Archives de Catégorie: relations

Egalité ? Ha !

Par défaut

La soi-disant « égalité hommes-femmes » n’est qu’une blague ! Ouvrons les yeux !

Cet admirable article – par exemple – le montre bien ;

Viol & misogynie : http://lisefeeministe.wordpress.com/2014/10/09/lois-sur-le-viol-les-cadeaux-empoisonnes-du-patriarcat/

Enfin une femme (Francine Sporenda) qui voit clair ! C’est si rare !  La plupart des femmes sont de fausses « féministes »  qui avalent comme du petit lait les corneries dont les hommes les nourrissent et puis les dégoisent en toute ignorance et imbécillité ! On se croirait dans « Mars attaque », quand les Martiens diffusent un message disant « nous sommes vos amis », tout en atomisant les humains à tout vat !

Leur avoir appris à lire et à écrire n’a donc servi qu’à cela ? Quelle tristesse !

Oui, les femmes sont les gardiennes de la tradition … une tradition qui les spolie et les infériorise !

Quand je poste un article sur les liaisons avec un homme marié (ça ne profite qu’à EUX, pourtant !), je me fais incendier par les femmes au nom de « Pouah ! De la morale ! » ou « Personne n’appartient à personne » (! ) – alors qu’on sait que la relation sexuelle génère naturellement de l’ocytocine (hormone de l’attachement) – sans parler de l’impact (éternel) de l’infidélité sur le (la) partenaire & sur les générations futures (voir l’enquête du Dr Ana Nogales ; « how children are impacted by marital infidelity ») !

Et surtout, les privilégiées (= celles qui ont eu le bol de naître dans une famille + – normale et aimante, et de ne pas croiser la route d’un prédateur) ne pigent pas du tout ce qu’est la vie de celles qui n’ont pas eu cette chance–là !

Elles sont à 1000 années-lumière de comprendre quoi que ce soit au vécu de leurs sœurs moins chanceuses et osent se croire plus malignes ou vertueuses & les regarder de haut !

Sans compter les bêtasses qui ne se soucient que de minceur, de jeunesse et de beauté… C’est parfait pour les hommes, ça ! Celles qui passent leurs journées à se soucier de ceci, ne représentent pas une menace…

Avantage supplémentaire ; celles-là passent leur temps à se comparer aux autres, et à jalouser et attaquer celles qui sont mieux fournies qu’elles – les hommes n’ont rien à craindre d’elles ; ce sont de bonnes vaches à lait, prêtes à tout pour attirer & retenir l’attention de « la race dominante » !

C’est quand même triste de voir que 80% des youtubeuses ont la beauté ou la mode comme sujet de leur chaîne !

D’ailleurs, ils font tout pour nourrir cette rivalité entre femmes (« diviser pour mieux régner ») ; c’est la version moderne de la méthode pour garder les femmes « à leur place » (une place inférieure).

Jadis, l’Eglise y pourvoyait (Dieu l’avait dit, et en plus, Eve avait causé la « chute »), puis, il y a eu le freudisme – avec le soi-disant « masochisme » des femmes, et que la « vraie femme » n’aspirait qu’à être la domestique d’un homme (toute femme ambitieuse étant une tarée qu’il fallait soigner).

Mais ces 2 méthodes étant en perte de vitesse, il leur a fallu trouver autre chose …

J’ai subi durant 38 ans les attaques d’un PN – qui m’a fait bouger le coccyx (à coups de pieds), m’a shootée dans le ventre à 6 mois de grossesse (ma fille est née à terme, mais est morte à 6 semaines de la « mort subite du nourrisson »), m’a étranglée jusqu’à la perte de connaissance (10 ans après le divorce, j’en faisais encore des cauchemars qui m’éveillaient en sursaut la nuit), m’a violemment projetée au mur à 8 mois de grossesse de mon dernier enfant (qui – sans doute parce que les hormones de stress passent directement dans le sang du foetus – a toujours été très nerveux), ne m’a jamais payé un sou de pension (pourtant due) ce qui fait qu’on a vécu dans une misère noire alors qu’il a environ 2 millions d’€ …

Et quand je me plaignais, les flics, avocats, psys, assistantes sociales me toisaient d’un air méprisant ; on ne me croyait pas, j’étais étiquetée « mère quérulente » et donc, c’était moi que la « Justice », poursuivait.

Mon ex-mari, ce « brave gars », sympathique et bien intégré (bien sûr : les PN ont un masque de normalité très au point !), n’a JAMAIS été inquiété… Mieux, à chaque fois que j’ai réclamé mon dû, il a pondu des dénonciations anonymes contre moi, en sorte que j’ai eu droit aux descentes de police à mon domicile, à des enquêtes sociales, & même, au rapt de mon fils durant 3 mois … Avant cela, c’était un garçon doux, joyeux, pieux, toujours dans les 1ers à l’école … Quand je l’ai récupéré, c’était une loque humaine, qui ne riait plus, ne chantait plus, ne priait plus, ne parlait plus, ne se lavait plus & ne fichait plus rien à l’école – depuis lors, il ne s’habille que de noir, vit dans le noir et s’est fait tatouer le kanji « mort » sur l’épaule…

Oui, j’ai dû assister à la lente mise à mort de l’Esprit du dernier enfant qui me restait

Ils ont tous les trucs pour obtenir ce qu’ils veulent ; ils convoquent l’enfant, l’entourent (plusieurs adultes), le pressent d’avouer ce qu’il aurait « subi », & comme il n’y a rien et que mon fils se tait, ils écrivent dans leur rapport : « l’enfant n’ose pas parler ; il protège sa mère » ( !) – & voilà ! Passez muscade !

Et si on tremble lors des auditions (je m’en tirais bien ; d’autres mères ont fait une crise cardiaque), ils vous notent comme « labile » (!).

Par contre, mes propres plaintes (pour coups, viols, non-paiement des pensions, …) à la police sont restées lettre morte… J’en ai passé, des nuits, à attendre dans leurs halls d’entrée, pour être ensuite moquée ou brutalement insultée, avec refus d’acter ma plainte, etc…

Et ce sont les femmes les plus dures… J’ai chez moi le livre « Cette mâle Assurance » (de Benoîte Groult) ; un livre entier d’insultes misogynes de tous pays & époques ; eh bien, les pires proviennent de femmes !

Elles ont des excuses pourtant… On a vu la profonde déchéance et mépris de soi des Amérindiens, après seulement 100 ans d’oppression… Alors, on peut imaginer l’impact de 7000 ans d’oppression !

Pourtant, se grouper & appliquer une tolérance zéro permettrait (mais je rêve) de faire changer les choses (ce qui bénéficierait du reste même aux hommes) ; chez les chimpanzés, les mâles de mauvaise humeur (quand il pleut, par ex), tapent sur les femelles & les jeunes …

Mais chez les bonobos, rien de tel ; quand un mâle s’en prend à une femelle, toutes les autres tiennent ensemble & la défendent … et mettent le méchant en fuite. J’en déduis que l’Homme doit descendre du chimpanzé et pas du bonobo…

Les hommes mis en cause dans mes articles & leurs « chiennes couchantes », réagissent parfois aussi en avançant l’argument que c’est 50/50 ; qu’il y a autant de femmes que d’hommes qui agressent – et qu’en plus, les femmes se plaignent (et même parfois inventent toute cette histoire, car « la femme est menteuse », c’est bien connu !), tandis que les pauvres hommes agressés ont honte & se taisent …

Restons sérieux ! Il faut parler, non des faits marginaux, mais de ce qui est un SYSTEME (non des cas isolés), un problème de société écrasant, affectant des milliards d’êtres (femmes & enfants) dans le monde !

Il n’y a pas de comparaison entre les 97% de maux dus aux hommes (même s’ils ont des « excuses », qui expliquent, mais n’excusent rien) et les 3% dus aux femmes !

Bien que je ne m’appuie que sur des FAITS, des femmes défendent ces théories stupides et gynocides ! 

Les femmes clament que maintenant, on a l’égalité, et m’insultent quand je reposte ce genre de documentaires ; Harcèlement de rue (Femmes de la rue, par Sofie Peeters) : https://www.youtube.com/watch?v=TazhIzP5cx8

ou ceci : https://www.youtube.com/watch?v=b1XGPvbWn0A

Oh, elles sont les championnes de l’indignation vertueuse sur les réseaux sociaux. Même, certaines se mobilisent pour l’alphabétisation ou contre l’excision … en Afrique (!) ou contre les hommes violents… en Arabie !

Mais « tout ça, c’est pas chez nous » ; elles « marchent » à fond dans la désinformation orchestrée par l’Etat !

J’en ai parlé à la fin de cet article ; http://www.bonheuretamour.com/2013/10/21/comment-lexcision-change-lesprit/.

Si j’ose dire que ça se passe aussi ici, je me ramasse des insultes comme quoi « je vis au moyen-âge », « je suis une haïsseuse d’hommes », « je ne sais pas de quoi je parle », et autres billevesées.

Et elles défendent les théories débiles où, s’il y a coups (requalifiés en « dispute de couple »!), c’est que les 2 sont coupables à égalité (car « il faut être 2 pour se disputer » !) ou s’il y a agression, c’est à cause d’une « faille » chez la victime (!).

Depuis la boîte de Pandore (ou Eve), les hommes nous jettent toutes les fautes sur le dos si on se fait battre ou violer ; « vous l’avez provoqué » ! – et les femmes ne sont que trop enclines à accepter ce mensonge !

Si dans un article je conteste ces théories stupides, que je leur dis de cesser d’accepter de se faire mépriser par les psys, d’en finir avec la culpabilité pour la remettre sur qui elle doit être (= l’agresseur), je me fais incendier !

Pourtant, c’est comme dire : « j’ai une peau, et c’est une faille car un tigre a mordu dedans » ou « j’ai une belle voiture décapotable et forcément, à cause de ça, elle a été volée » ; les gens normaux ne mordent pas, ou ne volent pas une voiture, même décapotable… Idem avec notre bonté et notre tendresse – qui sont des qualités, non des tares !

Hélas, dénuées à la fois de bon sens & fierté, ces femmes continuent d’accepter les sottises dont on nous bourre le mou !

Un jour, j’avais osé m’indigner de ceux qui draguent sur les réseaux sociaux – même LinkedIn, qui est un réseau professionnel – et bien sûr, ça n’a pas traîné ; des femmes sont montées au créneau pour me traiter de folle & d’aigrie, disant que « Un compliment, ça fait toujours plaisir » …

C’est là qu’on voit qu’on n’est pas rendus & que les violeurs & autres brutes ont encore de beaux jours devant eux ! C’est pas demain la veille qu’ils devront cesser ces jeux qui les amusent tant (se défouler de leur vie de minables, sur plus faible qu’eux) !

Andrea Dworkin disait : beaucoup de femmes résistent au féminisme parce c’est une terrible angoisse d’être pleinement consciente de la misogynie brutale qui imprègne la culture, la société, & toutes les relations personnelles.

Eh oui, la vérité est un alcool fort, que ne pourront jamais avaler les mauviettes et autres petites natures !

Ce n’est pas pour celles-là que j’écris, mais pour celles qui sont assez malignes pour détecter les mensonges dont nous abreuvent la télé et les magazines féminins, et le plan qu’il y a derrière, qui choisissent de regarder les faits (même horribles) sans préjugés, pour pouvoir PENSER vraiment et qui rejettent la rivalité qui nuit finalement à toutes !

J’ai lu & entendu bien des récits horrifiants montrant le vrai visage de nos soi-disant « démocraties » – entre autres de la moderne version de la chasse aux sorcières (https://bonheuretamour.wordpress.com/2013/10/06/chasse-aux-sorcieres-moderne/), du système inhumain qui brise les couples & les familles (juste car c’est le malheur qui rapporte, pas le bonheur), qui vous juge & vous condamne en votre absence, décide de votre sort et de celui de vos petits – sacrifiant leur vie pour des motifs financiers & de pouvoir ! Mais, comme disaient les Romains, « Vae Victis ! »

On fait des lois « égalitaires » & anti-violence … Mais à quoi ça sert si ELLES NE SONT PAS APPLIQUEES ?! Je pense que ces lois-là peuvent tout juste servir à se torcher avec !

Moi, tout comme ma sœur & mes amies, comme nos filles, furent violées & battues, mais, sachant comme le monde va, aucune n’a porté plainte – car aucune n’était candidate à subir des agressions supplémentaires pour un résultat nul !

J’ai visionné dernièrement une vidéo sur l’inceste, où l’oratrice citait les chiffres ; au final, seuls 0,3% des ordures qui s’y livrent sont punis – une quasi impunité, donc ! Les voilà, la Justice, l’égalité et la défense des victimes !

Là aussi, il y a de « belles théories » (totalement délirantes) qui justifient tout ceci.

J’ai dénoncé déjà les horreurs de la Victimologie – une nouvelle « science » surgie bien à propos pour enfoncer les victimes sous couleur de leur venir en aide ! (https://bonheuretamour.wordpress.com/2016/03/17/pourquoi-on-delaisse-les-victimes/ ).

Je sais que les hommes ont une vie très dure (voir : https://bonheuretamour.wordpress.com/2020/12/07/le-secret-de-lhomme/), mais 1) ce monde dur, c’est eux qui l’ont créé, 2) ils possèdent quand même la majeure partie du pouvoir & de l’argent ; les femmes, qui forment 52% de la population, possèdent… 1% de la richesse !

Il ne suffit pas d’exposer la vérité pour que tous (& toutes) la reconnaissent comme telle ; seules les victimes le font. Les autres s’en montrent choqué(e)s.

Ce n’est hélas que quand, grâce à leur aveuglement, toutes les femmes (« collabos » incluses) subiront ces souffrances, que leurs yeux s’ouvriront …

Tranche de vie

Par défaut

J’ai déjà raconté des parties de ma vie, mais du passé. Aujourd’hui, c’est un épisode récent & intime, dont je crois qu’il pourrait servir à d’autres (femmes ou hommes) …

En novembre 2020, suite à 2 brefs échanges sur Fb, un homme me demande ma main, ayant (dit-il) « senti » que je lui convenais parfaitement ( ?)

Bien sûr, la proposition étant totalement dingue, je refuse – mais comme il a l’air gentil, que je crois profondément que « quand on n’est pas Dieu, il faut être deux », que je sais qu’on dépense moins à 2 que seul, et que je pense pouvoir me rendre utile (je me sens inutile depuis que mes enfants ont quitté le nid, & ressens le besoin de retrouver une utilité ici-bas), je finis par accepter.

A partir de là, plus le temps passe, plus il y a de signaux d’alarme :

-les quelques échanges qu’on a eus sur Fb étaient un genre d’agression de sa part, auxquelles j’ai répondu gentiment (non par faiblesse, mais parce que je ne me fâche que sur ceux que j’aime). S’est-il basé sur ceci pour vouloir m’épouser ? Sur le fait que je réponds gentiment à des attaques verbales ? Ca part mal !

-Lors de son 1er coup de fil, il m’appelle de son lit, torse nu (peut-être même entièrement nu), ce qui est choquant & irrespectueux (surtout quand on a 70 ans & qu’on est obèse),

-j’apprends qu’il est né hors union (ouille : mon mari était aussi dans ce cas),

– il ne croit pas en Dieu, & se moque de ce qui est sacré & des beaux sentiments,

-malgré cela, il fait partie du Soka Gakkai ; une secte dangereuse, où on te pousse au « Shakubuku » = briser & soumettre (tout un programme !),

-lors de nos entretiens, il me coupe sans cesse la parole – or, un signe de bonne entente est quand les conversations sont comme un ping-pong, où chacun se renvoie la balle à tour de rôle – mais avec lui, ce n’est vraiment pas le cas !

– son chien Paul, trop gâté, réagit aux appels comme font les enfants ; c-à-d en protestant contre, et à chaque conversation, vient un moment où il pose le téléphone & me laisse poireauter plusieurs minutes, pour sortir le chien – or, ça se passe par GSM … => ?

-il a un jour fait semblant d’admirer un texte (baha’i) de Shoghi Effendi – & comme je lui dis que je trouve ce texte pelant et que je ne l’ai pas lu, il me dit « ah oui, moi aussi, je le trouvais pelant » C’est quoi, cette hypocrisie ?

-il ne connaît pas l’anglais (houlà !) et INSISTE pour que je lui serve de professeur, alors que j’ai refusé plusieurs fois … Réalise-t-il que créer un cours (& le donner) représente un ENORME boulot ? Et je devrais laisser tomber tout ce que je fais pour faire le prof particulier gratuit ? C’est celâaa, oui !

– Raciste, front de bœuf typique, il fait campagne pour Marine Le Pen. Je lui ai envoyé le meme montrant que les terroristes étaient manipulés & que les combattre nous détruirait, mais il n’a pas relevé … il a donc a besoin d’avoir ce genre d’idées & de s’y raccrocher, refusant de les suspendre pour s’informer & les changer s’il y a lieu. Et là, il Y A lieu !

-Le sexe ? Oublie ! Ca ne l’a jamais intéressé ! Il propose, à la place, des caresses … ce qui ne me tente vraiment pas !

-une union, c’est un partenariat (surtout à nos âges) – mais lui ne voit pas les choses comme ça ; il en est resté, comme un gamin, à la notion de prendre, d’amusement ou plaisir – la preuve : il était avec une dame en 2018 & l’a plaquée fin 2019 … à presque 70 ans ( !), parce qu’« elle ne s’intéressait à rien » -> Ce qu’il me raconte d’elle me prouve l’inverse – donc, je creuse un peu et en fait, il l’a plaquée car elle ne s’intéressait pas à ce qui l’intéressait, lui !

Son « crime » était de refuser de l’accompagner à des activités qu’il aime (comme faire voguer un voilier jouet sur un lac !) -> Voilà son idée du couple ! Quelle puérilité & quel égoïsme !

Pour lui donc, seuls comptent comme « intérêts dans la vie », les SIENS – tout le reste est compté pour « rien » ! Seul ce à quoi IL s’intéresse est un intérêt valable. Ça montre que tout tourne autour de lui (sa partenaire n’en est qu’une extension) & qu’il a le niveau de conscience d’une huître !

Normalement, à cet âge, on comprend qu’on s’affaiblit & qu’on risque fort d’attraper toutes sortes de maladies mortelles – bref, qu’on aborde « la dernière ligne droite » – et donc, quand on tient un(e) partenaire convenable, on le (la) garde. Or lui la plaque pour un détail … J’en déduis que soit il a toujours des nanas à disposition (ce qui ne m’étonnerait pas, vu l’époque où on vit), soit, malgré son affirmation de « il faut vivre à 2 », les femmes n’ont aucune importance pour lui.

-Alors qu’il m’a demandé ma main & que j’ai dit oui, il demande que je vienne le voir … Déjà, par les temps qui courent, il n’est pas prudent pour une femme d’aller chez un homme inconnu. En outre, en janvier, il est passé tout près de la Belgique & n’a pas eu l’idée de venir me voir (la seule chose qui l’intéressait était une voiture !).

Pourquoi devrais-je me déplacer, en en plus, pour venir sur son territoire (une maison paumée dans la campagne) ?

Ce monsieur trouve normal de me faire rouler 1100 km & loger chez lui « en tout bien, tout honneur » – « et si on s’entend bien, ça pourra aller plus loin » … WHAT ? ! Ce n’est pas ce qui était convenu ! Si on se voyait, ce ne serait pas pour perdre du temps à faire connaissance ! J’aurais pu faire ceci avec n’importe lequel des milliers d’hommes m’ayant contactée sur Fb (& dont certains valaient mieux que lui !) – Or, jamais je n’ai voulu faire ça !

Le seul avantage qu’il a eu sur les autres est de me proposer le mariage (car enfin, ce n’est pas un Adonis & il n’est plus tout jeune) – si j’avais été prête à jouer à ce stupide « jeu de la séduction », dont je SAIS qu’il ne mène jamais nulle part & est donc une perte de temps, je l’aurais déjà fait depuis les 9 ans que je suis sur Facebook !

Après son 1er appel, c’est moi qui dois l’appeler (ce que je n’ai jamais fait pour aucun homme !) – en sorte que je ne sais quoi penser de son attitude, et qu’alors que j’étais sereine, je redeviens nerveuse & stressée …

Et ça continue dans les mois qui suivent ; il n’appelle pas, car « il n’arrive pas à m’appeler via WhatsApp » … Pourtant, l’appli est si simple que même moi, qui suis nulle en ce domaine, j’y réussis.

Mais bon, je laisse passer 2 semaines – & sachant qu’il FAUT maintenir un contact pour nourrir une relation, je me force à l’appeler.

Lors de notre dernier entretien (début mars ’21), il me dit que son fils passe le lendemain et lui ré-installera WhatsApp. Je laisse passer plusieurs jours pour voir s’il me contactera … Rien ! Conclusion : le 11 mars, je romps – avec ce sms : « ça ne va pas le faire, nous 2 ». Pour moi, la valeur primordiale est la fiabilité – or, il n’est pas fiable – et la non-fiabilité (dire une chose & agir autrement) me rend dingue !

Il me demande pourquoi, & je ne réponds pas, car ça devrait être clair pour n’importe qui que je ne peux pas vivre dans l’angoisse de l’incertitude (la pire des tortures) ; cela nuit à ma santé physique & mentale !

Un mec beau ou riche peut se permettre d’être un peu insolent – mais quand on est vieux, gros, laid et sans un rond, on doit compenser, soit en payant pour se taper une femme, soit en étant super gentil & prévenant !

Et lui, qui n’a RIEN à offrir (ni beauté, ni ardent amour, ni vigueur sexuelle, ni argent), ose se conduire comme un pacha croûte macho, infantile & égoïste ! Merde ! Ne t’étonne pas de te faire plaquer, alors !

Dans les types d’hommes à fuir, Stéphane Edouard cite le mec pas prévenant. Etre prévenant, c’est anticiper les difficultés & les aplanir, faire des efforts pour éviter tout inconfort ou pour éviter à l’autre de devoir tout faire.

On tient là un fameux spécimen de pacha croûte, donc !

Louis Pauwels disait qu’en couple, bien sûr, l’hostilité est mauvaise, mais que même la simple indifférence fait vivre un enfer au partenaire – que ce qu’il faut, c’est porter constamment à l’autre une attention bienveillante – & elle est absente, ici !

Dernier détail : je ne me voyais vraiment pas vivre dans le mobilier de prol qu’il a chez lui ; ça m’aurait fort déprimée !

19.03.’21 : il m’envoie un sms fâché, disant qu’il sait maintenant que je ne suis pas quelqu’un de bien … Ha ! Voilà donc ce que donne sa philosophie en pratique ! Il semblait cool, disant « on verra ; si une chose doit arriver, elle arrivera … ». Or là, il m’insulte parce que j’ai rompu … Une incohérence de plus !

Dans une relation, il n’y a jamais un moment « neutre » ; à chaque instant, soit on y contribue, soit on la contamine. Or, je constate que c’est toujours le même (ou plutôt LA même) qui doit se taper tout le boulot !

J’ai fait ma part – c-à-d ce que je savais devoir faire pour nourrir la relation (même que j’y répugnais) – mais lui pas !

Son irrespect quand je parle & son « silence-radio » a contaminé la relation – laquelle est comme un enfant devant être nourri des 2 côtés, & il ne l’a été que d’un seul ; le mien ! Une relation aussi inéquitable (où c’est toujours le même qui donne, & l’autre ne fait que prendre) n’est pas viable ! En plus, j’ai déjà donné ! (avec mon mari).

On dit que « mieux vaut être avec une Bête qui te traite comme une princesse, qu’avec un prince qui te traite comme une servante », mais là, ce serait être avec une Bête qui me traite comme une servante … Une perspective bien peu attrayante ! Devoir expliquer les éléments de base du respect humain à un homme adulte, est un gros signal d’alarme ! 

Autres signaux d’alarme

– Quelqu’un qui se lance dans une relation sérieuse bien trop vite ; c’est soit un gars qui pratique la monogamie en série, soit un PN ! Dans les 2 cas, mieux vaut rejeter un tel salaud de notre vie, sous peine de s’en mordre les doigts !

– Les 2 parties doivent (s’) investir dans la relation. Quand quelqu’un s’intéresse à vous, il le montre, & assez souvent. S’il ne fait rien & s’attend à ce que vous fassiez tout le boulot, ce n’est pas bon signe ! Qu’il exige ceci exprès ou inconsciemment, ne change rien – les 2 options sont inacceptables !

Une personne qui nous tient en haute estime ne se mettra jamais dans une position où il pourrait nous perdre !

– Si on n’est pas rayonnant(e) à cause de la relation, ce n’est non plus pas bon signe !

– Et idem si on songe à rompre ; si on pense à tout ce qui ne va pas chez l’autre et qu’on se dit des choses comme : « la prochaine fois, je me barre », mieux vaut rompre – & le plus tôt sera le mieux.

Lorsqu’on me pose la question « Que dois-je penser de la relation avec Untel ? Dois-je rester ou rompre ? », je réponds que bien sûr, personne n’est parfait, mais que tout dépend de comment on se sent & si on supporte ou pas la bizarrerie de notre partenaire.

Je leur dis : « si vous avez de lui l’essentiel & que son défaut n’est qu’un détail – bref, si vous n’avez pas mal au ventre, passez là-dessus & restez. Mais si vous avez mal au ventre, rompez ! »

La Nature, qui veut notre bien, nous a doté de la boussole ad hoc pour savoir ce qu’on doit faire ; suivons cette boussole, sinon, on encourt des dégâts graves & à long terme ! (cf mon article du 11.03.’20)

Or, l’essentiel pour moi, c’est la fiabilité, quelqu’un qui est assez malin que pour comprendre ma valeur & celle de ce que je peux lui offrir (car je suis gaie, tendre, bonne ménagère, économe, fidèle & très dévouée).

Je fus mariée 20 ans à un PN qui, en plus d’être égoïste & violent, n’était pas fiable (me faisant vivre dans une insécurité permanente) & était incapable d’apprécier mes qualités (il n’y a qu’à voir ce qu’il s’est tapé par la suite !).

On peut se crever pour pour ce genre d’hommes, ils ne le reconnaissent jamais (ils sont très ingrats !) et même, ce n’est jamais assez !

Vu le calvaire qu’était cette relation, vous pensez bien que je ne veux VRAIMENT PAS rechoisir un gars comme ça ! Avant, je l’aurais excusé, je me serais dit qu’il a dû souffrir pour être comme ça, et j’aurais tenté de corriger son attitude je m’en fichiste en lui expliquant, mais la vie m’a appris que cette méthode est vaine ; un homme ne change pas – surtout que j’ai constaté qu’il s’accroche à ses idées et n’« entend » tout simplement pas un argument contraire.

Or, à part l’égalité, la vie en couple exige l’aptitude à communiquer, et pour cela, d’être humble (c-à-d ouvert au fait qu’on peut avoir tort). Sans humilité, c’est la foire d’empoigne à chaque désaccord – ce qui érode l’amour & le respect qu’on avait pour l’autre & finit par causer la rupture (réelle ou émotionnelle) – ce qui se traduit par : on a gaspillé du temps & de l’énergie (c-à-d de notre vie) pour rien !

Vu comment il raconte ses expériences, j’ai dû déduire que ce monstrueux égoïsme est dans sa nature, que son niveau de conscience de lui-même & du monde, est très bas. Les gens comprennent tout sur base de leur niveau de compréhension, & on ne peut donc pas déverser un océan dans celui qui n’a qu’un dé à coudre comme récipient.

Malgré ses défauts, ce type a pourtant toujours eu des femmes – mais d’après ce qu’il décrit, ce n’étaient pas des femmes de valeur. Qu’il reste donc avec ces épaves prêtes à accepter n’importe quoi ! I’m out of his league !

Après quelques échanges, j’ai percé sa façade de « bon gros nounours », & ai compris le rôle d’esclave qu’il attribue aux femmes, un rôle où elles doivent s’effacer – oublier leurs propres goûts & dégoûts, & s’enthousiasmer pour les siens, où il faut « marcher droit », sous peine de renvoi, comme un domestique, et où on doit donner sans cesse sans s’attendre à la réciproque ! Toute relation exige l’égalité – or, cet homme a une mentalité d’empereur romain, ou de bébé ; tout lui est dû, et il ne doit rien faire pour contribuer à la relation, ou pour rendre heureuse sa partenaire …

Et d’ailleurs, tout mon corps me le criait ; durant ces quelques mois de « fiançailles », j’étais toujours angoissée & je me posais des questions – tout à fait comme pendant mon mariage avec Eric !

Dès qu’on sent que ça pue, c’est qu’il y a quelque chose de pas net, & il faut fuir avant qu’il ne soit trop tard ! (voir : https://bonheuretamour.wordpress.com/2019/06/11/etres-deranges-fuir-des-le-debut/ .

Vraiment, quelle tache ! Je l’ai échappé belle ! Une étude avait montré que 75% des hommes sont des connards (

https://www.soonnight.com/paris/mag/trendy/etude-75-des-hommes-sont-des-connards,28,22017.html), mais sur Fb, je crois que le pourcentage de connards doit être de 95% !

Sri Nisargadatta Maharaj a dit : C’est toujours le faux qui nous fait souffrir, les faux désirs & craintes, les fausses valeurs & idées, les fausses relations entre les gens. Abandonnez le faux & vous êtes libre de douleur ; la vérité rend heureux, la vérité libère – Quelle profonde vérité ! C’était clairement une fausse relation, tant de son côté (car, malgré son âge, il est trop immature pour former un lien solide) que du mien (car l’idée de ma survie était ma raison principale pour l’épouser), et voilà pourquoi je souffrais.

Là, depuis le 11, j’ai retrouvé ma sérénité – & c’est ce sentiment-là que j’estime plus que tout le reste !

PS : Dr. Alexandra Solomon, spécialiste des relations, dit que bien des choses ont changé ces dernières années, mais qu’en ce qui concerne le dating pour une relation hétérosexuelle, rien n’a changé ; les femmes attendent toujours de l’homme qu’il prenne les rênes de la relation & en contrôle le rythme.

Le PN est dément

Par défaut

C’est dur à croire, parce qu’ils semblent TELLEMENT normaux – et même, suprêmement logiques, normaux et sains d’esprit, mais c’est la triste vérité. Je pense même que ce sont les plus malades de tous les malades mentaux !

J’ai déjà expliqué combien parler avec un PN est un parcours du combattant (voir « PN & discussions délirantes » ;

https://bonheuretamour.wordpress.com/2016/03/16/pn-discussions-delirantes/) et qu’il provoque des discussions « éternelles » pour vous fatiguer & augmenter son pouvoir sur vous (voir « PN & discussions provoquées » ; https://bonheuretamour.wordpress.com/2019/01/02/pn-discussions-provoquees/).

Mais à part ça, il est surtout impossible de communiquer avec un PN … parce qu’il est totalement barjo !

Quand on discute avec un PN eux (& Dieu sait qu’on sera amené(e) à le faire beaucoup !), il répond tout à fait à côté de la plaque, ou semble n’avoir entendu qu’une partie de ce qu’on a dit, et les conclusions qu’il en tire sont l’inverse de nos paroles ou juste du bon sens … Et pour cause ; il écoute non ce qu’on explique, mais les hurlements déchaînés de ses émotions dérangées ! Un pervers recadre les événements, actes & mobiles d’autrui pour les faire coller à son délire émotionnel – à travers ce filtre déformant, tout ce que diront ou feront les autres acquerra une teinte mauvaise.

Voilà pourquoi il attribue aux autres – & surtout à ses victimes – des mobiles sordides et les accuse d’agir ou parler de façon hostile envers lui.

Souvenons-nous que pour ces individus, les émotions sont des faits. Jamais ils ne se disent que ce ne sont que des réactions éphémères & souvent irrationnelles.

Donc, au lieu de réagir émotionnellement aux faits, les PN adaptent les faits à leurs émotions.

Une personne normale ne va s’émouvoir que si quelque chose lui arrive ou qu’on lui fait du mal, mais chez les PN, c’est l’inverse :  ils sont déjà terrifiés & en rage à la base, et déduisent qu’on (= la victime) a dû leur faire du mal pour susciter en eux ces sentiments-là.

Pour l’individu normal, c’est : « tu m’a dit quelque chose de méchant, donc, je suis fâché(e) », tandis que pour un PN, c’est : « je suis fâché(e), donc, tu m’as dit quelque chose de méchant » !

Au lieu de réfléchir logiquement à ces accusations absurdes, il se dit « ça doit être vrai, parce que je le sens ; la preuve que tu as agi intentionnellement pour me blesser, est que je me sens blessé » ou « la preuve que tu me trompes, est que je sens que je suis trompé », etc.

Ils sont coupés de leurs émotions & les rejettent depuis si longtemps, qu’ils les perçoivent comme venant de l’extérieur.

Voilà pourquoi mon mari pouvait me dire des choses du genre : « je sais que tu me hais, je le sens ! » ou « tu penses des saloperies sur moi, garce ! » – alors qu’en sa présence, terrorisée & sachant par expérience que tout ce que je dirais serait interprété négativement, je ne disais rien …

Bref, ils sont totalement inconscients du fait que c’est eux-mêmes qui se haïssent ! Et d’ailleurs, en prendre conscience menacerait leur survie – voilà pourquoi ils doivent projeter cela sur un bouc émissaire !

C’est dire si la moindre broutille provoquera une réaction violente de leur part – ils éclateront sur la victime, non à cause d’une offense réelle qu’elle leur aurait faite, mais à cause des sentiments de honte de soi qu’ils trimballent.

Voilà les terribles attaques qu’une victime doit subir journellement, alors qu’elle n’a rien fait pour les mériter.

Et elle ne peut rien faire pour que le PN reconnaisse son innocence ; aucune preuve ou logique ne parvient jusqu’à lui.

Bien sûr, le PN est un monstre & un tueur, mais au fond, il fait pitié (en quelque sorte), car c’est un être très fragile, infantile ; quelqu’un qui, tel un bambin, a de forts besoins immédiats & aucune conscience ou maîtrise de soi, quelqu’un qu’un rien effraie & bouleverse, qui ne vit pas dans la réalité & ne peut supporter la vérité & qui donc, joue sans cesse à faire semblant.

Alors, quand ils nous accusent de méchancetés imaginaires & qu’on leur prouve (par des faits – par ex, des enregistrements, des films ou des photos) que c’est faux, ils ne nous croient pas, & s’imaginent qu’on tente de les manipuler.

Jamais un PN ne fera confiance à qui que ce soit, car ce serait risquer de perdre le contrôle, de se faire tromper & blesser, et un PN est trop faible pour pouvoir s’exposer ainsi !

Cette peur d’être vulnérable jointe au besoin pathologique d’avoir raison, rend toute communication avec un PN impossible – et ce, qu’ils rejettent les faits en connaissance de cause, ou en niant stupidement comme un gosse.

Et en admettant même que, par miracle, ils entendent vos arguments, de toute façon, ils s’en foutraient et continueraient à nier.

Voilà pourquoi tout ce qu’on peut dire ou faire ne peut jamais les apaiser, leur faire piger que leurs peurs sont stupides, & leurs reproches, délirants ; un PN est imperméable aux arguments logiques et factuels, car il (ou elle) est entièrement mené par son esprit inconscient et malade.

C’est pourquoi je les avais désignés comme des ouragans (https://bonheuretamour.wordpress.com/2016/03/28/le-pn-comme-un-ouragan/amp/) – c-à-d une force aveugle & destructrice !

J’y écrivais que l’être réaliste « les considère comme des genres de phénomènes naturels dangereux (tornade, ouragan, éruption volcanique, glissement de terrain, tsunami, etc) » et qu’ « Il ne sert à rien d’essayer de raisonner avec une force de la nature, ou de tenter de l’apaiser, ou d’espérer qu’elle attrapera du cœur, ou de se fâcher ou de lutter contre elle – non ; la seule chose à faire quand on y est confronté, c’est se retirer de son chemin & se mettre à l’abri ».

Il faut comprendre que la 1ère chose qui est pervertie chez un PN (& dont tout son comportement découle), c’est sa façon de percevoir le monde !

La perversion narcissique est une psychose, et par conséquent, les propos d’un PN sont délirants, non pertinents, contraires à la réalité des choses – alors, pourquoi discuter avec un dément ? On ne peut pas lui faire entendre raison parce qu’il n’est pas raisonnable, parce qu’il ne veut pas et ne peut pas viser une chose saine comme l’harmonie & l’amour, comme ferait quelqu’un de normal.

Certains pervers (rares) savent qu’ils manipulent & pourquoi ils le font, et en tirent du plaisir, mais la plupart n’ont aucune idée des mobiles inconscients qui les poussent à blesser & manipuler autrui.

La nature nous a dotés de réactions instinctives qui assurent notre survie – comme par ex, de tout de suite (sans réflexion) se saisir & s’abriter si on entend une explosion. Automatiquement, notre vision se focalise sur la source du danger, en sorte qu’on ne soit pas distrait par notre vision périphérique.

Et dans la vie courante, un tas de fonctions nécessaires à la survie se font automatiquement ; on ne doit pas y songer & ordonner à notre cœur de battre, à notre estomac digérer les aliments, à nos glandes de transpirer, ou à soi de respirer.

C’est pareil avec les PN ; blesser & manipuler sont chez eux des réflexes instinctifs (immédiats) car ça fait partie de leur système de survie.

Si vous avez été victime d’un pervers narcissique, vous savez combien leurs réactions sont rapides, automatiques, et combien il les exécute avec conviction, n’est-ce pas ?

Il croit totalement aux absurdités qu’il débite, parce que ces mensonges sont sa vérité ! Il ne voit pas le réel comme les gens normaux parce que son narcissisme malin crée un filtre (de contrôle) par où passent toutes ses perceptions.

Imaginons qu’un ami ait une atteinte au cerveau, qui le rende incapable de voir la couleur jaune – il voit cette couleur en rouge. Si vous le rencontrez & que vous commencez à parler du soleil, vous ne serez pas d’accord sur sa couleur, et ça risque de dégénérer si vous ignorez qu’il souffre de ce défaut – car jamais vous ne pourrez vous mettre d’accord.

Tel cet homme, le PN voit le réel différent qu’il n’est, et il croit qu’il voit juste & réagit comme il convient.  

Par ex, il sait qu’il vous inflige la « torture par le silence », mais il croit que c’est parce que vous l’avez attaqué, et ne pige pas la vraie raison pour laquelle il le fait – qui est qu’il le fait pour « se nourrir « & vous contrôler.

Ou encore, si un PN se trouve dans un café avec sa copine et qu’en allant chercher à boire au bar, celle-ci tombe sur un collègue ; ils parlent quelques minutes, puis les boissons arrivent et elle revient à la table de son PN.

Là, ce dernier, furieux, lui reproche d’avoir fait des avances à ce collègue, alors que ce gars lui est indifférent et qu’elle a juste bavardé un peu avec lui pour être polie.

En fait, quand sa copine parle à un autre, l’attention se porte sur un autre que lui – ce qui menace son sens du contrôle sur elle – d’où sa rage.

Bien sûr, inconscient de ses vrais mobiles, il ne comprend pas la vraie raison de sa colère. Au lieu de ça, son narcissisme lui dit que sa copine « flirte » avec son collègue – et il le croit.

Sa perception fausse de la réalité lui fait voir les choses ainsi JUSTEMENT pour le pousser à agir pour reprendre le contrôle de la situation. C’est un peu comme quand on a soif et que nos sensations corporelles nous poussent à aller nous chercher quelque chose à boire, ou si on se tord la cheville, la douleur nous pousse à cesser de courir pour ne pas nous blesser davantage.

Le narcissisme malin fait éprouver aux PN des émotions comme la jalousie, la peur, la haine, l’envie, … pour les pousser à agir dans un sens qui renforce leur contrôle sur leur proie.

Ma sœur a travaillé un temps au Service de la Vie privée – or, un gars lui écrivait que la télé lui envoyait des ondes pour reprogrammer son cerveau, et un autre, qu’un présentateur connu faisait des allusions à lui dans le journal télé & que ça devait cesser, etc. Bref, des cas typiques de schizophrénie.

Ces gens croient vraiment que ces délires sont vrais, et on a beau tenter de les raisonner, ils s’y accrochent, parce que, vu que leur perception est faussée, c’est pour eux la réalité !

Le PN est dans le même cas, quand il se persuade (alors qu’il n’y aucun indice pouvant justifier cette croyance) que sa copine le trompe ; c’est ce que le narcissisme doit faire croire au PN pour qu’il soit ensuite poussé à réagir en agressant la pauvre fille – laquelle, quelle que soit sa réaction (contester ou s’excuser), lui fournit l’approvisionnement narcissique & le contrôle dont il a besoin, et reporte l’attention sur lui – toutes choses qui étaient son but (ou plutôt, celui de sa maladie mentale) depuis le début !

Oui, c’est la « maladie » (une maladie de l’âme, en vrai) qui le régit entièrement, qui a pris le contrôle du cerveau du PN – lequel ne serait alors qu’une coquille vide, un zombi colonisé et manœuvré par une entité étrangère …

Ca semble dingue, mais j’en ai connu plusieurs qui, bien que pas si intelligents, pouvaient pourtant réagir instantanément & en frappant juste. Le terme « malin » vient à l’esprit …

Je ne tirerai pas de conclusion – juste dire que ce fait effrayant suscite bien des questionnements …

Couple ; fuyez les partenaires toxiques !

Par défaut

Lorsqu’on ne se sent pas bien dans une relation, ça peut, bien sûr, être dû au fait qu’on souffre d’un trouble mental, qu’on n’arrive pas à faire confiance, mais le plus souvent, c’est un signe que la relation est toxique – car une bonne relation de couple est censée nous faire nous sentir bien la plupart du temps, ajouter un « plus » dans notre vie – & non nous faire mal & nous angoisser.

Si on en est là, il faut se demander ceci : qu’est-ce que ça me coûte, quel est le prix que je paie pour être dans cette relation ?

Si le prix est que vous ne pouvez être vous-même, faire ce que vous voulez faire, être vous-même, parce que vous devez vous conformer aux exigences de l’autre, pour pouvoir coexister pacifiquement, alors, le prix est … VOUS (vous devez payer ou sacrifier vous-même).

Bien sûr, tout a un prix dans la vie*, et il faut faire certaines compromissions & tolérer certains désagréments dans une relation – mais ceci est clairement un prix trop élevé !

Se poser cette question permet de voir si la relation vaut le prix qu’on la paie. Et si ce n’est pas le cas (si, en quelque sorte, on paie le prix d’une Rolls Royce pour avoir les prestations d’une 2 chevaux), eh bien, on se fait arnaquer !

Vous devez avoir un muscle pour le « oui » & un pour le « non », & ce dernier doit être bien net, solide ! Vous devez pouvoir dire non aux choses qui ne vous apportent pas de la joie, & ce, sans vous sentir obligé d’expliquer pourquoi vous refusez !

Et si vous avez une limite & qu’un autre la franchit, ne reculez pas ; ne lui permettez pas de violer vos limites personnelles.

Si quelqu’un qui fait partie de votre vie se permet de vous manquer de respect, ne tentez pas de le changer, & n’en attendez pas plus que ce qu’il peut donner.

Du moment que la personne vous insulte, vous critique ou vous décourage, cessez de l’écouter, puis, de la fréquenter. Concentrez-vous plutôt sur vos désirs & votre guidance intérieure.

Voici les signes indiquant qu’une relation est toxique :

isolement : limiter le temps passé avec des amis ou votre famille – ou vous l’interdire, tenter de vous convaincre d’être plus dépendant(e) de lui (elle), …

sabotage : vous faire rater des opportunités, par des disputes, ou de la culpabilité, ou en vous privant de sommeil, en sorte que vous ratez des rencontres intéressantes ou un bon travail, …

colère : crises de rage pour des broutilles, coups ou menaces de coups, jeter ou casser des objets, donner des coups de poings dans les murs, …

intensité : gestes grandiloquents & exagérés ou en faire trop, trop vite dans la relation, besoin obsessif d’être approuvé par vos amis & votre famille, …

gas lighting : changer les choses qui se sont dites ou faites, vous faire sentir que tout ce que vous faites est mal, & que vous devez vous excuser pour tout, même pour ce que vous êtes ou pour des choses dont vous n’êtes pas responsable, …

contrôle : vous imposer ce que vous pouvez dire, faire ou porter comme vêtements ou maquillage, vous interdire de sortir ou de garder certaines choses (téléphone, compte bancaire, …) privées, …

jalousie : attitude irrationnelle envers vos amis du sexe opposé, exiger tout votre temps & attention, vous accuser de le (la) tromper, …

critique : insultes, vous traiter de moche, stupide, nul, que vous ne seriez rien sans lui (elle), …

blâme : vous attribuer la responsabilité et la culpabilité de leurs réactions violentes – coups, crises de rage, bris d’objets, infidélité, …

ragots : s’il critique les autres , sachez que quand il (elle) est avec ces autres, il (elle) colporte des ragots sur vous !

Si ces signes sont présents dans votre relation de couple, vous savez que vous êtes en train de vous faire démolir, et que ça ne va pas s’améliorer, bien au contraire !

Surtout, fiez-vous à vos sensations ! Le plus souvent hélas, comme on a beaucoup donné dans la relation et qu’on ne veut pas avoir fait tout cela en vain (et aussi, parce qu’on est attaché(e) à l’autre), on rejette les faits et nos sensations – on doute, ou on lui laisse le bénéfice du doute, ou on lui donne une seconde chance, … mais plus on attend, plus on s’affaiblit ! Vous ne méritez pas ça. Vous méritez mieux ! … Non ?

Quand on est dans ce genre de relations, on espère toujours que l’autre changera, mais ouvrons les yeux : toutes les études montrent que ces individus ne changent pas – même s’ils changent, c’est pour faire plus de la même chose : c-à-d pour devenir encore plus rusés, mauvais & violents !

Même les thérapies les empirent, car ils y apprennent à feindre – le thérapeute leur dit comment ils sont censés se comporter, & ils retiennent cela, qui leur sera bien utile pour tromper leur victime !

Alors, si vous êtes mal à l’aise ou angoissé, c’est que votre corps tente d’attirer votre attention sur un danger où vous êtes et de vous sauver la vie … Ecoutez-le ; il ne veut que votre bien, lui !

Donc, si vous voyez ces signes, cessez de vous « exposer » à son influence néfaste, prenez vos distances vis-à-vis de cette personne – et si possible, coupez les ponts avec elle !

N’acceptez d’avoir & de maintenir qu’une relation qui vous sert (vous, & ceux qui dépendent de vous)

*Oui, TOUT a une étiquette de prix qui y est attaché ; si on est en couple, il y a un prix à payer, si on est seul, il y a un prix, si on a des enfants, il y a un prix à payer, si on n’a pas d’enfants, idem, etc.

Réponse-type aux connards Fb :

Par défaut

Cher connard,

Si je t’envoie ceci, c’est que tu es en train d’essayer de me FORCER à communiquer avec toi, & que, bien entendu, tu ne sais dire que des platitudes (si tu ne piges pas ce mot, consulte un dictionnaire) bêtes à pleurer, toujours émaillées d’énormes fautes d’orthographe – 3 choses (les fautes qui piquent les yeux, les platitudes & le refus d’entendre un NON) qui me hérissent le poil.

Si vous êtes une femme, vous le savez ; on se fait terriblement emmerder sur Facebook (& même parfois sur Linked In). Au fil du temps, j’ai eu diverses réactions avant de bloquer ces « braves gars » ; répondre gentiment, écrire un article (v. + bas), citer le Coran, les insulter, ou incruster ceci :

(English part : see below)

Mais là, je me sens inspirée & voici ce que je compte désormais leur répondre (rien ne vaut la vérité) :

Fr :

Ecoute, mec ; je me suis inscrite sur Facebook en 2012. Depuis, plusieurs MILLIERS d’hommes ont fait ce que TU fais maintenant ; me contacter – & voilà comment les choses ont tourné ; ils m’envoient des compliments & des photos de cœurs ou de fleurs – ce qui m’outrage, parce que 1) ça ne se base que sur mon physique (un élément où je n’ai aucun mérite) 2) c’est me prendre pour une conne (or, j’ai 130 de QI).

Vu qu’un homme normal vit sa vie & laisse les autres (dont moi !) vivre tranquillement la leur, qui me contacte ? Soit des brouteurs africains qui veulent me tirer du fric, soit des obsédés qui veulent baiser, & qui, dans leur connerie, croient nécessaire de jouer les Roméo pour y parvenir … Tu juges si c’est tentant !

Et puis, ça commence bien, comme relation – avec cette manie du connard de base de s’inventer un job et/ou un diplôme prestigieux, alors qu’il écrit comme un prol ! Non mais tu crois vraiment que quelque chose est possible quand il y a une telle différence de niveau ? Et que j’accepterais de m’emmerder à fréquenter un tel Béotien ? – car oui, votre conversation est sotte et ennuyeuse comme la pluie ! (sans compter que j’ai horreur du mensonge).

Déjà en 2013, j’en avais tellement marre de ce cirque ridicule, que j’avais écrit un article sur le sujet (https://bonheuretamour.wordpress.com/2013/08/26/lettre-a-ceux-qui-draguent-sur-les-reseaux-sociaux/), disant qu’on voit que c’est pas le chien qui remue la queue, c’est la queue qui remue le chien (oui ; c’est TOI, le chien !).

Comme TOUS LES AUTRES (voyez l’originalité !), tu prétends t’intéresser à moi & tu me demandes d’où je suis – prouvant ainsi que tu t’intéresses TELLEMENT PEU à qui je suis, que tu n’as (comme les autres !) même pas été regarder mes infos – juste la photo !

Quant à moi, non seulement j’étais mariée à un PN, mais j’ai conseillé des centaines de femmes & entendu beaucoup d’histoires atroces – Donc, j’aime les hommes, mais DE LOIN !

Seulement, j’écris des articles pour un blog et à certains moments, j’ai besoin de faire une pause – alors, les mecs qui me contactent m’offrent ce moment.

Alors, ça se passera avec toi comme avec TOUS les autres (des MILLIERS, tu te rappelles ?) ; il y aura quelques échanges de messages, puis tu diras quelque chose de vraiment trop con ou j’en attraperai marre de devoir toujours répondre aux mêmes bêtes questions, & je te bloquerai. Ca vaut pas la peine, tu crois pas ?

JAMAIS ça n’a débouché sur quoi que ce soit – qu’est-ce qui te fait penser que ce sera différent pour toi que pour tes milliers de « confrères » ? Franchement, il faut être fameusement dans le délire pour le croire !

C’est quand même triste qu’on n’ose déjà presque plus sortir de chez soi « en vrai » & qu’on doive aussi se cacher même en virtuel ! En plus, la plupart de ces connards, si on osait seulement jeter un regard à leur mère, leur sœur, leur fille ou leur femme, on se ferait poignarder ou décapiter !

& le respect, me dira-t-on ? Je ne suis pas polie ? Hé ! Je traite les gens comme ils me traitent & ce n’est pas MOI qui ai commencé à manquer de respect à l’autre ! Mon motto : Tu le prends comme ça ? Moi aussi !

Depuis l’enfance, les mecs se traitent durement -> Ils deviennent tous « vache » & ne se gênent jamais pour dire ou faire des trucs méchants.

Les filles, elles, ont été élevées pour être douces & gentilles, & les hommes se sont habitués à ne jamais avoir de réponse nette & franche – entendez ; jamais de « non » affirmé, ni d’avouer qu’elles sont choquées !

Alors, c’est bon de les mettre au courant qu’il existe des femmes qui ont rejeté cette ânerie et ont décidé d’agir comme eux !

Fini les gentilles nunuches ! Vous osez m’emmerder ? Eh bien vous allez vous en prendre plein la gueule pour pas un rond, espèces de trou du cul !

Tout comme les lions qui s’attaquent à un zèbre s’exposent à un coup de sabot qui leur cassera la gueule, quand on aborde une femme, si on a été assez bête que pour mal choisir sa proie, on s’expose à se prendre un râteau !

Donc, retenez ceci : votre dégoûtant manège marche sans doute avec l’Occidentale typique (des pouffes écervelées) mais pas avec moi, qui sais penser & qui se respecte !

Même si la bêtise satisfaite est quelque chose d’agaçant, vos envois à la guimauve ne m’énervent même plus … Vous avez droit à ce billet car c’est ce que vous méritez ; une bonne claque dans la tronche pour vous rappeler à qui vous parlez !

PS : comme la plupart des « contacteurs » comme toi sont en fait des sales cons, quand je leur dis ceci, ils se fâchent & m’envoient une photo de leur bite ou une petite vidéo porno. Ces connards croient-ils vraiment que je n’ai jamais vu une bite ? J’ai eu 3 enfants, et je sais comment on fait 😉

PPS : quant aux débiles mentales (oui, les femmes) qui vont m’insulter en disant que je prends la mouche pour rien, & qu’« un compliment, ça fait toujours plaisir », qu’elles sachent que je n’aime pas plus les cons femelles que les mâles & qu’elles feraient mieux d’apprendre à réfléchir convenablement au lieu de continuer à lécher les pieds (je reste polie !) des hommes.

PPS : en plus, quand on est une prol’, super-bête & n’ayant pas lu 3 livres dans sa vie, ça va encore, mais quand on a mon QI & de la culture, ces éternels « ravie (si, si ; ils mettent toujours un « e » à ravi ») de te connaître » et « je voudrais faire AMPLE CONNAISSANCE » (sic), ça choque ! Et ils sont tout aussi « ravie » que j’aie bien dormi. Des échanges très intéressants, comme vous voyez !

Je refuse désormais de perdre mon temps à chatter, même avec des gens intéressants, car en 10 ans de présence Fb, j’ai pu constater que ces relations en ligne ne débouchent jamais sur rien de solide. Sur Fb, j’ai déjà parlé avec des gens honnêtes et de +- le même niveau. Avec eux, j’avais des conversations où tout coule de source, où on déconne ou on échange des informations, … On avait naturellement des trucs à se dire – pas « avez-vous bien dormi ? » !!!

Ce genre de bête question me donne toujours envie de préciser que mes intestins aussi fonctionnent correctement !

English answer for men contacting me on Fb :

Dear asshole,

If I send this to you, it’s because you’re trying to FORCE me to communicate with you, & of course you can only say pitiful platitudes (if you don’t understand that word, consult a dictionary), always peppered with huge spelling mistakes – 3 things (eye-stinging mistakes, platitudes & refusal to hear a NO) that make me cringe.

Listen, pal ; I registered on Facebook in 2012. Since then, several THOUSANDS of men have done what YOU’re doing now ; contacting me – & this is how things turned ; they send me compliments or photos of flowers & hearts – which offends me, because 1) it’s only based on my looks (an element in which I have no merit) 2) it’s taking me for an idiot (& my IQ is 130).

Since a normal man lives his life & lets others (including me !) live theirs quietly, who contacts me ? Either African grazers who want to take my money, or sex obsessed men who just want to fuck, & who, in their stupidity, believe it is necessary to play Romeo to succeed … You can judge if this is tempting !

And what a good start for a relationship – where this basic asshole’s habit of inventing a prestigious job and/or diploma, while he writes like someone who left school at 8 ! Can you really believe that something is possible when there’s such a difference in level ? And that I would accept to be bored to death with such an ignorant moron ? – Because yes, your conversation is silly and boring as rain! (not to mention that I hate being lied to).

Already in 2013, I was so fed up with this ridiculous circus, that I wrote an article on the subject (https://bonheuretamour.wordpress.com/2013/08/26/lettre-a-ceux-qui-draguent-sur-les-reseaux-sociaux/), saying that you can see that it’s not the dog that’s wagging his tail, it’s the tail that wags the dog (yes; YOU’re the dog!).

Like ALL THE OTHERS (how original!), you pretend to be interested in me & yet, ask me where I am from – proving that you care SO LITTLE about who I am, that you haven’t (like the others!) even been watching my news – just the picture!

As for me, not only was I married to a narc, but I’ve counseled hundreds of women & heard a lot of awful stories – so I love men, but FROM AFAR!

But I write articles for a blog & I sometimes need to take a break – so the guys who contact me offer me that moment.

So, things will happen with you as it does with ALL the others (THOUSANDS, remember?) ; there will be a few exchanges of messages, then you’ll say something really stupid or I’ll get tired of always having to answer the same stupid questions, & I’ll block you. It’s not worth it, don’t you think?

This has NEVER led to anything – what makes you think it could be different for you than it was for your thousands of « colleagues »? Frankly, one has to be seriously delusional to believe this !

It’s sad that we almost don’t dare to go out of our house anymore « in real life » & that we also have to hide even in the virtual world! Moreover, most of these assholes, if you only dared to take a look at their mother, sister, daughter or wife, you would get stabbed or decapitated!

& what about respect ? I am not polite? Hey! I treat people the way they treat me & it’s not ME who started disrespecting the other! My motto: Is that how you take it? Me too!

Since childhood, guys treat each other harshly -> They all become tough & never hesitate to say or do mean things.

Girls, on the other hand, have been raised to be sweet & kind, & men have gotten used to never having a clear & frank answer – ie ; never to get  an assertive « no », nor to admit that they are shocked by what these men say !

So it’s good to let men know that there are women who have rejected this nonsense and decided to act like them!

Down with the “ sweet little girl” ! You dare to piss me off? Well, you’re going to pays for this, you asshole!

Just like the lions who attack a zebra expose themselves to a hoof blow that will break their mouth, when you approach a woman, if you were stupid enough to choose your prey badly, you expose yourself to get punched !

So, remember this: your disgustingly cutesy approach may be working with the typical Western woman (scatterbrained sluts), but not with me, who knows how to think & who respects herself!

Even if satisfied stupidity is something annoying, your stupid mails don’t even annoy me anymore … You get this post because it’s what you deserve; a good slap in the face to remind you who you’re talking to!

PS : since most of the « contactors » like you are in fact jackasses, when I tell them this, they get angry & send me a picture of their dick or a little porn video. Hey, do these morons think that I’ve never seen a dick? I’ve had 3 kids, and I know how it’s done 😉

PPS : as for the female retards who’ll insult me, saying that I get angry for nothing & that “ a compliment always pleases”, I want them to know that I don’t like female jerks more than male jerks, & that they’d better learn to think properly instead of continuing to lick the feet (I’m staying polite!) of men.

PPS : as for the female retards who’ll insult me, saying that I get angry for nothing & that “ a compliment always pleases”, I want them to know that I don’t like female jerks more than male jerks, & that they’d better learn to think properly instead of continuing to lick the feet (I’m staying polite!) of men.

PPS : besides, when you’re a proletarian, quite stupid & who hasn’t read 3 books in your life, it’s ok, but when you have my IQ & culture, these eternal trite formula’s full of spelling mistakes that they use, it’s shocking ! And they are « delighted » that I slept well. Very interesting exchanges, as you can see !

I now refuse to waste my time chatting, even with interesting people, because in 10 years of Fb presence, I have seen that these online relationships never lead to anything solid. On Fb, I have already talked with honest people of +- the same level. With them, I had conversations where everything flowed, where we joked together or exchanged information, … We naturally had stuff to talk about – not « did you sleep well? »!!!

This kind of silly question always makes me want to point out that my intestines are working properly too!

Le secret de l’homme

Par défaut

Pourquoi les hommes sont-ils à ce point obsédés par le sexe, alors qu’ils en tirent si peu de plaisir ?

Leur zone sexuelle est 5 fois plus petite que celle de la femme, & en conséquence, leurs orgasmes sont très faibles comparés à ceux de la femme (8 x moins intenses, nous indiquent les scientifiques ayant testé la chose).

Dans les couvents & abbayes, par ex, il est bien connu que ce sont les moniales (femmes) à qui la chasteté pose le plus problème !

Lorsqu’un bébé naît, la 1ère chose qu’on demande, c’est si c’est une fille ou un gars ; dès la naissance, on traite différemment un bébé selon qu’il est fille ou garçon, car inconsciemment, on s’attend à ce qu’ils se comportent différemment selon leur sexe.

Nos pairs (les autres enfants) comme nos éducateurs (parents, école) nous y conditionnent jour après jour ; cela modèle notre identité & mène presqu’inévitablement à une obsession au sexe à l’âge adulte, pour les garçons.

1er facteur : l’isolement des garçons

On considère comme normal de serrer un bébé dans nos bras, de le câliner… mais avec les garçons, on cesse très vite de le faire, et, s’ils demandent des caresses, on les décourage – même, on se moque d’eux s’ils sont trop câlins – d’où une perte de la proximité, de l’intimité.

Partout, ils entendent qu’ils sont différents – & mieux – que les filles, ce qui induit un genre de mépris pour elles. S’ils échappent à ce conditionnement et continuent à avoir de bonnes relations avec les filles, ou ont des relations un peu tendres avec d’autres garçons, ils se font traiter de pédés, et frapper, harceler ou rejeter par les autres – ce qui est insoutenable pour l’individu dépendant qu’est un enfant.

Ses relations avec les autres sont marquées de compétition ; par ex, les activités sportives, manœuvrer pour avoir un rang plus haut dans la hiérarchie sociale, comme les équipes, les clubs et plus tard, les bandes ou fraternités. Ces groupes se voient souvent pour attaquer d’autres groupes, soit en les battant lors de compétitions, ou lors d’autres formes moins symboliques de violence (voir les gangs ou les armées).

Les besoins d’amitié & de lien des garçons sont donc remplis par ces communautés basées sur la compétitivité ou la violence.

Ces groupes offrent une solidarité tant qu’on en fait partie, mais ils se fondent sur le fait de se créer un ennemi commun (ceux qui n’en font pas partie) : ces groupes créent donc la crainte des autres – même des autres du groupe, avec lesquels il faut lutter pour le rang. Quand il est dans son groupe, un garçon ne semble pas seul, mais l’isolement intérieur est intense.

Les relations entre les membres d’un groupe sont en fait perverties à cause de la pression de devoir continuellement prouver sa valeur ; on ne peut s’y laisser aller, il n’y a pas l’acceptation inconditionnelle qu’on ressent dans une relation réelle (c-à-d de partage, égale, sans peur).

Cette entreprise systématique de rejet du contact, d’humiliation, de programmation sexiste, de compétition et d’entraînement à la violence, isole de plus en plus les garçons.

L’habitude de devoir se débrouiller seul devient familière, & voilà comment le garçon devient un homme.

Cette description du conditionnement des mâles ne correspond pas à 100% à ce que chacun vit, mais certains éléments sont toujours présents dans l’éducation des garçons.

2ème facteur : l’éradication des émotions

Quand un enfant ressent des choses pénibles (qu’il est blessé, effrayé, gêné, insulté, triste ou frustré), il se tourne naturellement vers autrui pour recevoir aide et soutien. L’attention pleine d’amour d’un autre humain, est nécessaire pour ressentir ces émotions et pour guérir la blessure qui les a causés.

L’isolement des garçons les empêche de rechercher l’attention & de croire qu’il est bon de demander de l’aide, vu qu’ils sont submergés de messages disant qu’un « vrai homme » ne ressent pas d’émotions ou de sentiments.

On leur apprend qu’un garçon ne doit pas pleurer – & s’il le fait, les autres se moquent de lui. Même s’ils ne le font pas, il perd son statut, son rang dans le groupe, et sa propre estime de lui-même si cela lui arrive.

On décourage aussi les garçons d’avoir peur ; ils sont censés se lancer dans des activités risquées sans montrer aucune peur.

En fait, la plupart des autres émotions leur sont aussi interdites et ils apprennent vite que montrer leurs émotions leur attire des ennuis et ne fait qu’aggraver la situation.

Au fil du temps, un garçon apprend que la seule manière de ne pas montrer ses émotions est de ne pas en ressentir, de diminuer leur conscience de ce qu’ils sont en train de vivre, de s’anesthésier à toute émotion – ce qui diminue leur aptitude à ressentir un sentiment quelconque – joie, douleur, ou autre & les déconnecte des autres humains, puisqu’ils sont coupés de leurs émotions.

3ème facteur : la désensibilisation du corps

Cette anesthésie des émotions produit aussi une perte de contact avec leur corps ; les garçons apprennent à s’endurcir contre la douleur, l’effort physique, la tension. Le conditionnement à « agir comme un homme » les pousse à ignorer les blessures physiques, & à supporter la douleur comme s’ils n’avaient rien, à trimer jusqu’à l’épuisement, à se faire exploiter & violenter, au travail ou à l’armée.

Il n’est pas « mâle » de ressentir la vie dans notre corps, d’être conscient des messages de nos sens, … La sensualité est remplacée par la routine, en sorte que l’homme moyen ne peut percevoir les subtilités des sentiments. La tendresse & la douceur – et toutes leurs nuances – disparaissent. Bien que nés dans un corps équipé pour sentir, ils sont obligés de se fermer et d’accepter cette platitude d’abrutissement.

Le sexe offre-t-il une solution à tout ceci ?

Si les hommes ne voient pas qu’on les a coupés d’eux-mêmes, de leurs sentiments, de leur corps, des femmes et des autres hommes, c’est parce qu’ils ont oublié leur état dans l’enfance, où ils étaient reliés et intégrés au tout.

Pour la plupart d’entre eux, la joie de vivre est si éloignée de leur expérience de vie, qu’ils ont dur à croire que ça puisse exister.

Au fil du temps, le garçon a dû brider sa vitalité, se résigner à vivre dans la solitude de l’isolement, le vide d’un monde sans émotions et la « mornitude » de la décorporation…

Et voilà qu’on lui offre l’intimité, la passion & la sensualité, sous la seule forme du sexe – qui serait la solution à tout ce qu’il a dû sacrifier ! Pas étonnant donc que son besoin de sexe soit si fort !

La sociétés pousse les jeunes hommes à coucher pour prouver leur virilité ; cet impératif social est présent même avant qu’ils sachent même ce que « coucher » signifie.

Ils sont bombardés d’images à caractère sexuel (télé, pubs, pornographie), leur faisant croire que le mystère de la vie se trouve dans le sexe. Directement ou non, le sexe leur est présenté comme leur seul moyen de sentir & d’exprimer les aspects essentiels de leur humanité qu’ils avaient dû abandonner en grandissant.

Le sexe est montré comme la voie vers l’intimité, la proximité totale, où ils peuvent enfin s’ouvrir et aimer, être tendres & vulnérables, tout en était « safe », enfin ne plus être seuls dans leur peau.

Le sexe est le seul lieu où la sensualité est permise, où l’on peut être doux avec son corps et oser se laisser submerger par la passion. Le désir & le plaisir, la vitalité & l’excitation, laissés et oubliés depuis si longtemps, redeviennent soudain imaginables.

Voici pourquoi les hommes sont tellement obsédés par le sexe. Malgré leur long conditionnement pour réprimer leur sensualité, anesthésier leurs sentiments, ignorer leur corps, se couper de tout lien avec autrui, nous sommes des créatures nées pour être sensuelles, dotés d’une tendance irrépressible à nous relier à d’autres êtres humains.  Or, l’homme n’a la permission d’assouvir ces besoins humains que via le sexe.

Mais le sexe ne peut totalement assouvir ces besoins de sensualité, de plaisir & de reliement ; pour cela, il faudrait annuler la programmation des mâles, « revitaliser » chaque domaine de leur vie.

Ainsi, un être de passion a été « mornifié », en sorte qu’il a un énorme vide en lui, une vague impression d’un manque ; les émotions qu’il a dû masquer, couper et rejeter.

Mais le souvenir de la passion dort au fond de lui… Et un jour, une énorme affiche apparaît, portant des images érotiques & les mots  » passion disponible ici ». Cette perspective réveille une lueur de vie en lui, alors, il s’y précipite… sans voir la phrase en petits caractères en bas de l’affiche, disant : » si tu suis cette voie vers le réveil de ta passion, prépare-toi à traverser un pays nommé Obsession. »

Hélas, la plupart des hommes ne parviennent jamais à atteindre l’autre côté. Le sexe, qui semblait la solution à leur solitude intérieure, ne fera que renforcer ces sentiments.

En faisant vraiment l’amour, on peut se sentir plus vivants, relié à un autre être humain, on peut s’ouvrir à quelqu’un en toute sécurité.

C’est ainsi qu’un homme peut commencer à ressentir une vraie tendresse, la joie & le plaisir qu’il avait enfermé en lui et se laisser aller à s’ouvrir.  Mais souvent, plus un homme devient proche de quelqu’un, plus il est terrifié, plus il trouve des moyens de « reculer » ; des pensées surgissent en lui, lui soufflant qu’il est en danger et qu’il est au fond tout aussi seul qu’avant.  La peur engendre la colère, et l’homme s’en prend à lui-même et à sa partenaire, de ce que le sexe ne l’a pas libéré de sa malédiction, de cette prison où il végète depuis si longtemps.

Mais comme le sexe lui procure quand même un peu de ces sensations niées, l’homme est poussé à le rechercher compulsivement, cherchant désespérément de nouvelles sortes de contact sexuel, réelles ou imaginaires pour se sentir entier, ou enfin ressentir quelque chose !

Hélas, peu importe la quantité de sexe qu’il se procure, ce ne sera jamais suffisant pour emplir son énorme besoin d’amour et de connexion, ni pour vivre la passion & le délice des sens, et ressentir pleinement la force de vie en lui-même.  Alors, tous ses désirs sexuels se teintent de désespoir, jusqu’à ce que toute passion ressemble à du désespoir… C’est cela, l’obsession.

Le sexe devient hélas très vite addictif pour la plupart des hommes ; comme toute addiction, le drogué ressent un soulagement temporaire de ses problèmes quand il s’adonne à son vice … inéluctablement suivi d’un dégoût de soi et d’une aggravation de ses problèmes ! L’homme sort de chaque séance de sexe encore plus accro, et ayant l’impression qu’il lui en faut plus, ne fût-ce que pour continuer à vivre.

Même s’il ne se jette pas dans le sexe anonyme et sans sentiment – les « coups d’un soir » – la pornographie, la masturbation ou des tentatives fétichistes de récupérer ce qui est perdu, le sexe prend quand même un aspect addictif.  Nourrir des fantasmes sexuels, sexualiser les êtres qu’il croise, ou, durant l’amour, être pressé de « conclure » ou de « se vider », sont des pulsions d’addiction.

L’homme refuse de comprendre que ces minables tentatives de retrouver ce qu’il a perdu sont vouées à l’échec, ou même s’il le comprend, il ne sait comment faire pour sortir de là.

Une addiction si forte et si répandue, a d’impérieuses raisons d’apparaître, et à moins de reconnaître et de traiter ces raisons (les racines du problème), elle continuera à exister. Quand l’homme ne fait pas ce qu’il faut pour se guérir de ses blessures, l’addiction sert d’ersatz ; elle est nécessaire à sa survie …

Beaucoup de gens voient les hommes comme maléfiques et indignes de confiance, surtout à cause de leurs désirs sexuels envahissants ; trop souvent, la boutade suivante est juste: « Qu’est-ce que faire l’amour ? C’est ce qu’une femme fait pendant qu’un homme la baise » !

En réalisant la forme compulsive de leur sexualité, beaucoup d’hommes la répriment, mais c’est une mauvaise idée ; réprimer sa sexualité, la calomnier ou la sublimer dans le travail, supprime leur seule source restante de vitalité !

Se réprimer ne fait que diminuer encore la vitalité de l’homme.

La solution pour libérer leur humanité est l’inverse : la passion.  L’homme doit prendre conscience de son comportement compulsif et comprendre que son obsession lui envoie en fait le message qu’il cherche quelque chose dont il a désespérément besoin.  Le besoin d’être proche de quelqu’un & passionné, doivent devenir son guide, malgré le fait que ces besoins l’ont isolé quand il le suivait sans réfléchir. L’obsession sexuelle, une fois retournée comme un gant, devient la clé de sa libération.

Chaque homme devrait revendiquer chaque morceau d’humanité ôtée par son conditionnement ; s’il vise à récupérer les aspects essentiels d’une vie humaine qu’ils a dû abandonner en grandissant, il peut guérir de l’obsession et retrouver les plaisirs suivants : les affinités avec les autres, des liens de tendresse avec des personnes de tous sexes, âges ou milieux, pouvoir jouir de son corps, s’exprimer avec passion, sentir un désir enivrant, un amour pour soi-même et son aimée, la vulnérabilité, trouver de l’aide en cas de souci, un repos serein, une douceur, entrer et rester en contact étroit avec beaucoup de gens dans des relations variées.

Si le sexe nous fait nous sentir plus vivants ou moins seuls que quoi que ce soit d’autre, c’est un signe que la vitalité et la connexion manquent ailleurs dans notre vie.

S’il veut guérir, l’homme doit se relier & rester connecté à d’autres humains (hommes et femmes) & se dévoiler à eux & ré-investir son corps. Pour effacer le désespoir et le manque qui l’a rendu obsédé, il doit revendiquer désormais un juste rapport aux autres, à ses émotions et à son corps ;

Revendiquer l’intimité : il faut commencer par diriger une admiration aimante inconditionnelle qu’il réserve aux femmes qui l’attirent, vers toutes sortes de gens et de relations.  Il faut initier de nouvelles amitiés avec des gens qu’on n’imaginait pas comme des amis possibles à la base : chercher quelles personnes sont prêtes à le devenir, à recevoir notre confiance et vulnérabilité. Il faut leur donner sa confiance & demander la leur en échange.

L’homme doit se demander pourquoi il craint de se rapprocher & ce qu’il craint exactement. Il devra partager ses peurs et demander de l’aide au lieu de tenter de s’en sortir tout seul. Il faut qu’il informe ses proches bienveillants de sa vie intérieure et leur demande de l’aider à faire revenir l’intimité en lui. S’il se met en couple, et même si le lien avec l’autre est très fort, il doit se souvenir qu’un seul être proche ne suffit pas ; un humain a besoin d’intimité avec plusieurs personnes, et d’une intimité non teintée de sexe. Il faut que l’homme découvre ce que ça fait d’avoir diverses personnes proches dans sa vie.

Revendiquer ses sentiments :  l’intensité passionnée des rencontres sexuelles peut aviver chaque domaine de la vie. L’homme qui veut se libérer doit se demander ce qui, à part le sexe, éveille la passion chez lui ; quels rêves et désirs il doit réveiller pour avoir une vie passionnante.

Il doit accepter les défis menant à ceci, élargir ce qu’il sait (ou croit savoir) sur lui-même, retrouver des sentiments enterrés depuis longtemps et les libérer, en riant aux larmes et pleurant comme un veau, trembler de peur, pouffer de rire, s’indigner de ce qu’il a subi, s’émouvoir devant les beautés de la nature.  Et oser demander toute l’aide, l’amour et l’attention dont il a besoin – car il en a besoin.  Personne ne peut se libérer tout seul.

Revendiquer son corps :  Il faut que l’homme réveille ses sens : par ex, sentir l’eau froide sur sa peau quand il se lave, ou la douceur des draps quand il se couche, ou goûter un délicieux repas, …

Chacun a droit aux plaisirs des sens, et on peut le trouver dans des milliers de formes ailleurs que dans le sexe.

Par ex, en se promenant pieds nus dans l’herbe, dans la pluie, dans la boue, en respirant à plein poumons, pour sentir la vie en nous, en dansant, en caressant ou se faisant caresser, ressentant chaque parcelle de notre peau, prenant plaisir au mouvement de ses muscles, 

Il doit ralentir son rythme pour pouvoir ressentir la moindre sensation en lui et tout autour. En redécouvrant ses sens & le plaisir de jouir de la vie, de jouer comme un enfant, l’homme redevient plus vivant, jouette et heureux !

De l’obsession à la passion

Si le sexe est sa seule source de contact, d’émotion, de plaisir & d’amour, son lien à la vie sera teinté de sexe. Heureusement, il peut réveiller chaque qualité qu’il a étouffée ; la passion et le désir de reliement, qu’il a appris à lier au sexe, peut l’aider à créer un vrai lien à autrui et au monde, et finalement, une vie plus riche et passionnée.

Même son expérience du sexe s’améliorera ! Quand le désir est débarrassé de l’urgence, du désespoir, de la peur & de la solitude, le sexe se fonde sur la joie, et les relations sexuelles sont enfin saines et complètes.

Lorsque le sexe est un choix parmi d’autres, sans l’urgence de s’y livrer, ni douleur de devoir s’en passer, la sexualité est plus « cool » ; une expression de l’amour ou de l’intimité, un lieu où guérir, un moment pour jouer comme un enfant ; il cesse d’être la source de tout plaisir & devient alors l’endroit où exprimer la passion émanant d’une vie pleine de sens.

De l’autre côté de ce voyage hors de l’Obsession l’attend une vie meilleure que tout ce qu’il peut imaginer ; une vie de passion variées, où il est relié profondément, et plus seul.

Conclusion :

Le secret des hommes, c’est que la plupart sont dénués de la plus grosse part (et même parfois de toute) humanité ; comme le rejet est la plus douloureuse des douleurs, ils ont dû – pour s’intégrer – l’éliminer d’eux-mêmes en grandissant …

Sous la promesse d’une fausse camaraderie, d’une acceptation illusoire et menteuse, les hommes ont dû étouffer ou arracher d’eux peu à peu les sentiments humains – en sorte qu’arrivés à l’âge adulte, il ne leur en reste +- aucun.

Or, « pas de sentiment humain » = « pas de pitié » ! (car l' »humanité », c’est cela !).

Comme on ne peut nier un besoin vital essentiel comme l’amour, et que le seul moyen à leur disposition pour s’en procurer est le sexe, un homme est prêt à employer n’importe quel moyen (force, ruse, …) pour assouvir ce besoin. Tant que ce sera ainsi, la femme devra bien ouvrir ses yeux et ses oreilles, ne pas se laisser berner et se protéger (elle et ses filles) – « Les donneurs doivent poser des limites, car les preneurs le font rarement » ! (Irma Kurtz)

Nous devons toujours nous rappeler qu’il ne faut pas faire attention aux paroles d’un homme ; il faut regarder ses actes !

Voilà ce qu’il faut garder en tête quand on fait une rencontre !

Un fait étrange …

Par défaut

Pour l’instant, je lis « Pourquoi nos enfants deviennent ce qu’ils sont », de Judith Rich Harris (Editions Pocket, oct. 2000), où l’auteur (l’autrice) réfute la théorie du primat de l’éducation parentale et explique que c’est le groupe des pairs d’un enfant qui forme sa personnalité, & non ses parents (qu’ils l’élèvent bien ou mal) et que l’humain a naturellement tendance (c’est une question de survie – vu qu’un humain qui vivrait seul dans la nature ne pourrait survivre) a vouloir s’insérer dans un groupe et se différencier d’autres groupes (le « nous » contre le « eux »).

Or, voilà que je tombe sur une vidéo racontant un phénomène curieux qui se manifesta lors du tournage du film « Planet of the Apes », tourné en 1967, qui semble confirmer les dires de Judith Rich Harris.

Ce fait réel est, je crois, assez éclairant sur les espèces animales – dont la nôtre (si tant est qu’on puisse se ranger parmi les animaux).

Comme vous le savez sans doute, le film comprend 4 genres de personnages ; des chimpanzés, des gorilles, des orangs-outans & des humains.

Les images de synthèse n’existant pas encore à l’époque, tous les acteurs devant endosser un rôle de singe étaient maquillés pendant 3 heures chaque matin avant de pouvoir commencer les prises.

Et à l’heure du repas de midi, il n’était évidemment pas question de les démaquiller pour devoir tout recommencer l’après-midi. Les acteurs allaient donc prendre ce repas déguisés.

Or, on assista à ce phénomène : les acteurs se sont inconsciemment regroupés selon leur « espèce », c-à-d les humains avec les humains, les gorilles avec les gorilles, etc. – chacun mangeant seulement avec ceux de sa propre espèce.

Cela montre que les individus se lient instinctivement avec des êtres qui leur ressemblent & évitent tout aussi instinctivement de se trouver dans un groupe d’êtres qui sont différents.

Je sais, bien sûr, qu’on a dépassé le stage de l’instinct, et je n’impose certes pas cette conclusion … Je vous laisse juste y penser & en tirer votre propre conclusion.

Ecrivez-moi si vous avez trouvé une autre explication…

PS :

Ayant lu mon article, ma sœur & m’envoie cette fine question : Pq alors certains vivent très bien dans la solitude? Tout le monde n’a pas une troupe d’amis

-Ce à quoi je réponds ; c’est malin ! ça remonte à des millions d’années (on est wired ainsi à la base)

Certains peuvent donc croire que je prétends qu’un humain ACTUEL ne pourrait survivre seul – alors, j’explique : l’espèce humaine est la plus grégaire de toutes les espèces existant sur Terre, & ce, parce que (à mon avis) l’humain est le plus démuni de tous les animaux.

En effet, dans la nature règne la loi du « manger ou être mangé » – c-à-d qu’il faut à la fois trouver à manger & protéger sa vie (éviter de se faire manger). Or, les humains ne peuvent courir vite, ni s’envoler, ils n’ont pas de griffes, de crocs pointus, de cornes ou de poison pour se défendre – bref, ce sont des proies faciles pour n’importe quel prédateur, même vieux & malade !

C’est pour ça que, bien avant qu’on soit des humains (ou même des primates), la Nature a sagement veillé à ce qu’on fasse ce qu’il faut pour survivre & se reproduire en nous dotant de formidables outils de survie automatiques : les instincts.

Donc, si actuellement, les gens peuvent se procurer un toit, s’acheter à manger dans les magasins et ne risquent plus de tomber sur un ours, un tigre à dents de sabre ou une meute de loups affamés en sortant de chez eux (& peuvent donc vivre seuls), ce n’était vraiment pas le cas avant ;

Un humain d’avant l’argent, les magasins, le contrôle de la nature, la sécu & les moyens de transport avait BESOIN des autres pour survivre – ne fût-ce que parce que personne ne possède tous les talents nécessaires ; par ex, un bon chasseur n’était peut-être pas doué pour trouver de l’eau ou guérir ses bobos, ou une femme, pour se défendre contre des bêtes féroces, etc.

Seule la vie en groupe permettait de conjuguer tous ces talents pour trouver à manger & se protéger – bref, survivre – d’où mon affirmation au 1er alinea.

Notre instinct grégaire, né il y a des millions d’années, n’est peut-être plus nécessaire de nos jours (encore que !), mais il est toujours là, en nous et même assez fort chez beaucoup de gens …

Conte : la femme de l’homme-cochon

Par défaut

Il était une fois une belle fille. Dans son village, tout le monde la voulait pour femme, mais elle refusait tous les prétendants.

Un gros et puissant cochon sauvage entendit souvent parler de sa beauté par les chasseurs qui venaient dans la forêt, alors qu’il se tenait caché dans les buissons.

Bientôt, sa résolution fut prise ; cette jeune fille deviendrait sa femme !

« Ces chasseurs sont des imbéciles, je suis bien plus beau et bien plus malin qu’eux, pensa-t-il. Je vais aller chercher cette beauté et je sais qu’elle me suivra »

Il se dirigea vers le village et en sortant de la forêt, il retira sa peau de cochon et apparut en homme. Un bel homme fort et puissant, aux muscles saillants.

La jeune fille était seule devant sa maison et dès qu’elle le vit, elle sentit son ventre se serrer et son cœur s’affoler. C’était sûrement un signe de l’amour …

– « Je suis venu pour toi, dit l’homme cochon. C’est moi que tu attends. Je suis puissant et je vis avec toute ma famille dans la forêt. Viens avec moi, je t’emmène, tu seras ma femme. Tu seras comblée ; je te donnerai tout ce que tu désires ».

Alors, elle le suivit. Pourquoi lui et pas les autres ? Peut -être parce qu’il était très sûr de lui et ne se posait pas de questions, peut-être parce qu’il avait ordonné sans lui laisser le temps de sentir si c’était vraiment ce qu’elle voulait…

Donc, sans réfléchir, elle se leva & quitta son village sans dire au revoir à personne et personne ne la vit partir. Elle suivit l’homme-cochon jusqu’à la mare de boue, au plus profond de la forêt, où vivaient toute la tribu des cochons.

-Est-ce encore loin chez toi ? demanda-t-elle.

-Nous y sommes, dit son homme, c’est ici que je vis avec mes frères. Et en un instant, il remit sa peau de cochon.

Elle regarda autour d’elle et vit la boue et les autres cochons sauvages, puis elle le vit, lui. Alors, elle comprit qui il était.

Le choc fut rude ; voilà qu’elle était devenue la femme d’un cochon ! Elle eut honte de l’avoir choisi et d’être unie à un cochon, & regretta amèrement de l’avoir suivi.

De temps en temps, il faisait l’effort de se présenter à nouveau sous ses traits d’homme, en sorte qu’elle reprenait espoir … mais cela devint de plus en plus rare au fil du temps – souvent même, il la maltraitait.

Elle dormait dans la forêt au pied d’un arbre et se nourrissait de ce qu’elle trouvait de-ci, de-là.

Elle eut un fils, un beau cacatoès blanc et lorsqu’il devint grand, il lui dit :

– « Maman, je suis fort maintenant, laisse-moi te ramener à ton village ; là, tu seras bien ».

Elle était d’accord, mais d’abord, il fallait retrouver son village … Elle luit dit dans quelle direction il devait être et le lui décrivit. Alors son fils vola par-delà la forêt et trouva le village.

A son retour, il lui dit avoir vu une vieille femme assise devant une maison et en train de se lamenter – elle disait : O, ma fille, où es-tu ?

-Oh, c’est chez moi, dit la femme – emmène -moi, mon fils.

Le fils pris sa mère sur son dos et s’envola vers le village. Il déposa sa mère devant son ancienne demeure, et ses parents furent tout joyeux de la revoir.

Elle leur raconta où elle était partie et ce qu’elle avait vécu ; « mon mari est puissant et méchant, il viendra me chercher avec ses frères et ne reviendra pas chez lui sans moi. »

Alors, les hommes du village se préparèrent à combattre.

L’homme-cochon arriva au village, sur les traces de sa femme, il ôta sa peau de cochon et s’avança d’un air arrogant jusqu’à la maison du père de sa femme.

-Je suis venu chercher ma femme et mon fils, ils vivent avec moi et mes frères dans la forêt.

– Cher gendre, sois le bienvenu, dit le père de la femme, ta visite est un grand honneur. Assieds-toi pendant que les femmes préparent un bon repas pour toi.

Alléché par cette perspective, l’homme-cochon perdit toute méfiance, mais une fois qu’il fut assis, le père se jeta sur lui avec un couteau et lui transperça le corps. Sous le choc, l’homme-cochon reprit sa forme de cochon & il attaqua.

La bataille fut longue, mais à eux tous, ils parvinrent enfin à l’abattre.

Voilà comment la femme de l’homme-cochon redevint libre ; elle dut dépasser sa honte et sa peur pour aller demander de l’aide à ceux qui l’aimaient vraiment.

Si votre ventre se serre et que votre cœur cogne dans votre poitrine lorsque vous rencontrez un homme (ou une femme), ce n’est pas l’amour, c’est la peur qui essaie de se faire entendre. L’amour apporte la paix et un sentiment de plénitude ; il ne porte pas de masque et ne se travestit pas pour venir à vous !

 

L’imbuvable superficialité

Par défaut

Après l’immaturité, la superficialité.

Voici 9 traits de caractère propres à ce genre d’individus :

– Primauté de l’apparence :

Il n’y a rien de mal à admirer l’attrait physique de quelqu’un, mais par contre, ce l’est de prendre ceci pour 1er critère pour vouloir fréquenter quelqu’un. Les êtres superficiels adorent se montrer avec des gens correspondant aux normes de beauté physique.

– Matérialisme :

Ils se soucient énormément de leur petit confort et de l’acquisition de richesse & de biens matériels, en négligeant totalement les valeurs spirituelles, intellectuelles ou culturelles.

– Vouloir être le centre de l’attention :

Ils sont limite narcissiques & incapables de distinguer entre une bonne et une mauvaise attention – donc, ils vont agir de façon théâtrale, répandre des rumeurs, … Bref, n’importe quoi pour être remarqués & qu’on s’occupe d’eux !

– Manque de conscience de soi (sauf si ça concerne leur apparence) :

Ces gens n’ont pas la capacité d’introspection ou d’auto observation ; ils refusent ou sont incapables d’examiner leurs sentiments, pensées & comportements. Ils ne modifient leur comportement que si quelqu’un de « haut rang » les réprimande d’une manière ou d’une autre. Et même ce changement ne durera pas longtemps.

– Goût de critiquer & cancaner :

Bien sûr, il nous est arrivé à tous de juger quelqu’un (ou un groupe) sans le connaître, mais en général, un être équilibré ne passe pas son temps à casser du sucre sur le dos de tout le monde ; il a des choses plus positives & intéressantes à faire !

Les gens superficiels, eux, se font sur tout & tous, et sans raison (ça ne repose sur aucune preuve, sur rien de concret, sauf sur la bêtise ou la jalousie) une opinion, puis s’y entêtent et salissent alors sans scrupules l’objet de leur haine. Une conversation avec quelqu’un de superficiel implique donc toujours une bonne quantité de ragots et de discours vides.

Combinez leur besoin insatiable de faire jaser avec un manque étonnant de conscience de soi, et vous avez un monologue infernal. Le mieux est de ne pas rebondir dessus & de partir dès qu’on peut.

– Sentiment que tout leur est dû :

Un individu équilibré sait que le monde ne nous doit rien & ne nous donne rien pour rien ; tout se paie et doit se gagner, souvent par un dur labeur – & si on ne le fait pas, on n’a rien. Mais les gens superficiels semblent ignorer ce fait & s’attendent à ce que tout leur tombe tout cuit dans le bec, et que les autres se sacrifient & se coupent en 4 pour leur offrir tous leurs caprices !

– Accro aux médias sociaux :

Ces gens y passeront des heures, à regarder ce que publient certains, ou des bêtises, ou à donner leur avis (souvent mal informé & agressif).

– Manque de compas moral ;

Une personne décente possède des valeurs & principes sur lesquels elle se base pour faire ses choix de vie – mais cela nécessite une réflexion approfondie, ce qui répugne aux gens superficiels. Voilà pourquoi ces individus ne sont enracinés dans aucune valeur & n’ont pas de principes pour guider leur comportement.

– Absence d’intelligence de soi :

Ils manquent de toute compréhension de choses basiques de la vie – comme le contrat social, les bonnes manières, la gratitude, …

Conclusion :

Pour votre bien, évitez comme la peste les gens superficiels ; ils nuisent à votre santé mentale & vous font perdre votre précieux temps !

 

 

Etre mature … ou pas !

Par défaut

A part les enfants (dont il est naturel qu’ils le soient), les êtres immatures sont à fuir, car ils sont pénibles à fréquenter.

Comme les bébés, ils ne font que prendre sans rien donner en retour – ce qui épuise les « donneurs ».

Même s’il est plus simple de voir la maturité physique que la maturité émotionnelle, il y a des signes clairs montrant qu’un enfant mûrit : lorsqu’il commence à prendre des responsabilités, à se tenir responsable de ses affaires, quand il commence à aider, à faire sa part du boulot, au lieu de se faire servir comme un pacha, ou quand il se met à remarquer qu’on est fatigué(e) ou malade, & décide de faire les tâches tout seul pour rendre service jusqu’à ce qu’on soit remis(e), …

Mais finalement, ce n’est pas une question d’âge ; il y a certains enfants très mûrs & des adultes qui restent d’éternels bambins !

Alors, comment déterminer (pour un adulte) s’il est mature ou pas ? On peut dire qu’il l’est s’il a de l’intégrité, c-à-d qu’il a réalisé l’équilibre entre la réalité extérieure & son intellect, c’est quelqu’un qui est prêt à remettre en question (qu’il les garde ou pas en fin de compte) les idéaux & valeurs de ses parents pour former ses propres valeurs, se définir en tant qu’individu, quelqu’un qui a pu résoudre ses problèmes d’identité.

A l’inverse, à quoi peut-on voir qu’un être ne l’est pas, qu’il est immature (& donc, un « preneur » épuisant) ?

Aux 10 signes suivants :

manque d’empathie ; l’empathie, c’est pouvoir distinguer comment un autre se sent & communiquer cette compréhension à l’autre. Là, il y a inaptitude à distinguer cela ou le sachant, refus de vouloir agir d’après cela,

surréaction en face des circonstances de la vie -> impulsivité, réactivité, l’individu agit selon ses émotions,

refus des responsabilités & blâmer les autres ; quoi qu’il arrive, ce n’est jamais leur faute – quand ces gens-là font une faute & qu’on le leur fait remarquer, ils refusent de l’assumer & rejettent immédiatement la faute sur quelqu’un d’autre. La responsabilité est le signe de la maturité ; être mûr, c’est être responsable,

gratification immédiate ; inaptitude à résister aux tentations & à retarder la gratification pour obtenir quelque chose de mieux,

égocentrisme ; c’est faire passer ses propres besoins avant ceux d’autrui, nier les besoins des autres, refuser qu’ils en aient aussi ou puissent vouloir les assouvir. En toute situation, ces individus-là se demandent comment elle les affecte & jamais comment elle affecte les autres,

– hostilité, méfiance & irritabilité ; ces individus haïssent les êtres humains & la société, et se mettent vite en colère, attaquant ceux qui expriment une opinion différente de la leur. Inaptes à séparer une personne de ses opinions, si quelqu’un n’est pas d’accord avec eux, ils déduisent que cette personne est méchante, stupide, ou veut les attaquer,

– mensonge & tromperie ; d’où vantardises, manipulation ou criminalité – tout ceci est lié au narcissisme,

– inaptitude à saisir des besoins & sentiments profonds ; superficialité (d’où manque de sens moral, primauté de l’apparence & des biens matériels, sentiment d’avoir droit à tout, manque de tact & de courtoisie, colportage de ragots, juger les autres, …)

– difficulté à poser des limites : incapacité à limiter ou rompre des relations malsaines ou blessantes (ceci ne vaut pas, bien sûr, pour ceux ou celles prisonniers d’une union & qui ne peuvent s’enfuir par faute d’argent, ou de santé, …).

aucun espace de croissance : pour ces individus-là, pas besoin de s’instruire ; ils savent déjà tout, ils ont déjà toutes les compétences nécessaires ( !). Ils acceptent de nouvelles infos dont ils pourront tirer profit, mais quant à apprendre une nouvelle aptitude, ou sur la société, ou le sens de la vie, non ;  ils refusent toute information, parce qu’ils ont déjà tout pigé ( !). Bref, ils n’ont aucune humilité, aucun espace pour le développement personnel ; juste pour l’ajout d’informations pouvant leur être utiles.

Selon le DSM (manuel des troubles mentaux), l’immaturité n’est pas un trouble mental – à moins qu’elle n’accompagne un autre trouble mental. Pourtant, ce trait de caractère est fortement lié aux traits de la « triade noire » (machiavélisme, psychopathie & narcissisme) – voilà sans doute pourquoi il pourrit énormément la vie des proches de personnes immatures !

Bref, un trait qu’on auquel on ne fait pas attention et qu’on trouve juste agaçant peut nous mettre sur les genoux – alors, pensons-y au moment de faire entrer des gens dans notre vie, ou à propos de nos relations actuelles …