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Proverbes & Citations CXIII

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La beauté sauvera le monde (Dostoïevski)

Être woke donne aux gens un bouclier pour être méchants et cruels, protégés par l’armure d’une fausse vertu (Elon Musk)

L’un des secrets de la paix intérieure est la pratique de la compassion (Dalai Lama)

Quand un homme pense qu’il suffit de payer les factures et de rentrer à la maison à la fin de la journée pour que la relation fonctionne, fuyez (Ben Taylor)

Le Mal est mal, et il faut le combattre !  Le tolérer en le voyant comme normal ou pis ; considérer ces loups comme des agneaux, c’est le multiplier ! (B. de Laat)

Ce n’est pas une preuve de bonne santé mentale que d’être bien adapté dans une société profondément malade (Krishnamurti)

Il ne me déplaît pas de déplaire à certains (G. Brassens)

Toutes les émotions sont éphémères, alors ne les prenez pas trop au sérieux quand vous vous sentez déprimé ou en colère, car dans 20 minutes, vous pourriez vous sentir très bien (Jimmy Chevelle)

Je n’ai pas peur des tempêtes car j’apprends à naviguer sur mon navire (Louisa May Alcott)

L ‘Aigle regarde sans crainte le Soleil bien en face, et toi, l’Eclat Eternel si ton coeur est pur (Angelus Silesius)

Une chose est une chose. Pas ce qui se dit sur cette chose ()

Pardonnez-vous de ne pas savoir ce que vous ne saviez pas avant de l’avoir appris (Maya Angelou)

Votre lot est l’ignorance et la rusticité (Marc-Aurèle, aux chrétiens)

La patience est un arbre dont la racine est amère, mais dont les fruits sont doux (proverbe iranien)

Comme les êtres mauvais ont du mal à saisir le pouvoir, ils ont besoin de gens stupides pour faire le boulot. Tels des moutons dans un champ, une personne stupide peut être guidée, orientée et manipulée pour faire toutes sortes de choses. Le mal est un marionnettiste, et il n’aime rien tant que les marionnettes sans cervelle qui lui permettent d’agir, que ceux-ci se trouvent dans le public ou dans les couloirs du pouvoir (Dietrich Bonhoeffer)

Ceux qui veulent s’emparer de notre argent et prendre le pouvoir sur nous ont découvert la formule magique : nous rendre envieux ou en colère contre les autres et (alors) nous céderons, par tranches, non seulement notre argent, mais aussi notre liberté (Thomas Sowell)

L’individualisme agressif ne va pas impulser dans le bon sens l’Humanité, mais la détruire. C’est la fraternité humaine qui rendra possible la grandeur (José María Arguedas)

Un objectif sans un plan n’est qu’un souhait ()

Lancez-vous dans les arts. Je ne plaisante pas. Les arts ne sont pas un moyen de gagner sa vie. C’est un moyen très humain de rendre la vie plus supportable. La pratique d’un art, qu’elle soit bonne ou mauvaise, est un moyen de faire grandir votre âme, pour l’amour du ciel. Chantez sous la douche. Dansez au son de la radio. Racontez des histoires.

Écrivez un poème à un ami, même un mauvais poème. Faites-le aussi bien que possible. Vous obtiendrez une énorme récompense. Vous aurez créé quelque chose (Kurt Vonnegut)

Les rapports intimes ne sont jamais qu’un reflet des autres relations conjugales (Maxine Davies)

On n’est pas riche à moins d’avoir quelque chose que l’argent ne peut acheter (Garth Brooks)

Trouvez toujours le courage de parler & l’envie de clarifier les choses, car les silences pèsent comme des pierres, & les pierres deviennent des murs, & les murs, enfin, séparent ! ()

Il n’y a rien qui soit arrivé dans le passé, qui puisse vous empêcher d’être (dans le) présent maintenant (E. Tölle)

Ce n’est qu’une fois qu’on accepte vraiment nos problèmes, qu’on peut apprendre la leçon qu’ils contiennent ()

Personne n’a inventé le « capitalisme » – c’est ce que font naturellement les gens libres ; échanger des biens et services pour leur propre bénéfice … Le capitalisme est naturel, aligné sur la nature humaine, ses besoins physiques & surtout, psychologiques. Un autre système, créé par l’esprit humain sans tenir compte des tendances profondes de la nature humaine, ne peut donc être que mauvais ! (B. de Laat)

Le silence en présence du mal est lui-même du mal. Ne pas parler est parler, ne pas agir est agir (Dietrich Bonhoeffer)

Si vous ne trouvez pas un moyen de gagner de l’argent en dormant, vous allez devoir travailler jusqu’au jour de votre mort (Warren Buffet)

C’est toujours le faux qui nous fait souffrir, les faux désirs & craintes, les fausses valeurs & idées, les fausses relations entre les gens. Abandonnez le faux & vous êtes libre de douleur ; la vérité rend heureux, la vérité libère (Sri Nisargadatta Maharaj)

La science ne peut pas nous dire pourquoi la musique nous ravit, pourquoi et comment une vieille chanson peut nous émouvoir jusqu’aux larmes (Erwin Schrodinger)

Que tu penses que tu réussiras, ou que tu penses que tu rateras, dans les 2 cas, tu as raison (Henri Ford) – C’est vrai, mais on peut avoir des informations exactes sur la chose à faire & les raisons pour lesquelles on peut, ou pas, la réussir ; par ex, si l’on possède, ou non, les compétences nécessaires ou si on est capable, ou non, de les acquérir. De plus, avoir les émotions générant ce genre de pensées, est prédéterminé – on n’a aucun pouvoir là-dessus. On pourrait rétorquer que même si des pensées négatives surgissent en nous, on n’est pas forcé de les nourrir ; on peut les chasser … Hélas, ceci aussi est prédéterminé ! (B. de Laat)

Nous sommes dirigés par des dingues pour des buts dingues & je pense que je suis passible d’être écarté comme étant fou pour exprimer cela (John Lennon)

L’univers est fait d’histoires, pas d’atomes (Muriel Rukeyser)

A mesure que vous progresserez dans l’amour, vous nous convaincrez que Dieu existe et que l’âme est immortelle (Salvador Dali)

La loi, quand elle n’est pas appliquée équitablement, n’est pas la loi. C’est une arme politique utilisée pour attaquer, contrôler & persécuter un groupe ethnique, social ou politique particulier (Laurence Fox)

Ne leur souhaitez jamais de souffrir. Ce n’est pas qui vous êtes. S’ils vous ont fait souffrir, ils doivent avoir de la douleur en eux. Souhaitez-leur de guérir (Morgan Freeman)

Penser, c’est dire non (Alain)

Si tu es mis dans une situation difficile, tu dois t’adapter aux circonstances, quelles qu’elles soient, & suivre le courant. Et je pense que quiconque fait ceci peut survivre (Tery Jo Duperrault)

La bêtise, c’est la mauvaise fée du monde, la sorcière. Il n’y a pas de gens méchants, il y a des gens bêtes. Mais ce n’est pas de leur faute. Mais il y a des gens qui ont peur. Et ça, c’est de leur faute (J. Brel)

Tout ce qui est bon est cher, & le développement de la personnalité est l’une des choses les plus chères de tout. Cela vous coûtera votre innocence, vos illusions, vos certitudes (C.G. Jung)

La philosophie nous enseigne à douter de ce qui nous paraît évident. La propagande, au contraire, nous enseigne à accepter pour évident ce dont il serait raisonnable de douter (A. Huxley)

Savez-vous que vous pourriez être dans la même situation que celle où vous êtes, et être heureux ? ()

Plus on investigue, moins on doit investir (Dan Pena)

Si vous n’êtes pas prêt à être un idiot, vous ne pouvez pas devenir un maître (Jordan Peterson)

Le bonheur n’est pas une récompense mais une conséquence. La souffrance n’est pas une punition mais un résultat (R. Ingersoll)

Quand la bêtise gouverne, l’intelligence est un délit (Montherlant)

La différence entre les gagnants & les perdants est que les gagnants font des choses que les perdants refusent de faire (Dr Phil)

Si vous ne renoncez à rien, vous vous abstenez de choisir. Et quand on s’abstient de choisir, on s’abstient de vivre la vie que l’on voudrait (Laurent Gounelle)

Il y a 4 qualités que j’aime voir manifestées dans les gens : premièrement, l’enthousiasme et le courage, deuxièmement, un visage auréolé de sourires et une contenance radieuse ; troisièmement, qu’ils voient tout de leurs propres yeux et non par les yeux des autres ; quatrièmement, l’aptitude à mener une tâche, une fois commencée, jusqu’à sa fin (Baha’u’llah)

Une relation, c’est quand 2 personnes se réunissent pour se soutenir & s’améliorer mutuellement, croire en l’autre et le construire, être sa paix, pas son problème ()

L’envie est mille fois plus terrible que la faim, c’est une faim spirituelle (Miguel de Unamuno)

Je ne suis pas ce que vous pensez que je suis. Vous êtes ce que vous pensez que je suis (Bouddha)

Proverbes & Citations LXVI 

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L’amour n’est pas seulement la force de cohésion la plus forte de la société, c’est le seul amalgameur permanent, la seule force possible qui peut produire l’unité entre les gens et ainsi, par l’unité, produire l’ordre et une atmosphère dans laquelle la vie peut fonctionner à son plus haut et meilleur niveau (Ruhiyyih Khanum).

Quand on vit avec quelqu’un, tout ce qu’il fait ou ne fait pas, tout ce qu’il dit ou ne dit pas, a un impact direct sur notre bonheur. Voilà pourquoi ceux avec qui on vit doivent montrer une bienveillance active – même l’indifférence rend la vie infernale & n’est donc pas acceptable (B. de Laat)

Et, dans l’amour, il n’existe pas de règles. Nous pouvons bien essayer de suivre des manuels, de contrôler notre cœur, d’avoir une stratégie de comportement, tout cela ne sert à rien. C’est le cœur qui décide, et ce qu’il décide fait loi (Paulo Coelho)

Laissez vos espoirs, et non vos blessures, façonner votre avenir (Robert H. Schuller)

Ce qui compte ne peut pas toujours être compté, et ce qui peut être compté ne compte pas forcément (A. Einstein)

Nous ne sommes pas des êtres humains ayant une expérience spirituelle, nous sommes des êtres spirituels ayant une expérience humaine (Teilhard de Chardin)

Le travail fait dans un esprit de service est la forme la plus élevée d’adoration (Abdu’l-Baha)

Quand un peuple ne défend plus ses libertés & ses droits, il devient mûr pour l’esclavage (J-J. Rousseau)

Rien n’est si dangereux qu’un imbécile qui a les apparences d’un homme intelligent (Edouard Herriot)

Si tu veux connaître la valeur de l’argent, essaie donc d’en emprunter (Benjamin Franklin)

Quand vous sortirez de la tempête, vous ne serez pas la même personne que celle qui y est entrée. Voilà justement ce qu’est la tempête (Haruki Murakami)

D’abord, ils t’ignorent. Puis ils rient de toi. Puis ils te combattent. Puis tu gagnes (Gandhi)

La guerre est devenue l’activité la plus rentable après l’industrie pharmaceutique et l’informatique (Riccardo Petrella)

C’est la marque d’un esprit éduqué que de pouvoir nourrir une pensée sans l’accepter (Aristote)

Ne cessez jamais d’apprendre, car la vie ne cesse jamais d’enseigner ()

Devenir illuminé, c’est devenir transparent (Eckart Tölle)

Les esprits d’élite discutent des idées, les esprits moyens discutent des événements, les esprits médiocres discutent des personnes (Jules Romains)

Un texte sans contexte est un prétexte. Un demi-fait est un méfait (Idriss Aberkane)

On va toujours trop loin pour les gens qui vont nulle part (Pierre Falardeau)

Si ça a l’aspect d’un canard, que ça marche comme un canard & que ça cancane comme un canard, alors, ça doit être un canard (dicton américain … qui devient très utile si on remplace « canard » par « connard »)

L’amour n’est pas un sentiment. C’est la substance même de la création (Christiane Singer)

Au moment où vous déclarez un ensemble d’idées comme étant immunisé à la critique, à la satire, à la dérision ou au mépris, la liberté de penser devient impossible (Salman Rushdie)

La dépendance est un rétrécissement progressif sur les choses qui vous procurent du plaisir (Andrew Huberman)

On naît en ressemblant à nos parents, on meurt en ressemblant à nos décisions ()

S’inquiéter, c’est se fixer des buts négatifs ()

Si je n’avais pas créé mon propre monde, je serais probablement morte dans celui des autres (Anaïs Nin)

Une équipe, ce n’est pas des gens qui travaillent en même temps au même endroit. Une vraie équipe, c’est un groupe de gens qui aiment travailler ensemble pour aider leur organisation à atteindre ses buts & sa mission ()

J’ai appris à éviter les gens difficiles. Rien n’est plus important que de vivre en paix (Gandhi)

La vraie croissance commence quand tu en as marre de tes conneries ()

Moi seul peux me juger. Je connais mon passé, je connais la raison de mes choix, je sais ce que j’ai à l’intérieur. Je sais combien j’ai souffert, je sais combien je peux être fort et fragile, moi & personne d’autre (O. Wilde)

Tant ne savez pas décrire correctement un problème, ce que vous croyez être une solution, en fait, ce sera tiré au hasard. Et quand vous tirez au hasard, la probabilité que vous atteigniez votre cible est extrêmement faible ()

Les opinions subjectives & les sentiments n’ont aucune valeur. La vérité est seulement dans les faits (Joseph Kessel)

Vous apprendrez à vos frais qu’au cours du long voyage de la vie, vous rencontrerez beaucoup de masques & peu de visages (Luigi Pirandello)

Croyez-moi, de tout ce que vous possédez, c’est encore la liberté qui a le plus de prix (Pierre Lemaitre)

L’intellect est bon, mais tant qu’il n’est pas devenu le serviteur du cœur, il ne sert pas à grand-chose (Abdu’l-Baha)

Etre libre, ce n’est pas seulement ne rien posséder, c’est n’être possédé par rien (Julien Green)

Je pense que la meilleure façon d’impliquer les gens, c’est de leur donner un but et de leur faire sentir qu’ils font partie de quelque chose de plus grand qu’eux. Quelque chose de plus grand que leur organisation. Quelque chose de plus grand que la vie, même (Inge Van Belle)

Quand un clown emménage dans un palais, il ne devient pas roi ; le palais devient un cirque (proverbe turc)

L’intelligence, ce n’est pas ce que l’on sait, mais ce que l’on fait quand on ne sait pas (Jean Piaget)

Une vraie relation est un combat de catch, un phénomène d’agrippement dont vous émergez tous les 2 transformés. Et c’est ça que les gens veulent, ils ne veulent pas d’une « carpette », à moins qu’ils ne soient des tarés (Jordan Peterson)

Il faut beaucoup aimer les hommes. Beaucoup, beaucoup. Beaucoup les aimer pour les aimer. Sans cela, ce n’est pas possible, on ne peut pas les supporter (Marguerite Duras)

Si on joue au jeu démocratique, il faut intégrer ce qu’implique la démocratie lorsqu’un pays comporte une majorité de cons (La Mite dans la Caverne)

L’une des choses les plus lâches que font les gens ordinaires est de fermer les yeux sur les faits (C.S. Lewis)

Il faut créer la vie que l’on veut, sinon, on finit par ressembler à la vie que l’on a ()

Quand vous partez en voyage, ne demandez pas conseil à quelqu’un qui n’a jamais quitté sa maison (Rûmi)

Ceux qui ne lisent pas n’auront vécu qu’une seule vie à 70 ans : la leur.  Le lecteur aura vécu 5 000 ans : il y a eu quand Caïn a tué Abel, quand Renzo a épousé Lucia, quand Leopardi admirait l’infini… car la lecture est une immortalité à l’envers (Umberto Eco)

Quand on ne lit pas, on devient stupide, et que se passe-t-il quand on est stupide ? On se heurte à des murs, parce qu’on ne les voit pas. Et si quelqu’un arrive qui est plus instruit que vous, plus lettré & plus intelligent, vous perdrez ! Et vous perdrez aussi parce que vous ne pourrez pas penser correctement et que vous ne viserez pas les bonnes choses (Jordan Peterson)

Une des étapes-clés dans le périple du héros est celle consistant à affronter quelqu’un qui veut nous tirer vers le bas, pour nous ramener à notre point de départ, nous ramener dans le panier, avec les autres crabes. Ces gens ne veulent pas qu’on réussisse, qu’on s’évade de la matrice, parce que sinon, ça exposerait leur propre faiblesse – car ils connaissent leurs défauts, ils savent qu’ils ont l’esprit faible. Mais leur tentative est vaine, car une fois qu’on a « vu », on ne peut pas revenir en arrière, & revenir à l’ignorance ()

Les gens pourraient apprendre de leurs erreurs s’ils n’étaient pas si occupés à les nier (C. G. Jung)

Si tout le monde clame être une victime, alors personne n’entendra les vraies victimes (Chris Rock)

L’intelligence permet de savoir quoi dire. La sagesse permet de savoir quoi taire (Dalaï Lama)

Ego n’est qu’un petit mot de 3 lettres, qui peut détruire un grand mot de 8 lettres nommé Relation ()

Gabby & son bourreau :

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Ce 27 juin, c’est l’anniversaire de mon ex-mari & repenser à ce triste spécimen d’humanité m’évoque l’histoire de cette pauvre gamine ; Gabby Petito.

D’abord, je me suis demandé pourquoi sa mère – censée la protéger – n’avait pas perçu les signaux d’alarme chez son tyran ? Il y en a pourtant toujours …

Tout simplement parce quand on fout la honte à la victime, celle-ci n’ose pas aller se plaindre ; elle pense que tout est de sa faute ; en effet, elle s’est mise en colère, en a honte (& l’ordure exploite à fond le truc et le renforce), et ne veut pas révéler cette conduite déshonorante à quiconque, même à ses proches.

C’est donc normal que ceux-ci, ne voyant que les apparences (où tout semble ok) ne se doutent pas de ce qui se passe quand il n’y a pas de témoins !

C’est pour ça (aussi pour exprimer sa folie à lui) que ce genre d’ordure nous pousse à bout & à nous conduire de façon déchaînée !

Bouillonnant de rage & de jalousie à cause des succès de la pauvre fille sur le net (1 million d’abonnés), il fallait que ça sorte ; il DEVAIT exprimer sa haine & la rabaisser … Et, comme ces crapules nous ont observée, questionnée et testée de multiples façons, ils SAVENT sur quels boutons appuyer (= QUOI dire & COMMENT le dire) pour nous faire sortir de nos gonds !

C’est sans nul doute ce qu’il faisait (& souvent) jusqu’à lui faire perdre la tête, & qu’elle le gifle … ce qui est leur but, vu que c’est de ceci dont ces ordures se nourrissent ; des émotions, du contrôle total qu’ils ont sur les actions de leur victime, qu’ils peuvent faire danser comme ils veulent, comme une marionnette ; il n’y a que ça qui donne à ces minables tarés un sentiment de puissance !

En plus, la conduite des PN étant diaboliquement subtile, elle sert toujours plusieurs objectifs à la fois, imbriqués l’un dans l’autre.

Par conséquent, ils font exprimer leur folie à la victime (car eux doivent se forcer à présenter une façade normale au monde extérieur, & c’est dur) et l’ayant exaspérée avec ses provocations, ils lui font perdre tout contrôle … et elle le gifle. Et c’est alors que son agression à elle « justifie » son agression à lui … ce qui était ce qu’il voulait lui faire depuis le départ !

Et comme elle a du sens moral, elle a honte de s’être comportée ainsi et se sent coupable – là aussi, c’est ce que l’ordure voulait ; transférer sur sa victime sa propre honte.

Bénéfice supplémentaire pour le PN : la victime porte toute la culpabilité de la soi-disant « dispute de couple » (qui n’est en réalité rien d’autre qu’un rituel satanique), & lui s’en dédouane complètement.

C’est en effet typique des PN de refuser la responsabilité de quoi que ce soit.

Enfin, bénéfice final pour le bourreau ; il pourra continuer ces jeux malsains aussi longtemps qu’il voudra, puisque la victime est muselée.

Toujours, la victime d’un PN est un être heureux, serviable, doué d’une riche nature & de talents variés, alors qu’eux-mêmes vivent dans un enfer de dépréciation de soi, de honte, de rage et d’envie.

Ils n’ont pas l’humilité d’admirer et de vouloir acquérir ces qualités – alors, tout en restant au plus près de la victime (qu’ils ont en quelque sorte emprisonnée en la rendant amoureuse d’eux pour pouvoir exploiter sa riche nature en s’en nourrissant), il faut en même temps la tirer vers le bas pour la ramener à la même misère qu’eux !

On voit, dans la vidéo de l’incident d’août enregistrée par la police, que, bien que des passants ont vu Brian la gifler, elle le défend & dit que c’est entièrement de sa faute à elle, car elle l’a giflé la 1ère.

Quelle tristesse ! Elle ne réalise pas que devant ces provocations démoniaques répétées, même un ange « craquerait » et perdrait son calme et que, même si elle ne craque pas, le sadique essaiera différentes tactiques, jusqu’à ce qu’il en trouve une qui fonctionne …

D’ailleurs, même si elle l’a fait, il est lâche de frapper quelqu’un de bien plus petit & plus faible que soi.

Dieu sait que je suis la 1ère à dire qu’il ne faut pas crier sur un homme (car ils supportent moins bien que nous les scènes) ni surtout le gifler, & que les filles qui font cela méritent que le gars les gifle en retour.

Mais il s’agit ici de tout autre chose : on le voit dans la vidéo des flics, où Gabby dit qu’ils se disputaient car Brian lui disait qu’elle ne pourrait pas réussir sur le net … & ce, alors qu’elle avait 1 million d’abonnés ( !).

Il l’a tuée physiquement, mais de toute façon, il était déjà en train de la tuer à petit feu depuis longtemps.

Dans cette vidéo, on voit Gabby à bout & en état de choc – ce qui est le cas quand on vit avec un tourmenteur sadique, qui crée un état de tension permanente, causant à sa victime une angoisse & une souffrance très débilitantes. La vidéo la montre déjà très minée & abîmée par ces tortures incessantes (« je n’en peux plus »).

Eût-elle vécu, cette belle fille serait devenue de moins en moins rayonnante, pour finir comme moi, vide de tout, après 40 ans de tortures de mon PN !

A la fin, Brian se tue pour ne pas avoir à répondre de ses actes devant la société et continuer à garder le contrôle.

Juste avant de se suicider, il laisse un assez long message dans son journal – officiellement dédié à Gabby, mais adressé en fait au public (encore un trait typique d’un PN).

S’il en était encore besoin, ces notes prouvent de façon certaine sa nature de PN ; d’une part, ces individus-là n’avouent JAMAIS et d’autre part, acculés, ils se suicident souvent, pour garder jusqu’au bout le pouvoir sur la situation.

Il est typique des PN de refuser toute responsabilité – on voit que cet écrit, loin d’être un humble aveu ou d’exprimer du repentir pour son acte, n’est qu’une tentative de plus pour se faire passer pour le chevalier blanc poursuivi par un sort injuste, & de jeter l’entièreté de la faute sur sa victime … quel répugnant personnage !

Il écrit d’abord qu’il l’aimera toujours (bel amour que voilà, d’étrangler sa bien-aimée !) & qu’il ne peut vivre sans elle. Cette habitude d’excuser tout comportement négatif par des sentiments positifs est typique des pervers narcissiques.

Puis il raconte ce qui s’est (soi-disant) passé le jour de la mort de la jeune fille – un récit complètement grotesque ; Gabby serait tombée dans l’eau & se serait blessée (ben tiens ! c’est fou le nombre de morts qui ont juste fait une « chute malencontreuse » !).

Bien sûr, tel un preux chevalier, il a volé à son secours &, ne pouvant la porter dans la voiture pour l’amener à l’hôpital (n’importe quoi ; il était beaucoup plus grand & plus fort qu’elle !), il l’a installée pour la nuit près d’un feu de camp, car elle souffrait d’hypothermie. Encore un bête argument, car à ce moment & à cet endroit, la température était de 15 à 21 °. En plus, le feu aurait dû la réchauffer, et il pouvait lui filer des vêtements de rechange, … Bref, comme tout le reste de ce tissu d’âneries, la thèse de l’hypothermie ne tient pas la route non plus !

Mais comme elle ne cessait de lui reprocher des choses, il a conclu qu’elle devait avoir une commotion cérébrale &, pour son bien ( !), il a été forcé de l’achever – il l’a fait, écrit-il, en réponse à la demande de Gabby et dans un but humanitaire … On croit rêver ! Quel ignoble CONNARD ! Comme si, quand quelqu’un était blessé, la réaction habituelle était de le tuer ! Ce n’est qu’une tentative ridicule de plus pour se dédouaner de ce qu’il a commis.

Il est ensuite allé se réfugier chez ses parents – là, prétend-il, il a voulu s’offrir à la vengeance des parents de Gabby, en leur demandant de le tuer, mais (dans sa grande bonté), il ne voulait pas que ces gens fassent de la prison pour son meurtre … (les conneries continuent !)

Surtout, il n’utilise que le « je », insistant sur combien toute cette expérience fut pénible … POUR LUI ! Il se voit comme la vraie victime & son récit montre qu’il veut que les gens le plaignent … C’est à vomir !

Il présente aussi sa relation avec Gabby comme une histoire d’amour spéciale & éternelle – alors que le plus vraisemblable, c’est qu’elle en a eu marre et qu’elle l’a plaqué – c’est en effet à ce moment que la plupart des hommes tuent leur compagne, LA raison majeure des féminicides !

Si, comme il l’affirme, Brian avait tué Gabby par pure compassion, pourquoi ensuite se cacher & faire croire qu’elle vit toujours en envoyant des textos à partir de son portable ? Ca ne tient pas debout !

Il est clair que, malgré ses inventions, il s’agit d’un meurtre « classique », commis par colère, & qu’ensuite, tout aussi classiquement, il a tenté d’échapper à la prison !

Bref, il n’est pas le héros qu’il dépeint dans son journal ; juste un déchet de l’humanité & un lâche !

Même au seuil de la mort, ces individus n’arrivent pas à sortir une seule parole véridique ; même tout seuls, ils doivent protéger leur ego à tout prix.

Je résumerais l’histoire comme celle d’une pauvre fille, prise au piège d’une relation calculée pour la détruire, et d’un apprenti-PN qui ne maîtrisait pas encore toutes les ficelles du métier de psychopathe (mais y serait sans nul doute devenu meilleur au fil du temps).

PS : Eric Willems, lui aussi, m’avait étranglée & j’aurais – comme Gabby – pu mourir jeune, mais il faut croire que j’avais la vie chevillée au corps – en sorte qu’après un temps (indéfini) de perte de conscience, je suis revenue à moi… et il a pu continuer à me torturer pendant 39 ans – je me dis que si moi aussi j’étais morte ce jour-là, ça m’aurait épargné toutes ces souffrances.

Les PN confisquent tout !

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Tout psychopathe ou pervers narcissique a le besoin sadique de rabaisser ses victimes & de rendre leur vie infernale – c-à-d aussi misérable que la leur !

Comme ils se fichent des autres, ils manipulent sans pitié & se font un plaisir d’utiliser les autres & de les maltraiter.

Une de leurs tactiques préférées est la rétention. Après vous avoir idéalisé au début de la relation, ils commencent à retenir délibérément les éléments qui contribuent à l’intimité et au sentiment de sécurité. Tout « retenir » ainsi angoisse la victime – donc, elle réagit … – & c’était justement ce que voulait le taré, car c’est pour lui une nourriture (souvenons-nous que ce sont des vampires – voir https://bonheuretamour.wordpress.com/2015/05/15/le-pn-comme-vampire/).

Voilà comment ces individus méprisables se fournissent un sentiment de pouvoir et de contrôle ; en torturant un être bon !

Ils vous refusent & vous confisquent par exemple :

– la validation et la discussion :

Le PN refuse toute discussion sur les problèmes que connaît la relation. Quand la victime veut en parler, soit il se met en rage, soit il part – et ensuite, il renforce encore la rétention d’affection, allant même jusqu’à la torture par le silence

(sur ce mode de torture, voir https://bonheuretamour.wordpress.com/2014/11/24/pn-torture-silencieuse/).

Mais les PN font aussi obstruction aux discussions pour échapper à la responsabilité de leurs actes.

Ces comportements sont très nocifs ; une étude (Williams et Nida, 2011) a montré que l’obstruction et le traitement silencieux activent chez la victime la même zone du cerveau que celle enregistrant la douleur physique. La privation de validation émotionnelle est donc comparable à un coup de poing dans le ventre.

– la vérité (surtout par omission) :

Les PN sont des menteurs pathologiques ; en bernant leur victime, ils s’assurent de garder une longueur d’avance sur elle

Savoir, c’est pouvoir, et donc, savoir quelque chose que l’autre ignore, nous donne un avantage sur cette personne.

Le PN recourt souvent aux mensonges par omission – et bien sûr, concernant des faits essentiels, des choses que vous DEVIEZ savoir pour pouvoir prendre la bonne décision, comme par ex, qu’il a une liaison ou est marié.

Pour un PN, seul comptent ses buts & ses désirs – les autres n’ont aucune importance.

– Les louanges & compliments – & même, toute marque d’intérêt :

Tout prédateur toxique se refuse à partager votre joie ou votre réussite, par jalousie ou besoin de garder le contrôle et une illusion de supériorité.

Une étude récente a montré que dans une relation saine (amicale, parentale, conjugale, …), l’autre partage nos émotions – est triste quand on l’est, ou tout excité avec nous, quand quelque chose de bien nous arrive. Voilà ce que fait quelqu’un de normal et pour qui on compte.

Mais bien sûr, les PN détestent complimenter les autres – sauf bien sûr, si leur plan l’exige.

Par ex, au début d’une relation, ils noient leur proie sous les compliments & les déclarations d’amour exagérées ; c’est le « love bombing » ; un bombardement d’amour (voir  https://bonheuretamour.wordpress.com/2016/12/28/bombardement-damour-tous-aux-abris/) – lequel cesse dès que ledit bombardement a produit ses effets, c-à-d que la proie est ferrée, accrochée à eux.

Là, la tendance s’inverse ; non seulement ils ne vous louangent plus jamais, mais ils stoppent tout geste d’amour et vous insultent & vous rabaissent à tout propos !

Même, ils font des comparaisons avec d’autres femmes (ou hommes), et ces comparaisons sont bien sûr toujours à votre désavantage, pour bien vous faire comprendre à quel point vous ne valez rien.

Pourquoi le PN retient-il les éloges & les marques d’intérêt envers vous ? Pour vous torturer, vous affamer, vous rendre obsédé(e) & désespéré(e) – c-à-d, une fois de plus, comme eux le sont intérieurement.

Leur froideur fait évidemment très mal, mais si la victime tente de se rapprocher & d’obtenir de la tendresse, le pervers narcissique la traite d’anormale, ou même, de chercher la bagarre.

– L’affection :

En couple, il est normal & sain de revendiquer parfois un espace personnel ou désirer être seul un moment, mais avec un PN, c’est constant & il le fait exprès (le plus souvent, pour vous torturer & vous faire réagir pour se nourrir de vos émotions) – ce qui est une expression de sadisme.

Souvent, ils soufflent le chaud & le froid ; c’est du « renforcement intermittent » – tactique dont les chercheurs ont prouvé qu’elle crée une façon de réagir « affamée », qui enchaîne la victime à la relation & la rend incapable de la quitter !

Souvent, le PN s’éloigne physiquement de vous – pour vous faire réagir. Il ignore alors vos signaux d’appels, en se réjouissant de vos souffrances !

– l’argent :

Comme un pervers narcissique vise à vous priver de ressources (financières, émotionnelles & sociales), il usera de manœuvres tortueuses pour vous voler votre argent (ou vous empêcher d’en gagner), vous isoler de vos amis et de votre famille, & vous dénigrera partout. Le but est que la victime soit faible, pauvre, sans appui, confuse, souffrante & démunie de tout – ainsi, elle – sa « réserve de nourriture » – est incapable de le quitter !

Sans réseau de soutien, le PN devient pour la victime la « voix » dominante dans sa vie, & cette voix nie sa réalité & sa perception d’elle-même, car il pratique le mensonge & le gaslighting systématique, détruisant peu à peu son sentiment d’identité.

Aussi, il la salit partout et se fait passer pour la victime partout où il passe – auprès de tous ceux qu’il côtoie, ou les connaissances (amis, collègues, famille) de sa proie.

Et en prenant le contrôle total de vos finances communes, il se donne les moyens de la garder prisonnière de la relation.

Voilà pourquoi il est essentiel que les victimes se trouvent un job et se constituent des réserves & des soutiens au-dehors.

Elles doivent aussi cesser de croire les promesses du PN et d’attendre qu’il redevienne le prince charmant des débuts.
Il faut comprendre qu’on a affaire non à un compagnon, mais à un prédateur affamé, bien décidé à se nourrir de notre substance (puisque lui n’en a pas).

Et le plus tôt sera le mieux, vu qu’un temps viendra où vous serez trop affaiblie par sa vampirisation que pour pouvoir partir !

Couple ; fuyez les partenaires toxiques !

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Lorsqu’on ne se sent pas bien dans une relation, ça peut, bien sûr, être dû au fait qu’on souffre d’un trouble mental, qu’on n’arrive pas à faire confiance, mais le plus souvent, c’est un signe que la relation est toxique – car une bonne relation de couple est censée nous faire nous sentir bien la plupart du temps, ajouter un « plus » dans notre vie – & non nous faire mal & nous angoisser.

Si on en est là, il faut se demander ceci : qu’est-ce que ça me coûte, quel est le prix que je paie pour être dans cette relation ?

Si le prix est que vous ne pouvez être vous-même, faire ce que vous voulez faire, être vous-même, parce que vous devez vous conformer aux exigences de l’autre, pour pouvoir coexister pacifiquement, alors, le prix est … VOUS (vous devez payer ou sacrifier vous-même).

Bien sûr, tout a un prix dans la vie*, et il faut faire certaines compromissions & tolérer certains désagréments dans une relation – mais ceci est clairement un prix trop élevé !

Se poser cette question permet de voir si la relation vaut le prix qu’on la paie. Et si ce n’est pas le cas (si, en quelque sorte, on paie le prix d’une Rolls Royce pour avoir les prestations d’une 2 chevaux), eh bien, on se fait arnaquer !

Vous devez avoir un muscle pour le « oui » & un pour le « non », & ce dernier doit être bien net, solide ! Vous devez pouvoir dire non aux choses qui ne vous apportent pas de la joie, & ce, sans vous sentir obligé d’expliquer pourquoi vous refusez !

Et si vous avez une limite & qu’un autre la franchit, ne reculez pas ; ne lui permettez pas de violer vos limites personnelles.

Si quelqu’un qui fait partie de votre vie se permet de vous manquer de respect, ne tentez pas de le changer, & n’en attendez pas plus que ce qu’il peut donner.

Du moment que la personne vous insulte, vous critique ou vous décourage, cessez de l’écouter, puis, de la fréquenter. Concentrez-vous plutôt sur vos désirs & votre guidance intérieure.

Voici les signes indiquant qu’une relation est toxique :

isolement : limiter le temps passé avec des amis ou votre famille – ou vous l’interdire, tenter de vous convaincre d’être plus dépendant(e) de lui (elle), …

sabotage : vous faire rater des opportunités, par des disputes, ou de la culpabilité, ou en vous privant de sommeil, en sorte que vous ratez des rencontres intéressantes ou un bon travail, …

colère : crises de rage pour des broutilles, coups ou menaces de coups, jeter ou casser des objets, donner des coups de poings dans les murs, …

intensité : gestes grandiloquents & exagérés ou en faire trop, trop vite dans la relation, besoin obsessif d’être approuvé par vos amis & votre famille, …

gas lighting : changer les choses qui se sont dites ou faites, vous faire sentir que tout ce que vous faites est mal, & que vous devez vous excuser pour tout, même pour ce que vous êtes ou pour des choses dont vous n’êtes pas responsable, …

contrôle : vous imposer ce que vous pouvez dire, faire ou porter comme vêtements ou maquillage, vous interdire de sortir ou de garder certaines choses (téléphone, compte bancaire, …) privées, …

jalousie : attitude irrationnelle envers vos amis du sexe opposé, exiger tout votre temps & attention, vous accuser de le (la) tromper, …

critique : insultes, vous traiter de moche, stupide, nul, que vous ne seriez rien sans lui (elle), …

blâme : vous attribuer la responsabilité et la culpabilité de leurs réactions violentes – coups, crises de rage, bris d’objets, infidélité, …

ragots : s’il critique les autres , sachez que quand il (elle) est avec ces autres, il (elle) colporte des ragots sur vous !

Si ces signes sont présents dans votre relation de couple, vous savez que vous êtes en train de vous faire démolir, et que ça ne va pas s’améliorer, bien au contraire !

Surtout, fiez-vous à vos sensations ! Le plus souvent hélas, comme on a beaucoup donné dans la relation et qu’on ne veut pas avoir fait tout cela en vain (et aussi, parce qu’on est attaché(e) à l’autre), on rejette les faits et nos sensations – on doute, ou on lui laisse le bénéfice du doute, ou on lui donne une seconde chance, … mais plus on attend, plus on s’affaiblit ! Vous ne méritez pas ça. Vous méritez mieux ! … Non ?

Quand on est dans ce genre de relations, on espère toujours que l’autre changera, mais ouvrons les yeux : toutes les études montrent que ces individus ne changent pas – même s’ils changent, c’est pour faire plus de la même chose : c-à-d pour devenir encore plus rusés, mauvais & violents !

Même les thérapies les empirent, car ils y apprennent à feindre – le thérapeute leur dit comment ils sont censés se comporter, & ils retiennent cela, qui leur sera bien utile pour tromper leur victime !

Alors, si vous êtes mal à l’aise ou angoissé, c’est que votre corps tente d’attirer votre attention sur un danger où vous êtes et de vous sauver la vie … Ecoutez-le ; il ne veut que votre bien, lui !

Donc, si vous voyez ces signes, cessez de vous « exposer » à son influence néfaste, prenez vos distances vis-à-vis de cette personne – et si possible, coupez les ponts avec elle !

N’acceptez d’avoir & de maintenir qu’une relation qui vous sert (vous, & ceux qui dépendent de vous)

*Oui, TOUT a une étiquette de prix qui y est attaché ; si on est en couple, il y a un prix à payer, si on est seul, il y a un prix, si on a des enfants, il y a un prix à payer, si on n’a pas d’enfants, idem, etc.

Etre mature … ou pas !

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A part les enfants (dont il est naturel qu’ils le soient), les êtres immatures sont à fuir, car ils sont pénibles à fréquenter.

Comme les bébés, ils ne font que prendre sans rien donner en retour – ce qui épuise les « donneurs ».

Même s’il est plus simple de voir la maturité physique que la maturité émotionnelle, il y a des signes clairs montrant qu’un enfant mûrit : lorsqu’il commence à prendre des responsabilités, à se tenir responsable de ses affaires, quand il commence à aider, à faire sa part du boulot, au lieu de se faire servir comme un pacha, ou quand il se met à remarquer qu’on est fatigué(e) ou malade, & décide de faire les tâches tout seul pour rendre service jusqu’à ce qu’on soit remis(e), …

Mais finalement, ce n’est pas une question d’âge ; il y a certains enfants très mûrs & des adultes qui restent d’éternels bambins !

Alors, comment déterminer (pour un adulte) s’il est mature ou pas ? On peut dire qu’il l’est s’il a de l’intégrité, c-à-d qu’il a réalisé l’équilibre entre la réalité extérieure & son intellect, c’est quelqu’un qui est prêt à remettre en question (qu’il les garde ou pas en fin de compte) les idéaux & valeurs de ses parents pour former ses propres valeurs, se définir en tant qu’individu, quelqu’un qui a pu résoudre ses problèmes d’identité.

A l’inverse, à quoi peut-on voir qu’un être ne l’est pas, qu’il est immature (& donc, un « preneur » épuisant) ?

Aux 10 signes suivants :

manque d’empathie ; l’empathie, c’est pouvoir distinguer comment un autre se sent & communiquer cette compréhension à l’autre. Là, il y a inaptitude à distinguer cela ou le sachant, refus de vouloir agir d’après cela,

surréaction en face des circonstances de la vie -> impulsivité, réactivité, l’individu agit selon ses émotions,

refus des responsabilités & blâmer les autres ; quoi qu’il arrive, ce n’est jamais leur faute – quand ces gens-là font une faute & qu’on le leur fait remarquer, ils refusent de l’assumer & rejettent immédiatement la faute sur quelqu’un d’autre. La responsabilité est le signe de la maturité ; être mûr, c’est être responsable,

gratification immédiate ; inaptitude à résister aux tentations & à retarder la gratification pour obtenir quelque chose de mieux,

égocentrisme ; c’est faire passer ses propres besoins avant ceux d’autrui, nier les besoins des autres, refuser qu’ils en aient aussi ou puissent vouloir les assouvir. En toute situation, ces individus-là se demandent comment elle les affecte & jamais comment elle affecte les autres,

– hostilité, méfiance & irritabilité ; ces individus haïssent les êtres humains & la société, et se mettent vite en colère, attaquant ceux qui expriment une opinion différente de la leur. Inaptes à séparer une personne de ses opinions, si quelqu’un n’est pas d’accord avec eux, ils déduisent que cette personne est méchante, stupide, ou veut les attaquer,

– mensonge & tromperie ; d’où vantardises, manipulation ou criminalité – tout ceci est lié au narcissisme,

– inaptitude à saisir des besoins & sentiments profonds ; superficialité (d’où manque de sens moral, primauté de l’apparence & des biens matériels, sentiment d’avoir droit à tout, manque de tact & de courtoisie, colportage de ragots, juger les autres, …)

– difficulté à poser des limites : incapacité à limiter ou rompre des relations malsaines ou blessantes (ceci ne vaut pas, bien sûr, pour ceux ou celles prisonniers d’une union & qui ne peuvent s’enfuir par faute d’argent, ou de santé, …).

aucun espace de croissance : pour ces individus-là, pas besoin de s’instruire ; ils savent déjà tout, ils ont déjà toutes les compétences nécessaires ( !). Ils acceptent de nouvelles infos dont ils pourront tirer profit, mais quant à apprendre une nouvelle aptitude, ou sur la société, ou le sens de la vie, non ;  ils refusent toute information, parce qu’ils ont déjà tout pigé ( !). Bref, ils n’ont aucune humilité, aucun espace pour le développement personnel ; juste pour l’ajout d’informations pouvant leur être utiles.

Selon le DSM (manuel des troubles mentaux), l’immaturité n’est pas un trouble mental – à moins qu’elle n’accompagne un autre trouble mental. Pourtant, ce trait de caractère est fortement lié aux traits de la « triade noire » (machiavélisme, psychopathie & narcissisme) – voilà sans doute pourquoi il pourrit énormément la vie des proches de personnes immatures !

Bref, un trait qu’on auquel on ne fait pas attention et qu’on trouve juste agaçant peut nous mettre sur les genoux – alors, pensons-y au moment de faire entrer des gens dans notre vie, ou à propos de nos relations actuelles …

 

 

Relation pénible ? Rompez !

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Voici une histoire illustrant une relation toxique ; prenons l’exemple d’un jeune homme (nous l’appellerons Jean) ; un soir, il fait la connaissance d’une jolie fille (nous l’appellerons Sylvie) dans un bar.

Comme elle lui plaît beaucoup, il l’aborde, ils discutent un peu, puis il lui demande un rencard & elle accepte.

Ce 1er rendez-vous, autour d’un verre, se passe bien et au fil du temps, ils sortent ensemble.

Même, il lui avoue qu’il l’aime. Et c’est là que ça commence à déraper ; alors qu’ils étaient tendrement enlacés sur le fauteuil, Sylvie le repousse et dit ; « Promets-moi que tu ne seras pas comme les autres gars ».

Confus de la tournure soudaine des événements, Jean bégaie ; « Je ne sais pas trop ce que tu veux dire », et tente de la rassurer en plaçant une main sur son épaule, mais elle écarte sa main.

« Est-ce que j’ai fait quelque chose de mal ? » demande-t-il.

Lorsqu’elle se retourne, John voit qu’elle pleure.

« Je t’aime aussi – dit-elle – mais tous les autres gars avec qui je suis sortie m’ont quittée. Je ne veux pas que tu partes aussi. Mon père est parti quand j’étais jeune et la plupart de mes amis me quittent aussi à un moment donné. Je ne peux pas supporter l’idée que cela se reproduise.  »

Cette nuit-là, Jean est un peu mal à l’aise de ce qu’elle lui a dit, mais il se raisonne ; il se dit qu’après tout, tout le monde porte des blessures.

Un mois plus tard ; la relation entre Jean & la femme s’est approfondie, & Jean compte la présenter à ses amis à l’occasion d’un concert où ils iront ensemble.

Il y a là Brigitte, une amie d’enfance de Jean. Il l’embrasse et lui présente sa petite amie. Plus tard, en attendant le début du concert, Brigitte raconte une anecdote marrante sur Jean, & tout le groupe éclate de rire … sauf Sylvie, qui se met à faire la tête.

Jean tente de savoir pourquoi ; « Chérie … qu’est-ce qui ne va pas ? Parle moi. »

Elle répond d’un air furieux ;  » Tu aimes Brigitte, non ? Admets-le ! J’ai bien vu votre petit manège ! »

Jean proteste ; « C’est ridicule ! Brigitte sort avec mon colocataire, Luc ! Nous sommes juste amis ! On se connaît depuis la maternelle, on a grandi ensemble. Comment peux-tu croire qu’elle me plaît ?  »

Après bien des efforts, Jean parvient à calmer Sylvie, qui se met à sangloter ; « Je suis désolée … C’est mon anxiété. Je crains que tu ne me quittes. Je suis vraiment désolée. »

3 mois plus tard : Jean n’en peut plus ; Sylvie, qui semblait si normale au début, est devenue une goule, exigeant de pouvoir voir ses textos & de savoir où il était quand il sort avec des amis.

Parfois, quand ils sont ensemble, elle lui dit qu’il irait mieux sans elle et qu’ils devraient se séparer – mais s’il lui demande si c’est vraiment ce qu’elle veut, elle crie : « Tu vois ! Tu es comme les autres ! »

Jean a encore des sentiments pour Sylvie, mais il est épuisé. Au fond, il veut rompre, mais il craint qu’elle ne se fasse du mal, car les dernières semaines, elle a menacé de se suicider. Comment oser rompre avec une fille qui a tant besoin d’amour & de soutien ? Et après tout, quand ils ne sont qu’à 2, elle se comporte généralement de façon correcte…

Jean ne sait plus ce qu’il doit faire … A tête reposée, tout le monde sait qu’ils devraient se séparer, mais Jean est émotionnellement impliqué, & donc, reste dans la relation.

Souvent, on reste dans des relations nocives, parce qu’on craint la solitude, ou qu’on y est piégé par un(e) partenaire dérangé(e) s’étant donné le rôle de petite fleur fragile, & qui – tablant sur notre gentillesse – nous ont octroyé un rôle de sauveur.

Ca se passe souvent ainsi ! Au début, tout est rose, & le partenaire semble posséder toutes les qualités – et comme on est attiré par lui, on néglige les signaux d’alarme indiquant son dérangement & sa dangerosité.

Devoir renoncer au rêve d’une belle relation d’amour est dur ; donc, on peut ignorer ce genre de signaux pendant longtemps, mais à un moment, ça devient vraiment trop pénible & on est forcé d’ouvrir les yeux

Après 3 à 6 mois de rencontres, on aura nécessairement vu des choses des choses qui nous déplaisent chez l’autre – & c’est d’ailleurs là que bien des couples éclatent.

Bien sûr, tout le monde a des bizarreries, mais il faut à ce moment décider s’il faut rompre (on ne les supporte pas) ou si on peut s’en accommoder. Dans ce dernier cas, c’est là (& pas avant !) que commence l’amour inconditionnel !

Ce n’est pas le cas de Jean, ou d’autres personnes comme lui, qui restent dans des relations toxiques qui les font souffrir ; dans leur cas, s’ils restent, en ignorant les avertissements, c’est à cause d’un sens du devoir déformé

Lorsqu’on me pose la question « Que dois-je penser de la relation avec Untel ? Dois-je rester ou rompre ? », je réponds que bien sûr, personne n’est parfait, mais que tout dépend de comment on se sent & si on supporte ou pas la bizarrerie de notre partenaire

Je leur dis : « si vous avez de lui l’essentiel & que son défaut n’est qu’un détail – bref, si vous n’avez pas mal au ventre, passez là-dessus & restez. Mais si vous avez mal au ventre, rompez ! »

La Nature, qui veut notre bien, nous a doté de la boussole ad hoc pour savoir ce qu’on doit faire ; suivons cette boussole, sinon, on encourt des dégâts graves & à long terme !

 

L’obstruction silencieuse dans le couple

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c-à-d jouer les murs de pierre, se murer dans le silence

Dans toute relation – surtout dans la relation amoureuse, qui est la plus profonde de toutes – même si les 2 partenaires ont un tas de points communs et que le couple est harmonieux, il est inévitable qu’il y ait des différences … et donc, des différends !

On ne peut pas être toujours d’accord sur tout – d’où l’absolue nécessité d’une communication efficace !

Le fameux Dr Phil dit qu’il arrive encore souvent qu’il doive négocier avec sa femme, bien qu’ils soient mariés depuis 45 ans & que leur union soit harmonieuse (& elle l’est, n’en doutons pas, justement parce qu’ils parviennent tous 2 à négocier !).

Alors, quand l’un des partenaires emploie des manœuvres dilatoires pour éviter ces discussions indispensables, qu’il refuse de répondre ou de coopérer, il trahit son (sa) partenaire et la relation !

Une relation n’est jamais neutre ; à tout moment, chaque partie en cause la nourrit ou la contamine – et ce genre d’attitude, au lieu de rapprocher les partenaires du couple, dresse un mur entre eux.

La seule vraie tromperie, elle est là ! Refuser de communiquer (ou du moins, de communiquer de façon honnête & franche) est ce qui détruit le plus une relation.

Les spécialistes des relations disent que cette tactique équivaut à étouffer l’autre & la relation, car le détachement émotionnel inhérent à l’obstruction silencieuse est une forme d’abandon, et fait énormément souffrir le (la) partenaire et la relation !

Ce dernier est d’abord effrayé, puis en rage devant ce mépris de lui-même & de la relation, et tente alors à tout prix de provoquer une réaction (même négative) chez son partenaire.  Et lorsque ces efforts échouent, il (elle) en conclut que son conjoint ne l’aime plus, qu’il s’en fiche, qu’il s’est déconnecté de la famille et de ce que la famille attend de lui.

Si cette tactique de refus de communiquer est extrême, c’est un moyen pour le partenaire qui l’emploie, de manipuler son conjoint pour obtenir ce qu’il veut.

Bref, c’est un rejet de ce qui est bon pour l’union, en faveur de ce qui est bon juste pour lui.

Les hommes sont plus enclins à employer cette tactique car ils se sentent dépassés lorsqu’une femme veut « parler de ses sentiments » ou « discuter de problèmes » – pour eux, cela revient à les harceler – alors que leur femme essaie juste d’améliorer la relation en réparant ses zones malades !

Ceux qui agissent ainsi, le font pour éviter les problèmes, alors qu’en fait, ça a juste l’effet inverse ! Ca abîme la relation et donc, c’est une stratégie perdante ! En effet, quand un partenaire adopte ce comportement, il est impossible de faire avancer les choses dans le couple. Donc, au lieu de résoudre les problèmes, ils ne cessent de s’enfler, pourrissant de plus en plus la relation.

Dans une relation abusive, l’abuseur utilise ce procédé pour garder une position supérieure dans la relation et pouvoir ainsi contrôler les choses. En effet, savoir quelque chose que l’autre ignore, donne du pouvoir.

Comme une relation amoureuse est faite d’intimité, l’obstruction par le silence, qui la détruit, a toujours des effets dévastateurs sur une relation – alors, ouvrez-vous, soyez franc & honnête en relation ; vous ne le regretterez pas !

Triangulation : une raison peu connue

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La triangulation est une des tactiques des pervers narcissiques – que j’ai brièvement traitée ici https://bonheuretamour.wordpress.com/2015/10/18/dico-de-la-vie-avec-un-pn/

Triangulation : on n’est jamais qu’à 2, dans un couple PN ; il y a toujours un(e) rival(e), pour que vous vous battiez pour lui, tandis qu’il compte les points en jouissant de votre bagarre (et que ça prouve à quel point lui-même est exceptionnel, puisque 2 prétendant(e)s se battent pour lui).

Ou, s’il s’agit d’une famille avec un parent PN, les enfants ne sont pas poussés à s’aimer, coopérer & bien s’entendre, mais à se jalouser & se haïr.

Mais qu’est ce que ça implique, pour la victime mariée à un PN ?

S’il nous trompe, c’est pour tout un tas de raisons (décrites ici https://bonheuretamour.wordpress.com/2014/12/05/pourquoi-les-pn-sont-il-toujours-infideles/) mais il y a une autre raison importante dont je n’ai pas parlé.

Si le PN marié agit ainsi, c’est parce qu’il est immature, incapable de s’engager envers qui que ce soit ou d’avoir une relation autre que superficielle – en fait, « chercher ailleurs » sans arrêt, lui permet tout simplement de garder son mode de vie adolescent.

Tous ses comportements sont d’ailleurs d’un niveau très puéril ; piquer des colères, ne pas reconnaître quand il a fait une bêtise (« c’est pas moi ! »), accuser les autres, se payer toutes sortes de gadgets coûteux même si la famille est endettée, refuser d’assumer des responsabilités, … sont des comportements typiquement enfantins.

Quand on est l’épouse d’un PN, il nous triangule pour nous changer en … sa mère !

C’est ainsi que moi, qui étais très sorteuse & indépendante avant de le connaître, suis devenue une pantouflarde sans cesse occupée à cuisiner & ranger la maison, moi qui me maquillais & m’habillais sexy (court, décolleté, transparent, …), me suis mise à m’habiller comme une nonne (plus long que les vraies nonnes, en fait !), moi qui étais sociable, aventureuse & n’avais peur de rien, me suis mise à avoir peur de tout & à ne plus pouvoir m’exprimer en société…

En 25 ans de relation, il m’a peu à peu changée de papillon en grise chenille, & de femme en « maman esclave » ! (encore maintenant, je suis toujours habillée jusqu’à plus bas que les chevilles).

Comme tout PN a besoin, pour pouvoir vivre sans contraintes, de quelqu’un pour « tenir l’intendance », il épouse une femme qui est belle (pour rendre les autres hommes envieux), mais qui soit aussi une bonne cuisinière (je le suis, & sa 2ème femme l’est aussi) … et la « dresse » à devenir la parfaite mère au foyer.

Bien sûr qu’il fait de la triangulation (& se fait « attraper », comme par hasard !) pour vous causer des souffrances, & vous rendre aussi jalouse que lui l’est de vous, mais il le fait aussi pour pouvoir rester un ado parce que ce qu’il voulait, ce n’est pas une compagne respectée pour former un couple complice, mais une mère-servante qui lui fait un cocon agréable tandis que lui vit une fête continuelle – une vie d’excitations constantes, libre de toutes responsabilités & corvées ennuyeuses … Il a une esclave, chez lui, pour s’occuper de tout le pénible de la vie, chargée de toutes les responsabilités, pour que lui puisse s’amuser … et elle le mérite, puisqu’elle l’accepte (râler, faire des scènes, mais rester, est du reste toujours considéré comme une acceptation par les hommes).