon d’éviter réellement que des drames s’ajoutent aux drames et de permettre que les enfants soient protégés de la répétition de scènes traumatisantes. (…)

Deuxièmement, si indispensables soient de telles précautions, elles ne paraissent cependant pas suffisantes pour la protection effective des enfants. Il me semble que toutes les situations de violences conjugales devraient conduire les acteurs de la Protection de l’enfance à s’interroger sur les capacités parentales des 2 parents. (QUOI ?!)

Il faut le répéter, un parent qui commet des violences contre l’autre parent de ses enfants ne peut ignorer qu’il porte atteinte à un facteur fondamental de leur bien-être affectif et psychologique. L’argument couramment avancé qu’il « n’aurait jamais commis de violences contre les enfants eux-mêmes ou en leur présence » paraît irrecevable. On s’indigne, à juste titre, de ces parents qui, après la séparation, disqualifient l’autre parent, voire l’éliminent de la vie de leur enfant ; considérant qu’ils s’attaquent ainsi aux fondements de la famille humaine dont un enfant a besoin pour bien se construire. Dans le cas des violences conjugales, on raisonne trop souvent comme si une tentative de destruction physique d’un parent par l’autre était moins préjudiciable à l’enfant que cette fameuse « aliénation mentale ». (…)  Par ailleurs, il semble qu’il faudrait également évaluer la situation du parent victime. Dans un 1er temps pour s’assurer qu’il est correctement protégé, entouré et soutenu pour se remettre de ses épreuves et par conséquent, pas trop envahi par sa propre souffrance pour pouvoir accueillir et soulager celle de son enfant. Ensuite, pour s’assurer que les difficultés personnelles à l’origine de son choix amoureux malheureux (basse estime de soi, liée à des expériences de maltraitance dans l’enfance, par exemple…)(Préjugé ! Une femme battue peut avoir eu une enfance très heureuse ! Il n’y a pas de lien entre les 2 !), renforcées par les chocs traumatiques répétés subis dans le couple, sont en voie de traitement et ne risquent pas de réexposer l’enfant au danger. (…)(et, à votre avis, connards, ça lui fera QUOI, à cette pauvre femme, de devoir subir une telle enquête et la pression supplémentaire qu’elle occasionne ? !)

La meilleure façon de prévenir ces dommages supplémentaires pour l’enfant serait, me semble-t-il, que le Juge des Enfants soit saisi systématiquement, au plus tard lors du jugement pénal, pour ordonner rapidement expertises familiales, Investigations d’Orientation Educatives ou toute autre mesure utile pour évaluer la situation de l’enfant et, si nécessaire, le protéger. (Une fois de plus, ici, le père s’en sortira haut la main, et la mère victime, traumatisée,  non !)

Enfin, il pourrait être très profitable, en termes de prévention de la répétition des violences tant au sein du couple concerné que dans le futur des enfants, de prononcer des injonctions de soins, individuels et familiaux. ( !)

Au bénéfice de l’enfant, il s’agirait d’évaluer et de traiter le cas échéant les séquelles post-traumatiques consécutives aux violences. Quand leur existence a été mise en danger et si gravement perturbée, les enfants ont impérativement besoin d’une « remise en ordre » symbolique. La Loi, normalement incarnée par les adultes protecteurs responsables de l’enfant, a été mise sens dessus dessous. Il est indispensable qu’elle soit restaurée, les décisions de Justice explicitées, les ressentis d’effroi, de peur, d’abandon et de colère… de l’enfant reconnus et accompagnés. L’enfant doit pouvoir aussi être « dé-parentalisé », être autorisé à ne pas protéger ni prendre en charge ses parents, dans un contexte sécurisé.

Pour le parent victime, devrait lui être offerte une aide qui lui permette de soigner ses séquelles post-traumatiques et de se détacher des croyances négatives sur elle-même qui l’ont empêchée de repérer le danger représenté par son conjoint avant que ne se produise l’irréparable. (CECI EST DEGUEULASSE !)

Gardner et la pédophilie   par Mónica Laura Creus Ureta (extraits)

(…) Ceux qui ont non seulement les ressources intellectuelles mais aussi économiques pour payer des avocats, plus ou moins complices et adroits pour mettre en avant ce syndrome et épargner ainsi, à leurs clients abuseurs et/ou violents, une condamnation pénale.

(…) Les individus pervers comme Gardner sont rarement des idiots mais sont plutôt des personnes intelligentes.

Le « SAP » (= le soi-disant « Syndrome d’Aliénation Parentale ») manque de tout fondement scientifique, ne tient pas compte ou méconnaît totalement la psychologie infantile et sert seulement à absoudre les abuseurs sexuels.(ou autres)

Il serait bon de rappeler « aux experts en psychologie, psychiatrie et droit, qu’un diagnostic doit être posé en respectant des règles déontologiques, dans un cadre de bonne praxis et qu’il doit être également sous-tendu par des connaissances scientifiques reconnues.

L’heure où ces graves manquements seront punis arrivera.(oui, mais en attendant, la vie de milliers d’enfants & de mères sera fichue !)

En attendant, des avocats et experts sans scrupules mentent et trompent en toute connaissance de cause et les petites victimes sont encore une fois maltraitées par ceux-là même qui devraient pourtant les protéger (pédiatres, experts, juges, avocats…) et par la société qui laisse faire.

Ils diffusent le “SAP” à droite et à gauche et, à force de le répéter, ils parviennent à convaincre de son existence et, ce qui est pire, obtiennent que l’opinion publique, qui manque de toute formation médicale et/ou psychologique, ingénument les croie.

http://lesabusdesservicessociaux.e-monsite.com/pages/profil-de-la-victime.html

Profil de la victime

Si l’on a l’impression que les pervers manipulateurs, pervers narcissiques ou manipulateurs destructeurs (chacun choisi le terme qu’il préfère) sont tous clonés les uns sur les autres avec un mode opératoire quasi identique (détruire sa proie en lui faisant perdre toute identité sociale par la perte de son emploi, son logement et la garde des enfants), l’on peut constater aussi que les victimes se ressemblent toutes aussi.

Les hommes comme les femmes sont autant victimes de ces tueurs psychologiques. Et oui la maltraitance psychologique n’est pas l’apanage des hommes bien au contraire. Mais hommes commes femmes, la proie favorite des pervers manipulateurs sont les personnes dites « surdoués ».Le lien entre les enfants surdoués/adultes qu’ils sont devenus et les pervers manipulateurs a déjà été mis en évidence par de nombreux psys. Les victimes retrouvent ainsi quasi systématiquement ces points communs :

– Ils sont autodidactes : se sont en règle générale d’anciens enfants surdoués qui s’ignorent mis au ban de l’éducation nationale qui n’a pas su les révéler.

– Ils sont hypersensibles, généreux, avec une certaine propension à la culpabilité.

– Ils réussissent assez brillamment dans tous les domaines qu’ils touchent même s’ils ne sont pas diplômés.

– Ils sont socialement bien intégrés, ont le sens de l’humour, sont assez « cool ».

Les enfants nés de ce couple hériteront des capacités intellectuelles du parent surdoué, et de tout ce qui va avec : l’hypersensibilité, la difficulté d’intégration scolaire etc…

Et c’est a ce titre que les professionnels de la protection de l’enfance vont complètement passer à côté du point le plus important. Ils vont alors accuser le parent victime de créer des troubles psychologiques chez l’enfant, alors que la surdouance n’est pas un trouble psychologique mais neurologique (c’est un fonctionnement cérébral qui ne peut se changer). C’est donc à cause de leur manque de connaissance dans le domaine qu’ils demanderont à retirer les enfants au parent victime pour le placer soit chez le bourreau (qui lui cache ses troubles psychiatriques) ou en institution. Mais comme les enfants sont hypersensibles, les professionnels signent à ce moment là l’arrêt de mort des enfants qui développeront de graves séquelles psychologiques.

http://lesabusdesservicessociaux.e-monsite.com/blog.html

LE MONDE MARCHE SUR LA TETE

Par lesabusdesservicessociaux Le 12/03/2010

Ce site n’a pas été créé pour « casser du travailleur social » et stigmatiser toute une profession qui renferme quand même d’excellents éléments, mais bel et bien pour montrer du doigt les méthodes de travail d’un système qui a besoin d’être réformé dans les grandes profondeurs. C’est avec l’aide de parents victimes et de travailleurs sociaux consternés par ce système que nous en sommes venus à créer cet espace d’échange afin de trouver ensemble des solutions et de nous battre tous main dans la main pour nous faire entendre.

Aujourd’hui en France nous sommes tous les témoins d’un système socio-judiciaire en déconfiture.

Outreau en a été la preuve flagrante. Pourtant, suite à ce drame qui a traumatisé un pays tout entier, des réformes ont été mises en place concernant la protection de l’enfance. La loi du 5 mars 2007 en est le symbole même, complétant au passage la loi du 2 janvier 2002 sur la réforme de l’action sociale.

Ces lois ont un dénominateur commun : le respect de la dignité humaine et l’inclusion des personnes dans le déroulement des mesures prises pour eux et leur famille.

Il est assez surprenant de constater que des services sociaux, dont la vocation première est de respecter les personnes afin de leur venir en aide, aient besoin de lois pour enfin considérer le public dont ils s’occupent. Pourtant, aujourd’hui, en France, pays fondateur des droits de l’Homme, la notion du respect d’autrui n’est pas acquise pour tout le monde dans ce système socio-judiciaire, laissant place encore trop souvent à un mépris total des petites gens.

Réformant la loi de 1975, archaïque, défaillante et obsolète, cette loi de 2007 n’est pourtant quasiment jamais appliquée. Et pire encore, les professionnels de la protection de l’enfance, des travailleurs sociaux aux juges pour enfants, en ignorent bien souvent l’existence,alors qu’il est de leur devoir professionnel de la connaître et surtout de l’appliquer pour ne pas bafouer les droits des citoyens.

De nombreux faits divers, Outreau en tête, ou encore l’histoire de Dylan, Thyphaine ou Marina nous poussent à nous demander « MAIS QUE FONT LES SERVICES SOCIAUX , ILS NE SONT JAMAIS LA QUAND ON A BESOIN D’EUX MAIS ILS VIENNENT EMMERDER LES HONNETES GENS ?!!! »

Cette simple expression, aussi insignifiante soit elle au premier abord, que nous avons tous prononcé un jour ou l’autre est pourtant le résumé d’une bien triste réalité.

Quand nos services sociaux en France laissent parfois mourir des enfants qui ont été l’objet de nombreux signalements pour maltraitance, ils cherchent aussi très régulièrement « des poux dans la tête » à des parents qui ne comprennent pas en quoi ils peuvent être dangereux pour leurs enfants et comprennent encore moins comment ils peuvent être pris au piège de ce système socio-judiciaire à la française…qui lui s’octroie le droit d’être hors la loi.

Aujourd’hui est taxé de parent dangereux  :

– Une maman qui allaite son enfant : alors que l’allaitement maternel est vivement conseillé par le corps médical, la maman pourra être accusée par les services sociaux de vouloir créer une relation fusionnelle malsaine pour le développement psychoaffectif de l’enfant et de vouloir casser les liens père/enfant. En cas de séparation, la garde sera accordée au père.

– Une maman qui protège son enfant d’un danger de maltraitance réelle. Elle sera diagnostiquée comme malade psychiatrique atteinte du syndrome de Munchhausen par procuration

– Donner un surnom à ses enfants : appeler son enfant « mon petit Loulou » serait devenu sans que l’on sache réellement pourquoi un acte maltraitant qui perturberait gravement l’équilibre des enfants.

– Un parent (père ou mère) écolo ayant décidé tout bêtement de vouloir laisser une planète moins sale à ses enfants en lui inculquant des gestes simples comme manger sainement, faire le tri sélectif des déchets ménagers, utiliser des produits naturels plutôt que chimique pour faire le ménage écolo, sera reconnu comme marginal mettant en danger l’intégration sociale de son enfant. L’enfant lui sera retiré.

– Un parent svelte qui prend soin de son corps sera défini comme anorexique mettant en danger l’équilibre alimentaire de son enfant. L’enfant lui sera retiré.

–  Un parent qui maîtrise trop bien la langue française, sera taxé de prétentieux intellectuel dangereux pour le développement de son enfant. L’enfant lui sera retiré.

– Un parent qui a une passion, cette passion sera vue comme une addiction et par extension un trouble psychologique qui mettra en danger l’équilibre de l’enfant. L’enfant lui sera retiré.

–       … (liste non exhaustive)

Dieu merci, nombreux sont les professionnels qui pensent, comme nous, qu’il y a un sérieux problème. Eric de Montgolfier, Procureur de la République et auteur du livre « le devoir de déplaire » s’insurge lui aussi face à ses nouveaux profils de « gens anormaux » :

« Aujourd’hui, il est tout à fait normal de payer une cotisation à un club de foot, mais il est suspect de la payer à un club de yoga, même si elle est deux fois moins chère. Aujourd’hui, celui qui est végétarien, ou même qui ne regarde pas beaucoup la télé, est devenu suspect. Mais celui qui a régulièrement 2 g d’alcool dans le sang, qui fait ses courses au supermarché, qui prend des antibiotiques et qui est vacciné, celui-là est normal ! Son cancer postérieur sera donc rassurant. . . N’était-ce pas l’objectif principal expliquant toutes les anomalies de cette psychose ? »

En résumé si vous êtes un parent lambda qui vit à peu près sainement, vous serez qualifié par certains travailleurs sociaux et juges pour enfant comme l’ennemi public n°1. Votre enfant vous sera retiré.

Bien évidemment tout ceci saupoudré par les allégations (sans aucun élément de preuve qui seront prises comme parole d’évangile) de l’autre parent, bien souvent pervers manipulateur (ou pervers narcissique), qui, jaloux d’on ne sait quoi, ira tout monter en épingle afin de vous discréditer.

Le pervers manipulateur à lui aussi un discours bien a lui afin de décrédibiliser l’autre parent auprès des autorités :

– Il pousse sa victime à la colère et à la déstabilisation et quand elle répond, il s’écrit : « vous avez vu j’avais raison c’est un fou (une folle) !! »

– Il sait se faire plaindre et passer pour la victime et quoiqu’il dise sa parole sera parole d’évangile, tant et si bien que même les juges s’agenouilleront devant lui et broieront l’autre parent.

Le discours le plus récurrent des pervers manipulateurs n’est pas de vouloir absolument la garde de son enfant, mais de la retirer à l’autre parent, afin de briser complètement les liens car il est jaloux de la relation de confiance qui a été instaurée entre ce parent et son enfant (qui sera alors qualifiée par les professionnels de fusionnelle) : « Je préfèrerais que mon enfant soit placé en foyer plutôt qu’il vive avec lui (elle) ! »

Voilà le quotidien de nombreux parents aujourd’hui dans notre pays qui se battent pour retrouver leurs enfants qu’on leur a arracher sans trop savoir pourquoi, hormis pour satisfaire la jouissance perverse de psychopathes non décelés et remplir les caisses des conseils généraux. Des familles entières seront détruites à vie en toute impunité par de telles violences conjugales dont le parent manipulateur utilise son enfant comme arme destructrice contre son ex conjoint (e) et pour lesquels les travailleurs sociaux ne bougeront pas le petit doigts, car leurs salaires dépendent des budget alloués aux conseils généraux.

Elian Djaoui, psychosociologue responsable de formation à l’institut de formation sociale des Yvelines analyse, dans le dernier numéro de la Nouvelle Revue de Psychosociologie sur la « passion d’évaluer », les méthodes évaluatives des travailleurs sociaux dans les agréments des assistantes maternelles et montre l’absence de critère, laissant le champ libre à des contenus inconscients de l’imaginaire institutionnel ou de l’imaginaire des individus (notamment une haine refoulée de l’enfant et un sentiment de culpabilité). C’est très riche

Pendant ce temps là des enfants sont séquestrés, maltraités, déscolarisés, violés ou dans le pire des cas tués, ET PERSONNE NE BOUGE !!!!

LENTEUR ADMINISTRATIVE avancerons les uns !! pourtant quand il s’agit d’arracher un enfant à un parent qui a la mauvaise idée d’être intello-écolo, l’administration est beaucoup plus rapide, et là ils viennent chez vous avec toute la troupe !!!

MANQUE DE MOYENS dirons les autres ! Ne perdez surtout pas de vue que tous ces placements ou retraits abusifs d’enfants à leurs parents (50% des dossiers selon l’Inspection Générale des Affaires Sociales), la mise en place de toutes les mesures (IOE, AEMO…), les demandes  d’expertises judiciaires, les audiences au tribunal qui pourraient être évités si ces travailleurs sociaux décidaient de poser leurs oeillères pour se concentrer sur les fondements même de leur travail, ont un coût et il est colossal (rapporté par la Cour des comptes). Le salaire d’un travailleur social compétent est le même que celui de son collègue incompétent. Par contre le travailleur social incompétent, par son manque de professionnalisme, lui, gaspille l’argent public qui sort, ne l’oublions pas, des poches du contribuable.

Vous pourrez lire sur notre site tous les témoignages de parents et d’enfants devenus adultes, abusés et détruits par ces méthodes, qu’historiquement la France a déjà connu naguère. Deux travailleurs sociaux en activité ont bien voulu aussi témoigner sur notre site sous couvert d’anonymat, leurs noms ont donc été changé.

Témoignages de pros : http://lesabusdesservicessociaux.e-monsite.com/pages/temoignages/quand-les-professionnels-prennent-la-parole.html

Ex de témoignage : J’ai entamé des études d’assistante sociale que j’ai stoppé net le jour où un prof nous a dit, au sujet des gens dont nous

allions nous occuper :

« Il ne faut jamais prendre les gens pour des cons mais il ne faut pas oublier qu’ils le sont » ! Et ils nous a expliqué comment renflouer les caisses de l’ASE grâce au placement d’enfants. !)(1enfant placé rapporte 72.000€).

J’ai trouvé ça dégueulasse, j’ai arrêté mes études dans les jours qui ont suivis. Aujourd’hui je suis secrétaire dans un garage.

Triste florilège : http://lesabusdesservicessociaux.e-monsite.com/pages/ils-en-sont-capables/quand-nos-travailleurs-sociaux-reflechissent-florilege.html

Mme P. assistante sociale dans un rapport destiné au JAF, au sujet d’exhibitions qu’a subit un jeune garçon de 5 ans par un adulte de 23 ans avec qui il était obligé de partagé le lit, beau-frère du papa

« Les exhibitions qu’a subit le jeune X n’ont aucune incidence sur son comportement puisque ça l’a fait rire. En revanche nous ne comprenons pas la réaction de la maman qui a encore fait un excès de zèle en déposant plainte. Nous concluons donc que l’enfant serait plus en sécurité chez son père et nous préconisons la garde au papa. »

Nous voilà rassuré sur l’avenir de l’enfant !!


Mme P. assistante sociale dans ce même rapport destiné au JAF, au sujet de la mort du chien de la maman âgé de 14 ans et pesant 7kg (un yorkshire).

« L’enfant est extrêmement malheureux chez sa maman puisque son petit chien est mort ».

Et si ça c’est pas pour remplir de la page blanche parce qu’elle n’a rien contre la maman !!!


Mme P. assistante sociale, toujours à cette même maman lors de sa visite chez elle. La maman se plaignait qu’elle n’avait pas eu le droit de téléphoner à son fils de 5 ans le jour de noël qui était chez son papa.

« Il est normal de couper totalement les ponts avec son autre parent quand on est chez l’un. C’est plus équilibrant pour l’enfant, pas besoin de lui téléphoner. »  Evidemment !!


Mme L. assistante sociale au sujet d’une aide FSL pour l’électricité. Ce qui constitue au moins le 1/3 du travail d’une assistante sociale

« Je ne peux rien faire pour vous, je n’ai pas de baguette magique. »  Ah bon ? et tu justifies ton salaire comment alors ?


Mr B. Educateur spécialisé chargé d’une mesure d’AEMO. La maman se plaint qu’elle n’a toujours pas reçu depuis 2 mois, de la part du papa, la pension alimentaire servant à nourrir son enfant.

« La pension alimentaire c’est un problème d’adulte, ça ne regarde pas votre fils. Monsieur V. a du mal à vendre la maison, vous vous n’avez pas la pension alimentaire, alors vous êtes quitte !! »

Sauf que…la vente de la maison elle n’est pas stipulée dans le jugement de garde concernant cet enfant. La pension alimentaire elle, est un devoir imposé par la loi pour le bien être de l’enfant. Ca le touche donc directement. Et oui Monsieur l’éducateur !!!


Mme V. assistante sociale scolaire, au sujet de la déscolaristion (elle séchait les cours) d’une jeune fille de 18 ans qui avait subit 4 ans de pédophilie.

« Arrêtes de te plaindre tu n’es qu’une fainéante c’est tout »  On se sent aidé dans la vie, même par les professionnels !!


Mme R. Assistante sociale protégeant un papa maltraitant, bi-polaire qui frappait sa femme et la violait. Grâce à l’assistante sociale c’est le papa qui a obtenu la garde de l’enfant. A la sorti du tribunal, réaction de l’assistante sociale à la maman :

« Et la carotte dans le cul ça fait du bien ? »  Sans commentaire.


Mr R. Educateur spécialisé, répondant à la question d’une maman sur sa vocation :

La maman : » Si la détresse morale et la misère humaine qui vous fait vivre n’existaient pas qu’auriez fait ?

Mr R. : Ne vous inquiétez pas pour moi Madame, j’aurais trouvé autre chose. » Quelle belle et grande vocation !!!!!


Mme V. puéricultrice en PMI, à une maman qui était en train de monter une armoire dans sa chambre et qui n’avait pas jeté les emballages de ses tringles à rideaux :

« Vous êtes une malade mentale, c’est pas chez vous qu’il faut faire du rangement, c’est dans votre tête !! »

Jetez vos emballages au fur et à mesure sinon vous allez finir en hôpital psychiatrique !!!


Mme D. puéricultrice en PMI, a une candidate assistante maternelle :

« Pourquoi voulez vous être assistante maternelle ? vous avez fait des études, vous êtes intelligente, vous êtes capable de faire autre chose de votre vie !! »

Voilà comment sont sélectionnées les nounous. Si tu sais rien faire, et que tu es bête à bouffer du foin, on va te confier des enfants !!!


Mme D. puéricultrice en PMI à cette même candidate assistante maternelle devant un livre de Michel Houellebecq posé sur la table de nuit :

Il y a un livre là ! Qui lit ? ah c’est vous ? vous lisez ?  Oui Madame, une assistante maternelle ne doit pas savoir lire ?


Madame G. assistante sociale de la sauvegarde de l’enfance, qui s’est fait convoquer par 2 fois par le psychiatre de cette même structure, pour ses excès de zèle dans le dossier d’un jeune garçon âgé de 4 ans qui était victime de décalottage intempestifs par sa grand-mère paternelle. Madame G. à la maman qui était inquiète face aux hématomes de l’enfant sur son sexe :

« Si vous en parlez, je ferais en sorte que vous perdiez votre crédibilité »

La maman en a parlé, et elle s’est fait retirer son enfant au profit du papa. La raison évoquée : La maman en allaitant son enfant a créé avec lui une relation fusionnelle malsaine. Elle a d’ailleurs rajouté que la mère avait empêché au papa de voir son enfant pendant 7 semaines, alors que cette décision était prise par le Juge aux affaires familiales. L’assistante sociale a donc fait payer à la mère les décisions du juge. Elle n’a droit de voir son fils que 4h/mois en point rencontre.

Pour cette assistante sociale, allaiter son enfant est un acte maltraitant, mais le décalloter de force à lui créer des hématomes est vivement conseillé. Pourtant tous ses collègues ont eu conscience de ses décisions abusives et personne n’a pu rien faire.


Madame G. assistante sociale de la sauvegarde de l’enfance, face à cette même maman que tous les médecins défendaient.

« De toute façon s’ils prennent votre défense c’est uniquement parce qu’ils sont tombés sous votre charme ».

Madame G. serait elle jalouse du charme de cette maman ?

 

 

Complimenter un homme

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???????Vous voulez faire plaisir à votre homme ? Alors, ne vous retenez pas ; exprimez-lui votre affection et votre admiration, osez lui montrer que vous l’appréciez ! Cela renforcera ses bonnes tendances et affaiblira ses défauts.

 

Mais quels compliments les hommes préfèrent-ils ? ? Pas de panique : je vous dis tout !

 

Voici ceux qui  plairont le plus à un homme (bien entendu, cela doit être sincère !) :

 

–         Avec toi, je me sens si (au choix) heureuse, belle, en sécurité, excitée,…

 

Ce compliment fait généralement mouche avec un homme car il part du cœur. En outre, lorsqu’un homme vous apprécie, il fait des efforts pour que vous vous sentiez bien avec lui, pour vous combler, et donc, ce compliment lui confirme que ses efforts « marchent » & ont servi à quelque chose – donc, indirectement, qu’il est effectivement compétent.

 

–         Qu’est-ce que je ferais sans toi ?

 

Les hommes aiment se sentir désirés, voulus, utiles, nécessaires – que ce soit pour ouvrir un pot de confiture ou pour vous aider à remplir votre déclaration d’impôts, ils adorent savoir que vous ne pourriez vivre sans eux.  Ce compliment ne peut donc que flatter leur fibre machiste …

 

–         Comme tu es beau ! J’adore ton (une partie de son corps, au choix) sourire, tes abdos, tes pectoraux, …

 

Ici, c’est comme pour nous (femmes) ; l’homme apprécie qu’on lui dise qu’il est beau, mais préciser quelle partie de son corps on aime, il adore !  Et si en plus, vous touchez l’endroit en question en lui servant le compliment, il sera aux anges.

 

–         (variante) J’aime l’effet de ce (pièce de vêtement au choix) jeans, chemise, … sur toi !

 

En général, la plupart des hommes ne se soucie pas autant des vêtements que les femmes… Néanmoins, un homme apprécie que l’on remarque ses efforts pour être présentable, surtout qu’il les fait spécialement pour nous plaire. Et il est évident qu’ils tirent plus de fierté, non du vêtement en lui-même, mais de l’effet qu’il fait « sur eux » (= quand ils le portent). Voici pourquoi il ne faut pas complimenter le vêtement (« quelle belle chemise ! ») mais l’effet qu’il fait sur leur corps.

 

–         J’adore être en ta compagnie

 

Ce compliment sert à dire à un homme que vous l’appréciez, non pour son apparence extérieure ou pour des raisons extérieures à lui (son argent, son statut, son apparence), mais pour son être profond.

 

–         Tu es super-bon dans ton job !

 

Reconnaître à un homme de l’intelligence et de la compétence dans son travail, lui fait toujours énormément plaisir. En effet, la plupart des femmes sont impressionnées par le statut, le salaire ou la carrière d’un homme, sans reconnaître la somme de travail et d’intelligence que cela exige – alors, le fait qu’enfin quelqu’un se rende compte de combien il se dévoue pour son job, et soit fière de lui pour cela, lui fera chaud au cœur.

 

–          (variante) Waw ! Tu es le meilleur ! (ou : t’es doué) 

 

Complimentez votre homme sur son savoir-faire et talents divers – en cuisine, au lit (surtout là !), pour réparer la voiture, ou dans le sport ; un homme aime entendre qu’il est bon dans les domaines & compétences qu’il tente d’acquérir ou de perfectionner.

 

–         C’est le meilleur (reconnaissance – objet – au choix, de ses efforts pour vous impressionner) rencard, dîner, choix de vin, cadeau,… que j’ai jamais eu !

 

Ici, on met encore en application le principe de renforcement positif ; faire ce genre de compliment à un gars qui fait des efforts pour vous, lui fait sentir que ses efforts valaient le coup, que ça lui a fait marquer des points ( = avancer dans votre affection).

 

–         Tu as une super-famille ou  J’apprécie beaucoup tes amis

 

Une femme a parfois du mal à s’intégrer à la famille ou aux amis de son gars, ce qui l’embarrasse et lui cause des tiraillements pénibles (vous perdez alors des points dans son affection). Par conséquent, lui faire savoir que vous les appréciez – ou même que vous les aimez – est très important pour un homme.