Archives Mensuelles: novembre 2012

Stone, le monde est stone …

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Je ne veux pas parler des jeunes sous shit, poppers, acide, crack ou héroïne – Non, ceux-là n’ont rien à voir avec ma préoccupation d’aujourd’hui.
Les alcooliques ou les « battants » sous cocaïne peuvent se rattacher à ce sujet, mais il y a plus grave…
Je veux parler des millions de travailleurs qui vivent et travaillent sous calmants ou anti-dépresseurs ; la consommation a tellement augmenté ces dernières années, qu’on peut parler d’une véritable épidémie !
Ha, les firmes pharmaceutiques peuvent se frotter les mains ! Eux ne sont pas menacés de déprime !
Le monde – surtout le monde du travail – est dur, froid, inhumain… Il faut être ponctuel, jeune, mince, bien habillé, performant – ô combien ! – supporter un travail souvent pénible, des collègues agressifs, des patrons exigeants et tyranniques, ou d’autres contraintes pénibles, pour gagner juste de quoi payer les factures et garder plus ou moins la tête hors de l’eau … quel horrible esclavage !
On entend les patrons se plaindre de ne pas trouver le personnel qualifié nécessaire, alors que c’est dû au fait qu’ils offrent un salaire de misère pour des tâches hautement qualifiées et/ou des horaires démentiels !
Alors, pour pouvoir continuer sans craquer, beaucoup de gens tentent d’endormir leur douleur avec ces drogues… Il y a actuellement plus de gens qui sont esclaves de ces « drogues légales » et qui en meurent, dans le monde, que de toutes les autres drogues ensemble !
La nature nous a pourtant munis d’un système – la douleur – qui nous prévient qu’on est en situation dangereuse pour notre survie – c-à-d que, dans ces cas-là, on a mal pour nous prévenir d’arrêter. C’est comme si quelqu’un décidait de scier une planche ; un moment, il regarde ailleurs, et fait aller la scie dans son bras. Hop ! Tout de suite, la douleur est là pour lui dire de stopper. Eh bien, si au lieu de cesser de se scier le bras, il prenait un anti-douleur, il pourrait continuer à se faire du mal…
C’est pareil avec ceux qui s’ »anesthésient » avec des calmants ou des anti-dépresseurs : la douleur les avertit qu’ils sont en danger, et, au lieu de fuir, ils « suppriment » la douleur et restent là.. Pas bien malin, non ?
Et en plus, ce n’est même pas efficace : les anti-dépresseurs AUGMENTENT le mal-être, souvent jusqu’au geste fatal (le suicide), que la victime n’aurait jamais fait si elle n’avait rien pris !
Quant aux calmants, ce sont des benzo-diazépines, créant une accoutumance – c-à-d qu’il faut sans cesse augmenter la dose pour avoir l’effet. Ceux qui en prennent en deviennent esclaves et se suicident lentement, se fichant de vivre ou de mourir…
Un suicide lent, en quelque sorte…
Mais réveillez-vous ! Une fois de plus, vous faites le rat qui tourne dans sa roue et qui a beau s’activer et courir, courir, courir, il n’avance pas d’un millimètre !
« Le courage est ce que la vie exige de nous en échange de la paix » ! Vous ne voulez pas avoir ce courage, et la conséquence, c’est que vous n’êtes pas en paix, mais stressé et malheureux…
Alors, vous tentez de vous procurer une paix articficielle … mais à quel prix !
Voici les risques : démence, manque de concentration, maladie d’Alzheimer, accidents, suicide ou overdose fatale !
Il y a des moyens plus inoffensifs – et plus efficaces – de se calmer : les gouttes à base de plantes, et surtout, la méditation.
Mais ces moyens restent peu efficients si l’on ne change pas notre mode de vie – si l’on reste dans notre situation pénible, c’est comme de soigner le taureau, puis l’envoyer chaque jour se re-faire massacrer dans l’arène…
La vie, c’est fait pour VIVRE, pas pour survivre …Laisser nos peurs nous la pourrir, nous la rétrécir, n’est pas la bonne façon de faire ; souvenez-vous toujours de ceci : »Il faut pousser ses peurs dans un coin, sinon, ce sont elles qui nous poussent dans un coin » !
Vivre, c’est sentir, brûler – faire autrement, c’est s’exposer, plus tard, à d’amers et douloureux regrets !
Quelle pauvre vie, en effet, que celle d’un lièvre apeuré dans son trou ! La mort vaut mieux qu’une vie aussi misérable, ne trouvez-vous pas ? « Les prudents ont duré, les passionnés ont vécu »…
Moi, je me suis donnée à un être abject – mais j’ai vécu intensément et je ne regrette rien… C’est LUI qui me regrette , alors que moi, j’ai léché mes plaies, tiré la leçon, et suis repartie de l’avant !
Chaque décision que vous prenez – chaque décision – n’en est pas une sur quoi faire ; c’est une décision concernant QUI vous êtes. Lorsque vous comprenez ceci, tout change. Vous voyez les choses autrement ; tous les événements, incidents ou situations deviennent des occasions de faire ce pour quoi vous êtes venu ici-bas.
Mais une bonne estime de soi est indispensable pour s’affirmer. Ort, vu l’enfance que la plupart d’entre nous avons eue – nos parents étant aussi englués dans un « système » oppresseur et inhumain – c’est justement ce qui nous manque ; une saine et forte estime de soi.
Pour l’acquérir ou la retrouver, il faut cesser de se juger et de se critiquer, en tous domaines ; physique ou mental, et s’accepter totalement tel(le) que l’on est. Il faut rejeter les critiques, blâmes, culpabilité ou honte, qu’elles viennent de nous ou d’un autre, et commencer à s’apprécier et à s’aimer, sans avoir besoin de l’approbation d’autrui.

Naissance de l’amour

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D’abord, cette citation de Khalil Gibran : Il est faux de penser que l’amour vient d’un long compagnonnage et d’une cour persévérante. L’amour est le rejeton de l’affinité spirituelle et à moins que cette affinité ne se crée en un moment, elle ne sera pas créée même en plusieurs années ou même générations.
Lorsque l’on rencontre un partenaire potentiel, d’abord, on est au stade du simple respect de l’être humain… Puis vient le stade de l’admiration, puis, si elle croît, on atteint le niveau où cela se tourne en amour.
Mais ceci n’advient qu’à condition que le ou la partenaire potentiel(le) montre d’abord certaines qualités ; pour faire monter la température, en quelquel sorte, il faut de la chaleur, ou l’on peut comparer la naissance de l’amour à une « banque d’amour » :
Quand l’autre (au début d’une relation, mais aussi tout au long d’une relation) fait montre des qualités nécessaires, c’est comme s’il ajoutait de l’argent sur le « compte » d’amour et lorsqu’il(ou elle) montre ses défauts, il retire de l’argent de ce compte, en sorte que l’amour ne peut naître ou meurt s’il existait…
Mais quelles sont ces qualités génératrices d’amour ? En 1er lieu, un niveau de conscience semblable au nôtre, puis d’autres qualités générales ; élévation, noblesse, sensibilité, magnanimité (grandeur d’âme), courage, générosité – don (car l’amour est don, et d’abord, don de soi), lucidité, foi, talent, honnêteté, bonté, tolérance, fiabilité, humilité, intérêt sincère à nous, à notre vie, notre monde, notre façon de voir et de sentir les choses, etc…
Par contre, si l’autre montre des signes indiquant qu’il est d’un niveau de conscience différent du nôtre : aie !
Et surtout, s’il fait montre de défauts méprisables ; lâcheté, mesquinerie, médiocrité, intérêt malsain (par ex, approuver sans raison, juste parce qu’il veut sortir avec nous), avarice, bêtise, manque de lucidité sur lui-même, insensibilité, arrogance, égoïsme, rigidité, manque d’humour, manque de respect (ne nous écoute pas, ne tient pas compte de nos signaux ou paroles, ..nous touche ou ne peut tenir son envie sexuelle en bride), pessimisme, méchanceté, mensonge, addiction (alcool, drogue, pornographie, travail, shopping, …) – alors, non seulement n’atteint-il pas l’admiration (donc sûrement pas l’amour), mais en outre, il perd même le respect, et tombe au mépris…
Et le goût ou dégoût, ou l’attraction et la répulsion, me direz-vous ? (si l’autre nous plaît ou nous semble laid, …) Eh bien, cela ne joue AUCUN rôle ; en effet, le goût qu’on avait de quelqu’un peut se tourner en dégoût s’il se conduit de manière à se faire mépriser, ou, à l’inverse, le dégoût initial qu’on ressent pour un partenaire potentiel, peut tourner en admiration et en amour s’il est (ou réussit à paraître) au même niveau de conscience que le nôtre et nanti de qualités respectables.
Voici pourquoi tant de couples capotent ou mènent une vie de disputes : parce que leur union est basée sur la seule attirance physique, qui ne veut rien dire, car elle ne dure pas et dépend de qualités plus solides.
Les conversations au début d’une relation ne servent qu’à ceci : s’évaluer l’un l’autre, déterminer si l’on est ou non, faits l’un pour l’autre… Par la suite, point n’est besoin de tant causer, car soit ça va tout seul, soit – si les 2 membres du couple ont l’âme dissemblable ou égoïste – toutes les discussions du monde n’y changeront rien.
Bien sûr, il y a le train-train quotidien – on ne sait pas parler de philosophie tout le temps ; il faut assurer l’intendance – mais les sacrifices vont de soi avec un être qu’on respecte et admire, alors que ça tourne à l’amertume avec un être que l’on méprise !
Avec l’être qui nous correspond, les différences – et les différends – ne portent que sur des points de détail, qu’il est facile d’ignorer puisque la base, le nécessaire, est là, tandis qu’avec un être dissemblable, les différends portent sur les facteurs essentiels au couple et, comme ces facteurs tiennent à la nature même de chacun, ils sont irréconciliables !
Par ex, à un cobaye, il faut de l’herbe et à un chat, de la viande… Ceci n’est pas négociable : c’est un BESOIN. Il en va de même avec les personnes ; selon leur nature, ils ont besoin de trouver telle ou telle qualité chez leur partenaire – et ce n’est pas négociable puisque ça dépend de la NATURE profonde de chacun. Souvenons-nous que « l’eau et l’huile ne se mélangent pas, et on aura beau les brasser, elles se sépareront toujours à la fin » !

La relation est le 1er enfant d’un couple !

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Family giving dog a bath.Oui, il faut voir n’importe quelle relation (amour ou amitié) comme une créature vivante créée entre et par les 2 personnes – cet « être » immatériel se construit quand 2 êtres sont amenés à se côtoyer ou se parler – dans la rue, au bureau ou au foyer. Bien sûr, entre 2 personnes partageant le même lieu de vie, la relation sera étroite et importante.

Cet « enfant » se crée donc de toute façon, étant très petit et frêle au début, mais croissant en force et en taille avec le temps. Mais cette créature peut être plus ou moins grande, belle et forte. Pour qu’il ne ressemble pas à un malade, il faut le nourrir bien et régulièrement.

Mais de quoi se nourrit-il ? Eh bien, de l’amour provenant des 2 personnes impliquées – comme un vrai enfant.

Mais par quel acte- cet amour se manifeste-t-il et nourrit-il la relation ? Par de la bienveillance, c-à-d des attentions, de la sollicitude – s’il n’y a pas ceci, chaque jour, c’est l’enfer ; l’ »enfant » (= la relation) n’est qu’un avorton malingre – la relation est malsaine.

Si l’un des partenaires ne donne rien, il ne nourrit pas » l’enfant » et n’est un parasite qui se laisse vivre dans l’organisme de la famille et y profite, comme un virus – prenant ce qu’il lui faut aux dépens des autres, en refusant de payer sa part.

Or, une relations se vit soit sur un mode d’amour, soit pour l’argent; il faut qu’il y ait égalité, ou réciprocité, sinon, ça ne peut pas durer. Lorsque l’on paie pour un service, on peut se dispenser de l’amour – mais si on ne paie pas en argent, il faut nécessairement payer en amour !

Toute autre alternative peut à juste titre s’appeler du vol – car c’est voler que de prendre quelque chose sans rien offrir en échange. Le profiteur du couple traite la relation avec désinvolture et ne nourrit pas l’ »enfant » – laissant la relation « crever de faim », pour ainsi dire.
Paul Ricoeur nomme la sollicitude ; la « bientraitance » et la base de la moralité – c’est être gentil et aimant.

Corollaire : son absence est une maltraitance, et un manque de moralité ! Qu’on le fasse exprès (qu’on ne VEUILLE pas faire mieux) ou non (qu’on ne PUISSE pas faire mieux) n’y change rien pour les malheureux qui doivent vivre avec une telle sangsue !

« Il n’y a pas d’amour ; il n’y a que des preuves d’amour » – c-à-d de la gentillesse envers notre partenaire. Et un foyer sans amour (c-à-d sans actes d’attention, de don, de gentillesse, de bienveillance, de sollicitude) est un enfer, où l’on s’épuise parce qu’on donne.
Le profitage éhonté du partenaire égoïste et indifférent, l’indignation et la souffrance causées par le fait qu’il se fiche de votre relation, finissent par vous rendre malade – bref, cette position n’est pas tenable longtemps ; un « enfant immatériel » qui n’est nourri que d’un côté (par une seule personne) ne peut pas vivre longtemps.

Si vous constatez que vous êtes seul(e) à nourrir l’être (la relation), vous cessez aussi de l’alimenter … et c’est la fin pour la relation ; les sentiments positifs (de dévouement) envers l’autre meurent, remplacés par la rancœur d’avoir été exploité(e).

On retombe ici sur la nécessité d’éviter les sots ; car une relation d’amour et de dévouement, c’est précieux. La plupart des gens se fichent de vous et de ce qui peut vous arriver – alors que quelqu’un qui vous aime se coupera en 4 pour vous soutenir et vous tirer de vos problèmes.

Celui qui ne comprend pas ceci et ne donne pas son maximum pour nourrir et préserver une chose aussi utile n’est qu’un sot, trop bête que pour comprendre qu’une relation est un vrai trésor !
Il n’a pas compris tous les avantages qu’il avait à la maintenir – en sorte qu’il l’a laissée s’étioler et mourir.

Ce profiteur vous a fait perdre votre temps et votre énergie (= un morceau de votre vie) – il faut donc éliminer ce parasite au plus tôt !

Sur la gentillesse : chacun doit reconnaître que nos actes affectent les autres et qu’il doit s’en sentir responsable, et leur faire activement du bien.
Pour cela, il faut faire des actes gratuits de bonté. En plus, c’est intelligent ; ça augmente en même temps nos chances de réussir dans la vie, puisque ça élève notre estime de nous !

Et on peut avoir besoin d’aide plus tard ; or, un acte de bonté a un impact durable sur celui qui le reçoit (à moins que ce ne soit un sot, justement) et ce dernier sera porté à vous secourir à son tour, même des années plus tard. Mais bien sûr, au moment où l’on donne, il faut le faire sans arrière-pensées, sans espoir de retour.

Secrets de réussite de personnes qui ont fait fortune tout seuls

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Voici ce qui a guidé des gens, même de milieux défavorisés, vers la réussite, et les a menés au sommet :
• Servir autrui ; trouver un besoin, et le remplir
• Travailler dur et toujours honnêtement
• Avoir une vision et la suivre obstinément, avec persévérance
• N’offrir que la meilleure qualité
• Se faire connaître
• Rêver grand, puis croire en soi, en ses rêves et son destin
• Ecouter sa voix intérieure
• Aimer ce que l’on fait
• S’organiser et mettre de l’argent de côté
• Se concentrer non sur la réussite mais sur le sens
• Oser demander ce dont on a besoin
• Prendre la pleine responsabilité de ce qui nous arrive
• Rester centré, sur la bonne voie
• Trouver son domaine d’excellence, puis, chercher la réponse à ces 3 questions : – qu’est-ce que je fais facilement, et pas les autres ? Qu’est-ce que je pourrais faire pendant des lustres et continuer à faire même sans être payé ? Comment puis-je servir autrui ?

Améliorez votre vie

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Notre vie est faite de contacts avec diverses personnes et des événements… Mais si ceux-ci sont s’y trouvent, c’est parce qu’on les a attirés à nous … ce qui dépend de notre niveau de conscience, et de la vibration que nous émettons, car tout est vibration, dans l’Univers…
La loi d’attraction fait que l’on crée notre réalité – car nous sommes faits d’énergie, laquelle vibre à diverses fréquences, pour générer le monde matériel.
Mais vu l’état de la société (violence, taxes, chômage, maladies, dettes, …), les familles vivent souvent dans un grand stress et abîment les enfants que nous étions… Beaucoup d’ex-enfants arrivent donc à l’âge adulte en émettant une vibration négative – et attirent donc des êtres ou des situations négatives dans leur vie.
Si l’on veut améliorer notre vie, il faut découvrir cette programmation puis l’éliminer et la remplacer par des opinions plus saines … Même si vous ne vous en rendez pas compte, vous êtes à tout moment en train de créer votre réalité… Donc, autant exploiter votre pouvoir créateur consciemment, et l’utiliser pour obtenir ce que vous désirez !

Les émotions étant une énergie, elles créent, selon leur nature, diverses réalités…Chaque pensée ou sentiment que l’on a, a un effet !
Nous voulons tous la même chose ; une vie saine, heureuse, confortable, paisible. Quand on veut changer sa vie, on tente d’avoir des pensées plus positives mais ça ne marche pas, car des milliers de voix de douleur, de peur, de joie et d’espoir encombrent encore notre esprit…Cette nouvelle voix se perd dans la foule des autres…
Si vous voulez (par exemple) éviter quelque chose, n’y pensez pas, évitez surtout les pensées chargées de sentiments, qui feraient advenir cette chose que vous redoutez.
Attention : une réalité n’existe pas seulement parce qu’on peut penser et ressentir – elle existe aussi par elle-même (par ex, la terre continuera d’exister si vous mourez). Nous pouvons juste co-créer des réalités avec d’autres. Au bas de l’échelle vibrationnelle, se trouvent la honte, la peur, l’impuissance, la colère, la dépression et à l’autre bout, l’espoir, la joie, l’enthousiasme.
Si l’on élève notre vibration, on pénètre dans une réalité différente. Il faut commencer par apprécier ce que l’on a, puis en être reconnaissant (pas une seule fois, mais souvent, et le plus longtemps possible).
Pour ça, à chaque fois qu’on passe devant un miroir ou une vitre, s’y regarder, sourire, et dire « c’est possible ! » ; en s’en croyant capable, les choses commencent à bouger ; nos croyances se modifient, et on atteint un état de certitude la plupart du temps …
On a d’autres habitudes de penser et d’agir, et (j’espère) d’autres fréquentations – donc, un autre mode dominant d’émission de vibrations…Quand on pense à quoi que ce soit, l’on active la vibration correspondante, qui devient vite notre vibration dominante ; celle qui joue le 1er rôle dans votre point d’attraction !
Cette vibration dominante est la source de tout ce que vous vivez.
En ce moment, votre avenir est plein de manifestations « en puissance » (bonnes ou mauvaises), résultant des pensées que vous avez nourries récemment… Pour « renverser la vapeur », il faut donc vibrer plus selon les choses que vous désirez.
Votre système de guidage émotionnel qui vous aidera à obtenir les choses que vous désirez, mais pour ça, il faut trouver le moyen de désactiver les pensées négatives : en effet, on ne peut pas activer quelque chose de désiré et quelque chose de rejeté en même temps ; c’est l’un ou l’autre – et vos émotions indiquent clairement lequel !
Chaque matin, il faut prendre conscience de vos émotions et choisir les pensées qui vous procurent le plus de bien-être, avant d’émettre une intention vers les choses que vous voulez avoir.
A tout moment, souvenez-vous que vous créez votre réalité, observez vos émotions et observez si vous êtes bien en phase avec vos résultats désirés.
Si vos émotions sont négatives, chassez-les au plus vite – puis, ne faites pas l’erreur de vous efforcer d’attirer le positif: lâchez prise, relaxez-vous ; laissez tout ceci arriver naturellement …

Femme : qualités à rechercher dans un homme

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Il comprend l’importance d’être fidèle, et ne trompe pas (même si une femme lui fait des avances),
Il dit la vérité, tout en restant toujours courtois,
Il désire passer la plupart de son temps libre avec vous,
Il respecte les femmes et tient compte de vos désirs et besoins, ainsi que de votre avis,
Il est humble et sait reconnaître quand il a tort et s’excuser promptement,
Il s’occupe de ses enfants et leur montre le bon exemple,
Il est fiable et responsable (financièrement comme dans d’autres domaines),
Il a des buts dans la vie et est motivé pour les atteindre,
Il vous encourage à poursuivre les vôtres,
Il vous aime telle que vous êtes et ne vous critique pas,
Il vous assure un foyer sécurisant,
Il ne vous force pas à faire ce que vous ne voulez pas faire,
Il prie pour vous et avec vous,
Il se montre fier de vous, de votre apparence comme de vos succès.
La valeur d’un homme tient dans sa capacité à donner et non dans celle de recevoir (A. Einstein)

Conclusion : les esprits valent ce qu’ils exigent ; je vaux ce que je veux ! Donc, ne vous excusez pas d’avoir de hautes exigences, ne baissez jamais vos standards ; ça n’amène rien de bon !
Dans 90% des cas, c’est un toquard ou un loser, qui vous quittera quand même (ou que vous devrez plaquer) et même s’il vous épouse, vous souffrirez chaque jour d’être avec une telle cloche.
Le problème (hélas) est qu’il faut avoir la force intérieure pour supporter de rester seule (peut-être toujours) et – pire ! – celle qui est nécessaire pour, si vous rencontrez un candidat valable, supporter l’incertitude, pour pouvoir bien jouer vos cartes avec lui !

Foi et lâcher-prise

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Lire « Puissance de la Louange » de Merlin Carrothers, m’a ouvert des perspectives sur la foi et la meilleure façon de vivre notre vie… Voici donc le résultat de mes cogitations :
Le zen nous demande d’agir, mais de nous désintéresser totalement des suites qu’auront nos actes, car cela peut tourner en bien ou en mal, et personne ne peut rien y faire (ni même le prévoir) : les conséquences ne dépendent que de Dieu.
De toute façon, bien ou mal, réjouissons-nous-en, car ce qui nous arrive fait partie du dessein de Dieu pour nous (et comme il nous aime, c’est toujours destiné à notre plus grand bien)
Ceci est bien expliqué dans le film « Evan Almighty »: Morgan Freeman dit à l’épouse du héros : « supposons qu’un homme demande à Dieu de guérir son caractère coléreux, Dieu ne va pas faire arriver cela, mais Il mettra cet homme dans une situation où il aura le choix (car c’est CELA, être humain : avoir le choix !) et l’occasion de maîtriser (ou pas) son caractère coléreux.
la vie nous présente des leçons et, tant qu’on ne les a pas apprises, elles continue sans cesse à nous les re-présenter… Cela fait partie de son plan, pour notre évolution – laquelle ne peut aller que dans un sens ; celui d’une élévation, d’une amélioration.
Donc, même si on doit vivre quelque chose d’horrible ou de catastrophique, glorifions toujours Dieu ; d’abord, parce qu’ainsi, ce monde n’aura pas de prise sur nous (sur notre âme, esprit, puis corps) et ensuite parce qu’il n’y a que par cette acceptation – non pas résignée, mais joyeuse –cette confiance, bref, cette FOI, que la situation a une chance de s’améliorer.
Attention : la foi (l’Amour) est une décision !
Ne bloquons donc pas les forces de Vie (divines) par celles de mort (colère, tristesse – bref, rébellion !).
Jadis, je me basais sur les sentiments et émotions – mais c’est une erreur ; lorsqu’une personne ou une situation est négative, elle nous cause des sentiments négatifs, qui eux-mêmes ne font qu’attirer PLUS de négatif dans notre vie !
Il faut au contraire, décider d’agir autrement, puis, lâcher-prise et faire confiance (la « foi », toujours)
Les émotions sont là pour aider à notre survie, mais seulement en ce monde…alors que Dieu (et ce qu’Il veut pour nous) vont au-delà de nos perspectives limitées !
Nous autres, humains, faisons l’erreur de nous baser sur notre « brillante intelligence »… et ça aboutit au chaos ! Donc, foin du mental ; Dieu voit les choses mieux que nous … Abandonnons-nous à Sa volonté en « sachant » que tout concourt à notre bien !