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Comment trouver sa joie … & sa voie !

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Mère Teresa a dit un jour que la joie profonde du cœur est une boussole qui nous indique le chemin de la vie ; c’est très juste, car c’est effectivement en suivant sa joie que l’on découvre notre but ou mission de vie – bref qu’on donne un sens à celle-ci – c-à-d notre force & notre utilité ici-bas.

Il faut donc en 1er lieu se demander ce qui nous donne de la joie (gens, lieux, activités).

Mais beaucoup de gens n’en ont aucune idée – ils ne savent pas vraiment ce qui leur procure de la joie.

Alors, il faut se demander ce qui nous soulage ou nous réconforte – c’est sans doute tout ce à quoi on a accès dans ce cas …

Si on passe la majorité de son temps dans des états émotionnels bas, comme la tristesse, la colère, le sentiment d’impuissance, la rancœur ou le cynisme, on ne peut atteindre des états émotionnels de fréquence plus élevée, comme la joie.

C’est comme si on était sur un échelon du bas d’une échelle, & qu’on ne pouvait atteindre le sommet parce qu’il manque plusieurs échelons.

Voilà pourquoi il faut, dans un 1er temps, ne rechercher que la sensation de soulagement – et si on continue à suivre cette sensation-là, elle finira par se transformer en un sentiment de joie ; le soulagement nous conduira à une activité qui nous donnera un fort sentiment d’allégresse ou de contentement.

Mais déjà pour trouver cette sensation de soulagement, il faut tenter de nouvelles expériences, des choses qu’on n’avait jamais faites auparavant.

Ce n’est évidemment pas facile – surtout si on a déjà un certain âge – de secouer ses habitudes & d’oser débuter dans une voie ou une activité qu’on n’avait jamais tentée …

En fait, il faut voir la Terre comme un gigantesque buffet à volonté, où on peut toujours choisir des choses, même à 90 ans passés.

Choisir de nouvelles « saveurs » (activités) inconnues doit devenir pour chacun de nous une habitude et même, un Art !

La plupart d’entre nous ont été programmés par nos parents & la société, à suivre certaines voies, & à en éviter d’autres.

Mais on n’y trouve pas la joie puisqu’on n’a pas suivi nos propres émotions (notre propre système de guidance intérieur) ; ce sont d’autres gens qui ont choisi pour nous la voie à suivre.

Voilà comment on se retrouve à l’âge adulte en train de faire ce qu’on aurait dû faire à 2 ans – c-à-d choisir librement dans ce vaste buffet que la vie met à notre disposition.

Au lieu de ça, on a dû prendre certaines voies, fréquenter certaines gens, adopter certaines valeurs, … qui souvent ne nous correspondent pas du tout ! Au lieu de pouvoir choisir parmi les millions de choses qu’offre le buffet, on n’a pu en prendre qu’une toute petite partie.

Alors, c’est à nous, maintenant, de jouer à l’enfant qui découvre la vie, & d’essayer un tas de choses. Einstein a dit que la folie, c’est de faire toujours la même chose et de s’attendre à un résultat différent – bref, si on continue de faire comme on a toujours fait jusque là, il est fatal qu’on obtienne les résultats qu’on a toujours obtenus jusque là !

Il faut oser ! « Il faut pousser nos peurs dans un coin, sinon, ce sont elles qui nous poussent dans un coin ! »

Le pis qui puisse arriver est qu’on ne le refasse plus jamais, & le mieux qui puisse arriver est qu’on trouve enfin la choses qui nous rend soulagé d’abord, puis joyeux puis heureux à jamais !

C’est en trouvant, puis en suivant notre joie qu’on trouvera quelle est notre mission. En suivant cette méthode, il est impossible de ne pas y parvenir !

Proverbes & Citations XV

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Je ne suis pas ces cheveux, je ne suis pas cette peau, je suis l’âme qui vit dedans (Rümi)

Pour dire « je t’aime », les Indiens Yanomami de l’Amazone disent « ya pihi irakema », ce qui signifie « J’ai été contaminé par ton être – une partie de toi est entrée en moi & y grandit » (David Servan-Schreiber)

Un jour la peur frappa à la porte, le courage se leva & alla lui ouvrir, mais il n’y avait plus personne (Goethe)

Le bien-être de l’humanité est toujours l’alibi des tyrans (A. Camus)

La culture ce n’est pas avoir le cerveau farci de dates, de noms ou de chiffres, c’est la qualité du jugement, l’exigence logique, l’appétit de la preuve, la notion de la complexité des choses et de des problèmes. C’est l’habitude du doute, le discernement dans la méfiance, la modestie d’opinion, la patience d’ignorer, la certitude qu’on n’a jamais tout le vrai en partage ; c’est avoir l’esprit ferme sans l’avoir rigide, c’est être armé contre le flou et aussi contre la fausse précision, c’est refuser tous les fanatismes et jusqu’à ceux qui s’autorisent de la raison ; c’est suspecter les dogmatismes officiels mais sans profit pour les charlatans, c’est révérer le génie mais sans en faire une idole, c’est toujours préférer ce qui est à ce qu’on préférerait qui fût (Jean Rostand)

La sagesse ne commence que quand on prend les choses comme elles sont … Donc, c’est une attitude de guérison lorsqu’on peut accepter les faits comme ils sont … Ce n’est qu’alors qu’on peut prospérer (C.G. Jung)

Du mal, beaucoup de bien est venu à moi. En restant silencieux, en ne réprimant rien, en restant attentif, & en acceptant la réalité – prenant les choses comme elles sont, & non comme je voulais qu’elles soient – en faisant ceci, un savoir inhabituel est venu à moi, & des pouvoirs inhabituels aussi, tels que je n’aurais jamais imaginés avant. J’ai toujours pensé que si on acceptait les choses, elles nous domineraient d’une façon ou d’une autre. Ceci s’est avéré n’être pas vrai du tout, & ce n’est qu’en les acceptant qu’on peut décider d’une attitude envers elles (C.G. Jung)

On dit : si tu rencontres quelqu’un & que tu ressens un coup de foudre, fuis dans la direction opposée. Ce qui s’est passé, c’est que ton dysfonctionnement s’est pris dans celui de l’autre. Ton enfant intérieur blessé a reconnu son enfant intérieur blessé, tous 2 espérant être guéris par le même feu qui les a brûlés (Neil Strauss)

La liberté c’est de savoir danser avec ses chaînes (F. Nietzsche)

Ne blessez pas le cœur de quelqu’un d’autre, car c’est l’endroit où Dieu réside (dicton soufi)

L’Etat est bien assez fort pour harceler les citoyens à coups d’impôts & de règlements, il n’est pas assez fort pour assurer l’ordre, la sécurité, la libre circulation. Ni la prospérité de tous. Ni la défense effective du territoire (Jean d’Ormesson)

Si la matière grise était plus rose, le monde aurait moins les idées noires (Pierre Dac)

La qualité de notre expérience de vie dépend (du fait) de déterminer à quelles valeurs on tient si profondément, qu’on est prêt à lutter pour elles (Teal Swan)

Tout est poison, rien n’est poison, seule la dose fait le poison (Paracelse)

La plupart des gens préfèrent le confort à la prise de risque (…) parce qu’ils ont peur du changement & de l’échec, alors que la plus grande des peurs devrait être celle d’une vie gâchée (Karine Tuil)

Le temps qui nous reste à vivre est plus important que toutes les années écoulées (A. Camus)

Je me sens toujours heureux, savez vous pourquoi ? Parce que je n’attends rien de personne. Les attentes font toujours mal, la vie est courte. Aimez votre vie, soyez heureux, gardez le sourire et souvenez vous : avant de parler, écoutez. Avant d’écrire, réfléchissez. Avant de prier, pardonnez. Avant de blesser, considérez l’autre. Avant de détester, aimez et avant de mourir, vivez (William Shakespeare)

Le mouton craint le loup toute sa vie. Mais c’est le berger qui l’a mangé (proverbe géorgien)

Nous sommes dans un âge d’incontinence émotionnelle, où ceux qui montrent le plus d’émotion sont supposés ressentir le plus (Théodore Dalrymple)

Une erreur répétée plusieurs fois est une décision (Paulo Coelho)

L’essence de la spiritualité est d’être constamment conscient de l’unicité de tous, en même temps de célébré l’unicité de l’individu (Sadhguru)

Une femme qui se croit intelligente réclame les mêmes droits que l’homme. Une femme intelligente y renonce (Colette)

Le temps fait oublier les douleurs, éteint les vengeances, apaise la colère & étouffe la haine ; alors le passé est comme s’il n’eût jamais existé (Avicenne)

Je ne te demande pas de m’embrasser, quand je pense que tu as tort. Je ne vais même pas te demander de me serrer dans tes bras quand j’ai le plus besoin de toi. Je ne te demande pas de me dire à quel point je suis belle, même si c’est un mensonge, ou de m’écrire quelque chose de beau. Je ne vais même pas te demander de m’appeler pour me dire comment s’est passée ta journée, ni pour me dire que je te manque. Je ne te demande pas de me remercier pour tout ce que je fais pour toi, ni de te soucier de moi quand mon âme est déprimée et, bien sûr, je ne te demanderai pas de me soutenir dans mes décisions. Je ne te demanderai même pas de m’écouter quand j’aurai 1000 histoires à te raconter. Je ne vais pas te demander de faire quoi que ce soit, même pas d’être à mes côtés pour toujours. Parce que si je dois te le demander, je n’en veux plus (Frida Kahlo)

La raison pour laquelle tellement de gens extrêmement « woke » se révèlent avoir été des fanatiques bigots dans le passé, est parce que le fanatisme bigot était la meilleure façon de harceler & d’intimider les gens, mais maintenant, l’anti-fanatisme bigot de surface est la meilleure façon de harceler & d’intimider les gens. Un set d’outils évolutif pour les sociopathes (Shant Mesrobian)

On ne peut avancer qu’à partir de l’endroit où on se trouve (C.G. Jung)

Tu sais Charly, il faut aimer dans la vie, beaucoup … Ne jamais avoir peur de trop aimer. C’est ça, le courage. Ne sois jamais égoïste avec ton cœur. S’il est rempli d’amour, alors montre-le. Sors-le de toi & montre-le au monde. Il n’y a pas assez de cœurs courageux (S. Benchetrit)

L’amour se passe de cadeaux, mais pas de présence (Félix Leclerc)

Nous passons notre vie à tenter de découvrir le mystère de l’univers, mais il y avait un prisonnier turc, Baha’u’llah, à Acre, Palestine, qui avait la Clé (L. Tolstoï)

Je conseillerais aux gens de prendre des risques au nom de l’amour. Peu importe ce que devient une relation, l’amour n’est jamais une mauvaise idée (Teal Swan)

Proverbes & Citations XIII

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La mentalité de victime dilue le potentiel humain. En n’acceptant pas une responsabilité personnelle pour notre situation, nous réduisons grandement notre pouvoir de les modifier (Steve Maraboli)

On ne décide pas de son avenir : on le mérite (Carlos Zafon)

Fais une bonne action & jette-la dans la rivière. Un jour, elle reviendra à toi dans le désert (Rûmi)

Si tu suis ton destin, il te conduit. Si tu lui résistes, il te traîne ()

La non-résistance est la clé du plus grand pouvoir de l’univers (Eckart Tölle)

Pour nous changer réellement, nous devons d’abord changer nos perceptions (Stephen Covey)

La clé du bonheur est de laisser chaque situation être ce qu’elle est, au lieu de ce qu’on croit qu’elle devrait être (Mandy Hale)

Aimez-vous d’abord et tout le reste se mettra en place. Il faut vraiment s’aimer soi-même pour faire quoi que ce soit dans ce monde (Lucille Ball)

Le courage est la 1ère des qualités humaines, car elle garantit toutes les autres (Aristote)

On n’arrive pas au sommet en dépassant les autres, mais en se dépassant soi-même ()

L’action peut ne pas amener le bonheur, mais il n’y a pas de bonheur sans action (William James)

Un compliment qui touche est un compliment qui tombe (= provenant d’un expert du domaine sur lequel il nous complimente) (Stéphane Edouard)

Si vous projetez délibérément d’être moins que ce que vous êtes capable d’être, alors je vous avertis que vous serez profondément malheureux pour le reste de votre vie (A. Maslow)

L’amour n’a rien à voir avec ce que l’on s’attend à obtenir, mais seulement avec ce que l’on s’attend à donner – c-à-d tout (Katherine Hepburn)

Des temps durs créent des hommes forts. Des hommes forts créent des temps faciles. Des temps faciles créent des hommes faibles. Des hommes faibles créent des temps difficiles (Sheikh Rashid)

Les projections changent le monde en une réplique de notre propre visage non-connu (C.G. Jung)

C’est toujours le faux qui nous fait souffrir, les faux désirs & craintes, les fausses valeurs & idées, les fausses relations entre les gens. Abandonnez le faux & vous êtes libre de la douleur ; la vérité rend heureux, la vérité libère (Sri Nisargadatta)

Que mange la machine à fric ? Elle mange la jeunesse, la spontanéité, la vie, la beauté, et surtout, elle mange la créativité. Elle mange de la qualité, et chie de la quantité (William S. Burroughs)

Si on rassemble 100 fourmis noires et 100 fourmis de feu et qu’on les met dans un bocal en verre, rien ne se passera. Mais si on prend le bocal, qu’on le secoue violemment et le laisse sur la table, les fourmis vont commencer à s’entretuer. Les rouges croient que les noirs sont l’ennemi, tandis que les noirs croient que les rouges sont l’ennemi, alors que le véritable ennemi est la personne qui a secoué le bocal. Il en va de même dans la société. Hommes contre femmes. Noirs contre Blancs. Foi contre science. Jeunes contre vieux. Etc … Avant de nous battre les uns contre les autres, nous devons nous demander : Qui a secoué le bocal ? (David Attenborough)

Celui qui n’ose pas offenser ne peut pas être honnête (Thomas Paine)

Du travail fait dans l’esprit de service est la plus haute forme d’adoration (Abdu’l-Baha)

Si tu es neutre en situation d’injustice, c’est que tu as choisi le côté de l’oppresseur (Desmond Tutu)

Le bien de l’humanité est toujours l’alibi des tyrans (A. Camus)

Puisqu’il est si vraisemblable que les enfants rencontreront de cruels ennemis, qu’ils aient au moins entendu parler de courageux chevaliers & de courage héroïque (C.S. Lewis)

Un mariage n’est jamais facile et que sa réussite ne dépend pas de l’absence de tension ou de problèmes, mais bien d’avoir su créer une relation capable de surmonter ces tensions et problèmes (Derek Prince)

Ne me laissez jamais tomber dans l’erreur vulgaire de rêver que je suis persécuté lorsque je suis contredit (Ralph Waldo Emerson)

Les choses dont on a peur, elle prennent possession de nous ! (B. de Laat)

Partout, on trouve le conseil que mieux vaut être seul que mal accompagné, qu’il faut d’éviter de fréquenter les gens qui ne nous aiment pas, mais ce conseil est encore plus vital  qu’on ne croit ; en effet, ON TEND A DEVENIR CE QUE NOS PROCHES VEULENT QUON SOIT et donc, si on ne rejette pas physiquement & mentalement de tels ennemis, on se retrouve moche, malade, fou ou mort ! (B. de Laat)

Il faut pousser nos peurs dans un coin, sinon ce sont elles qui nous poussent dans un coin ()

Le bonheur de notre vie dépend de la qualité de nos pensées (Marc Aurèle)

Si vous êtes dans une relation dysfonctionnelle, entraînez-vous à ôter l’amour de la question, pour voir plus clairement ce qui est en train de se passer. Votre amour égaré brouille votre jugement (Alan Robarge)

Sans amour, le monde n’est qu’un souffle de vent qui passe devant tes fenêtres (Haruki Murakami)

Le sens de la vie est de donner du sens à la vie (Viktor E. Frankl)

Il n’y a pas de « ta vérité ». Il y a la vérité, & ton opinion (Ben Shapiro)

Le point de départ d’une pensée vraie est dans la connaissance de soi. Si l’on ne se connaît pas soi-même, on n’a aucune base pour penser ; ce que l’on pense n’est pas vrai (Aldous Huxley)

Ne renoncez jamais à essayer de faire ce que vous voulez vraiment faire. Là où il y a de l’amour & de l’inspiration, je ne crois pas que vous puissiez vous tromper (Ella Fitzgerald)

Les dysfonctionnements & le drame ne sont pas de l’amour & ne devraient pas être acceptés si on veut une relation saine ()

Quand quelqu’un vous montre qui il est, croyez-le (Maya Angelou)

Il faut rejeter l’idée qu’on peut posséder une sécurité permanente. La réalité, c’est que l’on n’a aucune sécurité, à part notre aptitude à lutter & à nous adapter (Jordan B. Peterson)

Il n’y a qu’un bonheur dans cette vie ; aimer & être aimé (G.Sand)

Peu importe tes ressources ; si tu ne sais pas comment t’en servir, elles ne te servent à rien ()

On n’a pas besoin d’un autre être humain pour rendre notre vie complète … mais soyons honnête. Avoir nos blessures embrassées par quelqu’un qui ne les voit pas comme des désastres dans notre âme, mais comme des fêlures où verser leur amour, est la chose la plus apaisante dans ce monde (Emery Allen)

Aimez suffisamment les gens pour leur dire la vérité. Respectez-les assez pour savoir qu’ils sont capables de la gérer (Iyanla Vanzant)

Si tu es maigre, tu te drogues. Si tu es gros, tu dois perdre du poids. Si tu bois, tu es alcoolique. Si tu t’habilles bien, tu es vaniteux. Si tu t’habilles mal, tu te laisses aller. Si tu dis ce que tu penses, tu es impoli. Si tu ne dis rien, tu es snob. Si tu es sociable, tu es un fêtard. Si tu restes seul, tu es détaché. On ne peut rien faire sans être critiqué. Nous vivons dans une société où les gens ne peuvent pas survivre s’ils ne jugent pas leur prochain. Construisons-nous les uns les autres. Nous sommes tous du mieux que nous pouvons, dans le même jeu appelé vie ()

Nous acceptons l’amour que nous pensons mériter (Stephen Chbosky)

Aimez-vous en 1er afin de savoir ce que vous méritez (Karen Salmansohn)

Certaines personnes sont ensemble (juste) pour ne pas être seuls. Mais certaines personnes veulent de la magie. Je suis l’une d’entre elles (Karen Salmansohn)

Qui est civilisé ?

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(Margaret Mead)

C’est quoi, être civilisé ? A quel signe voit-on si quelqu’un l’est ou pas ? Quel genre de société peut-on nommer ainsi ?

La fameuse anthropologue Margaret Mead a, je crois, bien répondu à cette question.

Un jour, un étudiant lui demanda ce qu’elle considérait comme le 1er signe de civilisation dans une culture.

Il croyait qu’elle lui mentionnerait les pots en argile, les hameçons ou les meules de pierre, mais elle ne cita rien de tout cela.

Mme Mead dit que le 1er signe de civilisation dans une culture antique était un fémur ayant été brisé, puis réparé – et elle expliqua ainsi sa réponse ;

Chez les animaux, si vous vous brisez la jambe, vous mourez – car alors, vous ne pouvez ni chasser pour vous nourrir, ni aller à la rivière pour boire, ni fuir un danger – & donc, vous devenez vite la proie d’un prédateur affamé.

Bref, aucun animal qui se brise le fémur ne survit assez longtemps que pour que son os commence à guérir.

Par conséquent, trouver dans les restes d’un groupement un fémur qui a guéri est la preuve que quelqu’un a pris la peine de rester avec le blessé, de lui amener à manger & à boire, et de le protéger, et ce, durant tout le temps nécessaire à ce que l’os se répare.

Aider un individu en détresse, servir autrui, voilà le signe du début de la civilisation, conclut Margaret Mead.

A méditer, ne croyez-vous pas ? …

L’homme doit contenir sa femme

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La fameuse coach Teal Swan dit avec justesse que c’est ce que les femmes attendent d’un homme, ce dont elles ont le plus besoin en relation avec un homme, c’est « l’endiguement », la contention – et qu’elles ne peuvent être heureuses en relation sans cela !

Evidemment, ça choque, mais en fait, par « contention » ou « endiguement », elle veut dire « protection » – c-à-d qu’il l’entoure & la protège !

Elle dit qu’il faut voir l’homme comme l’huître & la femme comme la perle ; l’homme doit créer pour la femme un espace de bien-être, sécure & nourricier, pour qu’elle puisse exprimer sa féminité ; son côté réceptif, doux, fécond & de soin aux autres.

Sans cette sécurité, la femme est sur la défensive, ne peut exprimer sa part féminine & endosse un côté masculin – un changement de polarité qui lui nuit & est la cause des problèmes relationnels courants entre hommes & femmes.

L’homme doit prendre possession positivement d’une femme – mais notre culture a enseigné aux femmes qu’être possédées, c’est être limitées, opprimées, contrôlées & vues comme inférieures – & donc, les femmes refusent cela.

Pourtant, quand une femme n’est pas « endiguée », elle vagabonde & se jette dans des choses qui lui nuisent ou la détruisent (elle & ceux qui dépendent d’elle), et elle est malheureuse.

La possession positive n’est pas oppressive ; quand on prend possession de quelque chose au point que cela fasse partie de soi, on ne peut blesser cette chose sans se blesser soi-même.
La possession positive est en fait le seul moyen d’être en sécurité en relation, car quand on prend possession positive de quelqu’un, son bien-être est primordial à nos yeux.

Nous avons fait énormément de dégâts en rejetant le concept de propriété dans nos relations avec les autres.

Lorsque nous ne considérons pas les autres comme une partie de nous-mêmes, nous ne ressentons aucune responsabilité à leur égard. Nous les considérons juste comme « autres » – or, différence engendre haine.

On joue alors à un jeu à somme nulle, où on cherche à gagner et à ce que l’autre perde ; la relation n’est alors qu’une transaction, un moyen d’arriver à nos fins – on n’y est pas pour la connexion avec l’autre (pour voir, sentir, entendre et comprendre l’autre personne), mais pour en tirer profit.

Pendant des milliers d’années, les femmes ont été considérées comme la propriété des hommes, & la plupart d’entre eux ne voyaient pas les femmes comme une partie d’eux-mêmes & donc, négligeaient ses intérêts & ceux des enfants.

Lorsque le mouvement féministe est arrivé, les hommes ont dû renoncer à la possession des femmes – et si le côté négatif de la chose a disparu, le côté positif a disparu aussi, en sorte que les relations entre hommes et femmes se sont détériorées.

Les femmes appréciaient le sentiment de confinement, d’appartenance et de sécurité qu’elles avaient en étant possédées par les hommes. Aujourd’hui, l’une des principales plaintes des femmes lors des thérapies de couple, est que l’homme n’assume plus ses responsabilités ; il ne s’occupe plus de rien & ne veille pas à son bien-être ou à celui des enfants, et c’est comme si elles étaient seules dans une relation, ou comme si l’homme était un autre enfant – donc un fardeau supplémentaire. Bref, elles se sentent exploitées !

L’homme leur laisse tout le boulot & il faut le harceler pour qu’il participe à la vie de famille ou aux tâches ménagères

(ou n’y participe que pour avoir du sexe).

Les enfants orphelins, ou négligés, ou placés en famille d’accueil, ou les brebis galeuses de la famille, éprouvent la souffrance induite par le fait de n’appartenir à personne !

Personne ne s’investit dans leur bien-être, personne ne les considère comme une partie de soi & donc, ils se sentent rejetés & n’ont pas le doux sentiment d’intimité émotionnelle, d’appartenance & de protection. Même s’ils sont entourés de personnes qui s’occupent d’eux, ces gens ne font que veiller à leur survie & ne leur apportent pas une véritable sécurité !

Souvent, en grandissant, ces enfants se jettent dans les bras d’une personne contrôlante & dominatrice.

Il y a, à l’inverse, la possession fantôme, où l’adulte contrôle totalement l’enfant ; il n’a aucune autonomie & pas le droit d’avoir ses propres pensées, besoins, envies, préférences et sentiments, ou de limites personnelles.

Plus tard, cet enfant-là – qui aspire à la liberté totale – refusera d’appartenir à qui que ce soit. Il ignore que dans la véritable propriété, il ne peut y avoir que des gagnants.

Si on examine les pires formes souffrance, partout dans le monde, on peut les faire remonter à un manque de propriété véritable.

Quand on veut séparer quelque chose ou quelqu’un de soi, on n’en prend pas possession – par ex, les sans-abri – et donc, beaucoup meurent dans la rue en hiver. Et ça vaut pour les enfants, & les gens d’une autre couleur, ou sexe, ou culture, ou classe sociale, … En ne les incluant pas à nous-mêmes, on ne se sent pas responsables de leur bien-être ou on les maltraite.

Le sentiment de propriété est ce qui nous pousse à nous engager envers et à prendre soin de la chose pour laquelle on ressent ce sentiment. L’intérêt de cette chose ou personne devient alors indissociable de notre propre intérêt. 

Il serait temps de commencer à nous posséder réellement les uns les autres ! L’utopie de « l’autonomie de l’individu » ne cause que des dégâts & de la douleur – il est clair que l’homme n’est pas fait pour être autonome !

Il est temps de posséder les choses que nous considérons comme « autres » (humaines ou autres), de les intégrer comme faisant partie de nous-mêmes ; cette vraie possession équivaut au véritable amour !

« Endiguer » une femme, pour un homme, c’est en fait prendre soin d’elle.
Hélas, la plupart des femmes doivent non seulement le faire elles-mêmes, mais aussi prendre soin d’eux & des enfants – c-à-d se protéger seules, bosser pour amener du pain sur la table, faire toutes les démarches, …

Si un homme ne prend pas soin d’une femme & qu’elle doit tout faire, elle a le sentiment d’être toute seule …

Bref, elle bosse pour gagner des sous, pour tenir le ménage & pour faire marcher la relation – personne, à part un surhomme doté de pouvoirs magiques, ne pourrait faire tout ceci sans s’épuiser !

Et en plus, elle n’a alors pas ce sentiment réconfortant d’être à 2 pour affronter la vie – au contraire, elle a, avec cet homme déresponsabilisé, un fardeau de plus dont il faut s’occuper … Sa vie est stressante, car faite de devoirs sans rien pour la soutenir, ni aucun plaisir en contrepartie !

La femme n’a alors jamais ce sentiment apaisant d’être à l’abri, mais éprouve une pression constante !

Cette vie pénible abîme sa santé physique & mentale & la rend énervée, froide, anxieuse, amère, contrôlante, …

Pour éviter cet état douloureux à la femme (et finalement, à lui-même), l’homme ne doit jamais s’attendre à ce qu’une femme se prenne en main ; c’est lui qui doit prendre soin d’elle, aux niveaux physique, mental & émotionnel !

Beaucoup d’hommes prennent plus soin de leur voiture que de leur femme ; ils donnent de leur temps, énergie & argent pour que leur voiture soit belle & en parfait état de marche – & ça les fait se sentir bien !

Alors, comment un homme peut-il « endiguer » sa compagne, en sorte qu’elle se sente prise en charge, aimée, à l’abri & en sécurité pour pouvoir faire son travail de femme ?

Il peut, par ex, prendre la direction dans diverses situations, décider (& assumer) les choix, ou lui créer (& entretenir) un « nid » joli, accueillant & pratique, la soutenir & l’encourager dans ses projets, trouver des moyens d’améliorer sa vie, remarquer une chose à réparer sans qu’elle doive le demander, résoudre des problèmes, être disponible pour elle & planifier des moments d’intimité, la protéger & la défendre contre les dangers, protéger son bien-être émotionnel (la rassurer, se souvenir des dates importantes, …), viser à la connaître à fond pour pouvoir répondre à ses besoins, l’écouter et aussi, exprimer son avis, partager ses envies, peurs, sentiments & projets avec elle, protéger & élever ses enfants, …

Les hommes se demanderont sans doute ce qu’ils reçoivent en échange de tout ça … Tout simplement une femme dévouée, qui les maintient en vie & leur évite les dangers (sans parler de sexe régulier) !

N’oublions pas que le plus de dépressions se retrouvent chez : 1) les hommes célibataires, 2) les femmes mariées -> il est clair que, malgré leurs jérémiades (boulet au pied, …), ce sont les hommes qui bénéficient le plus de l’union – sinon, pourquoi, dans toutes les cultures & à toutes les époques, auraient-ils tout fait pour se procurer des femmes & pour les empêcher de partir (gynécées-prisons, pieds bandés, excision, …) ?

En outre, en agissant ainsi, un homme se sent bien dans sa peau & heureux – puisqu’ainsi, il suit sa pente naturelle, ce pour quoi il est fait – c-à-d agir de façon masculine, & non comme un bébé dépendant !

Un homme sain adore la sensation de fournir un « confinement » pour sa compagne (*) ; ça lui donne un but, de la valeur & beaucoup de confiance en soi.

Pas besoin d’apprendre par cœur la liste des choses à faire ci-dessus ; il suffit que l’homme décide de se conduire en homme véritable & d’« endiguer » sa femme – & là, il fera naturellement toutes ces choses.

Posséder ainsi une femme est naturel pour un homme, mais il devra quand même s’informer sur le fonctionnement des femmes en général & de la sienne en particulier.

C’est si naturel pour les hommes de prendre les choses en charge, que dans toutes les sociétés traditionnelles, les hommes le faisaient à l’égard des femmes de leur communauté & l’enseignaient aux jeunes hommes – ces derniers devaient même prouver, en devenant adultes, leur aptitude à se conduire en homme (rites de passage), avant de pouvoir accéder aux plaisirs & privilèges de cet état – c-à-d prendre femme (Ah, pourquoi a-t-on supprimé cet usage si utile ?).

La femme, de son côté, doit rejeter les mensonges que la société lui martèle depuis 40 à 50 ans – qu’elle se souvienne que cette soi-disant « libération de la femme » fut concoctée par des financiers dans un seul but : se faire du fric sur leur dos !

On en voit du reste les effets pervers – les femmes de plus en plus exploitées & violentées, les familles déchirées et les couples dévastés – tout le tissu social ruiné … & finalement, les femmes, seules & malheureuses.

Qu’elles comprennent que la vraie possession par un homme n’a rien à voir avec du contrôle, de l’oppression, ou être vue comme inférieure, mais à tout à tout à voir avec la prévenance !

Le coach Stéphane Edouard classe un homme pas prévenant dans les types d’hommes à fuir, et précise ce qu’est être prévenant : c’est anticiper les difficultés & les aplanir, faire des efforts pour éviter tout inconfort ou pour éviter à l’autre de devoir tout faire.

Les hommes d’aujourd’hui, n’ayant pas pu voir d’exemple d’« endiguement », ni ne l’ayant appris de leur père, n’ont pas pu se développer correctement et donc, inversent les rôles & s’attendent à ce que ce soient les femmes qui les « endiguent ».

Certains veulent retrouver leur rôle de mâle, mais sans modèles ni informations sur ce sujet, il leur faut tâtonner dans le noir … Ce serait donc bien que le sujet retrouve de la visibilité & que certains hommes apprennent à nouveau à d’autres comment (re)devenir de vrais hommes ! Toute la société (hommes, femmes & enfants) en tirerait un immense profit !

Mais attention aux dérives ! Abigail, l’épouse du président John Addams, lui écrivit un jour que tous les hommes seraient des tyrans s’ils le pouvaient & il y a sans doute du vrai là-dedans.

D’un côté, quand on voit les horreurs (envers elles-mêmes) que commettent les « femmes libres » d’aujourd’hui, on voit qu’on ne peut les laisser libres (ni les hommes d’ailleurs ; chacun doit s’élever l’un l’autre dans le mariage) – mais d’un autre côté, si on redonne aux hommes la primauté, ils tendent à abuser de ce pouvoir pour opprimer les femmes …

Où est la solution, alors ? A mon avis, suivre la voie de Dieu – c-à-d voir l’union comme une corde qui doit être faite de 3 brins pour être solide (voir https://bonheuretamour.wordpress.com/2016/07/05/lunion-solide-est-une-corde-a-3-brins/) – car quand il n’y en a que 2 (les 2 partenaires), la corde n’est pas solide ; elle ne l’est qu’avec 3 brins (les 2 partenaires + Dieu), mais ceci n’est pas donné à tout le monde non plus …

* Dans une relation homosexuelle, il est parfois dur de définir qui « endigue » qui, les rôles de chacun des partenaires envers l’autre.

Proverbes & Citations XII

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Si vous rendez juste l’intérieur, l’extérieur se mettra en place. La réalité première est à l’intérieur, la réalité secondaire, à l’extérieur (Eckart Tölle)

Nulle pierre ne peut être polie sans friction, nulle personne ne peut parfaire son expérience sans épreuve (Confucius)

La liberté, c’est de savoir danser avec ses chaînes (Nietzsche)

Ce qui est merveilleux avec le vrai rire, c’est qu’il détruit toute sorte de système de division des gens (John Cleese)

Mon idée sur la vie ; Agir doit servir à penser & penser, à agir & l’intermédiaire indispensable entre les 2, c’est le cœur.

L’égoïste n’est pas celui qui vit comme il lui plaît, c’est celui qui exige que les autres vivent comme il lui plaît ; l’altruiste est celui qui laisse les autres vivre leur vie sans intervenir (O. Wilde)

On apprend rarement quelque chose à moins d’y être forcé, & ce qu’on apprend ainsi (par la force) sont des leçons très pénibles. Voilà pourquoi les gens tendent à ne pas rechercher ce savoir – au fond, c’est normal, mais c’est aussi parce qu’ils ignorent l’importance qu’il y a à apprendre cela. Ils se bercent de l’illusion qu’il existe un moyen de se passer de ce savoir nécessaire … ignorant qu’ils se préparent des lendemains amers, car ce faisant, ils se rapetissent (Jordan B. Peterson) => Si on suit une mauvaise voie, il faut se donner un coup de pied au derrière. En ce cas, on peut choisir le moment et l’intensité, tandis que si on attend que la vie nous le donne (& elle le fera IMMANQUABLEMENT si on marche à l’envers de soi-même), cela viendra de façon inattendue (c-à-d au pire moment possible) &, comme on aura bien laissé pourrir les choses, elle frappera très fort. Mieux vaut donc s’observer, prendre conscience qu’on s’égare & avoir le courage de le faire soi-même ! (B. de Laat)

Les autres ne nous disent pas « Sois qui tu es ! », mais « Sois qui j’ai besoin ! » ()

Tant qu’on n’est pas pleinement conscient de soi-même, on n’est pas prêt pour le grand amour. Ce pour quoi on est prêt, c’est pour une de ces relations co-dépendantes où on a désespérément besoin d’un partenaire (Bruce Lipton)

La peur est une réaction. Le courage est une décision (W. Churchill)

Si vous voulez toucher un large public, adressez-vous aux idiots (Schopenhauer)

La politique est le moyen pour des hommes sans principes de diriger des hommes sans mémoire (Voltaire)

On devient toujours ce que les autres veulent nous voir être (Gore Vidal)

Lorsque vous vous trouvez dans un cercle vicieux, pour l’amour de Dieu, arrêtez de pédaler ! (Swami Beyondananda)

Vivre selon une image que vous avez de vous-même, ou que les autres ont de vous, est une vie inauthentique. Seule la vérité de qui vous êtes, si vous le comprenez, vous rendra libre (Eckart Tölle)

Le rapport mathématique entre les ailes et le poids du bourdon nous démontre que voler lui est impossible mais le bourdon l’ignore, c’est pourquoi il vole (Igor Sikorsky)

Si tu aimes une fleur, ne la cueille pas. Si tu la cueilles, elle meurt et elle arrête d’être ce qui tu aimes. Alors, si tu aimes une fleur, laisse-la vivre. Tout simplement. L’amour n’est pas une possession. L’amour, c’est apprécier ce qui est (Osho)

Ô Seigneur, si je Te vénère par peur de l’enfer, alors brûle-moi en enfer ; si je Te vénère parce que je désire le paradis, alors exclus-moi du paradis ; mais si je Te vénère pour Toi seul, alors ne me refuse pas ta beauté éternelle (Rabia de Basra)

Quand on perd un sens, les autres sens s’accroissent. C’est pourquoi les gens sans humour ont un sens accru de leur propre importance ()

Les gens qui ne peuvent contrôler leurs propres émotions ressentent toujours le besoin de contrôler le comportement des autres (John Cleese)

Quoi que contienne le moment présent, acceptez-le comme si vous l’aviez choisi (Eckart Tölle)

Dans un monde où l’on peut être n’importe quoi, soyez bon (Rûmi)

La seule façon de vivre que nous ayons, est de croître. La seule façon de croître que nous ayons, est de changer. La seule façon de changer que nous ayons, est d’apprendre. La seule façon d’apprendre que nous ayons, est d’être exposé (au monde). Et la seule façon d’(y) être exposé, est de nous ouvrir au monde (C. JoyBell)

Evitez les gens négatifs. Ils ont un problème pour chaque solution (A. Einstein)

Quelle libération de réaliser que la « voix dans ma tête » n’est pas qui je suis. Qui suis-je alors ? Celui qui voit cela (Eckart Tölle)

Avant de chercher à guérir quelqu’un, demandez-lui s’il est prêt à renoncer aux choses qui l’ont rendu malade (Hippocrate)

En inspirant, je calme mon corps. En expirant, je souris. Résidant dans le moment présent, je sais que ceci est un merveilleux moment (Thich Nhat Hahn)

Les gens obéissants se voient toujours comme vertueux plutôt que comme lâches (Robert Anton Wilson)

Au moment où le jugement cesse par l’acceptation de ce qui est, vous êtes libéré du mental. Vous avez créé un espace pour l’amour, pour la joie, pour la paix (Eckart Tölle)

Pour discerner en connaissance de cause le faux du vrai, il faut quitter la pensée que l’on détient la vérité (St Augustin)

La simplicité est la droiture de l’âme (J.-F. Parot)

La réussite n’est pas la clé du bonheur. Le bonheur est la clé de la réussite. Si vous aimez ce que vous faites, vous réussirez (A. Schweitzer)

Tu seras déçu si tu penses que les gens feront pour toi ce que tu feras pour eux. Parce que tout le monde n’a pas le même cœur que toi (Jean Reno)

La véracité est le fondement de toute les vertus humaines ()

Il est difficile d’être heureux parce qu’on refuse de lâcher les choses qui nous rendent triste (Bruce Lipton)

Le passé vous donne une identité, & le futur contient la promesse d’un salut, d’un accomplissement sous quelque forme que ce soit. Les deux sont des illusions (Eckart Tölle)

Bonheur& réussite :

Ce dont nous avons le plus besoin, ce n’est pas la nourriture, l’argent, la réussite, le statut, la sécurité, l’amour ou le sexe. On voit d’ailleurs souvent des gens qui ont obtenu tout cela et sont pourtant insatisfaits – et même encore plus insatisfaits qu’étant jeunes, lorsqu’ils n’avaient rien de cela.

La faim la plus profonde dans la vie est un secret qu’on ne trouve que quand on veut vraiment découvrir notre partie cachée – cette quête étant comme une plongée pour s’emparer d’une perle très précieuse …

Cette perle (ou essence, souffle de Dieu, eau de vie, nectar sacré), c’est la transformation ; changer la peur, l’agressivité, le doute, l’insécurité, la haine et la vacuité, en leur contraire.

Peut-on vraiment faire ceci, sachant que la faim secrète qui ronge l’âme n’a rien à voir avec des biens matériels comme l’argent, la position sociale et la sécurité ?

C’est l’être intérieur qui meurt du désir que sa vie ait un sens, qui veut obstinément la fin de la souffrance, qui désire des réponses aux énigmes que sont l’amour, la mort, Dieu, l’âme, le bien et le mal. Une vie superficielle ne répondra jamais à ces questions, ni ne satisfera le besoin qui nous pousse à les poser.

Trouver les dimensions cachées en soi est le seul moyen d’apaiser sa faim la plus profonde. (Deepak Chopra)

Mais rien n’agira à moins que vous n’agissiez ! (Maya Angelou) => le monde est indifférent à vous, ne vous doit rien et ne fera RIEN pour vous – et c’est pareil avec les gens !

Donc, si vous voulez obtenir l’objet de votre désir, vous devrez aller le chercher ou le créer vous-même ; il n’y a AUCUN autre moyen !

Tant que l’on manque de cette discipline intérieure qui procure la paix de l’esprit, peu importent la richesse, elle ne vous offrira jamais la joie – alors que même si le confort matériel (que beaucoup jugent indispensable au bonheur) vous fait défaut, mais que vous possédez en vous-même cette paix, cette stabilité, rien ne vous empêchera de vivre une existence pleinement heureuse (Dalaï-Lama)

La quête pour découvrir et vivre notre vérité est le périple du héros, un pèlerinage sacré pour chacun de nous. C’est la route qui monte, et qu’il faut suivre en respectant des critères rigoureux.

On peut tenter de camoufler notre peur de l’inconnu avec une attitude de bravade, des avis tranchés & simplistes, une addiction au travail, ou de l’apathie, mais la meilleure voie, c’est celle du cœur.

Mais comment la trouver ? Avec un plan ; pour connaître le chemin, demandez-vous ce qui est réellement important, puis ayez la sagesse & le courage de bâtir votre vie autour de la réponse – car le sens de la vie ne consiste pas à se trouver, mais à se créer !