Archives Mensuelles: août 2020

Ah, MERCI !!!

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Des trolls & autres individus stupides et/ou mauvais, qui ne peuvent reconnaître la vérité quand ils la voient, mais qui – comme tous les êtres mauvais – la sentent & la combattent partout où ils la rencontrent, me reprochent toujours de ne pas citer mes sources & que cela prouve que mes dires sont faux.

J’ai déjà expliqué que, au cours des maintenant 56 années où j’ai lu – et énormément lu, et beaucoup d’ouvrages scientifiques sur les questions que je traite – les informations vraies me sont restées, mais que je n’ai évidemment plus en tête les références (l’auteur, le titre de son écrit, etc).

Mais en plus de lire, j’ai réfléchi – et surtout, réfléchi sur ce que je vivais, ainsi que sur l’expérience de vie de bien d’autres personnes (car j’ai conseillé beaucoup de femmes dans ma vie).

Les conclusions que j’ai tirées de ce mix d’expérience, de vécu réel & de théories – et que je partage sur mon blog – sont donc des preuves empiriques ! Oui ; des preuves !

Voici ce qu’en dit Wikipedia ; preuve empirique : … terme collectif pour désigner la connaissance ou les sources de la connaissance acquise au moyen des sens, en particulier par l’observation et l’expérimentation.

Et l’adjectif empirique désigne, selon Linternaute : Qui s’appuie sur l’expérience, l’observation et non sur la théorie.

Ils continuent en notant que La science s’appuie en premier lieu sur une méthode empirique et pragmatique.

Ha ! C’est donc le fondement même de la science !

Du reste, COMMENT pourrait-il y avoir autre chose que ceci (le vécu & les conclusions qu’on en tire, en rectifiant ces conclusions à chaque fois que ça ne fonctionne pas, qu’elles ne collent pas au vécu) comme base de toute science ?!

D’ailleurs, tous les experts sur les questions que je traite (tous américains car en psychologie, l’Europe a au moins 50 ans de retard) disent quasiment les mêmes choses que moi.

Dans sa vidéo « FAUT-IL SE MÉFIER D’IDRISS ABERKANE ? » (https://www.youtube.com/watch?v=_aBlPrCZzp4), le philosophe Charles Robin (chaîne Youtube « Le Précepteur »)

Il y dit :  (4’46) une bonne idée n’a pas besoin d’être validée, elle n’a pas besoin d’être parrainée par d’autres bonnes idées pour avoir une valeur.

Et : c’est aussi notre responsabilité de lecteur de faire fonctionner notre esprit critique, et de ne pas adhérer aveuglément & sans aucun recul à tout ce qui est écrit dans un livre. L’important, c’est de savoir reconnaître une idée pertinente quand on en voit une, & une idée pertinente n’a pas forcément besoin de s’appuyer sur des données scientifiques. » 

Il explique même la tactique des idiots & des malfaisants ; « relever les erreurs commises dans un livre peut aussi être un moyen bien pratique de jeter le discrédit sur l’intégralité du livre & de ne pas avoir à répondre sur le fond des idées.

La technique est simple : on trouve des erreurs, portant parfois sur des aspects périphériques du sujet et, à partir de ces erreurs, on en déduit que c’est tout le livre qui est faux. C’est un procédé rhétorique bien connu, (…).

Merci à ce monsieur pour son bon sens !

 

 

Un fait étrange …

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Pour l’instant, je lis « Pourquoi nos enfants deviennent ce qu’ils sont », de Judith Rich Harris (Editions Pocket, oct. 2000), où l’auteur (l’autrice) réfute la théorie du primat de l’éducation parentale et explique que c’est le groupe des pairs d’un enfant qui forme sa personnalité, & non ses parents (qu’ils l’élèvent bien ou mal) et que l’humain a naturellement tendance (c’est une question de survie – vu qu’un humain qui vivrait seul dans la nature ne pourrait survivre) a vouloir s’insérer dans un groupe et se différencier d’autres groupes (le « nous » contre le « eux »).

Or, voilà que je tombe sur une vidéo racontant un phénomène curieux qui se manifesta lors du tournage du film « Planet of the Apes », tourné en 1967, qui semble confirmer les dires de Judith Rich Harris.

Ce fait réel est, je crois, assez éclairant sur les espèces animales – dont la nôtre (si tant est qu’on puisse se ranger parmi les animaux).

Comme vous le savez sans doute, le film comprend 4 genres de personnages ; des chimpanzés, des gorilles, des orangs-outans & des humains.

Les images de synthèse n’existant pas encore à l’époque, tous les acteurs devant endosser un rôle de singe étaient maquillés pendant 3 heures chaque matin avant de pouvoir commencer les prises.

Et à l’heure du repas de midi, il n’était évidemment pas question de les démaquiller pour devoir tout recommencer l’après-midi. Les acteurs allaient donc prendre ce repas déguisés.

Or, on assista à ce phénomène : les acteurs se sont inconsciemment regroupés selon leur « espèce », c-à-d les humains avec les humains, les gorilles avec les gorilles, etc. – chacun mangeant seulement avec ceux de sa propre espèce.

Cela montre que les individus se lient instinctivement avec des êtres qui leur ressemblent & évitent tout aussi instinctivement de se trouver dans un groupe d’êtres qui sont différents.

Je sais, bien sûr, qu’on a dépassé le stage de l’instinct, et je n’impose certes pas cette conclusion … Je vous laisse juste y penser & en tirer votre propre conclusion.

Ecrivez-moi si vous avez trouvé une autre explication…

PS :

Ayant lu mon article, ma sœur & m’envoie cette fine question : Pq alors certains vivent très bien dans la solitude? Tout le monde n’a pas une troupe d’amis

-Ce à quoi je réponds ; c’est malin ! ça remonte à des millions d’années (on est wired ainsi à la base)

Certains peuvent donc croire que je prétends qu’un humain ACTUEL ne pourrait survivre seul – alors, j’explique : l’espèce humaine est la plus grégaire de toutes les espèces existant sur Terre, & ce, parce que (à mon avis) l’humain est le plus démuni de tous les animaux.

En effet, dans la nature règne la loi du « manger ou être mangé » – c-à-d qu’il faut à la fois trouver à manger & protéger sa vie (éviter de se faire manger). Or, les humains ne peuvent courir vite, ni s’envoler, ils n’ont pas de griffes, de crocs pointus, de cornes ou de poison pour se défendre – bref, ce sont des proies faciles pour n’importe quel prédateur, même vieux & malade !

C’est pour ça que, bien avant qu’on soit des humains (ou même des primates), la Nature a sagement veillé à ce qu’on fasse ce qu’il faut pour survivre & se reproduire en nous dotant de formidables outils de survie automatiques : les instincts.

Donc, si actuellement, les gens peuvent se procurer un toit, s’acheter à manger dans les magasins et ne risquent plus de tomber sur un ours, un tigre à dents de sabre ou une meute de loups affamés en sortant de chez eux (& peuvent donc vivre seuls), ce n’était vraiment pas le cas avant ;

Un humain d’avant l’argent, les magasins, le contrôle de la nature, la sécu & les moyens de transport avait BESOIN des autres pour survivre – ne fût-ce que parce que personne ne possède tous les talents nécessaires ; par ex, un bon chasseur n’était peut-être pas doué pour trouver de l’eau ou guérir ses bobos, ou une femme, pour se défendre contre des bêtes féroces, etc.

Seule la vie en groupe permettait de conjuguer tous ces talents pour trouver à manger & se protéger – bref, survivre – d’où mon affirmation au 1er alinea.

Notre instinct grégaire, né il y a des millions d’années, n’est peut-être plus nécessaire de nos jours (encore que !), mais il est toujours là, en nous et même assez fort chez beaucoup de gens …

Gens toxiques : les signaux d’alarme

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Je veux parler aujourd’hui des personnes qui empoisonnent les autres et les situations, quelle que soit la relation (amoureuse, amitié, collègue, parent, enfant) qu’on ait avec eux, ceux dont le but principal dans la vie est de démotiver, désespérer, décevoir, les autres – de broyer l’esprit & l’âme de ceux avec qui ils entrent en contact.

J.K. Rowling les a splendidement décrits (les Détraqueurs) dans la saga Harry Potter ; créatures maléfiques absorbant toute joie de vivre chez ceux qui la possèdent …

A part le fait qu’on se sent mal avec eux, voici les signes auxquels vous pourrez les reconnaître :

– Quand il y a un problème, c’est toujours vous qui voulez en discuter pour le résoudre – eux le laissent bien grossir sans (paraître) le voir. Si quelque chose leur pose problème à eux, ils n’essaient pas d’en discuter, mais se vengent en vous critiquant ou en vous faisant des crosses derrière votre dos.

Et quand on leur parle pour tenter de résoudre un problème, ils refusent la discussion – ils se dédouanent de tout et se fichent en rogne si on insiste.

Ils disent alors qu’on cherche la bagarre – que c’est nous qui les attaquons – ce qui les rend innocents et leur donne une bonne raison pour vous attaquer – puisque c’est soi-disant pour se défendre !

Ces personnes tentent toujours de nous faire avaler que le problème n’est pas leur agression, mais notre réaction à leur agression !

Jamais ils ne s’excusent pour leur mauvais comportement – ils ont toujours une bonne excuse pour écarter toute responsabilité et pour expliquer pourquoi ce n’est pas de leur faute.

Et si vous insistez ou leur montrez que leurs excuses ne tiennent pas, ils se mettent en colère ou quittent la discussion, ou évoquent des fautes que vous auriez faites jadis.

Même s’ils s’excusent, ils ne le font pas spontanément ; vous avez dû le leur demander – et ils le font du bout des lèvres (seulement s’ils y sont obligés pour ne pas perdre un avantage). Et surtout, bien que s’étant excusés, ils recommencent à vous blesser à la 1ère occasion – prouvant qu’ils n’étaient pas réellement désolés par leur conduite, et que leurs excuses n’étaient pas sincères.

Dès que vous remarquez qu’au lieu d’assumer ses fautes, cette personne les rejette sur autrui (sur vous, le plus souvent) & que, loin de faire des efforts pour changer (& malgré ses excuses), elle reprend vite ses anciennes façons d’agir (c-à-d de façon mauvaise), vous savez à quel genre d’individu vous avez affaire !

– Ils gardent des parts de leur vie secrètes & refusent de révéler des informations pourtant indispensables,

– Ils piquent des crises de rage pour des détails futiles,

– Ils traitent leur famille sans respect,

– Tels des dictateurs, ils édictent des règles auxquelles vous êtes censé obéir,

– Ils sont souvent de mauvaise humeur ou en train de bouder,

– Ils sont froids, inamicaux, hostiles, et font régner un climat pénible, car ils ne se montrent jamais heureux ou satisfaits.

Typiquement, ils font la gueule quand vous êtes joyeux ou enthousiaste, refusent de vous consoler ou de vous soutenir quand ça va mal, critiquent tout et tout le monde, ne montrent aucun intérêt (mais au contraire, indifférence ou mépris) pour les choses qui sont importantes pour vous, ils ridiculisent vos croyances les plus sacrées & vous rabaissent (subtilement ou non), … Cette terrible violence émotionnelle prend la forme d’affecter de ne pas remarquer lorsque vous leur adressez la parole – pour induire que ce que vous dites est sans intérêt – & vous aussi par la même occasion !

Bien évidemment, ne comptez pas recevoir de compliments pour votre travail (votre élégance, votre bon goût en matière d’habillement ou de décoration, votre serviabilité, votre talent culinaire, vos œuvres d’art, …),

– Ils se montrent ingrats ; jamais vous n’avez droit à un merci, à de la reconnaissance pour ce que vous leur offrez ou faites pour eux ; tout leur est dû !

– Ils se font passer pour des êtres indépendants pour pouvoir agir de façon égoïste – alors qu’en fait, ils profitent tant qu’ils peuvent des autres,

– Ils appliquent le « 2 poids, 2 mesures » ; ils critiquent ceux qui font certaines choses, mais eux se le permettent sans aucun souci !,

– Ils trouvent normal que c’est toujours vous qui donnez – et ne donnent, quant à eux, jamais rien (ni cadeaux*, ni petites attentions, ni marques d’affection, …),

– Ils projettent leurs propres défauts sur vous et tentent de vous faire exprimer à leur place leur rage et leur folie,

– Ils aiment le combat, le chaos, la dispute, l’atmosphère de drame ; pas moyen, avec eux, de vivre dans un climat serein & chaleureux – donc, dès que vous vous exprimez, ils tournent ça en mal ou en ridicule et créent une dispute ou se moquent de vous. Et si, sachant ceci, vous ne dites plus rien devant eux, ils vous font parler, vous demandant votre avis sur un sujet quelconque. Là, quoi que vous répondiez, vous vous ferez agresser … Avec ces individus, la violence verbale & émotionnelle est quasiment continuelle !,

Ils ont besoin d’agresser les gens. Alors, quoi que vous disiez – même des choses gentilles, ils vous accusent de les attaquer, de parler d’un ton dominateur, agressif ou méprisant,

– Ils ne savent respecter ni eux-mêmes ni les autres (dont vous), ni la relation (voir https://bonheuretamour.wordpress.com/2012/11/18/la-relation-est-le-1er-enfant-dun-couple/),

– Il y a un ou plusieurs PN dans leur famille d’origine,

– Dernier trait typique des êtres dérangés ; jamais ils ne donnent un bon conseil (que ce soit exprès ou non) et jamais ils ne suivent un bon conseil qu’on leur donne (même s’ils nous l’ont demandé).

Bref, éloignez-vous des gens à problèmes, car leurs problèmes deviennent très vite VOS problèmes !

Les gens se demandent souvent ce qui est normal ou non dans une relation – c-à-d les choses qu’ils doivent considérer comme normales, et donc supporter (les petites frictions normales résultant du fait que chacun est différent – choses que l’on doit tolérer) ou celles qu’il faut considérer comme anormales, & ne pas supporter.

Alors, voilà la réponse : un acte ou une attitude anormale, est tout acte ou attitude qui perturbe la vie ensemble.

Par conséquent, si quelqu’un se fiche de vos sentiments, ignore vos limites et vous traite sans cesse de façon blessante, il faut cesser de le voir.

Il faut, si vous le pouvez, protéger votre santé physique & mentale en coupant les ponts, en excluant l’être toxique de votre vie. Décidez de rejeter tout ce qui n’est pas utile, amusant ou beau !

Quelle que soit la relation, vous n’avez pas à vous sentir le moins du monde coupable de fuir une personne toxique – pas plus qu’une gazelle qui fuit un crocodile, ou un mouton qui fuit un loup.

Prise séparément, chaque petite pique n’a l’air de rien, mais c’est un assassinat, une mise à mort lâche, lente & cruelle – commise à petits coups presque imperceptibles …

Retenez bien que si une abeille vous pique, ça fait juste un peu mal, mais si des centaines le font, vous mourez !

Si hélas, pour une quelconque raison, vous ne pouvez fuir la situation – ce qui est pourtant la meilleure & au fond, la SEULE chose à faire – voici quelques stratégies (peu efficaces, mais qui valent mieux que rien) pour vous protéger :

– Si quelqu’un ne vous contacte que pour se plaindre & critiquer autrui, coupez-le & demandez-lui ce qu’il compte faire pour résoudre ce problème,

– Détectez quand cette personne tente de vous entraîner à dévoiler vos sentiments, et n’entrez pas dans son jeu. Au contraire, n’abordez avec elle que des sujets triviaux – comme le temps qu’il fait ou le prix du beurre,

– Ne prenez pas leurs paroles au sérieux ; voyez d’où ça vient (d’un sentiment d’envie & d’infériorité, du désir de blesser ou de rabaisser, …) & fichez-vous-en,

– Ne vous mettez pas en colère contre le dérangement mental de l’autre, mais gardez fermement vos buts à l’esprit – & portez votre attention là-dessus (sur le fait de trouver un moyen pour ne plus devoir les fréquenter), au lieu de sur ce que cet être taré vous fait subir,

– Enfin, vous pouvez tenter la méthode d’Harry Potter, qui se défendait des Détraqueurs en faisant apparaître une entité protectrice – & pour ça, il suffit de songer au souvenir le plus heureux de votre vie.

*s’ils vous offrent quelque chose – pour Noël, ou votre anniversaire, … – c’est toujours quelque chose de grotesque (une barre chocolatée, par ex) ou quelque chose qui ne vous correspond nullement ou dont vous ne pourrez pas vous servir (des chaussures de jogging à une personne handicapée, par ex).

Ces « cadeaux » ne sont pas destinés à vous faire plaisir, mais à lui faire plaisir, à exprimer sa rage cachée, à vous frustrer & à vous faire piger votre insignifiance – puisqu’il montre ainsi que vous ne valez pas la peine qu’il s’enquière de vos goûts, ou accède à vos demandes.

Citations Vernon Howard

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La personne intelligente ignore ce qu’il faut faire. Elle se concentre sur ce qu’elle doit être. Il faut mettre les choses en ordre. Être clairvoyant est la première chose. Il est évident que c’est le seul type d’esprit qui prend des décisions correctes et profitables.

La guidance intérieure est entendue comme une musique douce dans la nuit par ceux qui ont appris à écouter.

Il est très sage de se demander : « Comment puis-je m’en sortir ? » Il est encore plus sage de se demander : « Comment suis-je arrivé là-dedans ? »

Ne pensez pas que vous devez vous impliquer dans des philosophies intellectuelles complexes. N’essayez pas d’être profond ou érudit.

La maladie humaine est si grave que peu de gens peuvent supporter de la regarder… mais ceux qui le font se rétabliront.

Soyez simple. Laissez la vie de tous les jours vous instruire.

Vous avez réussi votre vie quand tout ce que vous VOULEZ vraiment n’est que ce dont vous avez vraiment BESOIN.

Ne soyez pas impatient avec vos progrès apparemment lents. N’essayez pas de courir plus vite que vous ne le pouvez actuellement. Si vous étudiez, réfléchissez et essayez, vous faites des progrès, que vous en soyez conscient ou non. Un voyageur qui marche sur la route dans l’obscurité de la nuit continue d’avancer. Un jour, d’une manière ou d’une autre, tout s’ouvrira, comme le déploiement naturel d’un bouton de rose.

Lorsque vous comprenez le problème d’une autre personne, vous l’aidez correctement, même si vous ne pouvez rien y faire.

On vainc les circonstances (de la vie) simplement en n’ayant aucun besoin égotiste de les vaincre.

N’oubliez pas que vous n’êtes pas vos pensées négatives. Vous n’êtes pas vos douloureuses imaginations. Considérez-

vous comme séparé de vos pensées. Cela vous aidera à écarter les films d’horreur. Tout comme le feu s’éteint lorsqu’on ne lui donne pas de combustible supplémentaire, les feux émotionnels s’étiolent lorsqu’on cesse de les alimenter par une imagination négative.

Votre malheur est votre idée actuelle du bonheur. Essayez de voir comment il détruit votre vie. Vous avez une véritable chance. Cette seule chance est d’être dans l’erreur. (…) Remplacez cette idée.

En cultivant le beau, nous dispersons les graines des fleurs célestes, comme en faisant le bien, nous cultivons ceux qui appartiennent à l’humanité.

La solitude est un maître sage. Kierkegaard a fait remarquer qu’un signe de maturité spirituelle était la capacité à être à l’aise lorsqu’on est seul.

Marchez toujours dans la vie comme si vous aviez quelque chose de nouveau à apprendre, et vous le ferez.

Soyez simplement honnête avec vous-même. Cela ouvre la porte.

N’ayez pas peur d’affronter l’existence d’attitudes et d’émotions négatives en vous. Il suffit de voir qu’elles sont là. Souvenez-vous qu’elles ne sont pas le vrai vous ; ce sont des négativités acquises. Une fois que vous aurez vraiment vu cela, vous travaillerez sur vous-même d’une nouvelle manière.

C’est une erreur de penser que l’on a vécu trop longtemps dans ses anciennes habitudes insatisfaisantes pour effectuer le grand changement. Si vous allumez la lumière dans une pièce sombre, la durée de l’obscurité (passée) n’a aucune importance, car la lumière brillera de toute façon. Soyez enseignable. C’est là tout le secret.

Vous prenez le contrôle d’une condition (de vie) en n’ayant aucune attitude négative à son égard.

Vous brisez le cordon de la pensée douloureuse envers une autre personne en coupant le lien dans votre propre esprit.

La vérité, quand elle arrive, est toujours différente de ce que nous pensions qu’elle serait… si nous imaginons que nous connaissons déjà la vérité, cette imagination est basée sur des idées anciennes et habituelles. Mais la vérité est toujours quelque chose d’entièrement nouveau pour l’esprit ; nous ne pouvons donc pas l’imaginer. Tout comme nous ne pouvons pas savoir comment est un nouveau jour avant de le vivre, nous ne pouvons pas penser avec précision à une nouvelle vérité avant de la vivre pour la première fois. Lorsque nous osons abandonner nos opinions programmées, nous faisons de la place pour la vérité…

Les terribles immoralités sont celles qui se cachent derrière des masques de moralité, comme d’exploiter les gens en prétendant les aider.

Tout comme les ténèbres ne peuvent pas éteindre une bougie, le mal n’a pas de pouvoir réel sur la bonté.

Une compréhension claire des émotions négatives permet de les rejeter.

N’essayez pas d’être spirituel. Ce n’est qu’un mot dans le dictionnaire. Faites-vous le but de devenir un individu fonctionnant normalement. Laissez ces principes vous façonner selon votre nature réelle d’être humain simple, décent, honnête et sans peur.

Une personne vraiment forte n’a pas plus besoin de l’approbation des autres qu’un lion n’a besoin de l’approbation des moutons.

La libération intérieure peut être décrite comme une condition dans laquelle on ne prend plus ni le crédit, ni le blâme pour quoi que ce soit.

Les gens forts attirent les faibles.

La connaissance de soi est le grand pouvoir par lequel nous comprenons et contrôlons notre vie.

Sachez que la détresse et la déception sont des états de stupidité et rien d’autre. Ne vous y fiez pas. Ils n’ont aucune intelligence en eux ; ils ne peuvent que vous égarer. Vous êtes très stupide d’être attiré par leurs cris frénétiques. Ils crient qu’ils ont raison, mais ils ont toujours tort et ils sont mauvais pour vous personnellement. Ne suivez pas les leurres trompeurs de la détresse et de la déception.

Votre malheur consiste en ce qu’on ne peut pas vous dire sur vous-même.

Considérez le bonheur comme un état de liberté intérieure. C’est exactement ce qu’il est. Ce n’est jamais autre chose. Ca (vous) aidera si vous oubliez complètement le mot « bonheur ». Substituez-lui le terme de liberté intérieure. Cela agit favorablement sur vos habitudes de pensée. Cela relie la liberté intérieure au véritable sens du bonheur. Et cela vous met sur la bonne voie.

Chaque fois que nous résistons à quelque chose – peut-être une remarque désobligeante, un événement choquant ou un sentiment déprimant – notre résistance même indique une croyance dans le pouvoir de cet événement à nous blesser. Bien que ce soit vraiment impuissant, notre croyance erronée en lui induit le désespoir. Mais en ne résistant pas, nous dissolvons la fausse croyance et par conséquent, le faux pouvoir de nuire.

La vérité qui nous libère (et nous ouvre l’accès à) la santé et au bonheur pourrait être comparée à une belle femme avec une douzaine de prétendants ardents. Elle demande : « M’aimes-tu par-dessus tout, ou cherches-tu simplement une nouvelle source d’excitation ? » Ou encore : « Me seras-tu fidèle malgré les tentations ? » Ou encore : « Me veux-tu pour moi, ou simplement pour prouver combien tu es persuasif ? » L’homme qui donne les bonnes réponses entendra la vérité répondre. Elle ne déçoit jamais l’homme qui la poursuit avec une sincérité et une affection ardentes. Lorsqu’il la place avant tout, elle vient volontiers à lui.

50 ans de dommages internes causés par le moi-temps sont guéris instantanément par l’arrivée du moi éternel.

Votre niveau de conscience mentale attire la vie habituelle que vous menez.

Il y a un pouvoir qui vient quand vous n’avez plus votre pouvoir humain qui se fait passer pour quelque chose de bon et de juste. Seul le pouvoir provenant d’un lieu plus élevé a une conscience et une bonté et ceci fait partie du but de la vie, de trouver cela.

Une personne rayonne ce qu’elle est vraiment, et non ce qu’elle s’imagine être, et attire ce qu’elle rayonne.

Une vertu positive – réelle – n’est pas quelque chose que vous faites. C’est quelque chose que vous êtes. Une personne réellement gentille et sa gentillesse sont une unité ; elles ne font qu’un. Une personne vraiment gentille ne peut pas s’empêcher d’agir avec gentillesse, pas plus qu’une personne cruelle ne peut s’empêcher d’agir avec cruauté.

 

Conte ; charité bien ordonnée…

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Un joli conte sur la conscience d’Unité, et combien, sous ses airs bêtement idéalistes, elle est en fait utile …

Il était une fois un fermier qui possédait de grands champs de maïs.

Chaque année, il participait au concours local du plus beau maïs, et chaque année, il le gagnait.

Alors, comme c’était une petite ville, le journal local envoya un reporter pour l’interviewer.

Or, pendant leur conversation, ce journaliste découvre que le fermier partageait ses semences de maïs avec les fermiers voisins.

Evidemment, il est très étonné, et il dit au fermier ; Comment ? Ne savez-vous donc pas que tous ces autres fermiers à qui vous donnez vos belles graines, sont des rivaux, car ils participent aussi au concours du meilleur maïs ?

Bien sûr que je le sais, rétorque le fermier. Mais voyez-vous, il y a la pollinisation croisée … Le vent souffle ; il arrache le pollen des plants de maïs, et le répand sur d’autres plants, dans mes champs, comme dans les champs des alentours.

Avec la pollinisation croisée, le pollen de mon maïs va se déposer sur les plants de mes voisins, mais aussi, le pollen de leurs plants de maïs vient se déposer sur les miens.

Alors, si mes voisins font pousser du maïs de qualité inférieure, la qualité de mon maïs en sera impactée ; elle se dégradera forcément de plus en plus d’année en année.

Par conséquent, ce qui est favorable pour moi est bon pour tous – & vice versa : ce qui bénéficie à tous, me bénéficie aussi.

Ce conte, qui parle de la culture du maïs, peut s’appliquer à la vie … Si on a reçu, ou réussi à trouver une bonne chose, il ne faut pas la garder égoïstement pour soi tout seul ; il faut la partager avec le plus de monde possible, car la qualité d’une vie se mesure au nombre de vies qu’elle touche & sur lesquelles elle influe de façon positive.

Le bien qu’on fait nous reviendra, d’une ou d’autre façon, même si ce n’est pas évident de le voir…

Les phalènes & la flamme

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(poème sur la connaissance, de Farid ud-Din Attar)

Une nuit, les phalènes se rassemblèrent en une foule frémissante

Pour apprendre la vérité sur la lumière des bougies,

Et elles décidèrent que l’une d’entre elles devrait partir

Pour collecter des nouvelles sur l’insaisissable lueur.

L’une vola jusqu’à ce que, au loin, elle discerne

La fenêtre d’un palais où brûlait une bougie –

Et n’approcha pas plus ; elle revint en volant

Pour dire aux autres ce qu’elle croyait savoir.

Le mentor des phalènes rejeta son affirmation,

Remarquant : « Il ne sait rien de la flamme. »

Une phalène plus curieuse que la précédente

Partit et passa la porte du palais.

Elle voleta dans l’aura du feu,

Tache floue tremblant de désir timide,

Puis revint pour dire jusqu’où elle avait été,

Et tout ce qu’elle avait subi et vu.

Le mentor dit : « Tu ne portes pas les signes

De quelqu’un qui a entrevu comment la bougie luit ».

Une autre phalène s’envola – son vol incertain

Se changea en une ardente parade de séduction de la lumière ;

Elle plongea et remonta, et dans sa transe frénétique

Le soi et le feu étaient mêlés par la danse –

La flamme engloutit le bout de ses ailes, son corps, sa tête,

Son être brilla d’un rouge translucide ardent ;

Et quand le mentor vit cette flambée soudaine,

La forme de la phalène perdue dans les rayons luisants,

Il dit : « Il sait, il connaît la vérité que nous cherchons,

Cette vérité cachée de laquelle nous ne pouvons pas parler ».

Aller au-delà de toute connaissance, c’est trouver

Cette compréhension qui échappe à l’esprit,

Et l’on ne peut jamais atteindre l’objectif tant désiré

Jusqu’à ce qu’on s’élève d’abord plus haut que la chair et l’âme ;

Mais s’il devait en rester une partie, un seul cheveu

(Cela) vous tirera en arrière et vous plongera dans le désespoir –

Aucun moi d’une créature ne peut être admis ici,

Où toute identité doit disparaître.

(d’après version en anglais d’Afkham Darbandi &Dick Davis,

traduit librement par moi)

 

5 exercices de pleine conscience

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1er mouvement : debout & en inspirant, lever lentement les bras devant soi (comme un fantôme), paumes vers le bas, jusqu’à hauteur des épaules. Puis abaisser les bras en expirant et en souriant. (4 fois)

2ème mouvement : même mouvement, sauf que les paumes sont l’une face à l’autre et qu’on lève les bras jusque tout en haut (aussi haut que possible). (4 fois)

3ème mouvement : poser le bout des doigts sur chaque épaule, écarter latéralement les coudes & en inspirant, détacher lentement les mains des épaules vers l’extérieur jusqu’à déplier complètement les bras, puis ramener, à l’expir, les mains aux épaules (4 fois).

4ème mouvement : joindre les mains à hauteur de la poitrine & les monter tout en haut (expir). En inspirant, descendre les bras latéralement (ils font un grand cercle autour de nous, de haut en bas). En bas, à l’expir, les paumes se rejoignent devant le pubis et les mains remontent ainsi jointes à hauteur du ventre, puis redescendent et se ré-écartent ; les bras remontent jusqu’en haut (inspir), les paumes s’y joignent et redescendent, jointes, devant le corps (expir) – & on reprend du début. (4 fois)

5ème mouvement : jambes tendues et légèrement écartées, se pencher vers le sol en soufflant – les bras (tendus) touchant presque le sol, et, en inspirant, on les remonte -devant soi, comme un fantôme – jusque tout en haut (4 fois).

 

Citations Mooji

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Ce guide spirituel jamaïcain vaut vraiment la peine d’être découvert – alors, voici quelques-uns de ses enseignements :

Il y a une présence, un silence, une immobilité qui est ici par elle-même. Il n’y a pas d’auteur, de créateur de cette immobilité. Elle est simplement là, en vous, avec vous. C’est le parfum de votre propre personne. Il n’y a rien à faire à ce sujet, elle est naturellement présente. Ce parfum de paix, d’espace, c’est le parfum de votre propre être.

Ne supposez jamais que vous avez atteint la vérité. Ne prétendez pas à la connaissance. Ne tirez aucune conclusion ou évaluation concernant la vérité. Dès que vous le faites, votre chute est assurée. Chaque fois que vous imaginez que vous savez quelque chose, vous cessez d’être ouvert à l’exploration vivante. Vous avez fermé une porte et coupé l’oxygène à la vérité qui respire.

Votre cœur est la lumière de ce monde. Ne le couvrez pas avec votre esprit.

Pour être libre, vous allez devoir sortir du moule du conditionnement personnel, de votre cocon. Chaque chercheur sincère doit être prêt à subir la transformation nécessaire pour passer de la conscience de chenille au papillon de la liberté !

Entrez dans le feu de l’auto-découverte. Ce feu ne vous brûlera pas, il ne brûlera que ce que vous n’êtes pas.

Jetez tout, oubliez tout ! Vous apprenez trop, vous vous souvenez trop, vous essayez trop… détendez-vous un peu, donnez à la vie une chance de suivre son cours, sans l’aide de votre esprit et de vos efforts. Arrêtez de diriger le débit de la rivière.

Quoi qu’il arrive, ne le repoussez pas. Quand cela s’en va, ne vous affligez pas. Les sentiments ne sont que des visiteurs, laissez-les aller et venir.

Si vous accordez trop d’importance à la compagnie humaine, vous ne découvrirez pas votre véritable Soi. Les relations qui ne sont pas fondées sur la vérité ne sont jamais entièrement fiables et sont rarement durables. Prendre le temps de se découvrir est la meilleure façon d’utiliser son temps. Donnez-leur la priorité.

Il ne faut pas chercher à l’excès des partenaires ou des amis, il faut chercher à se connaître et à être soi-même. Lorsque vous commencez à vous éveiller à la vérité, vous commencez à remarquer à quel point la vie s’écoule d’elle-même et à quel point « on » prend soin de vous. La vie soutient les besoins physiques, émotionnels, mentaux et spirituels de celui qui est ouvert à la découverte de soi. La confiance vous ouvre les yeux sur la reconnaissance de cela. L’abandon vous permet de vous fondre dans votre propre être éternel.

Je n’ai pas à être quoi que ce soit. Je n’ai même pas besoin d’être moi-même, car il n’y a rien de tel que de ne pas être moi-même. Je suis inévitablement moi-même.

Aller à la recherche de soi (comme but) est une illusion ; vous êtes déjà l’unique soi. Vous achetez la carte (routière), mais vous êtes déjà ici.

Essayer de comprendre la conscience avec votre esprit, c’est comme essayer d’éclairer le soleil avec une bougie.

Je viens vous appeler (pour rentrer) chez vous. Ceux qui résonnent avec mes mots et les suivent intérieurement, trouveront cet endroit et connaîtront sa complétude, sa joie et sa plénitude. Je suis venu pour vous appeler à vous éloigner de la souffrance, de la peur et d’une vie de chagrin et à vous rapprocher de votre propre Être divin. Je ne suis pas venu ici pour vous donner des histoires décoratives, pour exciter votre imagination ou vous inscrire à un long programme, mais pour vous montrer à quel point la Vérité est disponible et pour vous rappeler que vous n’êtes jamais séparés d’Elle.

Personne sur cette planète n’est séparé de la Vérité (qui est) dans son Coeur et pourtant le monde est si vaste et varié dans son expression. Le plus grand bien et le plus grand mal sont ici. Dans cette forêt de dualité et de complexité, vous devez trouver votre chemin vers la Maison. Vous devez reconquérir votre Soi. La sagesse et la confiance seront votre boussole.

Tout est magique quand vous le voyez avec votre coeur.

Une fois que vous commencez à reconnaître les dons divins dans la vie, vous en arrivez à voir qu’il y en a tant. Votre vie est abondante.

Vivez à la lumière de votre propre cœur… mais assurez-vous que ce cœur est silencieux et vide.

N’essayez pas de créer une sorte de forme pour votre vie comme si vous la coupiez avec une paire de cisailles. Ne taillez pas votre propre vie pour lui donner la forme que vous pensez qu’elle devrait avoir. Ne soyez pas un bonsaï, soyez un chêne puissant.

Priez : Sainte mère, saint père, saint esprit, ne me donnez pas l’illusion que même une seconde m’appartient. Tout est à vous. Moi aussi, je suis vous, et à vous. Car ce n’est qu’ainsi que votre vie a la chance d’être miraculeuse.

Ne soyez pas un entrepôt de souvenirs. Laissez les pensées du passé, de l’avenir et même du présent derrière vous. Soyez un témoin de la vie qui se déroule toute seule. Soyez libéré de tout attachement, de toute crainte et de toute préoccupation en gardant votre esprit à l’intérieur de votre propre cœur. Reposez-vous dans l’être. Ainsi, votre vie est toujours fraîche et imprégnée de joie pure et de présence intemporelle. Soyez heureux, sage et libre.

Les voies de l’esprit sont anciennes, mais votre Soi est intemporel.

Vous dites que vous voulez vous débarrasser du bruit, mais vous et le bruit allez ensemble. Vous devez être vous sans « moi » et tout bruit s’arrêtera. Le vrai « vous » est le témoin sans forme qui se trouve à l’intérieur. La personne, le bruyant, n’est qu’imaginaire. Reconnaître cela, c’est la liberté.

Ce n’est même pas qu’il faille renoncer à de vaines poursuites. Dieu ne vous demande pas de renoncer à vos douceurs, à vos friandises préférées. C’est juste que vous commencez à vous perdre tout intérêt pour elles.

Nous ne sommes jamais sans grâce. Nous ne pouvons jamais être abandonnés, elle est toujours là. Dieu ne peut jamais abandonner l’humanité.

Le sage ne voit que le Soi. La personne voit beaucoup de personnes. On voit de la totalité, on voit de la fragmentation. Tous les 2 sont vous.

Ne vous inquiétez de rien dans ce monde et vos yeux brilleront à nouveau. Votre coeur devient ouvert, clair et pur.

Ayez confiance. Alors que vous avancez, la grâce vous précède. Avant même que vous ne fassiez votre premier pas, elle est là avec vous et vous accompagne tout au long du chemin. Par conséquent, déposez vos armes. Déposez toutes vos techniques et vos efforts afin de découvrir le silence sans effort. Sachez que l’univers entier soutient votre éveil. Ne doutez, ni ne craignez. Tout va bien. Reposez-vous. Retrouvez et ressentez votre Coeur.

En fin de compte, il n’y a pas de dialogues dans le monde ; tout est un monologue divin.

Pouvez-vous vous imaginer être dans un endroit à l’intérieur de vous, où réellement, vous n’avez pas besoin d’être aimé ? C’est un endroit très calme dans lequel votre amour devient ouvert, large, beau et fort.

JE N’AI PAS BESOIN DE VIVRE LA VIE, ET JE N’AI PAS NON PLUS « UNE » VIE À VIVRE. JE SUIS LA VIE.

Tout ce que vous voyez dans la vie sort du sein de Dieu.

Vous avez le pouvoir inné de discerner en vous une présence qui n’est pas celle de l’esprit. Le Divin vous donne un baiser de l’intérieur. Et même un baiser soufflé doucement par Dieu suffira à vous inciter à vous lancer dans la recherche de la liberté. Ce baiser mettra votre cœur en feu !

Allez à la source – vous n’avez pas loin à aller. Vous n’avez pas besoin de faire un seul pas, car tout est là, maintenant.

Et la douleur physique ? Qu’en est-il de la souffrance ? Remettez votre existence à l’existence et taisez-vous. Tout est grâce. Si vous aviez vraiment le libre arbitre et le pouvoir de façonner votre destin, de créer votre vie idéale, vous laisseriez très probablement de côté tous les malaises, tout ce qui met votre ego au défi, tout ce qui expose des sentiments de culpabilité ou de honte ou tout ce qui menace vos attachements. Vous excluriez tout cela et les remplaceriez par des expériences au goût de chocolat. Mais quels que soient vos efforts pour construire et assurer une vie qui satisfasse vos projections, vous ne parviendriez pas à égaler, en qualité et en bienveillance, la vie qui se déroule sans intention humaine. Un homme a dit un jour à Sri Nisargadatta : « Maharaj, tes paroles résonnent au plus profond de mon cœur. Je ressens leur pouvoir et je sais qu’elles sont vraies. Mais si je dois être honnête dans la description de mon expérience de vie, je dois admettre que tout au long de ma vie, j’éprouve continuellement de la souffrance ! Et Maharaj a répondu : « Non, ce n’est pas vrai. Vous ne vivez pas la souffrance, vous dolorisez votre expérience de vie ».

Oins ma tête avec l’huile de ton Esprit Saint, afin que je n’imagine pas, même pour un instant, que la séparation d’avec toi est possible. Scelle mon unité avec toi pour toujours et au-delà. Amen.