Archives Mensuelles: décembre 2012

Changer de vie : le miracle de la musique

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Seule la musique peut changer notre humeur, élever votre vibration instantanément, et stimuler tout le cerveau (la mélodie s’adresse à l’hémisphère droit, et les paroles, au gauche) et de traiter l’inconscient.
Les gens aiment tel ou tel type de musique selon leur humeur ; s’ils sont heureux, ils préfèrent écouter une musique rythmée, ou des chansons d’amour ou de prière, alors que s’ils sont tristes, ils écoutent des chansons adaptées à cette humeur sombre et rejettent celles qui parlent de joie ou d’amour.
Les publicitaires le savent bien, qui adaptent la musique à l’effet qu’ils veulent produire sur leur public ; ils savent qu’une fois que la musique est bien martelée en nous, elle reste dans l’inconscient et nous influence, nous poussant à nous souvenir du produit et à l’acheter.
La musique a une énorme importance et s’en servir pour son propre développement est très efficace. En effet, le message qu’elle véhicule enjambe l’esprit logique et pénètre directement dans l’inconscient, et ce, 300 fois plus vite qu’en ayant juste une pensée positive.
Oui, la musique peut élever notre fréquence vibratoire, nous unir à l »’océan de conscience illimitée » et attirer ainsi ce que l’on désire dans notre vie.
Il faut écouter, pour ce faire, de la musique qui nous entraîne par son rythme, mais qui a aussi des paroles hyper-positives – que l’auteur et chanteur émette cette vibration positive. Avec ce genre de chansons, vous pourrez enfin choisir le genre d’émotions et de vibrations que vous voulez implanter dans votre inconscient.
Autres effets :
La musique peut aussi modifier notre humeur, nous pousser à nous bouger, aider à la guérison des blessures, … Vu qu’elle touche plusieurs zones du cerveau et pénètre profondément en nous, on peut même l’utiliser pour soigner les aphasiques et les victimes d’attaques cérébrales à réapprendre le langage ; le fait d’écouter des chansons fait alors ressurgir les mots stockés dans le cerveau (effet « Kenny Rogers »), ou les reconnecte entre eux ou génère de nouveaux liens, nécessaires à la pratique du langage.
Les personnes saines peuvent également profiter des bienfaits de la musique ; par exemple :
– elle réveille les souvenirs enfouis :
Si « l’effet Mozart » (postulant qu’écouter du Mozart favorisait la réussite aux examens) est une « intox » (écouter du Mozart ne rend en fait pas les enfants plus malins), il est vrai que certaines musiques nuisent à l’apprentissage (s’il faut étudier des nombres ou des listes).
On a aussi montré que la musique aidait les gens (même ceux souffrant de la maladie d’Alzheimer) a se rappeler de faits passés ; le fait d’écouter un air que l’on connaît stimule l’hippocampe (responsable du stockage à long-terme des informations) et nous fait aussi souvenir de ce que l’on faisait quand on l’écoutait jadis.
– elle booste le système immunitaire :
L’effet agréable que la musique produit sur nous a un effet bénéfique pour notre santé : la science a démontré qu’écouter une musique relaxante diminuait le niveau de stress et le cortisol (hormone du stress), ce qui a pour effet de booster l’immunité. Et même une musique rythmée augmente le niveau d’anticorps de notre organisme.
– elle pousse à bouger :
Des recherches ont démontré un lien entre une musique rythmée et la pratique sportive ; comme ce genre de musique distrait notre attention et accélère notre cœur et nos muscles, on s’exerce plus fort, plus longtemps et plus facilement.
– elle empêche de craquer sous la pression :
Muser ou fredonner fait baisser l’anxiété et prévient l’étouffement : pour les gens angoissés, soucieux, terrifiés par une tâche (discours public, par ex), fredonner un air léger et joyeux les distrait et les soulage assez que pour leur permettre d’y arriver sans craquer.
– elle combat la fatigue :
La musique motive et rend joyeux – certains prétendent qu’elle accroît aussi la productivité, mais ce n’est pas prouvé. On sait par contre qu’en passant une musique sans paroles (n’affectant pas les zones langagières du cerveau), et une musique très rythmée, fait que les travailleurs travailleront plus fort et plus longtemps, entraînés qu’ils seront par le rythme.
Pour ceux qui ont un job monotone, la musique peut maintenir leur moral au top et les aider à continuer à faire des tâches ennuyeuses.
Et – toujours à cause de son effet d’entraînement – la musique aide aussi à ne pas sentir la fatigue, surtout si elle change fréquemment. Une bonne musique pop produit plus de dopamine, en sorte que l’on ne sent plus sa fatigue, son ennui ou sa dépression.

Eve, mère de l’Homme & Adam le suiveur

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Adam & Eve 3

Les femmes représentent plus de 50% de la population, font 66% du boulot sur terre et produisent 50% de la nourriture. Et pourtant, elles n’ont que 10 % des ressources et 1% de la propriété ! (Et OUI, c’est TOUJOURS AINSI ACTUELLEMENT).

Ce sont les femmes qui ont fait accéder l’homme à l’humanité – ceci est-il donc un crime si grand que depuis & à jamais, elles doivent le payer ?

L’écrivaine Pearl Buck commente, dans un de ses livres, ainsi l’histoire d’Adam & Eve :  l’homme était satisfait de jouir du jardin mais la femme pensait aux enfants qui lui naîtraient, et voulait plus. C’est comme cela qu’elle fut poussée à explorer et à désobéir à Dieu.

Or, cette possiblilité de désobéir à Dieu, n’est rien de moins que CE QUI FONDE L’HOMME !

Souvent on entend des athées dire : « si Dieu a tout créé, il a créé le mal – donc Il est mauvais.  Ou à tout le moins, Il permet le mal – donc il l’approuve – Il est donc est indiférent ou complice – ou, s’Il ne peut l’empêcher, Il est faible – et n’est donc pas Dieu, puisque Dieu est censé être tout-puissant.

Ce genre de « raisonnement » prouve qu’ils n’ont rien compris à la nature humaine ; car l’amour de Dieu, c’est justement cela !  Les animaux, sont forcés de suivre les lois naturelles ( = divines) sans pouvoir y échapper, alors que nous, humains, avons cette liberté de choisir : suivre la parole de Dieu, ou y désobéir ! C’est CECI qui nous distingue de l’animal – et c’est cela qu’Eve a fait…

L’histoire d’Adam et Eve montre aussi la lâcheté de l’homme : quand Eve lui propose de manger du fruit défendu, il la suit sans réfléchir !  Il pouvait lui dire : c’est interdit, alors fais-le si tu veux, mais moi, j’obéirai à Dieu ». …

Au lieu de protester, il acquiesca et pécha avec elle – mais quand Dieu les confronte, il jette toute la faute sur Eve, et n’assume pas sa responsabilité, son choix… (Il semble que rien n’ait changé).

Les incroyants nient la réalité d’Adam et Eve – mais même si ce n’est qu’un conte, c’est un conte très intelligent, qui nous éclaire, car il révèle la mentalité ainsi que la destinée des hommes et des femmes.

Jean-Claude Van Damme en dit ceci : « Moi, Adam et Eve, j’y crois plus tu vois, parce que je suis pas un idiot : la pomme, ça peut pas être mauvais, c’est plein de pectine » 😉 ! Mais redevenons sérieux !

Bref, dans le conte, la femme doit être punie de sa rébellion : Dieu lui dit (Il ne dit pas ceci à l’homme !): « tu t’attacheras à ton mari, et il dominera sur toi » …sous-entendu : justement à cause de cet attachement ! Si l’on devient dépendant de quelqu’un (surtout si lui ne l’est pas de nous), on est clairement en position de faiblesse !

Et voilà la malédiction de la femme – et pourquoi elle doit payer et souffrir – Vous pensez que c’est ridicule et que ça ne tient pas debout ? Peut-être…mais regardez autour de vous, le sort qui est fait aux femmes un peu partout dans le monde et dans l’Histoire (car cela remonte loin)…. Moi, je trouve que ça ressemble furieusement à un genre de malédiction !

Voici aussi pourquoi, dès le début, dans les contes comme dans les faits, on voit que c’est elle qui est cause de progrès, d’avancement de la civilisation :

En Afrique, par ex, ce sont les femmes qui ont découvert les propriétés curatives de diverses plantes, ou les femelles macaque, le lavage de patates (voir l’histoire du « 100ème singe »), …

Le conte hopi de la création de l’Homme, en attribue aussi l’apparition à la femme : au commencement, l’Homme (qui n’était pas encore l’Homme) vivait dans les profondeurs de la terre – et en était satisfait. Mais pas sa femme ; elle voulait s’élever…

Pour lui faire plaisir (ou faire cesser ses jérémiades !) l’homme monta d’un étage… puis d’un autre… puis d’un autre, etc… Jusqu’à ce que, toujours poussé vers le haut par les récriminations de sa femme, l’homme émerge à la surface de la Terre. Et voilà ; l’Homme était né !

Cette mission la femme ne doit pas l’abandonner… Car « qui n’avance pas recule » et donc, si la femme (qui est alors la Femme) ne le civilise pas, l’homme se livre à ses mauvais instincts et tombe à un état pis que celui d’une bête !

Beaucoup d’hommes, en effet, s’imaginent que, comme ils n’existe pas de mariage chez les animaux, ceux-ci s’accouplent comme ils veulent, « en toute liberté » – quelle erreur !

Les bêtes doivent se plier à des règles très précises, et les faibles doivent se résigner à NE JAMAIS AVOIR DE RELATIONS SEXUELLES !  C’est ça, la « la loi de la nature « – faire en sorte que seuls les plus aptes aient accès à la reproduction (pour toujours renforcer l’espèce et permettre qu’elle puisse se perpétuer).

S’il en allait de même avec nous, il n’y aurait que les gars les plus grands, forts et beaux qui s’accoupleraient dans leur vie…et encore, à certaines périodes bien précises (le reste du temps : chasteté totale !).

Or, on voit bien que les hommes, même les gringalets, pauvres, laids ou très bêtes, peuvent se satisfaire assez aisément, et même se reproduire, alors que normalement, les femelles devraient être bien plus « difficiles » et ne se laisser approcher que par l’élite !

Il y a un proverbe anglais qui dit : pourquoi acheter la vache quand on peut avoir le lait ? Eh oui ;  avant, les hommes devaient épouser (= acheter la vache) pour pouvoir coucher (= avoir le lait)… Maintenant, ils en prennent à leur aise… !

C’est ce qui explique les malheurs du monde actuel.

Les femmes ont abandonné leur rôle sacré pour s’adapter au rôle que les hommes leur ont assigné, et se sont faites les gardiennes de la tradition – une tradition qui les spolie et les infériorise !

L’idéal serait qu’elles reprennent le pouvoir – et le rôle – qui est le leur ; celui d’élever et civiliser l’homme.

Ces derniers se plaignent du mariage, alors que ce sont eux qui en profitent !  Il leur fournit une bonniche, baby-sitter et prostituée gratuite – sans compter le rôle d’éponge à émotions négatives et hélas, souvent de défouloir !

Ca en coûterait de l’argent s’ils devaient payer d’autres personnes pour faire tout cela !

Il n’y a qu’à voir les chiffres des dépressions : elles sont le plus nombreuses chez :  1. les femmes mariées, 2. Les hommes célibataires… Concluez … Voyez donc à qui cela profite !

Les hommes rechignent néanmoins souvent à « passer devant Mr le Maire » et se plaignent du mariage… Les finauds ! Ils font ça pour ne rien devoir y faire ; pour jouir de tous les avantages que procure la femme, sans devoir donner quoi que ce soit en retour !

Du reste, si l’union leur était si négative, pourquoi, partout dans l’Histoire, les femmes vues comme un butin précieux, pourquoi ils nous mettent depuis toujours des entraves – réelles ou symboliques – pour nous garder à eux (sous leur dépendance) et nous empêcher de nous enfuir : clitoris coupé, pieds bandés, discours politiques ou religieux sur notre infériorité et notre devoir de nous soumettre aux hommes et dépendre d’eux, etc… ?

Je prends l’exemple de l’Occident (je le connais bien, y ayant grandi) : il y a d’abord eu la « religion » – alors que Jésus n’a rien dit de tel et a préféré Marie (« la contemplative ») à Marthe (« la servante »), la chrétienté a assigné aux femmes les seuls rôles d’épouse et mère – à l’exclusion de tout autre.  Cette vie amoindrie et très rétrécie fit que leurs talents furent perdus pour l’humanité… Quel gâchis !

Car rien n’abrutit plus l’esprit que les stupides tâches ménagères, toujours à recommencer (donc dénuées de sens !)  – c’est comme Sisyphe avec son rocher ; il devait le monter indéfiniment en haut d’une montagne, puis la pierre roulait en bas et il devait la re-monter, etc…

Puis, la religion perdit du terrain.  Et Freud arriva, à point nommé, qui affirma que la femme est inférieure et masochiste.

Et quand ce levier perdit de sa force, apparurent (comme par hasard !) des canons de beauté inatteignables… ce qui sape notre confiance en nous (car toute assurance a sa base dans le fait d’apprécier son propre corps).

Tandis qu’on court pour atteindre l’inaccessible étoile du corps jeune, mince et parfait, et qu’on se déteste parce que (bien sûr !) on n’y arrive pas, on ne peut se dresser pour défendre ses droits !

En plus, les hommes appliquent le « diviser pour régner » : conscients que « l’union fait la force », ils font tout pour empêcher notre entente : créer l’envie, la jalousie et la rivalité, semer la zizanie entre les femmes !

Mais surtout, il y a dans notre culture ce piège subtil : induire un faux sentiment de liberté, de « on a gagné » = une « égalité » qui n’est en fait que des mots, de la fumée !  Par ex, un même examen, soumis à ceux qui doivent les corriger, avec un nom masculin ou féminin : les feuilles de réponses (les mêmes feuilles !) affublées d’un prénom féminin, reçoivent des notes inférieures que si elles portent un prénom masculin – alors que, bien sûr, les réponses sont pareilles !

Je sais que certains – & surtout certainEs – refuseront de croire à ceci … Pourtant, si je voulais le prouver, je n’aurais jamais fini, tant les preuves foisonnent ; il suffit d’ouvrir ses yeux & ses oreilles, d’observer ce qui se passe autour de nous, SANS PREJUGES …

Satisfaction sexuelle

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En couple (surtout en mariage), on se promet d’être le seul partenaire sexuel de l’autre et vice versa – et ce, parce qu’on a confiance que l’autre satisfera nos besoins sexuels. Si on est fidèle, on dépend totalement de l’autre pour ceci (on n’a pas d’autre choix).
En général, c’est l’homme qui est le plus « demandeur » , mais quelle que soit la situation, il arrive souvent qu’il y ait conflit en ce domaine essentiel d’une relation : donc, comment faire pour satisfaire chacun des partenaires ?
L’importance d’embrasser une femme pour « l’embraser »
Il arrive souvent qu’après quelque temps, les hommes arrêtent d’embrasser, vue qu’il vont au but : l’ennui, c’est que les femmes ont besoin d’un certain durée d’ »embrassement » pour avoir l’ »embrasement » suffisant que pour passer à l’acte !
Il faut lui dire : « mon sang et mes hormones ont besoin d’une stimulation et, comme la digestion, ca prend généralement 20 min (sauf exceptions).
Donnez-lui des instructions brèves et positives – pas de longues phrases (il faut « encourager la bête » !).
Si ses mains descendent trop vite vers vos zones érogènes, remettez-les vers le haut (certains hommes détestent cela ; ils disent que c’est comme leur dire qu’ils sont nuls !) et s’il touche trop fort, dites-lui “plus doucement” – et donnez toujours du feed back positif : » oui, là c’est beaucoup mieux »,…
Attention : s’il voit cette douce et bénéfique guidance comme un « ordre » et une critique de ses « compétences amoureuses », plaquez-le ; c’est une « tache » ! Vous tentez d’améliorer la relation et de solidifier le couple, et si lui refuse d’y travailler, le couple est voué à l’échec (voir : http://bonheuretamour.com/la-relation-est-le-1er-enfant-dun-couple/).
Voir aussi : https://bonheuretamour.wordpress.com/2012/09/23/sexe-et-qualite-de-la-relation/
L’ennui –c’est que pour avoir l’orgasme, il faut que la femme ait confiance que tout va bien se passer, que l’homme s’y connaît (il suit ses instructions non-verbales, le langage de son corps, ses réactions) et qu’elle puisse totalement se laisser aller => si elle doit lui donner des instructions et toujours surveiller ses mouvements et le corriger, elle ne peut pas se laisser aller => pas d’orgasme !
S’il vous suit, vous aurez un orgasme, si pas cette fois-là, la suivante, car vous saurez que vous pouvez vous laisser aller. Et Monsieur, vous avez trouvé le mode d’emploi de cette femme-là : suivez-le dorénavant ! Même l’intromission doit être lente, ainsi que les 1ers mouvements.
Vous pouvez aussi essayer la nouvelle « technique d’alignement coïtal », qui augmente les chances d’orgasme simultané… (http://bonheuretamour.com/sexe-pour-jouir-passez-a-la-tac/).
Qui doit initier les séances de sexe ?
Les hommes ne veulent pas une plante totalement passive, mais (quoi qu’ils en disent) se lassent vite aussi d’une panthère assoiffée de sexe – ils veulent quand même mener la danse.
Or, les hommes étant orientés-solution, si une femme leur dit de faire ceci ou cela, en général, ils le font. Mais beaucoup n’aiment pas qu’elles placent leur main à tel endroit.
Comment – pour un homme – être un bon amant ?
Il faut montrer de la bienveillance envers l’autre, laquelle se traduit concrètement par de « petites attentions » .. attentions qui, elles-mêmes, prouvent que l’on « fait attention » à sa partenaire – par ex, faire la vaisselle pour votre femme crevée par une journée de boulot, l’excitera plus que tous les pornos du monde. Ecoutez-la, et tenez compte de ses avis.
Pour savoir ce que les femmes aiment et veulent, regardez un film romantique ou lisez un livre romantique.
Manque de sexe ?
Le besoin de sexe est apparu avant la relation avec l’autre et est en quelque sorte, indépendant de cette relation.
Si vous aimez votre partenaire, vous désirez coucher avec lui(elle), mais ce désir n’est pas le besoin sexuel ; il n’est que l’illustration du désir d’être physiquement et émotionnellement proche de lui (elle).
Le besoin sexuel se traduit par des fantasmes sexuels ; plus il y en a, plus le besoin est fort – et la manière dont vous vous satisfaites dans vos fantasmes, indique votre orientation sexuelle.
Aucune thérapie ne rend les femmes meilleures au lit et ce n’est pas en tentant de guérir les traumas de l’enfance que le sexe sera meilleur entre les conjoints (ces thérapies mènent souvent au divorce).
Les inhibitions sexuelles peuvent être éliminées par des méthodes n’exigeant pas un rappel du passé ; une femme peut apprendre à satisfaire son homme malgré ces souvenirs pénibles.
En fait, le plus grand inhibiteur du sexe pour une femme, c’est une mauvaise relation. Pour que cette inhibition-là saute, il ne faut pas plus de sexe, il faut d’abord que le mari restaure la relation – en comblant ses besoins.
Cela fait, il n’y a plus de problème sexuel – même avec des traumas infantiles ! Avec la loi d’accord conjoint, les problèmes sexuels n’existent tout simplement pas !
Certaines femmes ont moins d’envies parce qu’elles manquent de testostérone ; donc, en prendre peut réveiller leur désir.
Pas de crainte à avoir : la testostérone est une hormone naturellement présente chez la femme (bien qu’en moindre quantité que chez l’homme) et ¾ des gynécologues femmes se disent prêtes à en prendre en cas de baisse de leur désir.
D’autres, parce qu’elles sont fatiguées ou prennent des anti-dépresseurs. Et parfois, parce que la relation est mauvaise (même si ça ne se voit pas).
Même si l’homme s’intéresse moins à l’affection et la conversation et la femme, moins au sexe, leur union peut quand même marcher ; ils suffit qu’ils comprennent que, pour remplir les besoins de l’autre, il n’est pas besoin de les ressentir : l’homme peut remplir le besoin d’affection de sa femme en se montrant affectueux, et la femme, le besoin sexuel de son homme, en devenant une experte au lit. Faites-le, c’est tout !
Certain(e)s n’aiment pas le sexe, comme certains n’aiment pas les radis – mais ce n’est pas une raison pour ne pas faire l’amour.
Certain(e)s ont peu de tempérament, mais ce peut être une expérience agréable, à cause de l’affection qui l’accompagne. Et puis, c’est le symbole même du couple !
Attention : si vous trouvez l’acte dégoûtant ou avez mal à la pénétration, il s’agit d’aversion du sexe, ce qui est différent. (voir articles : : https://bonheuretamour.wordpress.com/2012/05/11/laversion-sexuelle/https://bonheuretamour.wordpress.com/2012/05/11/sexualite-probleme-daversion/).
Pour un tempérament froid, il faut faire l’amour seulement aux moments de la journée où vous avez le plus d’énergie.
Et plus on fait l’amour, plus le tempérament augmente (attention : c’est l’inverse pour les hommes) ; donc, faites l’amour à votre époux chaque jour durant plusieurs semaines, en décidant du moment ( et si possible, en prenant la position au-dessus) – si ça ne va vraiment pas, vous pouvez – exceptionnellement – sauter un jour, mais ne laissez pas la situation pourrir : attaquez-vous à ce problème aussitôt que possible.
Faites-le en ne vous occupant pas du plaisir de votre homme ; concentrez-vous plutôt sur le vôtre ; rendez cet acte aussi plaisant que possible pour vous.
Certains hommes se satisfont d’une partenaire passive, mais d’autres ont besoin du désir de leur compagne pour être comblés.
Pour qu’une femme en ait envie, un acte sexuel doit s’adresser à ses propres désirs ; l’homme doit savoir comment faire pour l’amener à désirer le sexe et aussi savoir se réfréner.

Dans l’union, l’homme et la femme ont la chance et la responsabilité de combler les besoins de l’autre; alors, devenez-y expert(e) !

Femme : attention aux « jamais mariés » !

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On rencontre maintenant beaucoup d’hommes qui, bien que dans la cinquantaine, ne sont jamais passés par la case « mariage », par peur des risques de rupture, en général…
Combien de relations ont connues ces hommes-là ? A leur âge, environ une dizaine… et autant de ruptures (puisque la plupart sont encore en train de chercher une partenaire). Or, quel est l’homme marié ou divorcé qui a eu 10 divorces ? Aucun !
Une rupture est souvent fort (et longtemps) douloureuse ; donc QUI peut avoir envie de revivre cette tragédie plusieurs fois ? Il faut être très bête ou masochiste… Or, il est clair que ces hommes ne sont pas masochistes…
Ils « seraient » donc bêtes, puisqu’ils ne prennent pas la peine de bien choisir …d’où rupture en vue ? Il ne s’agit pas de bêtise, mais d’un monstrueux égoïsme ! Ils ne veulent (ou ne peuvent) pas s’engager et faire en sorte que ça marche, et traitent l’autre comme un kleenex ; comme un objet jetable.
Cette attitude est-elle une preuve de maturité ? Est-elle digne d’un adulte ? Ou d’un être « humain » ? Est-ce gentil de faire ça aux femmes ? 3 fois non !
Pourquoi, alors, vouloir être leur prochaine “chérie”, ou plutôt, leur prochain petit jouet… juste avant qu’ils ne s’en lassent ?
Car ce qui est arrivé aux autres, vous pend au nez, mesdames, si vous entrez en relation avec ce genre de coco !
Pour ces hommes, aucune femme n’est « unique », l’une vaut l’autre, toutes sont remplaçables (et vous aussi !), car ils sont habitués à coucher avec diverses femmes… Tout est alors pareil, non-exceptionnel, bref, assez médiocre !
Avec eux, la relation n’est pas leur trésor (une chose précieuse), mais un outil bientôt usé… Avec eux, vous n’êtes pas une âme-sœur respectée et tendrement chérie, mais « la nouvelle vache » (comme dans le livre « Vacheries ») de Monsieur le Taureau !
Bref, vous n’êtes pas en sécurité durable, dans un foyer où l’on apprécie ce que vous êtes ; vous vous trouvez en position précaire ; sur un siège éjectable ! – car les sentiments de ces êtres sont de peu de durée et ont bien peu de profondeur…Ils ont une date de péremption, comme un yaourt !
Cohabiter est pourtant une affaire intime – on donne son corps, c-à-d son âme ! Et à qui ? A quelqu’un qui n’est ni digne, ni bon, ni adulte, et inapte aux sentiment profonds ! Cela n’est pas très malin, ne trouvez-vous pas ?
Pourquoi, mesdames, encourager les hommes dans leur répugnante façon de traiter les autres ? Laissez-les à leur misère .. qu’ils paient les conséquences de leur attitude infantile et égoïste, au lieu de leur permettre d’avoir le beurre et l’argent du beurre !
Ils ignorent le sens du mot « se donner » – chose pourtant indispensable à une relation intime – or, qu’y a-t-il de plus intime que ce genre de relation ?! Pourquoi vous donner sans rien exiger en échange ?
Toute relation d’amour (ou d’amitié) a besoin d’égalité ; or, en cohabitant avec un homme sans mariage, vous lui donnez quelque chose de très précieux, et lui, rien en échange.. ; est-ce honnête ?! Allez-vous, mesdames, pouvoir tenir ainsi longtemps ? Si oui, c’est nécessairement que vous vous y retrouvez autrement …
Car il n’y a que 2 sortes de relations : d’argent ou d’amour – quand il n’y a pas l’un, il doit y avoir l’autre… – sans rien, ça ne peut évidement pas « tenir ».
La relation avec une femme est immensément bénéfique à un homme : il n’y a qu’à voir l’état des « vieux garçons » ; ils sont ridicules, on les remarque de loin ; négligés, des vêtements et des coupes de cheveux risibles, …. Ces bénéfices apportés par une femme ont été mis en chiffres, et se montent à une somme énorme, en terme de travail (car la femme se tape le gros du travail ménager) comme en terme de santé et de santé mentale.
En tout cas, prendre quelque chose sans payer n’a qu’un nom ; ça s’appelle du vol ! La vie est faite de temps et d’énergie, et ce genre d’homme prend à une femme les 2 (son temps et son énergie) sans aucune contrepartie … J’invite donc les femmes à cesser d’être complices du vol de leur vie et de leur âme.
« Oui mais – rétorquent ces rusés renards – le mariage rate dans la moitié des cas » Eh bien, ça lui fait un taux de réussite de 50 % environ, ce qui, comparé au taux de réussite d’une cohabitation, est un succès éclatant.
En effet, ce sont 99,999 % des simples relations qui se cassent la figure => taux de réussite : 0,0001%
A vous d’en tirer les conclusions !
La différence entre une relation solide et une relation fragile ne tient qu’à UNE SEULE chose : l’ENGAGEMENT ! Et le mariage est la marque de cet engagement –voilà pourquoi les unions légales sont des milliers de fois plus solides que les autres !
Voici ce que j’en disais dans mon article « de la femme comme jardin » : Femmes, vous devez vous voir comme un beau jardin, une terre riche, pleine de promesses, attendant le jardinier qui en prendra soin, la labourera (oui, c’est aussi une allusion sexuelle) et la cultivera, pour en faire un jardin plein de fleurs et de fruits – une belle et bonne terre, qui reste fertile.
Ce n’est pas pour rien que, partout et toujours, les femmes sont la plus grande richesse d’un pays, pas pour rien que depuis toujours, les hommes les gardent avec soin et tentent par tous les moyens de les empêcher de partir (enfermement, règles strictes, pieds bandés, excision, …).
L’homme, lui, est idéalement ce jardinier – c’est ce genre de bon « jardinier » que vous devez chercher. Hélas, trop d’hommes ne sont que des brutes, qui – ne connaissant rien de ce fragile « écosystème » – ne savent pas comment traiter cette belle terre – ou ne s’en soucient pas, et piétinent tout, brisant les fleurs et empoisonnant les rivières. D’autres encore sont des Huns, des vandales, qui s’engagent comme jardinier, mais ne songent qu’à ravager et brûler la terre, à cueillir et voler tout ce que le jardin contient comme fruits, sans nourrir la terre, sans rien donner – ce qui abîme et épuise la terre, qui finit par ne plus pouvoir rien donner et mourir.
Ceux-là sont des voleurs, des profiteurs, à fuir au plus vite ! Alors, en couple, observez comment votre jardinier traite votre jardin – vous valez très cher ; protégez votre jardin !
Relisez aussi cet article du 1er octobre sur les empididés : https://bonheuretamour.wordpress.com/2012/10/01/mefiez-vous-des-empidides/ . Cela parle d’une bestiole qui use de ruse pour avoir une femelle et ne lui offre que de la m… (ou de fausses promesses) pour pouvoir lui « faire son affaire »… A bonne entendeuse, salut !

Importance de la posture pour trouver un job

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Changer notre posture (comment on se tient) peut changer bien des choses dans notre vie…. Notre communication non-verbale détermine en effet la sensation qu’on produit sur autrui, et l’opinion qu’ils se font de nous – et plus encore : notre communication non-verbale détermine la sensation qu’on produit sur soi-même et l’opinion qu’on se fait de soi !
Le corps a un langage ; alors, qu’est-ce que votre corps communique à autrui ? Et qu’est- ce que la posture d’autrui vous communique ? En fait, c’est de ceci qu’on se forme un jugement sur les personnes ! Donc, c’est comme ça – avec un regard aussi court qu’une seconde – qu’on décide de qui engager pour un job ou pas, avec quel homme (ou femme) sortir ou pas, pour qui on va voter ou pas, à qui on achètera un produit ou pas, etc…
Mais attention : il n’y a pas que l’interlocuteur qui soit influencé par le langage non-verbal ; nous le sommes aussi, nous-mêmes, à propos de nous –mêmes – c-à-d que notre posture a une influence sur nos pensées, nos sentiments et notre physiologie !
Il y a, par ex, dans toute interaction entre personnes, des expressions non-verbales de pouvoir et de dominance : c’est quand quelqu’un « s’ouvre » pour paraître plus grand et imposant. Ils occupent le plus d’espace possible.
Les gens adoptent ce genre de posture lorsqu’ils se sentent forts (juste sur le moment, ou parce qu’ils occupent une position de pouvoir dans la société). A l’inverse, quand nous sommes « mal », nous nous replions sur nous-mêmes et nous rapetissons.
Pour des étudiants, ceux qui sont plus puissants, étant plus assurés, participent plus, et donc, ramassent plus de points que les timorés.
Ceux-là, leur posture trahit leur manque d’assurance. S’ils veulent voir remonter leurs notes, ils ont donc intérêt à paraître (même s’ils doivent s’y forcer) plus assurés et puissants.
Et les déprimés devraient tenir un crayon dans la bouche ; ça forme une sorte de faux sourire, mais comme le corps influence l’esprit tout autant que l’esprit, le corps (du moins au niveau de l’expression faciale), ça leur procurera un sentiment de bonheur.
Chacun sait que l’esprit change le corps, mais ceci est généralement ignoré ; le corps change l’esprit – ça marche dans les 2 sens … Donc, se forcer à sourire rend plus heureux, comme prendre plus d’espace procure une sensation de pouvoir.
Les gens puissants sont plus assurés, plus assertifs, plus optimistes – se croyant chanceux, il osent prendre plus de risques
2 hormones jouent aussi un rôle : la testostérone (hormone mâle) et le cortisol (hormone de stress) ; les gens puissants ont beaucoup de la 1ère et peu de la 2de, alors que pour les êtres faibles, c’est le contraire.
Ceci montre que le pouvoir n’est pas seulement lié au plus ou moins de « mâlitude », mais aussi à notre manière de réagir au stress ! C’est facile à constater ; en effet, un chef se doit d’être calme… Un être agité et criailleur est ressenti comme ridicule et manquant de pouvoir.
Les chercheurs ont découvert que si on place un individu quelconque à un poste de pouvoir, en quelques jours, son taux de testostérone augmente et son taux de cortisol diminue.
Pour se sentir puissant, il suffit donc d’adopter une posture « de pouvoir » durant 2 minutes. Et bien sûr, il faut éviter le plus possible les postures de manque de pouvoir, qui nous procurent rapidement (en 2 minutesle sentiment correspondant !
Ceci a été scientifiquement prouvé ; des tests où des gens devaient prendre l’une ou l’autre posture durant seulement 2 minutes, ont modifié leur physiologie (niveaux de cortisol et de testostérone) et leur façon de réagir – c-à-d assertif, convaincant, audacieux et confortable, ou, à l’inverse, craintif et stressé.
Ceci prouve que les autres ne sont pas à 100% responsables de nos réactions ; nous avons aussi notre part de responsabilité !
Mais est-ce que le fait de prendre une posture de pouvoir durant 2 minutes, peut vraiment modifier notre vie – en situation de menace sociale, par exemple ? (quand on subit un test, ou qu’on doit faire un discours, …). Eh bien, oui !
C’est vraiment typique que, en attendant son tour pour une interview pour décrocher un emploi, on est assis, jambes croisées, on lit ou on regarde ses messages sur son gsm, … Bref, justement la posture de faiblesse, qui nous stresse et nous affaiblit mentalement !
Les recruteurs, par contre, adoptent à présent une nouvelle tactique pour tester les candidats ; rester silencieux, visage neutre, et fixer ainsi le pauvre candidat durant 5 minutes. Bien sûr, c’est une épreuve pire que des injures, et les recruteurs en tirent des conclusions…
Quelqu’un qui, sous l’épreuve, respire la confiance en soi, est enthousiaste et passionné, a beaucoup de chances d’avoir la place, alors que ceux que l’épreuve stresse et qui adoptent une posture de vaincu, sont jugés négativement et éliminés. Et ce, peu importe la valeur de ce qu’ils ont à dire ! C’est leur « présence » qui compte, et rien d’autre !
Donc, comme disent les Américains, « fake it till you make it » : faites comme si jusqu’à ce que vous y arriviez, jusqu’à ce que cette habitude vous ait changé et vous ait fait réellement devenir ce que vous prétendiez être au départ !
Faites-le juste 2 minutes avant un test. Et encore 2 minutes, et encore 2 minutes, entraînez-vous à chaque fois que vous y pensez, le plus souvent possible, n’importe où, n’importe quand … et vous DEVIENDREZ un battant !

La musique qui soigne

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Soigner par la musique permet de vrais miracles, car elle seule est capable d’aller bien au-delà des mots, et d’agir là où les mots ne peuvent plus le faire
Le Dr Gottfried Schlaug, par exemple, s’en sert car il a découvert que des gens devenus aphasiques suite à un accident vasculaire cérébral, ne parvenaient plus à faire de phrases, mais parvenaient à chanter les paroles de chansons connues !
Utilisant une technique nommée Melodic Intonation Therapy, il trouva qu’après un entraînement musical assez court (70 heures), la musique avait reformé de nouvelles connexions dans le cerveau, qu’unz zone de l’hémisphère droit avait pris le relais de la zone responsable de la parole, détruite dans leur hémisphère gauche.
Il a montré que le cerveau des musiciens présentait des différences de structure avec celui de non-musiciens – écouter de la musique « allume » toutes les zones du cerveau (du cortex pré-frontal au cervelet) – On voit que son pouvoir va bien au-delà de la beauté esthétique, pour atteindre le cœur même de ce que l’on est …
Elle stimule les zones du plaisir ; une étude a montré que la musique activait dans le cerveau les « centres de récompense » associés aux plaisirs de la bouche et du sexe. La musique peut donc soigner ou améliorer un vaste éventail de maladies, telles l’autisme infantile, le trouble post-traumatique, la dépression ou l’angoisse, la schizophrénie, la maladie de Parkinson ou d’Alzheimer, …
Robert Schuman (un compositeur qui lui-même souffrait de schizophrénie) pensait que le devoir de l’artiste était d’ »envoyer de la lumière dans l’obscurité du cœur humain ».
Pour ceux qui vivent dans les conditions inhumaines de la prison, de l’extrême pauvreté ou de la maladie mentale, la musique « remet les pendules à l’heure » ; elle leur permet de transcender leurs conditions de vie, leur rappelant qu’ils ont toujours l’aptitude à ressentir la beauté et l’unité avec l’humanité !
L’étincelle d’humanité crée alors en eux l’espoir, qui est le germe indispensable à toute amélioration !
Moi, par ex, je me sers de la musique pour supprimer mes émotions négatives (colère ou tristesse) – c-à-d que je me passe 2 ou 3 morceaux très violents en cas de colère – ou très lents et graves en cas de tristesse, puis, 2 ou 3 airs un peu moins intenses (toujours de la même émotion), et enfin, 3 morceaux plus apaisés ou inspirants… et voilà ! Je vais mieux…
Je vous invite donc à sélectionner une dizaine de morceaux qui peuvent convenir, de créer une page spéciale sur votre PC, à y copier- coller l’adresse du lien de chaque morceau (classés par ordre d’intensité décroissante) et à la mettre sur le « bureau » de votre PC. Ensuite, utilisez sans modération ! Dès que le besoin s’en fait sentir, vous n’avez qu’à cliquer sur les liens correspondants et à écouter chaque morceau dans l’ordre prévu, pour retrouver votre joie de vivre.

Eliminer la dépression

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La dépression est une combinaison de déséquilibre chimique dans le cerveau et d’un mode de pensée (qui découle du 1er facteur) erroné.
Mes recommandations pour en guérir
Vu que nous sommes ce que nous mangeons, vous serez étonné de constater que beaucoup de recommandations concernent l’alimentation. Les autres concernent la façon de penser.

 Graines germées (bénéfices : cesser d’empoisonner notre cerveau avec des saletés + lui apporter les nutriments dont il a besoin pour bien fonctionner),
 Supprimer les produits laitiers (lait, fromage, beurre) – ne garder que le lait fermenté, ou le kéfir ou un yaourt naturel,
 Consommer des huiles végétales bio – surtout COCO – olive (mais pas over 160°), et 3×3 c.àc. d’huile de chanvre/jour (omega 3 soignent dépression mieux que les médicaments !)
 Eviter les huiles de soja, maïs, canola – transgéniques (on a vu que les aliments génétiquement modifiés modifient notre ADN !),
 Plus de cuissons agressives => manger cru ou cuire à la vapeur,
Tenir un crayon dans la bouche ; ça forme une sorte de faux sourire, mais comme le corps influence l’esprit tout autant que l’esprit, le corps, ça leur procurera un sentiment de bonheur,
Savoir qu’au début, comme il faut »arrêter la machine », il faudra faire beaucoup d’efforts – justement ce qu’un dépressif ne peut pas faire (la dépression donne avant tout une ENORME apathie !) ; c’est pourquoi il faut avoir l’aide d’un ami ou bon thérapeute pour le pousser au départ – mais une fois la machine stoppée, et la bonne direction reprise, les bons résultats deviennent de plus en plus évidents… Il faut faire ce qu’il faut et savoir (même si on ne voit rien) que, sous terre, la graine germe, mais qu’on ne peut pas planter une graine aujourd’hui et manger les fruits demain !,
 Les pommes, et pommes de terre (au minimum) : à acheter bio (elles absorbent trop de pesticides nocifs, sinon !),
 Eliminer le pain, les gâteaux ou biscuits : bref, supprimer la farine de blé (remplacer par du pain essène),
 Eliminer le sucre – permis : miel, sucre d’érable (hyper-bon !), ..Permis : le chocolat noir à minimum 70% cacao (mais 80% est mieux) – bio, de préférence,
 Eliminer les aliments industriels : bourrés de graisses hydrogénées et produits chimiques !,
 Fluor et mercure : éviter => user d’un autre dentifrice.
 Exercice physique : marcher chaque jour minimum 10 minutes (de préférence : 30 à 45 minutes) : marche consciente (peut remplacer la méditation) ou « Marcher comme un pantin de bois »,
 Eliminer les personnes négatives de sa vie, ainsi que les conversations négatives, les nouvelles télévisées, et les films angoissants ou horribles ; à la place, regarder souvent des films rigolos + des photos de bébés (humains et animaux) et de beaux paysages,
 Acquérir une saine spiritualité ; avoir la foi – c-à-d la confiance que tout ça a un but et que ça finira bien – s’attendre à une fin favorable,
 Faire chaque jour le « One minute miracle »,
 Pratiquer la gratitude : chaque soir, songer à 3 bonnes choses qui nous sont arrivées ce jour-là,
 Etre attentif aux petits plaisirs de la vie (odeur et couleurs des fleurs, tasse de café, un gentil chien, …),
 Eliminer les bonbons et tout ce qui contient du sirop de glucose !
 Jamais de faux sucre (cancérigène),
 Aider quelqu’un d’autre (faire du bénévolat, par ex) ! Fini le « je, je, je » ; se tourner vers les autres au lieu de tourner autour de son nombril ! Ceci permet à la fois de relativiser et de se sortir des pensées obsédantes, et de se sentir utile,
 « tracker » ses pensées => les « redresser » quand elles sont négatives, et les ramener dans « l’ici-et-maintenant » quand elles sont obsédantes => lire + appliquer souvent l’exercice de présence d’Eckart Tolle,
 Méditation de compassion 2x/jour (à faire avec quelqu’un sinon, c’est trop difficile à un déprimé de s’y astreindre),
 Comprendre loi d’attraction => cesser de craindre et de s’insulter (s’accepter et s’aimer, à la place !),
 Accepter la situation telle qu’elle est et la souffrance…ce n’est qu’en partant de ce point-là, que ça a des chances de bouger,
 Eviter la nourriture en boîtes, en briks, ainsi que les poêles anti-adhérentes (poisons),
 Ré-examiner sa vie & lui trouver un sens, une mission (hors des ornières imposées par la société & nos parents !).
Si vous pouvez vous rajouter des tâches :
 Boire chaque jour minimum de jus d’orange frais,
 Lire (les informations modifient la structure du cerveau !),
 Se passer chaque jour des musiques entraînantes, et chanter et danser sur le rythme,
 Eviter les produits de soin et de beauté chimiques, ainsi que les produits d’entretien classiques (utiliser des alternatives bio, achetées en magasin ou faites soi-même),
Se promener dans la nature et l’admirer ; les verts, les bleus et l’air pur soignent,
Aller nager dans la mer min 11 jours d’affilée (pourquoi 11 ? parce que c’est ce qu’a montré une étude scientifique sur le sujet).

 Prier.

Réussite : suivez votre désir !

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« Vouloir quelque chose, c’est être doué », disait Brel.. et il avait raison ! Par conséquent, ne vous laissez pas distraire de vos désirs ; oubliez la question de l’argent et suivez-les !
En effet, si pour vous, gagner des sous est l’essentiel, vous perdrez votre vie, puisque vous passerez tout votre temps à faire des choses qui ne vous plaisent pas, et ce, pour continuer à vivre, c-à-d à continuer à faire ces choses que vous n’aimez pas ! Vraiment illogique et stupide, non ?
Il n’y a pas de sot métier, alors peu importe quelle est votre métier ; l’essentiel est que vous l’aimiez. La motivation est l’essentiel, car la passion est comme le vent qui souffle dans les voiles d’un bateau et le fait avancer. Si vous aimez ce que vous faites, vous êtes motivé, vous vous informez à fond et y devenez expert… Et l’expertise, ça peut rapporter, alors que si vous n’aimez pas ce que vous avez à faire, il n’y a pas de passion, d’enthousiasme.
Et sans cet ingrédient magique, jamais vous ne ferez d’étincelles… Donc, jamais vous n’y brillerez ! Il vaut même mieux, à la limite, avoir une vie brève mais bien remplie, qu’une longue vie minable.
Si vous êtes parent, et que votre enfant veut suivre une voie non-conventionnelle, laissez-le, et même poussez-le à le faire, si vous désirez son bonheur – en plus, ce n’est qu’ainsi qu’il risque de faire fortune !
Dans la vie, il y a beaucoup de facteurs qui vous distraient de votre vrai but ici-bas : la culture dominante veut nous mettre (comme des bœufs, oui !) dans des ornières, et pour ça, nous impose de fausses croyances sur le monde.
Alors, plutôt que de réaliser nos rêves d’enfant, on devient terne et gris… Pour s’intégrer et être accepté, pour plaire à notre famille et à la société, par peur aussi ou par paresse, on suit la filière conventionnelle et là, on est mis sur des rails, et à partir de là, tout s’enchaîne, tout suit son cours jusqu’à notre mort…
Pourtant, ce n’est pas la mort qui est triste ; ce qui est vraiment triste – tragique, même ! – c’est de ne pas avoir vécu, avant de mourir !
Le fait de prendre des voies sottes (car ne vous convenant pas) ne débouche que sur une vie misérable, une vie de mouton ou d’outil à voter, produire et consommer…
Réfléchissez ; est-ce cela que vous voulez ? Préférez-vous être un Homme, ou un simple engrenage d’une machine folle ?
Quels sont alors ces facteurs qui nous distraient de notre voie ?
– ne pas savoir et apprécier la personne que vous êtes profondément, ni quel est votre mission et de quoi vous êtes capable – croire sur vous-même des bêtises ayant leur source dans votre passé. Racontez-vous des histoires de héros ; pas des histoires de victime !
Car la différence entre le 1er et la 2ème, c’est leur façon d’interpréter ce qui leur est arrivé dans la vie, ainsi que tout ce qui leur arrive actuellement ; les victimes voient la perte (et blâment et se plaignent), alors que les héros voient une rédemption, le fait de s’en sortir. Allez toujours de l’avant avec l’intention d’utiliser ce qui survient comme couleur pour la toile de votre vie.
– rester dans des émotions négatives (surtout la peur). Chacun de nous connaît des moments d’envie, rancœur, tristesse ou colère mais y demeurer nous nuit … il ne faut pas croire qu’on soit destiné à vivre dans ces états-là – au contraire, on est faits pour vivre de joie, courage, sérénité, paix. On peut même y atteindre tout de suite ; il suffit d’être ce qu’on décide qui nous sert, de décider d’être positif(ve) la plupart du temps .. Tout n’est qu’une question de décision !
– les êtres négatifs : on sait maintenant qu’une personne est très fort influencée par ceux dont elle s’entoure… Donc, si vous fréquentez des êtres négatifs, leur négativité déteindra immanquablement sur vous ! Elle fera baisser votre niveau de conscience, ce qui, à son tour, générera beaucoup de mal dans chaque domaine de votre vie – puisque la conscience est ce qui détermine la qualité des situations qui vous arriveront !
Les gens négatifs sont des vampires d’énergie … Vous n’en avez pas besoin – même si vous croyez l’inverse. Tout ce qu’ils essaient de faire, c’est de vous rabaisser à leur minable niveau. Alors, distanciez-vous-en le plus vite possible.
Pas besoin de perdre temps et énergie à vous expliquer – car ils adorent les disputes et discussions … La vie est faite de temps et d’énergie, et vous perdrez les 2 (ainsi que votre argent, votre santé physique et mentale, votre réputation, etc…).
Car tout ce que l’on est et ce que l’on a, découle de notre niveau de conscience ; nos expériences et nos désirs, matériels ou pas, ne sont que de l’ »éprouvé vital » ; une sensation.. – donc, quelque chose qui dépend de notre perception, de notre conscience…
En ce cas, pourquoi perdre une seule seconde à être malheureux, et pourquoi perdre tout ce que vous avez (votre temps et votre énergie) avec des gens qui vous rendent malheureux ?
Vous savez sûrement que l’esprit a une influence sur le corps, tout comme le corps en a une sur l’esprit, et vous protégez sûrement votre corps des agressions. Eh bien, de la même façon que vous n’exposeriez pas votre corps à des choses malsaines, vous devez aussi en protéger votre esprit ; n’allez, par conséquent, pas l’exposer à des influences débilitantes et malsaines ! Débarrassez-vous des « vampires d’énergie » au plus tôt !
Vous ne pouvez les sauver (à moins qu’ils ne le décident) mais eux peuvent vous contaminer… La seule personne que vous pouvez changer, c’est vous-même… et en vous changeant, vous pouvez changer le monde – et encore, vous devez savoir que ce n’est pas facile… Décider de toujours monter, viser « l’inaccessible étoile » de la perfection, c’est agir en héros !
– viser de mauvaises choses : par ex, à acquérir des biens matériels…. En oubliant que jamais des objets ne peuvent nous apporter le bonheur. Vous devez vous réveiller ; comprendre qu’il faut vous focaliser sur un atout à développer, et en faire une mission de vie qui résoudra un souci des gens, répondra à l’un de leurs besoins – apprendre, croître et partager doivent être vos buts, et non pas acquérir !
Posez-vous plutôt cette question : à quoi aimeriez-vous passer votre temps si l’argent n’existait pas ?
Vous savez, s’il n’y avait pas cette nécessité de gagner sa vie, de trouver de quoi se payer un toit et à manger, et ses impôts, la plupart des gens se choisiraient une occupation d’ordre artistique (comme peindre ou écrire) ou de vivre dans la nature, en contact avec des animaux, par exemple… Mais, comme chacun sait, ces activités-là ne rapportent pas d’argent…
Pourtant, vouloir quelque chose est une telle bénédiction !
Si c’est votre cas, si vous désirez vraiment faire quelque chose, que cette chose est en accord avec votre être profond, eh bien, il n’y a pas à hésiter ; il faut s’y lancer !
Cette question ; « qu’est-ce que je désire ? » est primordiale, car d’elle dépend la plénitude, l’épanouissement, le bonheur de toute notre vie !

Conte des 2 amis

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Il était une fois 2 amis qui marchaient dans le désert. A un certain moment, l’un dit à l’autre quelque chose qui le vexa, en sorte que ce dernier frappa son ami.
Celui-ci ne dit rien mais s’accroupit, et écrivit dans le sable : aujourd’hui, mon ami m’a donné une tape.
Les 2 hommes continuèrent à marcher et arrivèrent enfin à une oasis où ils se restaurèrent et se reposèrent.
Après cela, ils désirèrent se baigner … Le 1er fut pris dans la boue et coula.
Heureusement, son ami le sauva… le 1er prit alors une pierre et y grava ceci : aujourd’hui, mon ami m’a sauvé la vie.
L’autre lui demanda alors pourquoi il faisait cela, et il répondit : lorsque quelqu’un nous blesse, nous devrions l’écrire dans le sable, pour que les vents du pardon l’effacent, mais lorsque quelqu’un nous fait du bien, nous devrions le graver dans la pierre, pour que cela ne s’efface jamais.
Ce conte nous enseigne une vérité utile ; que chacun de nous devrait faire comme lui ; écrire le mal qu’on lui fait dans le sable, et le bien, dans la pierre…. Car il faut profiter de la vie tant qu’on l’a, ne pas accorder d’importance aux choses, mais aux êtres qui la remplissent…
Il faut être le plus gentil possible avec tous ceux que l’on rencontre sur notre route, car la vie n’est pas simple ; chacun a ses propres épreuves à porter, et sa propre lutte à mener…

Attention : n’en déduisez pas que ce conte vous conseille de supporter de mauvais traitements intentionnels de qui que ce soit (qu’ils soient physiques ou émotionnels) – ça, pas question ! Mais il nous dit qu’il ne faut pas « compter » aux autres les fois où ils nous blessent sans le vouloir, et qu’il ne faut pas rester en colère, mais oublier bien vite – car la colère nous fait du mal… !
L’autre conseil que le conte donne, est de nous souvenir et d’être reconnaissant pour les bonnes choses que nous disent ou nous font nos proches… ça aide à se sentir bien…

Conditions d’une bonne union – ou Relations, souffrance et intégrité

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Comme dit dans « lettre à mes interrogateurs », si j’apparais comme « difficile » ou trop exigeante, c’est qu’il y a une bonne raison. Bien entendu que si je cherchais l’aventure, je n’aurais que l’embarras du choix
Je l’ai dit ailleurs : de ce que l’on est, découle ce qui nous convient, et comme c’est un besoin, ce n’est pas négociable : à un cobaye, il faut de l’herbe et à un chat, de la viande… Et l’on peut tourner ceci comme on veut, si on n’offre que de l’herbe à un chat et que de la viande à un cobaye, ils mourront !
Donc, si je demande ce que je demande, ce n’est que parce que je me connais bien et sais ce qu’il me faut. Autre chose n’est pas viable (comme pour le cobaye).
Tant mieux pour vous – ô moqueurs et autres insulteurs – si vous avez la « couenne « plus dure que la mienne, mais je suis très sensible, et devoir plaquer I. fut une épreuve très douloureuse.
La souffrance est telle qu’il semble qu’on vous arrache le coeur chaque seconde !
Et il faut pourtant se lever, parler, travailler, sourire, comme si de rien n’était, alors que tout ce qu’on voudrait, c’est s’écrouler et pleurer sans fin ! Et on tient le coup parce qu’il le faut, parce qu’on a un enfant qui a besoin de nous, en se disant que c’est qu’un mauvais (mais très long !) moment à passer et qu’un jour, on ne souffrira plus… qu’il y a un bout du tunnel, même si là, on est dans le noir total.. ; il faut malgré tout, croire à la lumière, croire qu’on verra un jour cette lumière et le bout du tunnel…
J’imagine que vous ne sentez pas ça, mais moi, j’ai senti ça (surtout qu’étant Haut Potentiel, je ressens les joies et les douleurs plus fort que les « normo-typiques »).
Même si je n’ai plus mal, des cicatrices restent, éternelles, qui « tirent » quand on y touche, même de loin… (et cet homme m’envoie encore plusieurs messages par semaine… auxquels je ne réponds pas).
Alors (une fois de plus) tant mieux pour vous si avoir un couple de crotte ou si une rupture ne vous touche pas autant, mais imaginez (si vous pouvez) ce que c’est de vivre une telle torture (et de longue durée), et pardonnez-moi si je refuse absolument de revivre cette expérience ! C’est si je faisais autrement que je serais bizarre !
Je ne veux que vivre avec passion, dans la vérité, et ce n’est qu’en sachant qui je suis et ce qui me convient que je puis être heureuse !
Pour Barbara De Angelis, « vivre avec intégrité signifie : ne pas accepter moins que ce que vous savez mériter dans une relation, demander ce que vous voulez et avez besoin de la part des autres, dire la vérité, même si ça peut créer des conflits ou des tensions, avoir les comportements correspondant à vos valeurs personnelles, faire des choix basés sur ce que vous croyez et non sur ce que d’autres croient ».
Je suis et (veux être) toujours intègre – ne tromper ni moi, ni un autre… Il n’y a pas de mal à ceci, bien au contraire.
Quelles sont donc, les conditions d’une union heureuse ?
Les unions heureuses sont rares …parce que les unions véritables le sont !
Tous les grands penseurs s’accordent pour dire que l’amour est une attirance vers les attributs de Dieu qui se reflètent dans le cœur d’un autre. Tant qu’on n’apprend pas à apprécier les vertus des autres, nos relations sont basées sur le désir, l’intérêt, la fascination ou l’imagination.
Paramhansa Yogananda (un philosophe indien, mort voici 60 ans) dit que l’union véritable n’est pas dans l’amour ou la passion (éphémères), mais n’est réservée qu’à ceux qui recherchent l’amour divin sous une expression humaine. Un amour juste « humain » ne peut jamais durer. Sans l’amour divin, les partenaires perdent vite l’intérêt et le respect, et leur mariage devient vite pénible.
Et J. Brown : « Peu importe combien 2 personnes s’aiment si leurs niveaux de conscience sont incompatibles ou s’il n’y a pas une volonté partagée de devenir conscients. C’est pourquoi on appelle cela une relation et pas un amour. L’amour seul ne suffit pas. Si l’on veut qu’il dure, il faut se relier l’un à l’autre, par des moyens qui gardent le bateau à flot »
En conclusion, je crois que ceux qui m’insultent m’en veulent justement pour cela ; ils sentent confusément qu’ils sont des taches, et râlent parce que je suis une femme forte, qui sait ce qu’elle veut, n’est pas prête à accepter n’importe qui (buveur, inculte, violent, taré,…) !
Dans toutes les espèces animales, les femelles sont  » difficiles » dans le choix d’un partenaire: le mâle DOIT prouver sa valeur (c-à-d celle de son ADN). Il doit être assez en forme que pour combattre et vaincre les autres prétendants ou construire le nid le plus solide,.. bref, démontrer concrètement qu’il apportera ce qui est le mieux pour la survie des petits.
Et c’était sûrement pareil pour notre espèce avant aussi : la femme prenait le chasseur efficace – qui pourrait la défendre des prédateurs et ramener à manger pour les enfants – et les avortons restaient sur le carreau …
Mais hélas les hommes, se sentant menacés par la féminité (le Dr Leleu dit du reste que l’homme se caractérise par sa peur envers la femme), ont réussi à décentrer les femmes, leur faire oublier leur force et leur vraie nature, et briser les liens qui les unissent entre elles (les médias font tout pour les « monter » continuellement les unes contre les autres), en sorte qu’elles ne soient plus exigeantes et prennent n’importe qui. C’est dommage, car eux aussi y perdent beaucoup.
Car que penser de la femme qui baisse ses exigences pour avoir quelqu’un dans sa vie ? Qu’elle doit être dépendante et en fort besoin (financier, souvent)… Ce qui fait de l’homme non un partenaire, mais un simple « pigeon » à plumer…
Ou c’est une femme inintéressante (= ennuyeuse), puisqu’elle peut pas supporter d’être seule…
Moi, par exemple, si je cherche quelqu’un, c’est pour rajouter un « plus » à ma vie ; pas parce que je m’ennuie étant seule – je m’amuse avec moi-même, je m’occupe à faire des chose qui me passionnent et à avancer toujours plus loin dans l’expérience de vivre.
Ces femmes-là sortent donc avec un gars qui leur convient pas… Très vite, il les agace et elles en viennent à le mépriser et le haïr ; et là, il risque sa peau ! On vient de le voir avec cette femme qui a tué son mari à l’arsenic pour pouvoir vivre avec son amant – Quelle agonie douloureuse il a dû vivre !
Mais même si elle n’en arrive pas des mesures aussi extrêmes, il reste que cette femme est malheureuse, donc maussade… Elle tend alors à dépenser trop (faire des dettes) ou à boire, ou à prendre des anti-dépresseurs ou un amant (ce qui, on l’a vu, peut être mortel), et à faire des scènes à tout bout de champ … Bonjour l’harmonie au foyer !
Et bien sûr, pour ce qui est de faire l’amour, jamais elle n’en a envie et trouve des excuses …La belle vie que voilà, Messieurs !
Alors contentez-vous de ça si vous le pouvez, mais moi, je m’en sens incapable. Pour moi, « les esprits valent ce qu’ils exigent ; je vaux ce que je veux « (P. Valéry). Bref, je ne pourrais pas supporter une telle vie triste, minable et misérable ! Seule ou à 2, Je veux vivre dans l’harmonie, l’amour, la passion… car, comme disait Chesterton, « les plaisirs sont la partie sérieuse de la vie » !