Archives Mensuelles: avril 2013

Accusé(e) à tort : que faire ?

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Des rumeurs ou de fausses accusations peuvent vous détruire, même si vous êtes innocent(e) ; en effet, ruiner la réputation d’un être entraîne des dommages reconnus comme équivalents à des dommages de guerre ! Oui, si vous subissez ceci, vous subissez une vraie guerre ; même si c’est une guerre privée et invisible !

Ainsi « bombardé(e) », vous êtes blessé(e), aplati(e) sur le sol… Comment vous redresser ? Comment vous réapproprier votre pouvoir ? Comment vous laver de ces haineuses accusations et pouvoir retrouver le sourire ?

Acceptez qu’il vous est impossible d’effacer ce qui s’est passé : même si les accusations semblent fausses et injustes, la situation est réelle. Vous devez voir les choses en face, comme elles sont, au lieu de désirer passionnément que ce ne soit qu’un cauchemar.

Surveillez votre langage :  cessez d’étiqueter ce qui vous arrive comme étant  « horrible » et comme « ayant détruit votre vie » ; ceci vous rajoute du stress, et donc, nuit à votre santé physique et mentale.

Relativisez ; des enfants tués ou mutilés, voilà ce qui est horrible. Votre vie est sûrement abîmée, mais elle n’est pas totalement finie et détruite.  Modifier votre dialogue interne, vous fera sentir un peu mieux.

Vous créez votre propre expérience : La 1ère personne auprès de qui vous devez réparer votre réputation, c’est vous ! Etes-vous une mauvaise personne, un mauvais citoyen, un mauvais époux(se) ou père(mère) ? Avez-vous commis des crimes ? Sans doute que non – donc, cessez de vous sentir coupable et fâché sur vous-même. Chacun commet des erreurs – par conséquent, songez aux vôtres, acceptez-les et pardonnez-vous ; cessez de vous faire des reproches ! Trouvez ce que vous avez fait de travers, tirez-en la leçon pour ne plus agir ainsi, et reprenez le cours de votre vie.

Demandez-vous ce que vous voudriez voir arriver pour laver votre nom :  demandez-vous s’il y a quelque chose que quelqu’un (les autorités, des collègues ou un être quelconque) puisse faire pour améliorer votre situation…

Commencez par vos proches ; réparez votre réputation (= racontez la vérité) auprès de votre famille, amis proches et voisins. Ceci a des chances de faire des vagues, et, si l’on vous ré-accuse de quelque chose, si l’un de ces proches répand à nouveau de fausses rumeurs sur votre compte, trouvez la personne qui le fait, allez la trouver le plus tôt possible, et dites-lui comment les choses se sont réellement passées.

Certains peuvent reconnaître leur erreur et venir s’excuser… ou pas.. : C’est à vous d’enterrer cette affaire. Donnez-vous ce que vous souhaitez recevoir d’autrui ; dites-vous : « je sais que je n’ai pas fait ça, et je me donnerai ce que je voudrais que les autres, les autorités, etc, me donnent ».

Vous apprenez aux gens comment vous traiter : si l’on traverse la vie avec une attitude pleine de honte, une posture de victime (tête basse, épaules voûtées et regard fuyant, …) les autres nous maltraiteront.  Le monde regorge en effet de gens ayant une revanche à prendre sur la vie et, trop lâches que pour s’attaquer aux vraies causes ou affronter leurs ennemis redoutables, ne sont que trop contents de trouver un être faible à tourmenter !

Vous devez donc vous dire : « je n’ai pas commis le crime dont on m’accuse, je suis innocent(e), j’ai accepté ma mauvaise décision, découlant de ma jeunesse ou de mon inexpérience (ou innocence), et je refuse de passer le reste de ma vie à en avoir honte ! »  Ce faisant, les autres ont plus de chances de vous croire et de vous pardonner aussi.

Vous devez être votre meilleur(e) ami(e) et décider qui vous êtes, profondément.  Commencez alors le processus de vous réhabiliter en ne réagissant pas à ce que les autres racontent sur vous – car si vous vous laissez effrayer ou intimider par cela, si vous avez honte ou vous sentez coupable à cause de ce que les gens pensent, vous perdez toute liberté et devenez un prisonnier, sans contrôle aucun sur sa vie. A la place, ce sont ces médisants et envieux qui contrôlent votre vie  – et vous êtes alors un pantin entre leurs mains malfaisantes !

N’essayez pas de réfuter chaque accusation : si vous vous mettez à réfuter chaque rumeur, chaque allégation, chaque critique, ça deviendra un travail à temps complet ! Cela consumera tout votre temps et toute votre énergie et vous épuisera…

Par conséquent, cessez de réagir aux rumeurs ; ça ne fait que les renforcer !  Gardez-vous d’attirer l’attention sur vous-même en vous défendant ! Donnez-vous plutôt la permission de vivre votre vie – s’il y a des gens qui pensent mal de vous, évitez-les, c’est tout… Vous en rencontrerez d’autres, qui eux, vous aimeront et vous respecteront !

Affirmez-vous – redressez la tête et  dites : »je reprends mon pouvoir » : décidez ceci : « je ne vais pas leur donner le pouvoir de choisir mes émotions. C’est eux qui ont tort, et je peux me regarder dans un miroir en sachant que je vaux quelque chose, car je suis innocent(e).  »   Vous devez prendre la décision de croire en vous, en votre valeur, en vos actions et que vous devez avancer avec votre vie, et non rester à terre. La meilleure revanche que vous puissiez prendre sur vos envieux accusateurs, est d’être heureux(se) !

Vous devez donc avancer et dépasser cette situation. Ce que vous êtes vraiment, finira alors par s’imposer à tous.

Sachez qu’il est normal de ressentir un brin de culpabilité même si vous êtes totalement innocent(e) : Les gens n’ont que trop tendance à croire au mal ; c’est pour cela qu’ils croient volontiers les rumeurs… Une fois accusé, même à tort, il porte toujours cette étiquette dans l’esprit des gens – lesquels tendent à croire qu' »il n’y a pas de fumée sans feu »… et la victime a toujours un pincement au coeur et ressent le besoin de se justifier, même en sachant qu’elle est innocente…

Ne tombez pourtant pas dans ce piège : vous justifier, c’est en quelque sorte donner à vos accusateurs raison de vous avoir accusé(e)…

Ne tombez pas dans le piège d’agir poussé(e) par la colère et la frustration :  le stress causé par de fausses accusations, peut conduire à une telle détresse, qu’il(elle) en vienne à agresser ses proches (époux, enfant, …).  Si, donc, vous l’êtes, souvenez-vous que vous proches n’y sont pour rien, et qu’ils représentent justement un soutien dans cette période pénible que vous traversez.  Calmez-vous (relaxation, méditation, prière) ; vous n’en serez que plus efficace !

6 grands principes pour avancer (Leo Babauta de « zen habits »)

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1 : Se fixer des limites

Nous vivons dans une société qui encourage la culture du « toujours plus» : plus d’argent, de plus grandes maisons, plus de gadgets, plus d’activités, plus de tâches à accomplir …

Pourtant, notre temps n’est pas illimité, et faire beaucoup de choses ne nous donne que du stres. Il faut donc apprendre à trier, se mettre des limites et ne garder que l’essentiel. D’où :

– vie plus simple et moins stressante,

– le peu qu’on fait est bien fait au lieu d’être bâclé,

– comme on ne fait que l’essentiel, on est plus efficace, et on a enfin assez d’énergie pour atteindre nos buts (et on les atteint plus vite),

2 : Opter pour l’essentiel

Conjugué au 1er principe, c’est la clé de l’’art d’aller à l’essentiel – art permettant d’obtenir un résultat maximal en utilisant des ressources minimales.

Pour ça, il faut déterminer quelles sont les tâches à fort impact, celles qui nous apporteront des bénéfices à long terme, c-à-d :

– établir une liste des choses à faire, puis, dans cette liste, établir des priorités. Demandez-vous : Cette tâche aura-t-elle un impact qui perdurera sur le long terme? En quoi modifiera-t-elle mon travail ou ma vie privée? Me permettra-t-elle d’atteindre l’un de mes objectifs principaux? En quoi cet objectif est-il important?

– ensuite, démarrer avec les buts qui vous tiennent à cœur. Il faut d’abord identifier précisément les buts que vous aimeriez atteindre dans l’année, puis planifier vos tâches pour faire avancer ces buts chaque jour.

3 : Simplifier ou éliminer le non-essentiel

Une fois que vous avez déterminé les 3 tâches les plus importantes de votre liste, il faut éliminer, déléguer ou reporter toutes les non-essentielles ; apprenez à dire «non» et vous verrez que, loin de s’en offusquer, votre entourage appréciera votre franchise et vous fera plus confiance lorsque vous accepterez un engagement.

4 : Ne faire qu’une chose à la fois

On nous encourage souvent à être « multi-tâche » de nos jours, mais c’est une erreur :

Faire plusieurs choses à la fois est source de stress et d’erreurs  – donc, nous rend moins efficace car il faut changer de rythme et de matériel à chaque nouvelle tâche, ce qui engendre une perte de temps.

Faire une seule chose à la fois permet de se concentrer pleinement sur notre but, et réduit le stress.

5 : Changez vos habitudes pour des progrès durables

– Changez une seule habitude par mois.

– Mettez votre plan d’action par écrit.

– Prenez votre entourage à témoin.

– Faites un bilan quotidien de vos progrès.

– Fêtez votre changement d’habitude. (félicitez-vous ou faites-vous un petit cadeau).

6 : Commencez petit pour un changement garanti

Attention ; un changement graduel est plus durable qu’un grand chambardement ! Changer d’habitudes est dur, donc, si vous avez les yeux plus grands que le ventre, vous vous découragerez vite ! Il faut donc y aller petit à petit ; ça permet de mieux se concentrer sur ce qu’il y a à faire, de garder notre énergie pour installer la nouvelle habitude (si on la suit durant 30 jours, elle sera installée, et l’ancienne, effacée),

En pratique : Leo Babauta nous indique comment mettre en pratique des 6 principes ci-dessus :

Le système de l’objectif unique :

C’est un système très simple. Il consiste à déterminer quel est l’objectif qui vous tient le plus à cœur et à vous concentrer uniquement sur celui-ci. subdivisez-le alors en étapes successives et concentrez-vous sur un seul de ces sous-objectifs à la fois.  Leo Babauta donne aussi des stratégies pour garder en vue son objectif et ranger son patron à notre point de vue si nous ne sommes pas maître de notre liste de projets.

Simplifiez-vous la tâche :

Il faut se limiter aux tâches les plus importantes; c-à-d déterminer tous les jours les 3 tâches essentielles. Ces tâches seront les premières choses à faire le matin et doivent avoir un lien avec nos 3 objectifs principaux. Il faut aussi décomposer nos grandes tâches en plus petites. Le reste (travail courant) est à faire plus tard dans la journée.

Simplifiez internet :

L’internet est un espace qui offre tant de possibilités qu’il est facile de s’y faire piéger et d’y passer des heures mais, là aussi, il faut se fixer des limites.

Leo nous conseille d’étudier le temps que nous passons sur chaque site, puis, faire un plan pour y remédier. Quelles sont les utilisations d’internet indispensables à votre travail? Quels sites aimez-vous consulter pour le plaisir? Quand avez-vous besoin de vous concentrer et quand pouvez-vous vous permettre de surfer pour le plaisir?

Leo Babauta conseille aussi de débrancher notre connexion internet lorsque nous n’en avons pas besoin, à instaurer «une heure hors ligne» chaque jour.

Pour limiter le temps passé à lire et répondre à nos mails, il faut décider du nombre de fois par jour que vous les consulterez et à quel moment vous le ferez (par exemple, à 10h et à 16h).

Il faut aussi réduire le nombre d’emails reçus. Pour cela, utilisez Gmail qui a le meilleur filtre anti-spam, utilisez les règles automatiques pour tout ce qui est récurrent, traitez par lot les mails de même nature. Et précisez à vos contacts quel type d’mail vous envoyer.  Supprimez sans état d’âme tout email non important …

 

Changer de vie, se réaliser… citations inspirantes

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fleurs pour BeatriceTenter d’être heureux en accumulant des possessions, c’est comme tenter de satisfaire votre faim en empilant des sandwiches partout sur votre corps (G. Carlin)

Etre vous-même dans un monde qui tente constamment de vous changer en quelqu’un d’autre, est la plus grande réussite (R.W. Emerson)

Le meilleur moyen de gâcher votre vie … est de prendre des notes. Le moyen le plus facile d’éviter de vivre est de se contenter de regarder. Chercher les détails. Reporter. Ne pas participer (C. Palahniuk)

Une difficulté n’en est plus une à partir du moment où vous en souriez où vous l’affrontez (Baden-Powell)

Le comble de l’intelligence, c’est la bonté (M. Proust) – oui, l’amour et la compassion sont les plus hautes formes d’intelligence !

Tout obstacle renforce la détermination. Celui qui s’est fixé un but n’en change pas.. (L. de Vinci)

Le 1er pas pour vivre la vie que vous désirez est d’abandonner la vie dont vous ne voulez pas. Faire ce 1er pas en avant est toujours le plus dur mais alors, chaque autre pas en avant devient de plus en plus facile. Et chaque pas vers l’avant vous en rapproche de plus en plus jusqu’à ce qu’enfin, ce qui était invisible commence à être visible. Et ce qui semblait impossible commence à sembler possible (K. Salmansohn)

Tu peux tout accomplir dans la Vie si tu as le courage de le rêver, l’intelligence d’en faire un projet réaliste, et la volonté de voir ce projet mené à bien (Sidney A. Friedman)

Par le moment présent, on a accès au pouvoir même de la vie (Eckart Tolle)

Le bonheur, c’est être fidèle aux aspirations de son âme. C’est être assez brave et fier pour écouter les voix qui montent de l’âme et obéir à la plus belle (R. Ducharme)

Peu de gens sont prêts à braver la désapprobation de leurs pairs, la censure des collègues, la colère de leur société. Le courage moral est une denrée encore plus rare que le courage au combat ou qu’une grande intelligence. Pourtant, c’est la seule qualité essentielle, vitale pour ceux qui cherchent à changer un monde qui cède très difficilement au changement. Chaque fois qu’un être se dresse pour défendre une idée, ou agit pour améliorer le sort des autres, ou combat contre l’injustice, il(elle) émet une petite vague d’espoir, et, se croisant d’un million de centres d’énergies et d’audace différents, ces vagues forment un courant qui peut balayer les plus puissants murs d’oppression et de résistance (R.F. Kennedy)

Donnez-vous la permission de vous éloigner immédiatement de toute chose qui vous cause de mauvaises vibrations. Il n’est pas besoin de raisonner ou de trouver une explication. Fiez-vous juste à ce que vous sentez (S.  Chuquette)

L’âme sait toujours quoi faire pour se guérir. Le difficile, c’est de faire taire l’esprit.  Vous êtes déjà heureux et en paix. Il n’y a pas de clé vers le bonheur ou de porte vers la sérénité. C’est votre esprit qui crée ces attentes, donc, ne l’écoutez pas. Ce ne sont que des pensées. Libérez-vous des tendances de l’esprit.  Cessez de passer autant de temps à essayer d’être heureux, ou à penser à être heureux, et choisissez juste de l’être parce que vous êtes déjà cela ()

Il est difficile de libérer les idiots des chaînes qu’ils vénèrent (Voltaire)

Vivre avec intégrité signifie : ne pas vous résigner à moins qu’à ce que vous savez mériter dans vos relations. Demander ce que vous désirez et avez besoin des autres. Dire votre vérité, même si cela peut créer un conflit ou de la tension. Avoir des comportements qui soient en harmonie avec vos valeurs personnelles. Faire des choix basés sur ce que vous croyez, et non sur ce que d’autres croient (B. De Angelis)

L’évolution consciente commence lorsque l’on prend la responsabilité d’écarter nos propres obstructions (Dan Millman)

Vous m’offrez la cité… je préfère les bois, car je trouve, voyant les hommes que vous êtes, plus de coeur aux rochers, moins de bêtise aux bêtes (V. Hugo)

Le jour où l’on décide qu’on est plus intéressé par le fait d’être conscient de nos pensées plutôt que par les pensées elles-mêmes, est le jour où l’on trouve une porte de sortie (M. Singer)

Quand Dieu résoud tes problèmes, tu as foi en Ses aptitudes ; quand Dieu ne résoud pas tes problèmes, Il a foi en tes aptitudes !

Le principe de base pour atteindre ses buts, est de comprendre que l’on va aussi loin que ce qu’on peut voir et quand on y arrive, on peut toujours voir plus loin (Zig Ziglar)

Ne craignez pas de vous donner à fond dans ce qui semble de petits travaux. Chaque vous que vous venez à bout de l’un d’eux, ça vous renforce. Si vous faites bien les petits travaux, les grands tendront à se résoudre tout seuls (D. Carnegie). Donc, peu importe ce qu’est votre but, si votre coeur vous y appelle, allez-y ; vous n’avez qu’à vous fier à lui et faire ce petit pas, puis un autre, puis encore un autre…Vous serez aidé(e), n’en doutez pas..

La vie est le caprice de plusieurs trillions de cellules d’être vous pour un court instant ()

Ne doutez jamais de vous, croyez toujours que vous en êtes capable ; dans un an, vous saurez pourquoi vous avez commencé.

Si vous n’avez pas appris la valeur de l’amitié, vous n’avez rien appris (M. Ali)

L’Amour, dans sa perfection, ne peut s’empêcher de chercher à améliorer les autres (Dr M. Iqbal)

Quelqu’un que j’aimais m’a donné une boîte pleine de noirceur. J’ai mis des années à comprendre que cela aussi était un cadeau (Mary Oliver) – Nul homme n’est ton ennemi, tout homme est ton professeur (Bouddha)

La chose peu commune à propos du sens commun, c’est qu’il n’est pas très commun ()

On tend vers nos désirs avec une soif inextinguible car ils émergent de la source même de notre vie – et de la Vie ! – Ce sont des désirs spirituels – quel que soit leur déguisement ! (moi)

Les personnes les plus heureuses que je connaisse sont toujours en train de s’évaluer et de s’améliorer. Les gens malheureux, en général, évaluent et jugent les autres (L. Villa Prosen)

Dans tous les aspects de la vie, la réussite n’est jamais un cadeau, ni une question de chance ou de destin. Ceux qui réussissent ont le sens du Courage, de la Persévérance et de la Détermination. Il s’ensuit que l’on peut etre, faire et avoir tout ce que l’on imagine, il suffit de le rendre réel à l’esprit et avoir la détermination de le matérialiser ()

La force, c’est le courage ; l’intelligence, c’est la foi ; la beauté, c’est l’amour ! (Mme de Girardin)

Vous êtes l’expression de votre plus profond désir. Tel est votre désir, telle est votre volonté. Telle est votre volonté, tels sont vos actes. Tels sont vos actes, telle sera votre destinée ()

La destinée n’est pas une question de hasard, c’est une question de choix ; ce n’est pas quelque chose qu’il faut attendre, c’est une chose qu’il faut accomplir (W.J. Bryan)

L’on ne peut lutter contre ses démons, en les nourrissant !

(…)  l’on doit oublier tous les on-dit et examiner soi-même la vérité, car on ignore si les affirmations que l’on entend correspondent à la réalité ou non. A chaque fois que l’on trouve la vérité ou réalité, il faut s’y arrêter, en excluant, en rejetant tout le reste ; car au-dehors de la réalité, il n’y a rien que superstition etimagination (Abdu’l-Bahá)

Si un problème a une solution, alors il est inutile de s’en inquiéter; s’il n’en a pas, s’inquiéter n’y changera rien ()

L’œil ne voit que ce que l’esprit est prêt à comprendre (H. Bergson) – donc, ça dépend du niveau de l’intelligence et aussi de celui de l’âme ; c-à-d si on a besoin d’être positif, ou négatif !

Vous êtes votre refuge. Il n’existe pas de meilleure île dans les mers en furie. Plongez profondément (A. Kaspar)

L’amour est heureux lorsqu’il peut donner quelque chose. L’ego est heureux lorsqu’il peut prendre quelque chose (Osho)

Il n’y a aucun moyen de devenir conscient sans douleur. Les gens feraient n’importe quoi, même les choses les plus absurdes, pour éviter d’affronter leur âme. On n’atteint pas l’illumination en imaginant des figures de lumière, mais en rendant la face obscure consciente (C.G. Jung)

Sachant que plus on devient bon, plus on devient heureux,  ne suivez ou de discutez plus que de sujets qui vous amusent, vous émerveillent ou vous font espérer.  Fini de vous indigner, critiquer, juger, condamner ou répandre des rumeurs.

La paix résulte du fait de ré-entraîner votre esprit, pour qu’il comprenne la vie comme elle est plutôt que comme vous pensez qu’elle devrait être (W. Dyer)

Traitez les gens comme s’ils étaient ce qu’ils pourraient être et vous les aiderez à devenir ce qu’ils sont capables d’être (Goethe)

La Passion est encore ce qui aide le mieux à Vivre (E. Zola)

N’amalgame pas ma personnalité et mon attitude, car ma personnalité, c’est moi, alors que mon attitude dépend de toi ()

La gratitude, c’est comprendre que tout ce que vous avez, vous pourriez aussi bien  ne pas l’avoir … Pensez-y !

Chercher la paix est comme chercher une tortue à moustache. Vous ne pourrez pas la trouver. Mais quand votre cœur est prêt, la paix viendra vous chercher (Ajahn Chah)

Ne traîne pas avec les gens qui ne t’aiment pas. N’essaie pas d’épater des gens qui n’en valent pas la peine. Ne tente pas de gagner la sympathie de ces gens. Focalise-toi sur toi-même et sur les gens qui sont vraiment super et qui t’aiment. Ne traîne pas avec les gens qui te font te sentir comme de la merde. Ne dépense pas d’énergie sur eux (B. Ditto)

La spiritualité …demande d’abord une culture du cœur, une immense force, une intrépidité sans faille. Les couards ne peuvent satisfaire à une morale (Gandhi)

Faites aux autres 20 % de mieux que ce que vous espérez qu’ils fassent pour vous, pour corriger l’erreur subjective (L. Pauling)

Sens de la vie : si vous vous demandez ce que vous êtes destiné à faire ici-bas, c’est simple ! Vous êtes destiné à faire ce qui vous rend heureux et vous enthousiasme, ce qui vous fait le plein d’énergie et de joie.

Les vrais méchants ont toujours l’air inoffensif. C’est ce qui les rend si dangereux (R. Guilleaumes)

Etre réaliste est la route prise le plus souvent pour arriver à la médiocrité (Will Smith)

La Vérité est Une ; j’ai souvent pensé que si Jésus, Krishna, Bouddha, et d’autres vrais émissaires de Dieu se rencontraient, ils ne se querelleraient pas, mais boiraient à la même tasse unique de la communion en Dieu (Paramahansa Yogananda)

Notre seul libre arbitre est dans le choix de notre environnement – lequel peut modifier notre futur : voilà pourquoi il faut choisir les bons livres, les bons amis et les bons enseignants ou guides !

L’honnêteté est un cadeau cher, donc, ne vous attendez pas à en recevoir des gens de peu de valeur (W. Buffet)

Quand plusieurs routes s’offriront à toi et que tu ne sauras pas laquelle choisir, … assieds-toi et attends. … écoute ton cœur. Puis, quand il te parlera, lève-toi et va où il te porte  (S. Tamaro)

Quand vous savez comment écouter, tout le monde est le gourou (Ram Dass)

Sans rêve, on devient un animal morne, un promeneur égaré (F. Beigbeder)

La vie commence à la fin de votre zone de confort (N. D. Walsch)

Il y a 4 questions importantes dans la vie ; Qu’est-ce qui est sacré ? De quoi est fait l’âme ? Qu’est-ce qui vaut la peine de vivre ? et Qu’est-ce qui vaut la peine de mourir ? La réponse est toujours la même : l’amour (film « Don Juan de Marco »)

Impiété

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Les gens à fuir sont les « impies » : ceux qui ont pris la loi divine (d’amour et de justice) dans leurs mains (pour ainsi dire) – se prenant pour des dieux et se permettant tout sans honte ni culpabilité.

Tout messager de Dieu nous pousse à nous montrer amical(e) envers tous, et indulgent(e) à leurs défauts, et nous recommande de nous protéger des impies.

Dieu étant Amour, sa Loi implique d’aimer – donc aussi de respecter – les autres.  Donc, si vous remarquez que quelqu’un que vous fréquentez se permet de vous blesser ou de vous exploiter sans vergogne, il faut comprendre qu’il est impie, et cesser de le voir – sinon, vous vous ferez de plus en plus démolir, et votre foi s’étiolera, vous privant de la Vie véritable.

Tous, nous avons une face sombre, et le Mal, ce n’est pas cette face sombre, mais la volonté de la nier… ce faisant, il faut alors la projeter sur quelqu’un d’autre… D’où le recherche de « boucs émissaires » (Scott Peck, dans « les Gens du Mensonge » traite de ce sujet).

Quelles que soient ses dénégations ou exclamations, l’impie, le mauvais, est quelqu’un qui hait Dieu, qui hait la Vérité – et bien sûr, la Vie !

Par exemple, si vous êtes en sa compagnie et que vous abordez le sujet de Dieu, cette personne pleine de gaieté et de bonhomie, devient, en une fraction de seconde, une boule de haine, un serpent qui se jette sur vous gueule ouverte et crochets à venin sortis !

Passant à l’attaque, il ne vous laisse plus parler, et critique tout ce que vous dites, pensez ou êtes – voilà la projection à l’œuvre !

Le malaise qu’il nous cause alors – estomac noué – peut servir à le reconnaître. Mais il y a autre chose : comme il projette sa folie sur vous, vous vous mettez, en réaction, à agir de façon « dingue », illogique, … vous ne vous reconnaissez plus !

De plus, même s’ils ne sont pas intelligents, on dirait que le Mal leur souffle une finesse inégalée pour détecter vos failles et vos points sensibles ; en sorte qu’ils savent où vous frapper pour vous « toucher » et vous faire souffrir.

Et comme pour le serpent, il est difficile de se sortir de ceci ; la violence extrême et la soudaineté de leur attaque nous cause en effet un choc, une « transe » qui nous pétrifie et nous fait rester alors qu’on devrait fuir… Car les attaques perdurent…

Le mauvais a besoin de ce « rituel satanique » pour vivre… Adopter, pour supporter les stress de la vie, un mode de soulagement destructeur, est ce qui caractérise tous les gens mauvais.

Souvenez-vous que VOUS n’avez pas besoin de ça, bien au contraire ! Protégez-vous ! Et ne craignez pas, en le fuyant, être égoïste ; tous les messagers de Dieu nous enjoignent de le faire ;

Le 1er niveau de l’enseignement bouddhique (dans le cadre de la loi du karma) préconise de réduire ou de supprimer la souffrance. La Bible dit : « garde ton cœur, car de lui jaillit la vie ». Jésus : « ne jetez pas vos perles devant les pourceaux (cochons), de crainte qu’ils ne se retournent et ne vous piétinent ».  L’Islam recommande des prières  de protection pour se protéger contre le mal. Et Baha’u’llah : « Prends garde ! Ne chemine pas avec l’impie, car une telle fréquentation change le rayonnement du cœur en feu de l’enfer ».

Ecoutez ces paroles de sagesse ; votre cœur est votre plus grand trésor, c’est lui qui vous pousse en avant, qui vous rend heureux, et vous donne envie d’avancer, de poursuivre vos rêves, de continuer à vivre malgré les soucis – alors vous devez le protéger à tout prix, sous peine d’éteindre l’étincelle de joie en vous… Car la joie est d’essence divine, elle provient de l’âme – et est du reste une preuve qu’on suit Dieu (Satan – & ses sectateurs – sont toujours tristes !).

Les gens pieux (qu’ils se disent tels ou pas), sont doux, non-blessants, respectueux d’eux-mêmes comme d’autrui. Jamais ils ne se permettraient de tirer de vous quelque chose à vos dépens, juste pour se faire une faveur imméritée.

De plus, la loi divine implique aussi d’aimer et de respecter… soi-même ; alors, faites-le, pour votre bénéfice et celui du monde entier !

Comment trouver l’équilibre entre notre volonté et le Flux de la Vie (selon Eckart Tolle)

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fenêtre réfléchieLorsque l’on s’aligne avec le moment présent, on s’aligne du même coup avec la volonté de l’univers (ou volonté divine).

La volonté séparée (celle émanant de l’ego) veut toujours quelque chose : se renforcer, se rendre plus important, ou plus en sécurité, … On a ici, contrairement aux apparences, une réelle position de faiblesse.

Si l’on résiste au moment présent, on reste prisonnier de cette volonté due à l’ego – pour s’en libérer, il faut se rendre à ce qui est et au moment présent – ici, par contre, est la source du vrai pouvoir – il est donc faux de penser que céder nous met en  position de faiblesse !

Même si l’on est malade ou coincé dans notre corps ou une situation, l’accepter ne signifie pas de penser : « Ok, je suis là, j’accepte cette situation… » Il faut plutôt se centrer dans le moment présent, et alors, notre volonté – alignée avec la source – est plus efficiente.

L’ego tente de nous faire résister à cela et de prendre les rênes – il crée la négativité : il lutte contre quelque chose en disant : « ça devrait pas être là ! »

Et en fait – voyez le rusé ! – il se fait invisible – car le fait de le voir à l’œuvre lui retire déjà beaucoup de son pouvoir !

L’ego condamne ce qui est, s’en plaint, le nie, résiste, et veut autre chose… que ce qui est, au moment présent !

On se fie alors à ses propres forces et conclusions sur la vie, qui sont faibles (et fausses en plus !), car on n’a que soi, alors que l’on pourrait, si on se laissait aller, jouir de l’Intelligence et de l’Energie de tout l’univers – puisque celle-ci

est unie à la totalité !

Par conséquent, quand on accepte totalement une situation, la force pour s’en sortir sera bien plus puissante.

L’action juste ne peut sortir de l’ego, mais seulement d’un mentalité juste. Il faut lâcher notre petite volonté personnelle et dire oui au moment présent.

Et il faut lui dire oui, parce que c’est de toute façon déjà comme ça !  Se plaindre ou râler contre une situation est bête car ça ne sert à rien – les choses sont comme elles sont, c’est inévitable …

Enfin un peu d’intelligence, donc de pouvoir ! Car ce n’est qu’à se moment que cette intelligence divine se déverse en nous et nous permet d’agir « intelligemment » dans notre réalité. On ne crée rien ; on ne fait que « permettre » !

N’oublions pas que « normal », est « dingue » dans ce monde – et vice versa.

« L’intelligence » (mesurée par les tests de QI) n’est pas la vraie intelligence ! Notre petite intelligence conceptuelle – détachée de tout – ne sert à rien, car tout ce que l’on a, ce sont de vieilles pensées répétitives, conditionnées par le passé ; donc, on réagit au monde selon cette pensée conditionnée (du passé).

Mais si l’on cède au moment présent, on a enfin une pensée nouvelle envoyée par l’Univers – alors l’esprit peut être utile.

Mais l’ego, qui n’existe que par le déni, la plainte, la critique ou le désir d’autre chose, résiste à ceci. Tout ce qu’il crée, pourtant, ne fait que créer encore plus de problèmes…. Alors que tout ce que l’on doit faire, c’est se centrer dans le présent et lui permettre d’être !

Ca semble difficile, et pourtant, la vie est bien plus difficile sans cela. Sortir de la forme des pensées – cela seul nous rend vraiment intelligents ! Cela seul est la vraie intelligence !

Garder cette espace de simple présence, active d’autres facteurs qui changent la situation, car tout l’univers travaille à nous aider ! Des synchronicités « miraculeuses » surgissent de nulle part, sans qu’on n’ait à rien faire !

Cette vraie intelligence (non-conceptuelle) n’est évidemment pas mesurable par des tests – mais elle fait que notre vie n’est alors plus confinée à l’ici, à ce qu’on crée  … ETRE prime sur tout, et notre vie entière devient alors une œuvre d’art (contrairement à ceux qui tentent de créer de l’art).

Parfois, des choses atroces nous arrivent, mais si l’on résiste à la forme de ce qui est, on n’est que plus prisonnier de la forme, notre vie n’est que plus limitée.

Si par contre on l’accepte, un petit espace – sans forme – naît… une paix intérieure, informelle mais très puissante, qui peut nous faire totalement oublier le monde et nos problèmes. Le mal peut ainsi être une porte vers la paix ; le divin, la grâce, se cache au fond toute situation – même horrible…

C’est ainsi qu’une limitation ou quelque chose d’apparemment mauvais peut créer un portail vers une compréhension de ce que l’on est ; en résistant à la forme, on s’y englue et s’y noie de plus en plus, alors qu’en l’acceptant, on a accès à ce qui n’a pas de forme…

 

Centrez-vous pour être plus fort(e)

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musée - aout 2010 029Via le moment présent, on a accès au pouvoir même de la vie (Eckart Tolle)

Se centrer d’abord dans le moment présent : faire chaque soir (au coucher) l’exercice de présence d’Eckart Tolle ; bien au calme, tentez de ressentir (le but étant de sentir, sans penser) l’énergie dans vos pieds durant plusieurs secondes. Puis passez aux chevilles, mollets, cuisses, ventre, poitrine, cou et tête. « Redescendez » ensuite vers les pieds – toujours en sensation, pas en pensée.. Puis, « remontez » et « redescendez » votre attention sur tout votre corps (comme précédemment) un peu plus vite, et tâchez enfin de ressentir l’énergie dans tout votre corps.

Cet exercice est énormément fortifiant.

L’avatar : Si vous n’arrivez pas à changer d’attitude, recourez à une mesure extrême : pour arriver enfin à changer de mentalité ou d’humeur, changez de nom ! Eh oui ; pour cesser d’agir comme vous, c’est simple : il faut cesser d’être vous ! Pour agir autrement que – par exemple – Jean Dupont, fonctionnaire et timide, vous devez être George de St Médard, super-héros audacieux, par ex…

Hélas, notre esprit nous sabote ; il tente toujours de nous donner une cohérence interne, en faisant correspondre nos actes à nos croyances.

Mais si on change de comportement, nos pensées et nos sentiments se modifient automatiquement, pour rester cohérents avec nous-mêmes – donc, on peut aussi bien modifier des habitudes physiques en partant de l’esprit, que modifier l’esprit par le corps (en agissant autrement).

Trouvez-vous un modèle à imiter – et si vous n’en trouvez pas, créez-vous un avatar ; il vous aidera à agir différemment de ce que vous avez fait jusqu’à présent.

Pour cela, faites des recherches dans un livre de prénoms, et choisissez-vous un prénom (et peut-être même aussi un nom) de gagnant. Moi, par ex, j’ai été consulter un dictionnaire de langue lakota pour trouver le mien…

Comme il faut faire les choses selon cet avatar et que c’en est un de réussite, il devra nécessairement se tenir droit, parler et agir de façon calme et assurée.  Pour le reste, il sera une création taillée sur mesure pour vous et non copiée sur quelqu’un ou visant à réussir comme quelqu’un.

Si vous êtes timide, créez un avatar audacieux et propulsez-le sur le devant de la scène.  L’autre, le timide, rejetez-le dans les coulisses.

Mais, « chassez le naturel, il revient au galop », non ? Non :  « l’habitude est une seconde nature » !

Ne vous confondez pas avec votre avatar, vous n’êtes pas lui ; vous ne faites que l’utiliser comme la plume magique dans Dumbo ; elle n’était en fait pas magique, mais elle lui a donné confiance en lui. Votre avatar doit faire pareil ; vous encourager assez que pour oser vous lancer.

Choisissez un nom et une personnalité qui vous « parlent », puis, entrez dans la peau de ce personnage … et voilà ! Si c’est bien choisi et bien fait (sans tomber dans le dédoublement de personnalité, quand même), vous vous étonnerez vous-même !

– Augmenter notre estime de nous (si l’on en manque)

Se répéter chaque jour : Je suis une belle personne, avec un bel esprit. Je m’aime inconditionnellement. Je mérite de vivre le genre de vie que je veux vivre. Je mérite tout ce que mon cœur désire. Je mérite d’avoir des relations saines et aimantes. Je m’aime si totalement que plus jamais je ne me rejetterai ou ne saboterai mon bonheur, ma liberté, ma santé et mon amour. Je suis totalement sûr(e) de moi et mon attitude est très positive. Je sais que l’amour est infiniment abondant, et que toujours, j’aimerai et serai aimé(e). Je me respecte. Je ressens souvent une saine estime de moi.

Positivité-express

Décidez de dépasser votre mentalité négative. Le cerveau humain est sans cesse envahi de pensées parasites, inondant notre cerveau d’hormones de stress. On ne peut empêcher notre cerveau de générer des pensées de stress, mais on peut s’empêcher de s’y laisser aller.

Pour arrêter de se ronger les sangs, appliquez la technique du bouton « effacer » : dès la survenue de pensées de stress, imaginez qu’il y a un bouton “effacer”  au centre de votre paume, et que lorsqu’on le pousse, il envoie un message de calme à l’amygdale (la partie du cerveau responsable du stress).  Ensuite, tout en continuant à pousser sur notre paume, respirez profondément et comptez jusqu’à 3 (ceci “distrait” votre cerveau), le 1 étant rouge, le 2, jaune, et le 3, vert.   Enfin, lâchez prise – sentez votre cerveau se calmer. Focalisez-vous sur le moment présent, souriez, et reprenez vos activités.

-Marcher pieds nus

Marcher pieds nus est à la fois calmant et énergisant ; cela lutte contre la dépression et l’anxiété, soigne les varices et fortifie les muscles, tendons et ligaments des pieds, chevilles et mollets.

Les anciens peuples – qui considèrent la terre comme sacrée, vivante et ayant un pouvoir guérisseur – y ont recours pour se centrer et se fortifier.

– Butterfly Hug (contre les traumatismes)

Pensez à un événement traumatique que vous désirez traiter, ou à l’un de ces aspects particuliers. Puis évaluez votre degré  de souffrance actuel sur une échelle allant de 0 à 10 (10 étant le maximum).

Puis, commencez à tapoter (en continu) les tranches des 2 mains l’une sur l’autre (« point karaté »), en répétant 3 fois de suite:

« Même si je suis bouleversé(e) par ____, (soyez précis) je m’accepte profondément et entièrement. ». Ou « Je m’accepte profondément et totalement malgré mes problèmes et limitations. »

Tandis que vous pensez à l’événement en question, (l’effleurant de la mémoire et non pas plongé dedans), effectuez le Butterfly Hug pendant +- 20 secondes ; croisez vos bras sur la poitrine, les mains posées sur les épaules que vous tapotez l’une après l’autre, en alternance. Portez votre attention sur les circonstances que vous tentez de traiter, mais aussi sur les coups légers  sur vos épaules. Respirez plusieurs fois, puis, restez ainsi, bras croisés et mains aux épaules, mais sans tapoter.

Déployer ensuite vos bras lentement devant vous, les mains ouvertes en signe de consentement, tandis que vous déclarez: « Trauma disparu ». Répétez toute la séquence encore 2 x.

Altruisme : vous fournirez énormément de stabilité à votre vie (émotionnellement comme au plan matériel) en l’organisant autour de l’idée de service à autrui ; si vous cherchez avant tout à créer une valeur ajoutée à la vie,à apporter votre contribution à cette terre, à améliorer – même un petit peu – la vie ici-bas et si, pour gérer les défis de la vie, vous prenez comme guides l’amour, le pouvoir et la vérité, ça donnera un sens à votre vie, mais vous apportera aussi le bonheur et la prospérité !

La tortue et la vipère

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Voici un petit conte que je trouve instructif car il porte à réfléchir…

Il était une fois une vipère qui vivait bien tranquille dans une forêt. Hélas, un jour qu’il faisait très chaud, la forêt s’enflamma.

Notre vipère détala de toute ses forces, jusqu’à se trouver devant un grand fleuve, qu’elle ne pouvait traverser, car elle avait peur de l’eau (vous savez sans doute que, comme tout serpent qui se respecte, les vipères savent nager, en général).

Elle avisa une tortue d’eau proche d’où elle se trouvait, et lui dit : Peux-tu m’aider ? Je voudrais traverser ce fleuve, mais je n’ose pas nager. Voudrais-tu me faire traverser le fleuve sur ton dos, s’il te plaît ? (car c’était une vipère bien élevée !)

La tortue se mit à rire et dit : Pas question ! Je vois bien que tu es une vipère, une bête à la morsure empoisonnée !

Mais le serpent jura à la tortue qu’il ne lui ferait rien, en sorte que la tortue, qui avait bon cœur, et croyait à la valeur de l’entraide, accepta… et voilà la vipère qui lui monte sur le dos, et la tortue qui commence à traverser le cours d’eau.

Mais au beau milieu du fleuve, la tortue sentit une piqûre cuisante à la nuque…La vipère l’avait mordue !

Très angoissée, la tortue lui dit : Mais pourquoi as-tu fait ça ? Je te rendais service ! Et puis, nous allons couler toutes les 2, maintenant, et tu mourras aussi.

Et la vipère dit : C’est vrai, mais étant une vipère, je n’ai pas pu me retenir de te mordre…

Moralité : aider, c’est bien beau, mais avant de laisser libre cours à vos instincts de sauveteur, assurez-vous d’abord que vous ne vous adressez pas à une vipère…

Le vrai pouvoir (selon Eckart Tolle)

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Souvent, on est content de soi en tant que personne, parce qu’on se compare à autrui et l’on s’enorgueillit de ses biens, ses succès et possessions, son savoir, … par rapport aux autres.  Ca commence dès l’enfance – et c’est bien ; l’enfant doit passer par cette phase. C’est mieux que de manquer d’estime de soi.

L’estime de soi est une identification à une certaine forme, et nous dépendons alors, pour avoir le sens de notre valeur, de ceux qui ont moins ou font moins que nous – ou que l’on perçoit comme tels.

Cette façon d’acquérir le sens de notre identité devient insatisfaisante au fil du temps, car ce que l’on possède ou nos habiletés, disparaissent un jour. Tirer le sens de qui l’on est de quelque chose de fuyant, de fragile, de non-fiable n’est donc pas si malin, à la fin.

La vraie estime de soi et le vrai pouvoir, vient du fait de ne pas s’identifier à la forme, mais à l’Un – d’où tout le pouvoir provient…

Ainsi ancré dans l’informel ; étant « cela », on y reçoit un sens de notre valeur qui ne dépend plus des autres, d’une comparaison ; c’est le pouvoir même de la Vie !

La « saine estime de soi » finit par ne plus suffire, et il faut la transcender, en sorte qu’elle devienne une saine « non-estime de soi » !   Ce n’est pas la perdre, au contraire : elle se mue en quelque chose de bien plus profond !

Un être doit passer d’abord par un stade d’estime de soi « personnelle », puis évoluer vers un stade où il n’a plus besoin de s’identifier à cela ..

Pour ceux qui manquent d’estime de soi, bonne nouvelle : qu’ils sachent que la voie menant de la souffrance à la transcendance est plus facile que celle menant de l’estime de soi personnelle à la transcendance !

Le bonheur superficiel, hélas, nous maintient dans le monde du rêve, de l’illusion, pendant plus longtemps. Ceux qui ont une bonne vie, et qui s’attachent à ces « hochets », sont bien ainsi, et ne sont pas poussés à s’élever… mais ils tomberont de haut un jour ou l’autre, car tout cela est mortel et disparaît un jour, et s’ils n’ont rien d’autre, ça va faire mal !

Faut-il toujours considérer l’ego comme un ennemi, ou peut-il y avoir une amitié entre le faux et le vrai moi ?

Jadis, personne ne savait que l’ego est une folie, mais de plus en plus de gens en prennent conscience maintenant ; l’ego était donc utile jadis, mais il a perdu son utilité.

Chacun peut constater, en examinant sa vie, qu’il fallait qu’il passe par de l’ignorance spirituelle pour s’éveiller… L’ego fait partie de l’évolution car sans lui, il ne pourrait y avoir d’éveil.

Mais l’ego qu’on voit agir en nous, n’est pas l’ego. Les gens avec un ego hypertrophié, par exemple, sont incapables de le voir… Pourtant, dès qu’on reconnaît sa présence, il se transforme en schéma de pensée ou d’action.

Comment arriver à le voir ? Eh bien, dans le besoin que l’on a de se vanter, ou de se plaindre (car on estime avoir droit à des égards) ou de donner tort à quelqu’un, … Dès qu’on reconnaît l’ego, on s’en libère déjà, car alors, on ne s’identifie plus complètement au schéma de pensée.

L’ego n’est donc pas un ami, mais il faut éviter aussi d’en faire notre ennemi car, ce faisant, on lui donnerait encore plus de pouvoir ; soit, jeté par la porte, il reviendrait par la fenêtre, soit, vous pourriez penser que vous pouvez « gagner la lutte contre l’ego », ce qui est une façon de le renforcer. La lutte fait partie de l’ego.

Par conséquent, Il ne faut pas se rabaisser, se juger, et se forcer à changer – ce qui créerait une résistance.

Voici comment procéder : il faut commencer à changer en de  petites occasions ; par ex, dans une discussion, quand on est tenté de vouloir prouver qu’on sait plus de choses que l’autre ou qu’on a raison et que l’autre a tort, ou de citer nos relations haut-placées, …

Il ne s’agit pas d’aimer ces schémas de pensée, mais d’avoir pitié de soi quand ils « rejouent » malgré nous. Quand cela arrive, au lieu de se maudire et de s’insulter pour notre stupidité, il faut avoir de la compassion pour soi, et en rire – l’humour est libérateur.

Après un moment, on les sent venir, et là, on peut se retenir et se demander si on peut s’en passer.

Quand on distingue un ancien schéma, il ne faut pas lutter, ou vouloir l’éliminer brutalement, mais se demander : Pourquoi devrais-je faire ou dire ceci ? – et finalement, ne pas le dire ou le faire.

Si on fait ceci, on se sent d’abord diminué – en effet, l’ego veut toujours s’élever, se montrer, s’affirmer, être quelqu’un.

L’ego se veut une montagne… et là, on se fait vallée… Mais l’avantage de faire ainsi, c’est qu’au lieu de sentir notre fausse identité, on commence à ressentir notre vraie identité, donc, à acquérir le VRAI pouvoir – non celui des formes, mais celui de l’Essence (ou Source) !

 

Conte & poèmes

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Dawna Markova
Je ne vivrai pas une vie non-vécue.
Je ne vivrai pas dans la peur de tomber ou de prendre feu.
Je choisis d’habiter mes jours,
De permettre à mon vécu de m’ouvrir,
De me rendre moins craintive, plus accessible,
de détendre mon coeur jusqu’à ce qu’il devienne une aile, une torche, une promesse.
Je choisis de risquer mon importance ;
De vivre en sorte que ce qui vient à moi comme graine reparte comme fleur
Et que ce qui vient à moi comme fleur, reparte comme fruit.

Rumi
Vous êtes né avec du potentiel
Vous êtes né avec de la bonté et de la confiance
Vous êtes né avec des idéaux et des rêves
Vous êtes né avec de la grandeur
Vous êtes né avec des ailes
Vous n’êtes pas fait pour ramper, donc, ne le faites pas.
Vous avez des ailes
Apprenez à vous en servir et volez

Dianne Sylvan
Je marcherai sur le monde avec légèreté.,
Tendant à l’équilibre en toutes choses.
Je tendrai vers l’intégrité et agirai avec une conscience éveillée.
Je chercherai les bénédictions et l’humour dans toutes mes errances.
J’avancerai à partir d’un lieu d’amour pour toute la création.
Je regarderai vers la nature et sa sagesse pour me guider.
Je serai une source de force et de réconfort pour ma famille.
Je choisirai la guérison plutôt que le mal,
Et me souviendrai que le choix ne dépend que de moi.

Leo Buscaglia
J’honore l’endroit en toi où réside l’univers entier.
J’honore l’endroit en toi où gît ton amour,
Ta lumière, ta vérité et ta beauté.
J’honore l’endroit en toi où …
Si tu es dans cet endroit en toi
… et que je suis dans cet endroit en moi…
Alors il n’y a qu’une seule personne.

Pema Chödrön
Il était une fois une jeune guerrière.
Son professeur lui enseigna qu’elle devait lutter contre la peur.
Elle ne voulait pas. Ca semblait trop agressif ; c’était effrayant ; cela semblait inamical.
Mais l’enseignant dit qu’elle devait le faire et lui donna des instructions pour la bataille.
Le jour arriva. L’élève guerrière se tenait d’un côté, et la peur, de l’autre.
La guerrière se sentait très petite, et la peur paraissait grande et pleine de rage.
Elles avaient toutes 2 leurs armes.
La jeune guerrière se secoua et s’avança vers la peur, se prosterna 3 fois et demanda, « puis-je avoir la permission de me battre contre toi ? »
La peur dit « merci de me montrer tellement de respect que tu me demandes la permission ».
Puis la jeune guerrière dit « comment puis-je te vaincre ? »
La peur répondit, « mes armes sont que je parle vite, et que je m’approche très près de ton visage. Alors, tu es totalement découragée et tu fais ce que je te dis. Si tu ne fais pas ce que je te dis, je n’ai aucun pouvoir. Tu peux m’écouter, et tu peux avoir du respect pour moi. Tu peux même être convaincue par moi. Mais si tu ne fais pas ce que je dis, je n’ai pas de pouvoir ».
C’est ainsi que l’élève guerrière apprit comment vaincre la peur.

Le miracle de la vie

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« Le visible simple cache de l’invisible compliqué » (Louis Pauwels)
Nous connaissons tous la « réalité » ; la vie sous ses formes extérieures. Mais le « réel », c-à-d la vraie vie, est dans le monde du « silence », donc, pour l’explorer, il faut se tourner vers la source, en nous.
Celle-ci jaillit de l’intérieur de nous et s’étend vers l’extérieur. Retrouver notre pouvoir, c’est puiser à même la source infinie et manifester notre vie selon le plan divin qui s’exprime en nous.
Il faut estimer et juger des choses en prenant comme mesure la façon dont elles nous font nous sentir. Si vous êtes à la bonne place, vous le savez « intérieurement » mieux que personne.
Mais on a tellement d’autres systèmes automatiques, en nous – celui qui régule la température ou l’appétit, le rythme du cœur, l’excrétion des hormones, l’équilibre, etc…
Le tout forme la machine formidable qu’est notre corps.
L’ADN présent dans une seule cellule du corps humain, contient assez d’information pour remplir un million de pages. Un homme n’aurait pas assez de toute sa vie pour déchiffrer cette information ; même si tous les jours, 24 heures/24, il lisait un code de l’ADN par seconde, il lui faudrait 100 ans pour en finir la lecture. Cette quantité d’informations est celle contenue dans 1.000 gros livres et cet énorme dépôt d’information est présent dans le noyau de chaque cellule !
Un être humain, composé d’environ 100 trillions de cellules, dispose donc de 100 trillions de copies de cette bibliothèque.
Et en plus, si nous multiplions ce chiffre avec les 7 milliards d’êtres humains vivants et les 80 milliards de personnes ayant peuplé la planète, nous serions confrontés à une quantité d’informations astronomique.
L’architecture de la vie est une chose étonnante ; le système est incroyablement complexe, comme créé par une intelligence très vaste… Ik DOIT y avoir un Esprit qui l’a conçu !
Depuis le début de la création de l’homme, la cellule originelle est transmise de père en fils, de mère en fille. L’ovule fertilisé ne se divise que 50 fois, mais au bout de ces 50 reproductions, les cellules auront une tâche spécifique dans l’univers du corps humain qui comportera 100 trillions de cellules ; soit plus que toutes les étoiles de notre galaxie.
On estime aujourd’hui que chaque cellule exécute 6 trillions d’opérations à la seconde.
Chaque cellule sait instantanément ce que les autres sont en train de faire. Chaque jours, 350 millions de cellules meurent et sont remplacées par des cellules neuves.
Le corps humain reproduit et transmet des pensées, tue des germes, joue du piano, élimine des toxines, fabrique un enfant, maintient l’équilibre, le rythme cardiaque et la tension sanguine, oxygène le sang par la respiration, perçoit, interprète,… tout cela en même temps ; il enregistre le mouvement des étoiles et des planètes (les rythmes biologiques étant liés au cosmos).
Oui ; il y A une intelligence innée dans notre corps et cette intelligence, cette conscience est le reflet de la sagesse qui anime l’univers…
Les scientifiques actuels sont du reste – et en accord avec les progrès technologiques – sérieusement en train d’envisager la possibilité qu’il existe une fonction spirituelle dans le cerveau. Je suis persuadée que le temps n’est pas éloigné où ceci sera prouvé…