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Proverbes & Citations LXXXIV

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La vérité est le seul moyen d’arriver à quelque chose (Julian Assange)

Tu es comme tu agis – pas ce que tu crois, pas ce que tu dis, pas comment tu votes, mais comment tu agis ()

La science ne se fait pas par consensus (Michael Knowles)

Une grande leçon de la vie est qu’il ne faut jamais rien forcer ; conversations, relations, amour, attention, ou amitié. Tout ce qu’on doit forcer n’en vaut pas la peine. Il faut juste laisser les choses suivre leur cours naturel, & alors, tout ce qui doit continuer continue, et tout ce qui doit casser, casse, et il faut l’accepter ()

L’histoire n’est pas là pour que vous l’aimiez ou la détestiez. Elle est là pour que vous en tiriez des leçons. Et si elle vous offense, c’est encore mieux. Parce qu’alors vous êtes moins susceptible de la répéter. Ce n’est pas à vous de l’effacer. Elle appartient à chacun d’entre nous ()

Vous avez une vision de votre propre idéal et vous vous tourmentez vous-même lorsque vous ne l’atteignez pas (Jordan Peterson)

La promptitude est un signe de respect (Kevin Kelly)

Pour être intéressant, soyez intéressé (dicton)

Tout ce que vous avez dans l’esprit tendra à arriver dans votre vie. Si vous continuez à croire comme vous avez toujours cru, vous continuerez à agir comme vous avez toujours agi, & donc, à obtenir ce que vous avez toujours obtenu.  Si vous voulez des résultats différents, tout ce que vous devez faire est de changer votre esprit ()

Je suis terriblement choqué par les gens qui vous disent qu’on est libre, que le bonheur se décide, que c’est un choix moral. Les professeurs d’allégresse pour qui la tristesse est une faute de goût, la dépression une marque de paresse, la mélancolie un péché. Je suis d’accord, c’est un péché, c’est même le péché mortel, mais il y a des gens qui naissent pécheurs, qui naissent damnés, et que tous leurs efforts, tout leur courage, toute leur bonne volonté n’arracheront pas à leur condition. Entre les gens qui ont un noyau fissuré et les autres, c’est comme entre les pauvres et les riches, c’est comme la lutte des classes, on sait qu’il y a des pauvres qui s’en sortent mais la plupart, non, ne s’en sortent pas, et dire à un mélancolique que le bonheur est une décision, c’est comme dire à un affamé qu’il n’a qu’à manger de la brioche (Emmanuel Carrère)

Comment mange-t-on un éléphant ? Une bouchée à la fois ! (dicton)

Ecoute avec curiosité. Parle avec honnêteté. Agis avec intégrité (Roy T. Bennett)

… il ne faut jamais agir selon la seule raison, car les décisions que l’on prend sous sa maigre lumière restent toujours étriquées (Michel de Grèce)

Le sot ne voit pas la Voie, quand bien même il marcherait dessus (proverbe chinois)

Dieu a créé la terre avec des lacs et des rivières pour que l’homme puisse y vivre. Et le désert pour qu’il puisse trouver son âme (proverbe touareg)

Ce qu’un père peut faire de plus important pour ses enfants, c’est d’aimer leur mère (Th. Hesburgh)

La comparaison est la mort de la joie (Mark Twain)

Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs (La Fayette)

Si nous avons été embobinés assez longtemps, nous avons tendance à rejeter toute preuve de l’embobinage. Nous ne sommes plus intéressés par la recherche de la vérité. L’embrouille nous a capturés. Il est tout simplement trop douloureux de reconnaître, même à soi-même, que l’on s’est fait avoir. Une fois que vous avez donné à un charlatan un pouvoir sur vous, vous ne le récupérez presque jamais (Carl Sagan).

Il n’y a pas de « mérite » ; chacun fait du mieux qu’il peut, avec ce qu’il a (B. de Laat)

Trouvez toujours le courage de parler & l’envie de clarifier les choses. Parce que les silences pèsent comme des pierres. Et les pierres deviennent des murs. Et les murs, enfin, séparent ()

C’est la vie, & aucun d’entre nous ne s’en sortira vivant. Donc, mangez des choses délicieuses, sortez au soleil, plongez dans les océans, dites la vérité que vous portez dans votre cœur, soyez fous, soyez bons, soyez bizarres. Il n’y a pas de temps pour autre chose (Richard Gere)

L’empathie (art de comprendre les émotions) ; cette aptitude à se mettre à la place des autres est plus importante que l’intelligence. Elle montre la maturité de l’être humain.

Ceux qui sont en mesure de voir au-delà de l’ombre des mensonges de leur culture ne seront jamais compris et encore moins crus par les masses (Platon)

Sans vérité, il n’y a pas d’unité. Sans unité, il n’y a pas de paix ()

Quand les hommes cessent de croire en Dieu, ils ne croient pas en rien ; ils croient en n’importe quoi (G.K. Chesterton)

C’est dans le vide de la pensée que s’inscrit le mal (Hannah Arendt)

Savoir pour prévoir, prévoir pour pouvoir, et pouvoir pour contrôler (Auguste Comte)

L’un des premiers devoirs d’un médecin est d’éduquer les masses à ne pas prendre de médicaments (William Osler)

Se focaliser sur ce que l’on n’a pas est une recette pour être malheureux ()

Il y a une difficulté à ne pas être d’accord avec Dieu. Il est la source d’où provient tout notre pouvoir de raisonnement : on ne peut pas avoir raison et Lui tort, pas plus qu’un ruisseau ne peut s’élever plus haut que sa propre source (C.S. Lewis)

Ne réagissez jamais à une sollicitation ou une proposition au téléphone. L’urgence est un travestissement (Kevin Kelly)

Il faudrait mesurer la force d’un esprit selon la dose de « vérité » qu’il serait capable d’absorber impunément, plus exactement selon le degré auquel il faudrait délayer pour lui la vérité, la voiler, l’adoucir, l’épaissir, la fausser

(Nietzsche)

On peut mesurer l’influence et la force d’un esprit à la quantité de bêtises qu’il fait éclore (Aragon)

Quel dommage que nous ne tirions les leçons de la vie que quand elles ont cessé de nous être utiles (O. Wilde)

La vie ne peut consister qu’en se levant chaque matin, allant gagner des sous & regarder la télé … On doit sentir qu’on accomplit quelque chose d’utile & d’important ! ()

Notre plus grande prison est la crainte de ce que les autres vont penser ()

On vit dans une société folle, où on se crève à travailler tout le temps pour avoir un salaire qui nous permet d’acheter des choses pour nous défaire de tout le stress qu’on accumule au travail (Veronika)

Le plus dur n’est pas d’aller de 1 à 2, mais d’aller de 0 à 1 (Bernard Werber)

Ne permettez pas à vos blessures de vous transformer en quelqu’un que vous n’êtes pas (Paulo Coelho)

Pour vivre heureux, vivons caché (proverbe)

Des amis valent mieux que de l’argent. Presque tout ce que l’argent peut faire, des amis peuvent le faire mieux (Kevin Kelly)

Chaque décision que vous prenez – chaque décision – n’en est pas une sur quoi faire ; c’est une décision concernant QUI vous êtes. Quand on comprend ceci, tout change ; on voit les choses autrement ; tous les événements, incidents ou situations deviennent des occasions de faire ce pour quoi vous êtes venu ici-bas & pour ça, il suffit d’avoir une bonne estime de soi – facile à acquérir ; il suffit de bien se comporter, envers soi, les autres & la Terre (B. de Laat)

L’Etat est notre serviteur, et nous n’avons pas à en être les esclaves (A. Einstein

Arrêtez le corps et il guérit, mais blessez le cœur, et les blessures durent toute la vie (Mineko Iwasaki)

Reconnaître le bon que vous avez déjà dans votre vie, est la fondation de toute abondance (Eckart Tölle)

Si vous ne dites pas ce que vous pensez, vous tuez votre moi non-encore né. Lorsque vous avez quelque chose à dire, le silence est un mensonge (Jordan Peterson)

Les réseaux sociaux ont donné le droit de parole à des légions d’imbéciles qui, avant, ne parlaient qu’au bar, après un verre de vin et ne causaient aucun tort à la collectivité. On les faisait taire tout de suite alors qu’aujourd’hui ils ont le même droit de parole qu’un prix Nobel. C’est l’invasion des imbéciles (Umberto Eco)

Ce que tu vises détermine la manière dont le monde se révèle à toi (Jordan Peterson)

Une famille est une tyrannie dirigée par son membre le plus faible (G.B. Shaw)

La vérité est plus belle que votre affectation d’amour. Votre bonté doit avoir un côté piquant, sinon ce n’en est pas (R.W. Emerson)

Un cœur généreux, un discours gentil et une vie de service et de compassion, sont les choses qui régénèrent l’humanité (Bouddha)

Proverbes & Citations LXI 

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En échouant à se préparer, on se prépare à échouer (Benjamin Franklin)

C’est l’oiseau matinal qui attrape le ver, mais c’est la 2ème souris qui attrape le fromage (proverbe)

Il faut rejeter l’idée qu’on peut posséder une sécurité permanente. La réalité, c’est que l’on n’a aucune sécurité, à part notre aptitude à lutter & à nous adapter (Jordan Peterson)

« Tout ce qui ne me tue pas me rend plus fort ». C’est une connerie. Du moins dans son acception banale et contemporaine. Au quotidien, la souffrance n’endurcit pas. Elle use. Fragilise. Affaiblit. L’âme humaine n’est pas un cuir qui se tanne avec les épreuves. C’est une membrane sensible, vibrante, délicate. En cas de choc, elle reste meurtrie, marquée, hantée. (Jean-Christophe Grangé)

Si on ne sait pas faire de l’amour cet absolu auprès de quoi toute autre histoire disparaît, on ne devrait jamais se hasarder à aimer (Sören Kierkegaard)

La punition de ceux qui n’acceptent pas les choses pour ce qu’elles sont, c’est de vivre en prison. Car être quelque part contre son gré, c’est être en prison (Epictète)

Qui s’incline sera redressé, qui se tient creux sera rempli, qui subit l’usure se renouvellera (Tao Tö King)

Eduquer l’esprit sans éduquer le cœur, n’est pas éduquer (Aristote)

Le gars qui ne peut voir qu’une semaine à l’avance est toujours le plus populaire, car il a le même regard que la foule, celui qui peut voir des années à l’avance a un téléscope, mais il ne peut faire croire à personne qu’il l’a (Will Rogers)

Mieux vaut suivre le bon chemin en boitant que le mauvais, d’un pas ferme (St Augustin)

Le savoir est la seule richesse que l’on puisse entièrement dépenser sans en rien la diminuer (Idriss Aberkane)

Sois heureux un instant… Cet instant, c’est ta vie … ()

Il y a 3 genres de gens : ceux qui voient, ceux qui voient quand on leur montre & ceux qui ne voient pas (L. da Vinci)

Plus on met de temps à prendre une décision, plus elle devient difficile à prendre ()

Beaucoup de gens meurent à 25 ans & ne sont pas enterrés avant leurs 75 ans (Benjamin Franklin)

On n’a qu’une seule chance de faire une 1ère bonne impression (dicton)

La vie est une pierre & l’homme est aussi fragile que du verre ()

Qu’est-ce que la sagesse ? C’est accepter la mort & le non-sens général. Tenir les attachements pour des diminutions, les passions pour illusoires, l’espérance, pour faiblesse. Et avec cela, s’efforcer d’être le meilleur exemplaire humain possible, digne d’estime pour soi & pour autrui (L. Pauwels)

Par la rue « tout à l’heure », on arrive à la maison « jamais » (Cervantès)

La seule source de connaissance est l’expérience (A. Einstein)

Voyager est fatal aux préjugés, à l’intolérance et à l’étroitesse d’esprit (Mark Twain)

Si la vie devient une lutte … comme elle peut parfois l’être… creuse profondément dans ton âme et localise ta force intérieure, tu la trouveras sur un rayon de Lumière Divine… Elle est juste là dans ton cœur (Julie Lewin)

Lorsque les mots ne franchissent pas les lèvres, ils s’en vont hurler au fond de l’âme (Christian Bobin)
J’ai beaucoup de chance en affaires … En fait, plus je bosse, plus j’ai de la chance ()

Berne-moi une fois, honte sur toi, berne-moi 2 fois, honte sur moi (proverbe américain)

Il y a 2 types de gens parfaits ; ceux qui sont morts & ceux qui ne sont pas encore nés (proverbe chinois)

Quand je te donne de mon temps, je te donne une portion de ma vie que je ne peux jamais récupérer, alors, ne me le fais pas regretter ()

Celui qui est son propre maître ne peut tolérer un autre patron (proverbe chinois)

Les préjugés sont un engagement émotionnel envers l’ignorance (Nathan Rutstein)

C’est lorsque nous nous élevons que nous paraissons petits à ceux qui ne savent pas voler (Nietzsche)

Occupez-vous du pire, le meilleur peut prendre soin de lui tout seul (proverbe yiddish)

L’ignorance est la pire forme de maladie, & ce qui guérit l’ignorance est donc le plus puissant de tous les remèdes (Manly P. Hall)

Une mort et une renaissance continuelles sont une condition préalable nécessaire à une bonne adaptation humaine. Chaque fois que vous apprenez quelque chose de nouveau, une partie de votre moi stupide doit mourir. Vous devez vous identifier à la partie actuelle de vous qui transcende votre personnalité actuelle, qui peut constamment mourir & renaître (Jordan Peterson)

La clé du succès est de faire une habitude, durant toute votre vie, de faire les choses que vous craignez (Brian Tracy)

En cherchant ce que l’âme désire, nous devenons des pèlerins n’ayant d’autre maison que la voie que l’âme veut nous faire suivre (Michael Meade)

Quand tu souffres, regarde la douleur en face : elle te consolera elle-même & t’apprendra quelque chose (A. Dumas)

La patience est un arbre dont la racine est amère, mais dont les fruits sont doux (proverbe iranien)

Celui qui laisse s’éteindre en son cœur le désir de sauver tous les êtres vivants, a péché (Bouddha)

Rien ne nous quitte sans nous avoir d’abord appris ce que l’on doit savoir (Pema Chödrön)

Le monde entier doit être vu comme un seul pays, toutes les nations, comme une nation, tous les hommes, comme appartenant à une race. Religions, races, & nations sont toutes des divisions créées par l’homme, & ne sont nécessaires que dans son esprit ; devant Dieu, il n’y a ni Persans, ni Arabes, Français ou Anglais ; Dieu est Dieu pour tous, & pour Lui, toute la création est une. Nous devons obéir à Dieu, & tenter de Le suivre en laissant tous nos préjugés & en amenant la paix sur la terre (Abdu’l-Baha)

Il est généralement futile de tenter de citer des faits à des gens qui tirent un sens de supériorité morale de leur ignorance (Thomas Sowell)

Une once de prévention vaut une livre de remède (Benjamin Franklin)

L’art, c’est se tenir avec une main tendue dans l’univers et une main tendue dans le monde, et se laisser être un canal pour l’énergie circulante (A. Einstein)

Comprendre : mot fabuleux, que je définirais comme un rafraîchissement de notre vision du monde afin qu’elle reflète davantage la réalité (Chris Anderson)

Le bonheur de votre vie dépend de la qualité de vos pensées. Gardez-vous donc en conséquence & veillez à n’entretenir aucune notion impropre à la vertu & à la nature raisonnable (Marc-Aurèle)

Je suis libre, et c’est pourquoi je suis perdu (F. Kafka)

Portez la gratitude comme un manteau, & elle nourrira chaque coin de votre vie (Rûmi)

Toutes les sciences sont vaines & pleines d’erreurs qui ne sont pas nées de l’expérience, la mère de toutes les connaissances (L. da Vinci)

Les excuses sont des illusions fabriquées que nous créons pour rationaliser nos comportements lorsque nous avons trop peur de poursuivre ce que nous voulons vraiment (Rûmi)

Si vous projetez délibérément d’être moins que ce que vous êtes capable d’être, je vous avertis que vous serez profondément malheureux pour le reste de votre vie (Abe Maslow)

L’égotisme est l’anesthésiant qui engourdit la douleur de la bêtise (Frank Leahy)

Quand tu danses avec le diable, le diable ne change pas, il te change, toi ! ()

Le progrès spirituel naît de la conscience de soi (Deborah King)

Tu dois devenir l’homme que tu es. Fais ce que toi seul peux faire. Deviens sans cesse celui que tu es, sois le maître & le sculpteur de toi-même (Nietzsche)

Si coquelicot veut briller, il pousse parmi la paille (proverbe)

La vie est l’art de tirer des conclusions suffisantes de prémisses insuffisantes (Samuel Butler)

Proverbes & Citations LI 

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L’homme sage voudra toujours être avec ceux qui sont meilleurs que lui (Platon)

Fuir ses problèmes est une course qu’on ne gagne jamais ()

C’est seulement dans l’effacement de soi, que l’on peut, par empathie, percevoir la réalité de l’autre (Jean-Pierre Otte)

La sagesse ne vient pas de la raison, mais de l’amour (André Gide)

Quand la loi & la moralité se contredisent l’une l’autre, le citoyen a la cruelle alternative soit de perdre son sens moral, ou de perdre son respect pour la loi (F. Bastiat)

Tout ce que tu ne peux pas donner te possède (André Gide)

Le bizarre paradoxe est ce n’est que lorsque je m’accepte exactement tel que je suis, que je peux changer (Carl Rogers)

Pourquoi avoir un but ? Parce que pas de but = pas d’émotions positives ! (Pr Jordan Peterson)

Nous sommes des êtres complets et la nature nous amène à le ressentir profondément, alors que la société crée en nous le manque. Elle sait nous faire croire & nous faire ressentir qu’il nous manque quelque chose pour être heureux. Elle nous interdit d’être satisfaits de ce que nous avons, de ce que nous sommes. Elle ne cesse de nous faire croire que nous sommes incomplets (Laurent Gounelle)

L’essence d’une vie heureuse & d’une société paisible gît en une seule phrase : Que puis-je donner ? (Abdul Kalam)

 Votre tâche consiste juste à trouver une ou plusieurs choses dans lesquelles vous pouvez exceller, puis à en faire votre principale activité dans la vie, (ce) qui consiste à exceller dans cette matière (Richard Taylor)

Si vous voulez connaître la fin, regardez le début (proverbe africain)

Chacun de nous ne comprend chez les autres que les sentiments dont il est lui-même capable (André Gide)

Le pire ennemi de la connaissance n’est pas l’ignorance, c’est l’illusion du savoir (Stephen Hawking)

Nous pensons sous forme de langage. La qualité de nos pensées et de nos idées ne peut être qu’aussi bonne que la qualité de notre langage (George Carlin)

Utilise tes rêves. Et même s’ils sont cassés, recolle-les ! Un rêve brisé bien recollé peut devenir encore plus beau et solide (Mathias Malzieu)

On ne peut pas employer la raison pour convaincre qui que ce soit de sortir d’une dispute argument où il est entré sans la raison (Neil de Grasse Tyson)

L’amour est le seul médicament qui peut guérir notre esprit et notre âme de l’intérieur ()

Aimer, ce n’est pas se regarder l’un l’autre, c’est regarder ensemble dans la même direction (Saint-Exupéry)

Qui veut faire quelque chose trouve un moyen, qui ne veut rien faire trouve une excuse (proverbe arabe)

Pourquoi les gens faibles (non pas physiquement, mais MORALEMENT faibles, c-à-d lâches & mensongers) sont-ils un tel problème ? D’abord parce que si on n’est pas capable de soutenir notre propre vie, c’est quelqu’un d’autre qui doit porter ce fardeau – & ceci n’est pas bien. Ensuite, parce que si on ne choisit pas pour sa vie une voie franche, utile & noble, on devient amer & trop blessé par la tragédie de l’existence, et en ce cas, on tente de se venger de cela dès qu’on trouve une occasion, & ceci n’est pas bon non plus. Donc, être faible est mauvais pour soi-même, pour notre famille & pour la société en général. C’est une mauvaise stratégie, car la vie est très difficile & on doit par conséquent y être préparé (= être fort moralement, pas faible) (Pr Jordan Peterson)

Les gens qui se vantent de leur Q.I. sont des losers (Stephen Hawking)

En fait, rien sur terre n’est aussi clairvoyant que l’amour. La chose qui est aveugle n’est pas l’amour mais l’attachement (A. de Mello)

La nature ne se dépêche pas, pourtant, tout est fait (Lao Tseu)

Peu importe combien la vie semble difficile, il y a toujours quelque chose que vous pouvez faire et y réussir. Là où il y a de la vie, il y a de l’espoir (Stephen Hawking)

Ce sont les tonneaux vides qui font le plus de bruit (proverbe)

Les experts sont par définition les serviteurs de ceux qui sont au pouvoir ; ils ne PENSENT pas vraiment, ils ne font qu’appliquer leur savoir aux problèmes définis par les puissants (Slavoj Žižek)

Quand on pense que ça ne peut pas être pire, ça le peut. Et quand on pense que ça ne peut pas être mieux, ça le peut (Nicholas Sparks)

Le plaisir est le bonheur des fous, le bonheur est le plaisir des sages (Barbey d’Aurevilly)

Être heureux, c’est être capable de devenir conscient de soi-même sans effroi (Walter Benjamin)

Qui connaît son cœur, se défie de ses yeux (proverbe chinois)

L’ignorance mène à la peur, la peur mène à la haine et la haine conduit à la violence. Voilà l’équation (Averroès)

Nous sommes ce que nous pensons. Avec nos pensées, nous bâtissons notre monde (Bouddha)

Un homme sage s’interroge sur tout (André Gide)

Le succès est de trébucher d’échec en échec sans perte d’enthousiasme (W. Churchill)

On ne peut effacer le passé, mais l’horizon se dégage… pour peu que l’on soit décidé à faire un pas en avant (Ebine Yamaji)

Ce que tu donnes aux autres, tu le donnes à toi-même (proverbe africain)

Les tuiles qui garantissent de la pluie ont été faites dans le beau temps (proverbe chinois)

On n’a pas besoin d’intelligence pour avoir de la chance, mais on a besoin de chance pour avoir de l’intelligence (proverbe juif)

La décision la plus courageuse que vous prenez chaque jour, c’est d’être de bonne humeur (Voltaire)

Ce n’est pas en écoutant quelqu’un parler que l’on évolue. C’est en agissant et en vivant des expériences (Laurent Gounelle)

La vérité est considérée comme du discours de haine par ceux qui haïssent la vérité (Mark Spence)

Un imbécile se reconnaît à 2 signes : il parle beaucoup de choses qui ne lui sont d’aucune utilité, & parle ouvertement de ce qu’on ne lui demande pas (Platon)

L’homme est tigre devant l’agneau et est agneau devant le tigre (proverbe)

Ne faites jamais confiance à quelqu’un qui vous raconte tous ses ennuis mais vous cache toutes ses joies (proverbe juif)

… le gauchiste se bat à la fois pour sauver l’économie, et contre le capitalisme. Mon Dieu, que ça doit être fatigant d’être un gauchiste ! (« Maudin Malin »)

Les cons, ça ose tout. C’est même à ça qu’on les reconnaît (M. Audiard)

Un très bon livre est égal à 100 bons amis, mais un bon ami est égal à une bibliothèque (Abdul Kalam)

Plus l’être est faible, plus tout changement est terrible pour lui (André Gide)

Quelques citations d’A. Einstein

Tu dois apprendre les règles du jeu, & puis, tu dois jouer mieux que quiconque d’autre (A. Einstein)

Si tu veux vivre une vie heureuse, relie-la à un but, pas à des gens ou des objets (A. Einstein)

La science sans la religion est boiteuse, la religion sans la science est aveugle (A. Einstein)

Une personne commence à vivre lorsqu’elle peut vivre en-dehors d’elle-même (A. Einstein)

Dès qu’on accepte nos limites, on peut les dépasser (A. Einstein)

La seule source de connaissance est l’expérience (A. Einstein)

Les personnes bonnes épousent toujours les mauvaises personnes, parce que les bons leur semblent bizarres (A. Einstein)

La vie, c’est comme rouler à vélo, pour garder l’équilibre, il faut sans cesse avancer (A. Einstein)

Ton meilleur professeur est la dernière erreur que tu as commise (Abdul Kalam)

Comment mener une vie heureuse ?

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Les maîtres en développement personnel, ainsi que de nombreux psychologues et philosophes, ont décrit l’importance de vivre avec une mission de vie.

Trouver un grand but et structurer sa vie en fonction de lui, peut changer notre vie – c’est même la seule chose pouvant nous épanouir.

Examinons ce que signifie vivre avec un but, pourquoi c’est si bénéfique pour notre bien-être et comment nous pouvons trouver ce but à notre vie, car comme l’a dit Nietzsche; « l’homme doit croire, doit savoir de temps en temps pourquoi il existe »

Celui qui vit avec un but a trouvé le « pourquoi » de son existence ; au lieu de dériver dans la vie & réagir à tout ce qui se présente, cet individu est proactif & contrôle bien plus son destin.

Ayant une idée claire de ce qu’ils veulent accomplir, ces individus se fixent des objectifs élevés & structurent leurs journées en fonction de la poursuite de ces objectifs.

Si l’on garde pendant une longue période ce mode de vie & que l’on avance dans la poursuite de ses objectifs, on peut dire qu’on vit avec un but.

Pourquoi est-il important de vivre avec un but ?

Beaucoup de gens croient à tort qu’une vie épanouissante doit être trouvée en atteignant un état final idéalisé ; si on pouvait juste gagner une certaine somme, ou atteindre un certain statut, vivre dans une belle maison et trouver le bon conjoint, alors la plupart de nos problèmes seraient résolus.

Cette idée est fausse ! Nos conditions de vie dans l’absolu n’ont rien à y voir : on peut être riche & en bonne santé, et être pourtant malheureux, et vice versa, car notre satisfaction dans la vie dépend de la destination dans laquelle on sent qu’on se dirige, c’est-à-dire si notre vie va vers un mieux ou un pire – et donc, si l’on n’espère pas un avenir meilleur, on est probablement malheureux.

Toujours, la stagnation engendre la déprime – le meilleur antidote est une vie vécue avec une mission.

Ceci requiert que l’on tente sans cesse d’actualiser notre potentiel (condition indispensable pour accomplir nos buts) – ce faisant, on ne peut que se sentir optimiste quant à notre avenir.

En d’autres termes, avoir un objectif est le meilleur outil pour améliorer constamment notre vie – ce qui est nécessaire pour éviter les effets du principe d’adaptation & la déprime.

Mais si certains ont la chance de savoir très tôt ce qu’ils veulent faire, la majorité des gens ignorent quel domaine les passionne, quelle est leur vocation

=> Comment trouver notre mission de vie ?

Il faut savoir qu’un tel but ne reste pas nécessairement statique au cours de la vie ; souvent, cela va évoluer ou même changer complètement avec le temps.

Nous pouvons accomplir tout ce que nous désirons dans un domaine et ainsi porter notre attention sur autre chose.

Ou peut-être que dans la poursuite de notre objectif initial, nous rencontrons une opportunité que nous n’avions pas envisagée jusque-là. Il faut comprendre que notre objectif n’est jamais figé dans la pierre ; trop souvent, les gens sont obsédés par leur idée, & n’osent faire un 1er pas car ils croient que cela doit définir le reste de leur vie.

La deuxième chose à garder à l’esprit pour ceux qui ne savent pas ce qui les passionne, c’est qu’on ne découvre pas une mission de vie en réfléchissant à la question. Il faut aller au-dehors et essayer différentes choses ; c-à-d que l’on est découvrira plus facilement à quoi on veut consacrer sa vie, en expérimentant différentes activités « en vrai ».

En faisant notre choix, cependant, il est essentiel d’assumer une entière responsabilité. Nous ne devons pas débuter quelque chose à cause de pressions familiales ou sociales. Si nous faisons quelque chose principalement pour l’argent, le statut, ou pour plaire aux autres, nous regretterons cette décision plus tard.

Quoi que nous choisissions, cela doit être intrinsèquement gratifiant – nous devons profiter du processus et pas seulement des récompenses qui peuvent en résulter.

Si nous choisissons une voie uniquement pour les récompenses finales, on sera arrêté par tous les obstacles & on abandonnera, car l’élan intérieur sera manquant.

De plus, si – comme c’est presque toujours le cas – ces récompenses ne viennent pas rapidement, on se lassera aussi.

Enfin, on ne se passionne pas pour quelque chose tant que l’on n’a pas développé un minimum de compétences.

Et vu la brièveté de la vie, il ne faut pas trop traîner pour décider quoi faire. Finalement, ce n’est pas trop compliqué … et si on est honnêtes avec nous-mêmes, ce qui nous retient n’est pas un manque d’options, mais la peur et la paresse.

Or, on en est là – littéralement !

Songez-y ; faites votre « truc », marquez votre empreinte ici-bas avant que la mort vienne vous saisir !

-Citations pour mener sa vie :

Aucun bien ne peut jamais survenir de dévier de la voie qu’on était destiné à suivre. On sera assaillis par des variétés de douleur cachée. Le plus souvent, on dévie à cause de l’appât de l’argent, de perspectives plus immédiates de prospérité. Comme cela ne résonne pas à quelque chose de profond en nous, notre intérêt se traînera, et finalement, l’argent ne viendra pas si aisément. On recherchera d’autres sources d’argent facile, nous éloignant de plus en plus de notre voie. Ne voyant pas clairement l’avenir, on finira dans une carrière cul-de-sac. Même si nos besoins matériels sont assouvis, on ressentira un vide intérieur, que l’on devra remplir avec un genre quelconque de système de croyance, de drogues ou de diversions. Il n’y a ici aucun compromis, aucun moyen d’échapper à cette dynamique. On reconnaîtra combien on a dévié (de notre voie) par la profondeur de notre douleur & frustration. Il faut écouter le message de cette frustration, de cette douleur, et la laisser nous guider… C’est une question de vie ou de mort (Robert Greene)

– L’homme sans but est comme un bateau sans gouvernail (Thomas Carlyle)

– Il me semble que je n’ai pas de boussole pour me dire à quoi je suis destiné… Et pourtant, en regardant en arrière, tout semble s’ajuster si bien que c’est comme si un esprit de guidance m’avait montré la voie (Nietzsche)

– Faites-vous aujourd’hui exactement ce que vous faites depuis des années ? Si c’est le cas, vous stagnez ; vos jours ne font que passer, chacun comme les autres, aucun d’eux ne vous apportant quoi que ce soit, si ce n’est l’accumulation des jours eux-mêmes. » (Richard Taylor)

– Il ne faut pas penser à l’objectif à atteindre, il faut seulement penser à avancer. C’est ainsi, à force d’avancer, qu’on atteint ou qu’on double ses objectifs sans même s’en apercevoir (B. Werber)

– Devant toute la souffrance qu’il y a dans la vie, il y a de quoi être désespéré, mais il faut posséder une chose à opposer à cela ; le sens. Le sens de la vie, c’est l’instinct qui aide à nous guider hors de cette catastrophe (la souffrance de la vie), & la majeure partie de ce sens se trouve dans le fait d’assumer la responsabilité de sa vie (Pr. J. Peterson)

– IL FAUT CRÉER LA VIE QUE L’ON VEUT, SINON ON FINIT PAR RESSEMBLER A LA VIE QUE L’ON A !

– Votre vie change au moment où vous prenez une nouvelle décision (Anthony Robbins)

– La maladie est la réponse à chaque fois qu’on commence à douter de notre droit à notre tâche – chaque fois qu’on commence à se rendre les choses plus faciles. Etrange & en même temps, terrible ! (Nietzsche)

– Quel homme dans le monde ne trouverait sa situation intolérable s’il choisissait un artisanat, un art, en fait toute forme de vie, sans ressentir une vocation intérieure ? Tout sur cette terre a ses côtés difficiles ! Seul un élan intérieur – plaisir, amour – peut nous aider à surmonter les obstacles, préparer un chemin, & nous élever au-dessus du cercle étroit dans lequel les autres parcourent leur vie angoissée & misérable (Goethe)

– La place où Dieu t’appelle est la place où ta joie la plus profonde & la faim la plus profonde du monde se rencontrent (F. Buechner)

– Deviens celui que tu es. Fais ce que toi seul peux faire. Deviens sans cesse celui que tu es, sois le maître & le sculpteur de toi-même (Nietzsche)

– Votre tâche consiste simplement à trouver une ou plusieurs choses dans lesquelles vous pouvez exceller, puis à en faire votre principale activité dans la vie, qui consiste à exceller de cette manière (Richard Taylor)

– Tant que vous ne vous êtes pas engagé, persistent l’hésitation, la possibilité de se retirer, & toujours aussi, dès qu’il s’agit d’initiative ou de création, une certaine inefficacité. Il y a une vérité élémentaire dont l’ignorance a déjà miné nombre de grandes idées & de plans merveilleux ; c’est que, dès l’instant où vous vous engagez, la providence intervient elle aussi. Toute une série d’événements jaillissent de la décision, comme pour l’appuyer par toutes sortes d’incidents imprévus, de rencontres & de secours matériels, dont vous n’auriez jamais rêvé qu’ils puissent survenir. Quoi que vous puissiez faire, quoi que vous rêviez de faire, entreprenez-le. L’audace donne du génie, de la puissance, de la magie. Commencez maintenant (Goethe)

 

 

Servir pour réussir

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Il est plus facile de découvrir notre but sur terre, et plus facile de suivre cette voie quand on pense à répondre à un problème auquel les gens sont confrontés, quand cela apporte une solution à un problème existant & que votre désir de résoudre ce problème vous obsède.

Si vous voulez trouver votre but ici-bas, il est bon de vous demander comment vous servez les autres – que ce soit les membres de votre famille, votre communauté, ou une certaine catégorie de gens.

Y a-t-il des organisations pour lesquelles vous vous passionnez & dans lesquelles vous aimeriez vous impliquer ? Si oui, tant mieux, car il arrive souvent qu’on trouve notre raison d’être dans des missions plus grandes que nous-mêmes.

On découvre généralement son objectif en étant celui ou celle qui aide à résoudre un problème pour les autres.

Si par exemple (comme moi), vous avez été élevé dans une famille abusive & que vous vous en êtes sorti, vous pouvez maintenant servir les enfants d’une manière ou d’une autre ou travailler avec d’autres pour lutter contre les abus.

Ou vous avez pu vivre une situation difficile qui a transformé votre vie, & à présent, vous êtes poussé à aider d’autres personnes confrontées au même souci.

Vivre sa vie en servant les autres apporte bonheur & fierté de soi.

Quand vous avez le sentiment que vous êtes né pour faire quelque chose, ou que vous êtes enfin à votre place, que vous pouvez employer & exprimer le meilleur de vous, c’est ça que vous devriez faire.

Ne faites pas l’erreur de poursuivre l’argent, ou de juste faire un boulot parce que vous avez le diplôme ; cela n’est pas votre vraie vocation. Celle-ci est quelque chose de bien plus profond ; c’est votre destin – même si vous pouvez l’exprimer dans beaucoup de voies différentes.

Votre but dans la vie est plus que simplement être bon à quelque chose ; c’est être génial dans quelque chose, dans une activité qui continuera à s’étendre avec le temps, à croître et à vous intéresser, et qui, non seulement est alignée sur qui vous êtes, sur votre mission, mais qui est aussi vraiment utile, car elle ajoute de la valeur sur cette Terre.

Toute vie une aventure, un acte de création, et doit continuellement le rester si l’on veut rester pleinement vivant.

Alors, si vous restez dans ce processus de création continue de vous-même, si vous gardez ceci en tête, vous aurez la patience et l’enthousiasme de laisser votre but dans la vie se dévoiler – et les choses, se dérouler comme elles le doivent.

Parfois, les rêves et le but de votre vie prennent du temps à découvrir et à développer. Mais sachez qu’il n’est jamais trop tard pour découvrir votre but dans la vie !

Osez voir grand, & rêver plus grand encore, faites votre travail de réflexion personnelle, « faites votre connaissance » pour avancer vers votre objectif de vie et après avoir compris ce qu’il pourrait être, faites tout pour que cela arrive.

La vie est un voyage, pas une destination. Chaque moment compte et aucune expérience n’est inutile.

Cessez de regarder vers l’arrière, bannissez les idées noires (doutes, craintes, regrets, remords), laissez ce qui a déjà été fait, & attendez plutôt impatiemment ce qui est possible.

Surtout, quelle que soit la voie qui vous attire, agissez ! Bernard Werber avait raison de dire que le plus dur, ce n’est pas d’aller de 1 à 2, mais d’aller de 0 à 1 !

Suivez votre coeur, osez être celui que vous êtes destiné à être, osez aller à la poursuite de vos rêves … et bientôt, vous serez, et ferez, et obtiendrez ce que vous avez toujours désiré !

Pourquoi on est coincé & on n’arrive pas à obtenir ce qu’on désire

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Malgré vos efforts, vous n’arrivez à rien ?  Vous vous sentez coincé(e) dans une situation pénible ?  Vous êtes totalement découragé parce que vous ne voyez pas comment vous pourriez vous en sortir ?  Comment cela se fait-il ? Etes-vous poursuivi par la poisse ? Et y a-t-il quelque chose que vous puissiez faire pour vous sortir de votre situation misérable ?

Laissez-moi vous aider :

D’abord, aimeriez-vous gagner le gros lot de la Loterie Nationale ? Oui, hein ? Quasiment 100% des gens répondent oui à cette question… Et pourtant, seule une minorité de gens ont acheté un billet ce mois-ci !

Pourquoi ? Parce que la plupart des gens savent qu’on n’a qu’une chance sur 10 millions de gagner, et, ne s’attendant pas à gagner, se disent que ce n’est pas la peine d’acheter un billet.

Bref, on agit selon ce à quoi on s’attend, & non selon ce que l’on veut !

Or, les 2 sont très différents l’un de l’autre.

Une attente est une croyance de si oui ou non on obtiendra ce que l’on veut (si on peut faire en sorte de l’obtenir ou si, à l’inverse, on n’en est pas capable, ou les autres nous bloqueront).

Alors, la raison pour laquelle on n’arrive pas à obtenir ce qu’on désire, c’est parce que l’on a des attentes qui diffèrent de ce qu’on veut – comme par ex, poursuivre la carrière dont on rêve, ou trouver le bon partenaire, ou perdre nos kilos superflus, …

Voilà pourquoi même quand on fait de gros efforts pour changer, on reste sur place & rien ne bouge.

Une équation traduit bien ceci : attentes + action = création de nos expériences de vie.

La plupart des gens croient qu’ils agissent selon ce qu’ils désirent & ne perçoivent pas qu’ils le font selon ce à quoi ils s’attendent – ce qu’ils croient obtenir comme résultat, d’après leurs expériences précoces.

Par ex, une femme, Julie, avait quitté un partenaire abusif et depuis, elle cherchait un autre compagnon. Hélas, elle ne tombait que sur des losers… jusqu’à ce qu’un jour, elle ait un rencard avec un gars « bien ».

Mais sûre d’avance que ce serait un autre fiasco, elle se conduisit de façon stupide, riant comme une sotte, ne le regardant pas en face et finissant par fuir sous prétexte d’aller aux toilettes.

Elle a agi selon ses attentes (un rencard raté de plus) & non selon son souhait (rencontrer un gars gentil).

Beaucoup de gens agissent comme elle …On veut changer sa vie… mais on ne croit pas vraiment qu’on le peut !

Et on laisse tomber nos désirs en tous domaines (santé, amour, carrière, …) – on se résigne & l’on renonce à notre vie, en fait ! – parce qu’on ne croit pas qu’on en est capable alors, on n’essaie même pas.

Vous voulez sûrement quelque chose, actuellement, mais vous n’êtes pas sûr que vous pouvez l’atteindre, alors, vous vous abstenez.

Quand on n’agit pas selon nos souhaits, on se retire du jeu. Acheter un ticket de loterie ne garantit pas qu’on gagnera, mais ne pas en acheter garantit qu’on ne gagnera pas !

Pourquoi agissons-nous ainsi ? Parce que le cerveau humain tente sans cesse de prédire ce qui arrivera probablement.

Dès que l’on anticipe un événement quelconque, on commence à se sentir et à agir de façon à être prêt à réagir adéquatement à ce qu’on croit qui va arriver.

Mais ce faisant, on participe à la création du résultat final – c’est un genre de prophétie auto-réalisatrice (sauf qu’elle n’est pas exprimée tout haut, & qu’on n’en a généralement pas conscience).

Si nos attentes diffèrent de nos désirs, c’est parce qu’on utilise le passé pour projeter l’avenir ; si on a échoué dans le passé, ou qu’on a été rabaissé étant enfant & traité de bon à rien, on tend à projeter cela sur nos désirs & projets futurs.

Dans notre cerveau, c’est la même zone qui est activée quand on pense au passé ou à l’avenir, mais ce n’est pas parce qu’on utilise ce passé pour faire des prévisions, que c’est ce passé qui nous freine sur la voie du succès.

Ce qui le fait, c’est que tout au fond de nous, on ne croit pas que l’avenir pourrait être mieux que le passé, & sans cette croyance, il est impossible de créer l’avenir que l’on veut !

Même si on a de la chance & que les circonstances idéales apparaissent, on ratera l’occasion.

Ce qu’il faut savoir, c’est que si ces résultats attendus peuvent manipuler nos comportements, c’est parce qu’ils restent inconscients. Amenons-les à la lumière de la conscience, & on pourra annuler leur mauvaise influence !

Si l’on connaît nos attentes dans une situation donnée, on peut utiliser notre esprit conscient pour neutraliser la pensée automatique & planifier comment créer un résultat différent.

Nos attentes concernant notre capacité à atteindre les choses que l’on désire, ont un énorme impact sur notre bien-être émotionnel.

Une grande partie du cerveau est dédiée à anticiper les récompenses (=les choses qu’on veut & qui rendent la vie digne d’être vécue).

« Un seul rêve est plus puissant que 1000 réalités », a dit J.R. Tolkien.

Quand on s’attend à recevoir une récompense, on ressent des émotions positives (joie, bonheur), tandis que quand on s’attend à ne pas pouvoir obtenir une récompense, on est envahi d’émotions négatives (tristesse, déception, dépression).

Plus l’écart entre ce que l’on veut & nos attentes à ce sujet est grand, plus notre détresse intérieure est importante.

Alors, que faire s’il y a effectivement un écart entre ce qu’on désire & ce qu’on s’estime capable d’obtenir ?

Il y a 2 façons de rétablir les émotions positives : abandonner notre désir, en se disant qu’au fond, on ne veut pas vraiment cela, ou que ça n’en vaut pas la peine, … ou modifier nos attentes ; les faire correspondre avec nos souhaits, en sorte qu’on puisse agir en ce sens.

Mais comment faire ceci ? Comment faire passer nos attentes de négatives (on n’aura pas la récompense) à positives (on l’obtiendra) ?

Voici un bon moyen : imaginez un événement qui arrivera dans un avenir assez proche ; une présentation devant un public, une réunion familiale, ou un but que vous essayez d’atteindre, …

Représentez-vous bien cet événement, puis demandez-vous comment ce à quoi vous vous attendez, vous fait vous sentir.

Si vous vous attendez à ce que ça se passe bien, vous vous sentirez bien. En ce cas, vous n’avez plus rien à faire.

Dans le cas contraire (si vous vous attendez à ce que ça se passe mal), c’est quelque chose dont vous ne voulez pas, et vous ressentirez des émotions négatives à ce sujet (peur, angoisse, anxiété, …).

Cela montre bien que vous nourrissez des attentes négatives à propos de cet événement.

La 2ème étape consiste à vous demander ce que vous préféreriez qui arrive, à la place des choses négatives auxquelles vous vous attendez. Cette question vous aide à démêler ce que vous voulez vraiment obtenir dans cette situation.

Ce que vous voulez, c’est justement la chose à laquelle vous ne vous attendez pas.

Souvenez-vous ; vous voulez gagner à la Loterie, mais vous ne vous attendez pas à gagner.

Enfin, demandez-vous ce que vous devez faire pour faire arriver ce que vous voulez.

Si on s’attend à un mauvais résultat à l’un de nos désirs, c’est souvent parce qu’on y a jadis été entraîné, et qu’on se focalise sur tout ce qui peut aller de travers, sur pourquoi ça ne marchera pas, … On ne génère pas des idées ou des pensées sur comment on pourrait faire que ça marche.

Quand on a un plan bien clair pour nous faire obtenir ce que l’on veut, notre vision des choses, le bilan qu’on fait de la situation, commence à changer ; on commence à entrevoir les possibilités …

Là, une modification de conscience survient et par la suite, chaque acte réussi que l’on fait vers ce but, améliore nos attentes quant au résultat final.

Certains pensent sûrement : « Je ne m’attends pas à ce que ceci marche pour moi ».

Ceux qui pensent cela n’osent pas rêver de comment leur vie pourrait être différente, parce qu’ils ne croient pas cela possible…

La solution pour qu’ils osent rêver & changer leur vie en mieux est de modifier leurs attentes, pour qu’ils puissent voir la lumière au bout du tunnel – et enfin marcher vers la sortie !

Les études faites sur ce sujet ont prouvé que changer nos attentes peut améliorer énormément notre vie.

Quand on est motivé par ce que l’on désire, le changement devient possible !

Vous connaissez sûrement la citation d’H. Ford ; « Que vous pensiez que vous pouvez, ou (que vous) pensiez que vous ne pouvez pas, (dans les 2 cas) vous avez raison ».

Votre passé n’est pas ce que vous êtes, ni vers où vous vous dirigez ; ce sont vos attentes à propos de votre avenir qui vous limitent le plus !

Heureusement, vous pouvez choisir : vous pouvez choisir de commencer à agir selon ce que vous voulez, et ce faisant, vous vous permettez de sortir du passé et de créer enfin la vie que vous voulez vraiment vivre !

Comment trouver l’épanouissement

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L’épanouissement (ou auto-réalisation) constitue l’étage supérieur de la pyramide des besoins d’A. Maslow. Pour ce dernier, l’humain a d’abord des besoins de base ou de survie (respirer, manger, boire, se reproduire), puis de sécurité (être protégé des dangers & du climat), puis d’appartenance (à un groupe, une famille, une culture), puis d’estime (être reconnu) & enfin d’auto-réalisation (croissance, réaliser tout notre potentiel).

Il y a tant de besoins à remplir que beaucoup jugent ce dernier besoin comme un caprice dont on peut se dispenser – mais pourtant, c’est sur celui-là que repose notre bonheur !

Quand on sait ce dont on est capable mais que, pour une raison ou une autre, on ne peut l’exprimer, on s’étiole & on est malheureux.

C’est l’« ingrédient » subtil, mais indispensable, dont on a besoin pour prospérer – alors, si l’on se résigne à moins qu’à notre meilleur, on pourrit de l’intérieur ; notre âme, notre élan, puis notre esprit, se racrapotent & s’abîment de plus en plus.

C’est pour cela que certains individus qui ont « tout » (au plan matériel, s’entend), sont malheureux sans comprendre pourquoi. Un état d’insatisfaction, de mal-être, de lassitude de tout s’empare d’eux et ils se jettent dans les plaisirs faciles (& dangereux) ou font une dépression.

Finalement, tous les autres besoins, on les a en commun avec les animaux ; seul ce dernier besoin est spécifiquement humain & peut nous procurer des joies à la fois intenses, pures, sereines … et durables !

Il est bon d’avoir nos besoins de base (nourriture, abri, …) remplis, mais seule la poursuite de ce but élevé nous énergise & nous épanouit, emplit notre vie d’excitation, de passion, nous donnant le sentiment qu’elle vaut la peine d’être vécue.

Vivre avec seulement nos besoins de base nous amène une vie confortable, mais vivre en poursuivant nos idéaux nous fait une vie chargée de magie…

Tout le monde vise à être heureux, mais ceux qui n’ont pas rejeté les mensonges sociétaux, sont amenés à le chercher là où il ne peut se trouver – c-à-d qu’ils triment dur (& devinez à qui ça profite !) pour se faire une vie confortable, où leurs besoins de base seront remplis, et rien de plus (ils n’ont d’ailleurs souvent pas d’idée qu’il peut y avoir plus que cela). Beaucoup ne l’atteignent jamais mais même ceux qui l’atteignent ont, au final, fait un marché de dupes – parce qu’ils n’ont pas atteint le bonheur qu’ils se promettaient de ce confort matériel !

Il est évidemment plus dur de poursuivre une vie d’idéal, car ça implique de prendre des risques, de repousser ses limites, d’oser sortir de sa zone de confort, de faire de nouvelles expériences, d’aller dans l’inconnu, …

Quand on fait ce choix-là, il y aura des peurs, de l’incertitude, un gros travail, de l’étude, des échecs, où l’on est déçu & on doit repenser à nos objectifs, …

Vous avez d’ailleurs plus de chances (à cause de la motivation apportée par la passion) d’atteindre ce but idéal que le but matériel.

A 1ère vue, la voie « conventionnelle » vaut mieux, mais c’est faux. Pour le comprendre, ré-évoquez les 5 choses dont vous êtes le plus fier dans votre vie ; vous avez sûrement constaté que ce sont des moments où vous avez triomphé d’une épreuve ou relevé un défi. C’était dur, tendu, risqué.

Et les battants dont on envie parfois la vie, ne sont pas arrivés où ils sont arrivés en prenant la vie confortable, mais en se poussant à agir & à risquer. Bien sûr, il s’agit de sortir de ses limites, & non de prendre des risques inconsidérés !

Tout comme les études ont montré que l’homme est fait pour le jeûne (on vit plus longtemps & en meilleure santé quand on manque – un peu – de calories que quand on en consomme trop), il n’est pas fait pour les tâches faciles.

Il se sent le mieux lorsqu’il doit se donner à fond, & même encore un peu plus que ça – mais il ne faut pas non plus que le défi à relever soit beaucoup plus grand que nos possibilités, sinon, on se décourage.

Même ceux qui ont gagné le gros lot à la Loterie, n’en retirent que 30 jours de bonheur, après quoi, ils retrouvent leur humeur habituelle… Ils peuvent pourtant glander sans rien faire dans les plus beaux endroits du monde, pour le restant de leur vie – mais … ça ne les rend pas heureux.

Si votre vie vous semble terne & dénuée de sens, c’est parce que vous ne poursuivez pas votre mission, que vous ne vous mettez pas à l’épreuve.

Au moment de mourir, on juge sa vie. Et juger qu’on a vécu une vie réussie ou médiocre & pleine de regrets, dépend de combien on a relevé de défis, combien on a osé sortir de notre zone de confort & l’on s’est levé pour atteindre notre plus grand potentiel. On peut dire que plus vous avez fait de ces choix « de sécurité », plus votre vie est nulle !

A l’inverse, si on mène notre vie en suivant notre cœur & notre mission, elle sera excitante & au moment suprême, on n’aura aucun regret. Même si ça nous a causé doute de soi, angoisses & frustrations, même si on a échoué, on est fier de soi d’avoir essayé, et on a appris des choses sur soi-même & sur le monde.

La vie nous offre à tous des occasions de faire ce choix entre une vie pépère & le risque. Mais on peut y songer même chaque jour.

C’est en s’engageant dans la voie de la réalisation de soi qu’on crée l’excitation & la motivation qui, à leur tour, nous poussent à l’action, à avancer vers notre but (sur ce qu’il doit être, voir http://www.bonheuretamour.com/2017/01/13/le-secret-du-bonheur/ ).

Si vous êtes morne, que votre vie est terne & peu excitante, que vous n’êtes pas motivé à faire votre job, c’est parce que vous avez choisi la vie pépère – soi-disant « raisonnable » & sans risques ! (et en plus, même ceci n’est pas vrai).

Tâchez d’y penser & de retrouver le moment où vous avez fait ce choix-là.

Songez aussi à combien votre vie serait différente – & plus gratifiante ! – si vous aviez alors fait l’autre choix.

J’espère vous avoir fait comprendre à quel point il est vital de vous pousser vers votre maximum & qu’à partir de ce moment, vous choisirez plus souvent la voie menant à l’épanouissement & au bonheur.

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Changez votre destinée… en mieux !

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Ou Comment ENFIN créer des résultats dans votre vie !

Si on veut arriver à quelque chose dans la vie, il faut se connaître, agir & surtout, obtenir des résultats – car le monde ne fonctionne que sur ça. Les 2 premiers éléments sont faisables, mais en ce qui concerne le 3ème (obtenir des résultats), les humains semblent très nuls !

C’est ennuyeux, car tout ce que l’on recherche, dans n’importe quel domaine de la vie, sont des résultats et si vous n’arrivez pas à générer ces résultats, votre vie ne vous plaira guère.

Les livres & l’internet fourmillent de « recettes » en 10 étapes pour réussir sa vie (ou dans la vie), mais toutes omettent l’essentiel – & donc, toutes foirent lamentablement ! Sinon, avec la masse d’informations – gratuites, en plus – à laquelle on a accès, tout le monde serait riche & heureux !

Si les gens « se plantent » dans leurs relations, ou leur carrière, …ce n’est pas parce qu’ils sont nuls dans le domaine en question, c’est bien plus général que ça ; ceux qui sont insatisfaits de leur vie, sont ceux qui sont incapables de faire arriver des résultats souhaités.

Et comme ils en sont conscients – comme ils « savent » qu’ils sont des « sous-doués du résultat », ils abandonnent directement, sans même plus essayer …

A l’inverse, il y a des « surdoués du résultat ». Quand on peut se souvenir qu’on a réussi à générer des résultats dans le passé, on sait qu’on est capable d’en re-générer à l’avenir, & c’est justement cela qui fait qu’on y arrive ! C’est en fait une question de mentalité, d’état d’esprit

L’épanouissement d’un être humain (c-à-d atteindre & concrétiser pleinement ses talents & potentiels) implique d’obtenir des résultats concrets, et non seulement des théories, des idées, des rêves.

Bien sûr que tout commence par un rêve ou une idée dans la tête de quelqu’un, mais ensuite, il faut agir, passer à la pratique, au lieu d’en rester à la théorie & aux belles paroles.

Traduire nos idées en actes est une compétence – elle peut donc s’acquérir ; on peut s’entraîner à passer à l’acte !

Comme notre société est basée sur le profit, & que des gens heureux rapportent peu, elle vise à nous garder vivants, mais dans le mal-être & la maladie – en sorte que tout est mis en œuvre pour nous désinformer & nous distraire de nos buts.

Pourtant, durant la majorité de notre Histoire, l’Homme n’avait pas l’occasion de rêvasser ; il devait créer des résultats (c-à-d se procurer de l’eau propre, à manger (suffisamment) & un abri correct) ou mourir ! C’est comme ça, dans la Nature…

Il faut agir & être efficace à ce que l’on fait, sinon, c’est la mort assurée !

Dans notre monde, ce n’est plus le corps qui meurt, mais l’Esprit, l’âme… La société s’occupe de la survie du corps, en général… même des plus pauvres.. Et c’est ça qui nous « endort » dans un confort factice.

Donc, si on est un sous-doué des résultats, c’est parce qu’on n’expose pas nos pieds au feu de la réalité !

Dans notre jeune âge, on a toutes sortes de beaux rêves dorés d’amour & de succès, mais qu’on ne relie pas au concret.

Donc, on ne fait rien, et le temps passe… On est pris dans la nécessité de gagner sa vie, dans les habitudes, dans les trivialités de la vie, …

Nos rêves se brisent sur le dur béton de la réalité ; on doit les rejeter & faire autre chose, parce qu’il n’y a pas moyen que ça puisse fonctionner dans la vraie vie. On doit donc réadapter nos rêves, nos ambitions & nos croyances à ce qui fonctionne dans le monde réel.

On pensait pouvoir vendre notre idée 1000 €, et on doit constater que les gens ne voudraient même pas payer ça 1€… ou qu’ils n’en voudraient même pas si on l’offrait pour rien.

Le marché n’est pas du tout ce qu’on croyait qu’il était… La réalité ne correspond pas du tout à notre rêve.

L’éclatement de nos rêves est pénible

Les plus forts réexaminent leurs projets, pour les faire correspondre à la réalité, puis retroussent leurs manches pour obtenir les résultats qu’ils désirent, mais la plupart des gens préfèrent continuer à vivre dans l’illusion, et, à chaque fois qu’un de leurs rêves irréalistes s’écroule, ils en recréent un autre, tout aussi mirifique & irréaliste…

Il est, en effet, TELLEMENT plus facile de vivre dans le rêve que dans la dure réalité ! Je l’ai dit ailleurs : la vérité est un alcool fort, que les mauviettes ne peuvent digérer & que seuls les êtres forts peuvent avaler !

Donc, les faibles, mêmes mis 1000 fois en face d’une conséquence révélatrice du monde tel qu’il est, ne peuvent pas voir & comprendre ce qui crève les yeux & se dépêchent de se tricoter un autre nuage de rêverie rose bonbon où ils se perdront & dériveront, bien au chaud… et où ils perdront le temps & l’énergie qui composent leur vie…

Les surdoués du résultat, eux, ne se voilent pas la face ; ils tirent la leçon de leurs erreurs, comprennent comment marche le monde ou le marché, & adaptent leur projet en conséquence… Eux s’accrochent à la vérité & refusent fermement l’illusion !

Ceux-là sont des réalistes, tandis que tous les autres ne sont que des rêveurs, qui parlent beaucoup, mais ne font rien de concret.

Il faut dire aussi qu’avec la mode actuelle du « Secret », de la « Loi d’Attraction », de la « manifestation » & autres billevesées, on y est bien poussés !  Et pendant que les jobards « visualisent le succès », les malins agissent & obtiennent le bon de la vie.

Si on respecte vraiment nos rêves, qu’on leur donne la primauté, il faut être prêt(e) à faire tout ce qu’il faut pour les atteindre, aussi pénible que ce soit… « Les gagnants font des choses que les perdants ne veulent pas faire » (Dr Phil Mc Graw).

Traduire ses rêves dans la réalité est toujours beaucoup de boulot, & du sale boulot. D’abord il faut être assez humble & souple que pour accepter d’abandonner nos croyances sur le réel – ce n’est pas lui qui changera pour nous ; c’est nous qui devons changer pour lui !

Si l’on constate que nos rêves ne collent pas au réel, on peut soit comprendre qu’on s’était fait des illusions & tenter de concrétiser nos rêves en s’appuyant sur la vérité, soit se créer un autre rêve à poursuivre.

Le réaliste se demandera d’abord : Quel genre de croyance ai-je sur le monde, qui rend mon projet impossible à réaliser ? Le rêveur, par contre, croit à ses chimères ou, même s’il sent qu’elles sont fausses, il refuse d’y renoncer.

Il a des croyances sur comment les choses devraient fonctionner, &, trop faible ou immature, ne peut les rejeter, ni laisser la réalité l’influencer & le modeler.

Accepter d’évoluer ainsi exige du courage & de la maturité. C’est pénible de comprendre que les idées qu’on nourrissait depuis des années, sont nulles.

Mais, à part ceux qui vivent en se berçant d’illusions, il y a l’autre genre de personnes ; celles qui, ayant vu leurs rêves brisés, se sont résignées à une vie médiocre, une vie où ils végètent, une vie de mort-vivant…

Ceux-là se croient très raisonnables & réalistes et, quand quelqu’un évoque ses rêves devant eux, diront des choses du genre : « Oui, moi aussi, j’avais des rêves. Mais reviens sur terre ; prends ce qu’il y a, au lieu de désirer des choses impossibles ! »

En fait, il ne faut pas cesser de rêver ou se résigner à une vie minable, mais juste comprendre que nos rêves irréalistes ne pourront jamais se traduire en résultats concrets.

Actuellement, pas mal de gens se soucient du monde (des autres, des animaux, de la Terre) & adoptent les croyances New Age, mais leurs bonnes intentions ne se traduisent généralement pas en résultats. Ils se rassemblent & blablatent indéfiniment, puis reviennent chez eux, en se sentant des types « bien »… et rien n’a été fait, bien sûr !

Pour créer du bonheur ou de la réussite, il faut générer des résultats.

Bien sûr, on sait maintenant que le bonheur ne dépend pas de choses concrètes, & que l’on peut être riche, en bonne santé & aimé, et être malheureux, et à l’inverse, être malade & n’avoir rien, et être heureux…

Mais en réalité, être heureux sans rien n’est à la portée que de quelques-uns ; les saints. Pour tous les autres, il faudra des choses concrètes pour qu’ils se sentent à l’aise & satisfaits… (la quantité de choses nécessaires dépendra inversément du niveau de conscience de la personne).

Les domaines des relations & de la spiritualité, comme les autres, demandent énormément de savoir & de travail pour qu’on y obtienne des résultats valables. Une bonne relation amoureuse, par ex, ne tombe jamais du ciel ; elle exige qu’on se développe en tant qu’être humain pour pouvoir maintenir une relation intime avec un autre.

Idem avec la spiritualité ; beaucoup ont toujours des concepts spirituels à la bouche, mais quand on creuse, on voit qu’ils n’ont pas éradiqué leur ego et leur idée d’avoir un haut niveau de conscience est comme, pour d’autres, l’idée d’avoir beaucoup d’argent, ou de femmes, ou de culture ; un moyen de se rehausser dans leur propre estime ! L’humilité indispensable à la spiritualité n’est pas là !

Si vous ne voulez plus être un rêveur, que vous voulez obtenir enfin des résultats, vous devez comprendre ce mécanisme des rêveries irréalistes & décider que vous le rejetterez désormais, pour observer le réel & le monde tel qu’il marche, & y adapter vos actions – bref, que vous vous tiendrez humble devant la réalité, parce que c’est le seul moyen de concrétiser vos rêves.

Ceci implique que vous devrez sans doute abandonner vos illusions ; des croyances qui vous sont chères, ou ré-examiner vos idées sur l’argent ou sur le sexe opposé, ou sur la politique ou l’économie, …

Ayez le courage d’admettre que, comme c’est irréaliste, ça ne vous mènera nulle part, informez-vous sur le domaine que vous visez, ne voyez que les faits, & acceptez la vérité, aussi dure soit-elle à avaler !

Surtout, voyez tout (c-à-d la globalité, tous les éléments composant le résultat) & non plus juste une partie…

Donc, au boulot ! Au lieu de rêvasser ou de parler en l’air, commencez à agir pour obtenir ce que vous voulez.

Attention : beaucoup ont l’impression de trimer comme une bête, mais de n’obtenir aucun résultat, par malchance ou influences négatives d’autrui, ….

En fait, c’est vrai qu’ils agissent et même parfois qu’ils travaillent dur, mais le but n’est pas de travailler dur, mais de travailler « efficace », car si vous faites des choses inefficaces, vous êtes comme la souris qui pédale dans une roue ; elle a beau se fatiguer durant de longues heures, elle reste toujours au même point !

Pour un surdoué du résultat, s’il travaille à un projet & que ça ne génère pas de résultats endéans quelques semaines, il s’arrête, réfléchit, et abandonne ou adapte son projet.

Comme changer est la chose la plus difficile, la plupart des gens s’accrochent à leur projet, en continuant d’espérer que ça produira un résultat plus tard… C’est ok si par « plus tard », ils entendent « jamais » !

Hélas, les humains ont la tendance de, en cas de stress, faire PLUS de la même chose, alors que ce qu’il faut, c’est faire AUTRE chose ! Einstein l’a dit : « la folie, c’est continuer à faire la même chose & espérer des résultats différents » !

Il est vrai que la vie, c’est plus que d’obtenir des résultats (il ne faut pas être un genre de robot, qui ne pense qu’à être efficace), mais pour bien pouvoir se détacher des résultats, il faut déjà avoir obtenu ceux qui forment notre « base » ; c-à-d le minimum « matériel » à partir duquel on aura la force de poursuivre des buts plus éthérés.

Ca forme un tout, & il faut un équilibre entre les 2 ; le « tout contemplation » n’est à la portée que de grands sages, & le « tout résultat » fait des accros au travail, qui ne peuvent jamais se relaxer.

Mais comment développer cette mentalité « orientée résultats » ?

  1. Décider de n’aimer que les résultats tangibles, se tenir responsable d’atteindre cette norme-là & créer quelque chose de réel,
  2. au lieu de flotter dans sa vie, de se laisser porter par les événements (ce qui est amer), voir sa vie comme une série de projets. Car si on ne se fixe pas ces étapes concrètes, on ne peut dire si on a raté, puisqu’on ne vise aucun but précis (je détaillerai peut-être ces étapes dans un prochain article),
  3. le désir d’avoir un impact sur les autres. Moi, par ex, je veux modifier l’état de bonheur des gens, changer le monde ! Ceci est essentiel ; car, en voulant avoir un impact, on DOIT créer quelque chose (qui existe !) qui aura un impact sur le monde. Les rêveurs ne veulent pas marquer le monde & le changer, ils ne veulent qu’une vie pépère- & ceci n’est pas un mobile assez important que pour obtenir des résultats ! Du reste, Bouddha a dit :

« Celui qui laisse s’éteindre en son âme le désir de sauver tous les êtres vivants, a péché »,

  1. « parler souffle sur l’action & la refroidit » (Macbeth) ! Il faut cesser de claironner nos intentions, mais se taire, les réaliser, et puis en parler (éventuellement),
  2. pour obtenir des résultats, il faut toujours viser l’excellence ; pas le moyen, le juste bon (& sûrement pas le bâclé) … Non ; l’excellence & rien de moins que CA !,
  3. se tenir personnellement responsable d’agir efficacement & d’obtenir des résultats. Cessez d’attendre celui qui vous aidera, vous guidera, vous ouvrira la voie, vous dira comment faire, car PERSONNE D’AUTRE que vous-même n’agira pour vous faire avoir ce que vous désirez. Si vous ne vous tenez pas pour responsable de faire ce qui doit être fait, ce ne sera JAMAIS fait ! Il faut se dire ; ceci doit être fait, JE dois le faire, car sinon, personne ne le fera pour moi & ce ne sera pas fait. Ceci est un principe général dans la vie !,
  4. avoir une vue d’ensemble ; un surdoué du résultat a une compréhension de haut niveau de vers quoi il se dirige en travaillant, & pourquoi il travaille à l’obtenir. Il ne trime pas comme une fourmi pour avoir une paie à la fin du mois, en travaillant à réaliser les rêves de quelqu’un d’autre – car si on ne travaille pas à réaliser ses propres rêves, immanquablement, on le fait à réaliser les rêves d’un autre ! Il a du recul & voit ce qui doit être fait & pourquoi. Ils se demandent la raison finale de ce qu’ils font, comment une action s’intègre dans leur vision d’ensemble & leur mission à long terme.
  5. se bâtir une forte éthique de travail. Actuellement, les enfants reçoivent plus d’amour & de jouets – & même de points à l’école – sans raison, ce qui fait qu’ils prennent tout pour acquis. Ils estiment avoir naturellement droit à tout & ne sont pas reconnaissants de tous ces cadeaux. Jadis, tout cela devait se gagner ; les enfants d’alors savaient qu’ils devraient trimer pour obtenir quoi que ce soit. Maintenant, il y a un dégoût généralisé de l’effort, on veut tout, tout de suite ! Au lieu de trimer, les gens cherchent des raccourcis.. Mais ce n’est pas ainsi que le monde marche… et forcément, ils n’arrivent à rien ! « Faut ce qui faut » disait mon ex-mari – donc, si votre résultat désiré passe par un boulot dur ou subalterne, so be it ! Acceptez-le comme une marche nécessaire pour gravir l’escalier du succès,
  6. accepter de sacrifier notre confort personnel ; pour réussir, il faudra sacrifier beaucoup de notre repos, ou d’achats superflus, … Si vous suivez l’hédonisme naturel à l’être humain & ne visez que le confort douillet en refusant tout effort ou sacrifice, ce que vous obtiendrez, c’est une vie pauvre, stressante, pénible, car RIEN de bon n’arrive tout d’un coup & sans effort. « La patience est un arbre dont la racine est amère, mais dont les fruits sont doux » – suivons donc cet excellent conseil d’Oprah Winfrey ; « Faites ce que vous avez à faire jusqu’à ce que vous puissiez faire ce que vous voulez faire ».
  7. accepter de se changer pour obtenir ce qu’on veut – car ce que l’on veut fortement & durablement, ce n’est jamais un caprice ; c’est un besoin vital, une aspiration de notre âme !

C’est d’ailleurs la seule raison du besoin de croître & d’évoluer ; pour pouvoir produire de meilleurs résultats & avoir un impact plus grand sur le monde. Par ex, j’aime ce dicton grec « αλλάξω, αλλά ζω » (« Allazo, alla zo » ; « je change, mais je vis ») ; ça dit tout ; la vie est mouvement, & pour continuer à vivre, il faut s’adapter. Rester figé, c’est être mort…

Hélas, la plupart des gens refusent catégoriquement de changer ; ils s’accrochent à des croyances (inculquées par leur famille, leur culture & leur propre sensibilité & expérience de vie) plus qu’à leur vie… Toucher aux croyances de quelqu’un, c’est toucher à son être même (ou à ce qu’il croit être son être) – l’ennui, c’est que c’est justement ces croyances fausses qui bloquent le plus l’accès à de bons résultats & à une vie épanouissante !

Là aussi, ça demande de la force morale, du courage, & ce n’est pas à la portée des mauviettes (lesquels sont donc condamnés à végéter ici-bas). Ces individus veulent rester loyaux à ce que leur famille ou la société les a modelés à être (c-à-d beaucoup moins que ce qu’ils pourraient être) … Quelle tristesse !

Les surdoués du résultat, eux, osent repousser leurs limites, sortir de leur zone de confort, & changer. Ils acquièrent ainsi les informations & compétences nécessaires à l’obtention de leur résultat.

Pour devenir efficace, il faut toujours des compétences techniques, mais ça ne suffit pas ; il faut aussi modifier en profondeur notre esprit, être prêt à laisser tomber des pans entiers de nos systèmes de croyances, de notre perspective sur le monde – sur le cosmos, même sur Dieu !

Les gens ne semblent pas comprendre ceci, car ça semble si abstrait, si peu lié aux changements concrets que l’on veut faire – & pourtant, ça l’est. Par ex, si l’on est dogmatique, on voit la vie à travers une grille d’interprétation fort étroite & nécessairement fausse, puisque plus notre vision englobe de choses, plus elle est correcte.

Pour avoir une bonne vie, donc, cessez de vous adoucir la réalité & de protéger votre ego. A la place, décidez de vous aligner sur la réalité, aussi dur que ce soit, émotionnellement parlant !

Acceptez toutes les vérités, même les plus pénibles, car seule cette mentalité donnera une douce, agréable & satisfaisante vie.

  1. se jeter dans des situations exigeantes, hors de notre zone de confort. Cette situation stressante peut en briser certains, mais d’autres en ressortent plus forts & mieux armés pour la lutte pour la vie. Une fois de plus, mariner dans son petit confort n’apporte rien ; « la fortune sourit aux audacieux « !
  2. fréquenter des gens exceptionnels – c-à-d positifs, battants. Beaucoup d’études ont montré l’énorme influence de nos proches sur notre succès. Alors, si on vit entouré de négatifs, de sous-doués du résultat, ça déteindra sur nous. Leur mentalité nous semblera être la normalité & il y a de grandes chances qu’on n’arrive à rien non plus dans la vie…

Les surdoués du résultat, eux, se distancient de ces médiocres & font tout pour se lier à d’autres surdoués du résultat

Les personnes pouvant générer des résultats ouvrent notre esprit à ce qu’il est possible d’atteindre (ce qui élève nos attentes) & nous tirent vers le haut.

  1. rien ne nous ouvre plus les yeux, en nous confrontant aux réalités du marché que de créer notre propre affaire. Là, on voit ce qui marche & ce qui n’est que rêverie irréaliste. Quand la pression est forte & que notre survie est en jeu, l’ego recule & accepte de se plier au nécessaire. Si vous voulez vraiment devenir bon à générer des résultats, faites ce saut dans le vide.
  2. songez à votre mort. On agit trop souvent comme si on avait l’éternité devant soi pour réaliser les choses & qu’on peut bien se permettre de traîner. Mais les secondes deviennent des heures, puis des jours, puis, le pli de la paresse & de l’aveuglement étant pris, des années, & rien ne se fait ! Une étude a montré que ce que les gens regrettent le plus à leur mort, est de n’avoir pas eu le courage de vivre en étant fidèle à ce qu’ils sont et, au lieu de ça, d’avoir agi selon ce que les autres attendaient d’eux.

On n’a en fait qu’une étroite fourchette de temps, durant laquelle on peut agir pour changer les choses – & se rendre heureux par la même occasion. Voilà pourquoi il est utile de penser souvent à la mort.

Rûmi, le fameux poète mystique persan, a dit : « Dans ce monde, tu possèdes 3 compagnons de route : l’un est fidèle et les autres sont perfides. L’un d’eux, c’est les amis(es), l’autre, les richesses et les biens ; et le 3ème qui est fidèle, c’est l’excellence dans les actions. Tes richesses ne sortiront pas avec toi hors de tes palais ; ton ami viendra, mais seulement jusqu’à ta tombe. Seules les actions sont fidèles : il faut faire d’elles ton refuge, car elles viendront avec toi dans les profondeurs du tombeau ».

Conclusion :

Bougez-vous le derrière ! Maintenant !

Vous informer est bien, mais au final, c’est agir qui compte ! Vous devriez d’ailleurs agir 10 fois plus qu’apprendre.

Décidez de ce que vous voulez obtenir, faites-en un projet & agissez, en tenant toujours compte de la réalité des choses.

Pour trouver qui vous êtes & votre mission de vie en 5 minutes, je renvoie à l’excellente vidéo d’Adam Leipzig (https://www.youtube.com/watch?v=vVsXO9brK7M&t=357s ). Il suffit d’énoncer 5 choses : notre prénom, ce qu’on fait de mieux & qu’on aime faire, pour qui on le fait, ce qu’ils veulent & ont besoin & comment ils changent en résultat de notre action.

Par ex, pour moi, cela donne ceci :  Bonjour, je suis Béatrice, experte à conseiller les gens qui veulent atteindre leurs buts & le bonheur, et à modifier leur destin grâce à des infos plus réalistes & efficaces.

Si vous appliquez ces préceptes, je vous garantis que vous générerez des résultats tangibles & pourrez enfin améliorer votre vie.

Non seulement vous serez heureux(se), mais en plus vous serez fier(e) de vous !

Comment changer votre vie & obtenir ce que vous voulez

Par défaut

destinee

La formule pour obtenir tout ce qu’on veut dans la vie est hyper-simple ;

  1. Trouvez votre vérité : regardez profondément en vous-même & découvrez ce qui est vrai pour vous & non pour quelqu’un d’autre.
  2. Agissez selon elle : pas besoin d’avoir un plan génial, mais il faut agir, car à moins de faire quelque chose, vous ne concrétiserez rien.
  3. Tout vous concerne : traitez chaque job, personne & expérience comme s’il pouvait mener à votre prochaine grande opportunité.
  4. Assumez : si vous le faites, dites-le & pensez-le, puis assumez. Soutenez hardiment votre cause en reconnaissant & acceptant pleinement qui vous êtes vraiment.

Bon, là, « y’a plus qu’à »… Tu parles ! C’est juste impossible, oui !

J’ai entendu il y a peu (festival du rire de Montreux) le sketch d’Artus, où il dit que pour aller mieux, devant n’importe quel problème, il faut se dire « j’accepte ! » – C’est peut-être un gag, mais en tout cas, c’est très vrai.
Quand même, je ne peux m’empêcher de croire que l’immobilité, c’est la mort & que, une fois notre situation acceptée, il faut partir de cette situation où l’on est pour avancer vers un mieux.

La vision claire & l’acceptation de notre situation sont nécessaires, mais ce n’est que le 1er pas du voyage vers une vie plus satisfaisante…
Je songe depuis quelque temps à organiser des voyages ou des retraites pour changer de vie, où chacun pourrait se retrouver &, à l’aide de plusieurs conferences, acquérir les savoirs nécessaires à ce changement.
Quand on est insatisfait de sa vie, qu’on ressent du mal-être, on est poussé à agir pour changer ça, à vouloir atteindre le bonheur… alors on achète des livres de développement personnel, on s’inscrit à des ateliers, etc…
Seulement le hic, c’est qu’on pose le livre ou qu’on revient chez soi, et on est repris par son train-train…RIEN ne change !
Modifier sa vie exige de grands changements dans notre façon d’être, de penser, de parler & d’agir – or, vouloir faire cela, c’est comme vouloir arrêter une boule de neige lancée à pleine vitesse sur une pente.
Ca demande une énergie & une volonté énormes .. et comme, en même temps, on doit continuer à fonctionner dans notre vie “normale”, avec nos proches (qui ne veulent sans doute pas changer, eux), nos activités familières et dans notre décor familier, on abandonne bien vite.
C’est tout simplement IMPOSSIBLE à faire ; personne n’a cette somme d’énergie & de volonté !
Mais le mal-être est toujours là, & alors, on se ré-inscrit à d’autres ateliers ou on achète d’autres livres de développement personnel…
Ce comportement est clairement une forme de mécanisme de survie, une manière de garder espoir face à une situation insatisfaisante …
L’ennui, c’est que ce n’est pas une solution, mais juste un cache-misère, un répit momentané qui ne règle rien, un faux espoir, qui retombe bien vite, comme un soufflé !
Il y a ici un phénomène de consommation intellectuel ! – c-à-d que l’on “consomme” une série de formations… comme si cette participation équivalait à une action positive sans qu’on doive changer de façon d’agir … ce qui, bien entendu, est faux !
Einstein l’a dit : “La folie, c’est de faire toujours la même chose, et de s’attendre à un résultat différent”!
Par conséquent, si l’on veut un résultat différent, il faut commencer à agir autrement.
Et souvent, ce ne sont pas les quelques heures d’un atelier qui peuvent contrebalancer des années d’habitudes !
Surtout qu’avec le New Age, un tas de théories farfelues (séduisantes mais complètement fausses, c-à-d inefficaces) fleurissent. Que valent, par ex, des théories de la motivation humaine, comme la « Théorie du comportement planifié » ? Rien du tout ! C’est une ânerie ! Les neurosciences ont prouvé que le corps décide – jusqu’à 7 secondes ! – avant que nous « prenions » (croyions prendre) la décision ! => c’est le CORPS qu’il faut libérer et reprogrammer !
Pour que ça change, il FAUT donc se baser sur des méthodes qui marchent, et ensuite, que vous vous sortiez de votre train-train (décor, connaissances & activités familières) … D’où l’idée des “voyages pour changer de vie” !
Mais comment faire pour maintenir les changements de comportement, une fois rentré chez soi ? Ou comment changer MEME SI on ne part pas ?
Comment cesser d’être comme la souris dans sa roue, qui pédale comme une folle, sans jamais avancer d’un millimètre ?

J’avais décrit ce phénomène dans un article (voir http://www.bonheuretamour.com/2013/01/24/une-vie-doiseau-mouche/ ), ou j’écrivais que « il (le colibri) doit tout le temps manger, pour avoir les calories nécessaires pour se nourrir – ou : il doit continuellement absorber du nectar pour avoir la force d’obtenir du nectar. C’est un cercle vicieux, et donc, passablement idiot… Cela peut à bon droit s’appeller « perdre sa vie à la gagner » ! « 

et « Nous sommes toujours projetés vers l’avant, toujours, nous devons nous dépêcher.  Ayant continuellement « la tête dans le guidon », on ne peut plus arrêter cette course folle … Il faut pourtant sortir de cette agitation dénuée de sens, s’arrêter, prendre du recul, de la hauteur – pour pouvoir, dans le calme, examiner sa vie, ôter le superflu, accepter de vivre avec moins, faire les changements nécessaires à un mieux …

Nos désirs profonds ne sont pas de simples caprices mais des besoins, les éléments nutritifs dont notre âme a besoin pour s’épanouir…  » 

J’y conseillais finalement de s’extraire du monde et là, au calme, de laisser monter en soi ses vrais désirs.

Mais je sais maintenant qu’on n’y arrive pas tout seul, qu’il FAUT de l’aide pour parvenir à changer !

Je connais bien ce phénomène, qui m’a coincée moi-même & frustrée pendant des années ! J’ai étudié le problème durant plusieurs années et j’ai trouvé ! LE système pour changer & améliorer tous les domaines de sa vie… »

Vous voulez le connaître ? A partir de 2017, mon programme « Changer de Vie » sera au point. Là, vous pourrez m’appeler pour enfin faire bouger les choses…

Pour vous faire patienter jusque là, vous pouvez lire :

https://bonheuretamour.wordpress.com/2016/10/29/initiez-le-changement/

https://bonheuretamour.wordpress.com/2016/09/14/la-mental-de-reussite/

http://www.bonheuretamour.com/2016/11/09/pour-changer-de-vie-creusez-profond/