Archives Mensuelles: septembre 2014

20 heures pour enrichir votre vie

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sculpteur n-bl

Une étude du Dr Anderson avait montré que, pour quelqu’un qui partirait de zéro, cela demande 10.000 heures d’apprentissage pour parvenir à un niveau d’expertise dans un domaine quelconque.  Mais les médias ont changé cette assertion en : il faut apprendre durant  10.000 heures pour devenir expert en un domaine.

Puis, cette phrase s’est transformée en : ça prend 10.000 heures pour devenir bon dans un domaine. Et la phrase est finalement devenue cette assertion : ça prend 10.000 heures pour apprendre quelque chose (ce qui, en journées de travail de 8 heures, représente  5 ans de travail !).

Quand on entend ça, on se dit : Oh là là ! Quelle montagne ! Et avec mon emploi du temps chargé, je n’y arriverai jamais !

Mais cette dernière assertion est fausse ;  en fait, apprendre quoi que ce soit ne prend que … 20 heures !

Vous vous dites sans doute que ce n’est pas possible, mais ça l’est…  avec une petite astuce…

Quand on commence à pratiquer quelque chose, au début, on prend beaucoup de temps pour le faire, mais avec un peu de pratique, on y devient bien meilleur et on arrive à le faire en peu de temps.

Du reste, quand on veut faire quelque chose pour soi, on se fiche du temps que ça prend, on ne se soucie que de bien le faire… Et bien faire quelque chose (= acquérir une compétence quelconque), ça prend en fait assez peu de temps.

Si quand on commence, on est mauvais avec un peu de pratique, on devient bon.  Mais à un certain point, on atteint un plafond &, à partir de là, c’est très dur d’atteindre le plafond suivant, et idem pour chacun des plafonds encore plus élevés … jusqu’au niveau de l’expertise.

Alors qu’en réalité – cela a été testé – entre le niveau où l’on n’y connaît absolument rien dans un domaine, et le niveau où l’on s’en sort honorablement, 20 heures de pratique suffisent – et c’est valable dans quelque domaine d’apprentissage que ce soit (apprendre le japonais, jongler, sculpter sur bois, jouer de la guitare, … ),

Mais attention : ça, c’est à condition de pratiquer de façon efficace, intelligente – si on pratique d’une mauvaise façon, ça ne marchera pas ; on restera à un niveau bas, ou ça prendra bien plus que 20 heures pour atteindre un niveau de compétence acceptable.

Voici, par conséquent, comment il faut s’y prendre (cela marche pour n’importe quel apprentissage) ; il s’agit d’une méthode à appliquer pas à pas et dans l’ordre :

  1. déconstruire la compétence 

Il faut d’abord décider exactement ce que vous serez capable de faire une fois que vous aurez fini les 20 heures, puis analyser la compétence et la « briser » en morceaux de plus en plus petits (grandes parties, puis sous-parties, …).

Une compétence n’est qu’un grand ensemble de compétences diverses. Alors, plus on déconstruit la compétence, plus on peut décider quelles sont les parties de ladite compétence qui peuvent nous mener au point que l’on avait décidé d’atteindre – et alors pratiquer ces points-là en 1er pour s’améliorer.

  1. apprendre assez que pour s’auto-corriger

Il y aura nécessairement une partie théorique (sous forme de livres, dvd, cours, …) mais cette partie théorique ne doit pas constituer un moyen de remettre la pratique à plus tard ; il faut apprendre juste assez que pour pratiquer et pouvoir s’auto-corriger.

Apprendre devient alors un moyen de pouvoir de remarquer quand on fait une faute pour pouvoir ensuite recommencer en étant devenu un peu meilleur.

  1. ôter les barrières empêchant la pratique

La télé, les jeux, l’internet, le téléphone, le grignotage, … forment des distractions qui freinent l’apprentissage- car ça vous empêche de vous mettre à pratiquer !

La volonté vous aidera ; plus vous parvenez à éliminer les distractions vous empêchant de pratiquer votre nouvel art, plus vous le pratiquez.

  1. pratiquer durant 20 heures minimum

Il arrive souvent, quand on commence à pratiquer une nouvelle compétence, qu’on soit frustré par la lenteur de nos progrès et qu’on laisse tout tomber…  Au départ, on se sent (ce qui est pénible) vraiment trop nul, ce qui nous déprime et nous fait penser qu’on n’y arrivera jamais.

Et non ; il faut s’obliger à continuer jusqu’à avoir pratiqué durant au moins 20 heures.

Conclusion 

Savoir, c’est pouvoir et en acquérant de nouveaux savoirs et talents, vous pourrez améliorer votre vie !  Or, avant, vous pensiez n’avoir pas le temps ou les capacités pour le faire.

Maintenant, vous en savez plus ; vous savez que si l’on prend la ferme décision d’apprendre un sujet – quel qu’il soit ! – et de se mettre à le pratiquer pendant au moins 20 heures, avec la méthode ci-dessus, il est certain qu’au bout de ce laps de temps, on y sera devenu bon !  C’est encourageant, non ?

Vous pouvez apprendre tout ce que vous pouvez imaginer ! Qu’est-ce que vous voulez faire (de votre vie)?

L’obstacle principal à l’acquisition de nouvelles compétences n’est pas intellectuel ; il est émotionnel !

Une fois de plus, c’est la peur (de ne pas y arriver) ou l’ego (qui déteste se sentir stupide au début) qui nous empêchent de nous élever et d’avoir une meilleure vie

Alors, que voulez-vouus apprendre ? Qu’est-ce qui vous intéresse ? Qu’est-ce qui vous passionne et vous fait rayonner ?

Alors, faites cette chose ; vous n’êtes qu’à  20 heures de l’atteindre …  Bonne chance !

Que veulent les femmes ?

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Voici un conte qui, je l’espère, lèvera le voile sur cette importante question !

mâle donne fleur

Le roi Arthur tomba un jour dans une embuscade et fut fait prisonnier par le roi du pays voisin. Ce dernier aurait pu le tuer mais à la place, il lui offrit la liberté contre la réponse à une question très difficile ; que veulent réellement les femmes ?

Arthur avait une année pour trouver la réponse et s’il ne pouvait la donner au bout de ce délai, il serait tué.

Arthur eut beau y réfléchir très longtemps, il ne trouva pas la réponse.  Alors, il alla interroger le plus de gens possibles, de tous âges et conditions… mais personne ne put lui donner une réponse satisfaisante.

En désespoir de cause, il alla consulter la vieille sorcière, qui passait pour très sage. Quand il lui posa la question, la sorcière accepta de répondre à sa question mais à une condition : elle voulait épouser Gauvain, le plus noble des Chevaliers de la Table Ronde.

Arthur fut horrifié : la sorcière était vieille, bossue et très laide, elle puait, n’avait qu’une dent & faisait des bruits obscènes…

Néanmoins, songeant à sauver sa vie, il alla proposer le marché à Gauvain. Ce dernier était le meilleur ami d’Arthur, aussi, il répondit qu’il était prêt à ce sacrifice pour lui sauver la vie.

Le mariage eut lieu et la sorcière répondit à la question : Ce qu’une femme veut vraiment, c’est pouvoir décider de sa propre vie.

Chacun sut à l’instant que la sorcière avait dit une grande vérité et qu’Arthur serait épargné – et ce fut le cas ; le roi voisin fut content de cette réponse et laissa Arthur partir.

Le mariage eut donc lieu… Mais quel mariage ! La sorcière montra ses plus mauvaises manières ; elle mangea avec les doigts, rota, péta et mit tout le monde mal à l’aise.

Et voilà que les 2 époux furent laissés seuls pour leur nuit de noce ; en entrant à contre-cœur dans la chambre, Gauvain eut la surprise de voir une splendide jeune femme l’attendre sur le lit.

Eberlué, il demanda où était la sorcière.  La beauté répondit que comme il avait été gentil avec elle (quand elle était la sorcière), elle serait la moitié du temps vieille & laide, et l’autre moitié, une magnifique jeune femme.

Quelle forme voulait-il qu’elle prenne le jour et la nuit ? Intéressante question : pendant la journée une belle femme à montrer à ses amis mais la nuit, dans l’intimité, une vieille et sinistre sorcière ? Ou bien dans la journée une sorcière & la nuit, une belle femme pour jouir des moments intimes ?

Le noble Gauvain répondit à la sorcière qu’il la laisserait choisir elle-même.

En entendant cela, elle annonça qu’elle serait belle tout le temps parce qu’il l’avait respectée et l’avait laissé décider elle-même de sa vie.

 

 

Que ferait Cléopâtre ?

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Cléopâtre est le plus bel exemple de l’expression du pouvoir féminin ;  Cléopâtre était une reine, mère, amante et chef de file d’un empire, une femme qui a vécu pour elle-même et  pour son peuple.

Changeant de forme quand c’était nécessaire, elle fut capable de nourrir ses enfants, de protéger ses intérêts, de faire avancer ses désirs, et de créer de la beauté.

Séductrice, négociatrice, commerçante, artiste, hôtesse, et guerrière, elle a créé ce qu’elle désirait.
Fermement convaincue de descendre d’Isis, la déesse égyptienne de la maternité, de la magie et de la fertilité, Cléopâtre ne s’est jamais sentie inférieure ou indigne. Elle n’enviait personne et se croyait digne de tout présent que la vie merveilleuse pourrait lui offrir.

Habituée à vivre les traits divins d’Isis, elle a pratiqué la compassion et le souci de ses sujets. Quand d’autres l’ont trahie, elle a pris méthodiquement les mesures nécessaires pour protéger elle-même et son peuple du mal, mais elle ne s’est pas délectée dans une répression sanglante.

On la présente comme étant très belle physiquement,  mais c’est faux ; elle était jolie, sans plus – mais elle possédait un charisme, une énorme force d’attraction de par sa personnalité, son intelligence, son énergie, ses talents, son humour et la grandeur de sa Vision … sans compter sa magnifique voix envoûtante.

En tant que femme, Cléopâtre peut nous servir d’exemple, car c’était une Femme avec un grand F (phénomène rare s’il en est !) – alors, la prochaine fois que vous serez confrontée à une décision difficile, demandez-vous ce que Cléopâtre ferait et la réponse viendra à vous.

Vous aligner avec un puissant archétype, ce n’est pas ETRE Cléopâtre ; le but de se poser cette question n’est pas de vous déconnecter du réel et de fantasmer,  en vous imaginant vautrée sur un navire de pourpre et d’or, qui descend le Nil… C’est plus puissant que cela.

Choisir un modèle inspirant peut sembler, au premier abord, un jeu insignifiant, mais les résultats seront tout sauf imaginaires !
Assumez votre place sur le trône ; votre vie est votre royaume, et les voix dans votre esprit sont vos sujets.  Alors, gouvernez-les !  Votre bien-aimé, enfants, parents, amis, et la communauté, sont votre famille royale.

Ensemble, vous gouvernez le monde avec compassion.

Ayez une idée claire de ce que vous voulez de votre vie et tenez-vous prête à le recevoir.  Maintenez cette vision de vous-même en tant que la reine adorée que vous êtes, et portez son énergie avec vous.

Souvenez-vous : le monde vous voit de la façon dont VOUS vous voyez !
Explorons certaines des applications pratiques de cette méthode dans la vie d’une femme moderne :
1ier exemple :  il y a 3 semaines, Diane a rencontré David, qui pourrait être l’homme de ses rêves, dans un musée.  Après leur dernier sublime rendez-vous, David a promis de l’appeler, mais 3 jours plus tard, Diane se demande ce qui s’est passé… Elle veut l’appeler et lui demander pourquoi il l’abandonne ainsi.

Que ferait Cléopâtre ?  L’idée que la reine pourrait courir après un homme qui n’a pas la décence de respecter sa parole, ou au moins d’expliquer pourquoi il a choisi de ne pas le faire, est absurde. D’autres prétendants, plus fiables et moraux, surgiront dans votre vie… Sachez attendre sans impatience leur arrivée.
2ème exemple : Anne est assise avec un groupe d’amies qui commencent à potiner sur une connaissance commune. Anne en connaît un rayon sur cette histoire, et elle est tentée de se joindre à la conversation pour faire part aux autres des infos juteuses qu’elle connaît.
Que ferait Cléopâtre ?   Cléopâtre comprend la valeur et l’importance de sa réputation et le fait qu’elle ne sait jamais quand elle peut avoir besoin d’un allié. Elle n’aimerait pas que quelqu’un la salisse derrière son dos, et donc, refuse de participer à ce genre de cancanage, où l’on s’attaque à la réputation de quelqu’un qui n’est pas là pour se défendre. Cléopâtre ne risquerait pas sa propre réputation en souillant celle d’autrui.
3ème exemple :  Béatrice emménage dans une nouvelle maison. Sa vie est bien remplie, et elle envisage de faire venir le reste de sa famille, d’aménager un espace pour eux, puis de se créer son propre espace confortable.
Que ferait Cléopâtre ?  En tant que reine, matriarche et déesse, Cléopâtre veille à ce que ses quartiers soient immédiatement beaux et confortables. Elle connaît l’importance de se préserver, en tant que maîtresse de son empire, et de créer un environnement propice à son bonheur en 1er, car une femme heureuse crée le bonheur pour tous.
Conclusion :

Considérer votre vie à travers les yeux de cette noble reine, élève le niveau des soins que vous vous donnez et améliore la façon dont vous traitez les autres.  Pour chaque voie ou décision à prendre, demandez-vous « Que ferait Cléopâtre ? »  car elle fut une championne de la tactique, à l’œil constamment fixé sur le plus grand bien de soi et d’autrui.

Cléopâtre vous conseille de prendre des décisions qui respectent votre cœur, votre être, votre dignité et vos responsabilités !

 

Signes d’auto-sabotage

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Se saboter, c’est faire et continuer à faire des choses qui nous nuisent et ne pas faire ce qui nous profiterait.

Par exemple, se conduire de façon « débridée », sans contrôle, est clairement de l’auto-sabotage ; un signe qu’on crie pour être contrôlé(e)  – et donc, qu’il y a des attachements psychologiques là-dessous !

La plupart d’entre nous (au moins ¾ de la population) ont un attachement psychologique – ce que j’appelle des « fantômes qui hantent notre esprit » et nous dirigent à notre insu (voir : http://www.bonheuretamour.com/?p=4989 ).

Et il en existe de 3 sortes ; au manque, au contrôle et au rejet (voir ; http://www.bonheuretamour.com/?p=5071 ).

On verra ici l’attachement psychique au contrôle (lequel mène à un état, & un sentiment familier d’impuissance) :

Il existe des gens qui cherchent intentionnellement à se faire contrôler et à en tirer du plaisir ; les sado-masos. Ces individus jouent au moins à ce jeu +- consciemment…

Mais pour beaucoup d’autres, ce « jeu » est totalement inconscient, et ils pensent rechercher juste l’inverse ; c-à-d le pouvoir, la paix, l’autonomie.

Une personne lambda (n’ayant pas travaillé sur elle-même, et développé sa lucidité) n’a pas la moindre idée de la façon dont il agit inconsciemment pour attirer ce qu’il déteste le plus.

Il ne réalise pas que chaque jour, plusieurs fois par jour, il jette littéralement son propre pouvoir et se met à la merci de gens qui pourront prendre le contrôle sur lui et décider (au mieux de LEURS intérêts) de sa vie !

Si vous avez fait ceci, vous constatez les résultats ; sentiment d’impuissance, de frustration, d’impuissance, de ressentiment et de manque de contrôle sur votre vie.  Se « réveiller » et comprendre comment on a atterri dans cette situation, est une vraie illumination !

Une fois que vous le voyez, vous pouvez exercer un choix – mais retenez toujours ceci ; vous n’aurez jamais un choix avec les choses qui restent en dehors de votre conscience. Donc, s’informer est la clé !

Voici donc 9 signes montrant que vous cherchez à vous faire contrôler par les autres :

Le tableau suivant reflète la tendance à inviter inconsciemment les autres à nous contrôler. Tous les exemples sont heureusement réversibles. Tout ce qu’il faut, c’est la conscience et le désir de vivre une vie interdépendante.

1- Ne pas prendre soin de vous-même

Si vous ne prenez pas soin de vous-même, vous envoyez un message inconscient aux  autres, qui est ; je ne peux pas prendre soin de moi, donc occupez-vous de moi. Ceci invite les autres à intervenir dans votre vie et vous dire ce que vous devriez faire. Il les invite également à vous harceler pour vous « reprendre ». Vous invitez le contrôle des autres de vous-même en vous négligeant.  Là, la demande de contrôle par autrui crève les yeux – sauf à vous, qui ne voyez rien… bizarre, non ?

2- Se rebeller contre l’autorité

Les rebelles émotionnelles sont les as du contrôle ; quand l’autorité exige, les rebelles résistent, ce qui provoque une intervention plus musclée de l’autorité.  Alignez 10 employés, par ex ; 9 d’entre eux suivent les règles et coopèrent, alors que le 10ème est un rebelle.  Qui est surveillé de plus près ? Le rebelle !  Le rebelle invite plus d’autorité dans sa vie que quiconque, tout ce qu’il fait avec son attitude, c’est crier pour qu’on le contrôle !

Il déteste l’autorité, mais invite inconsciemment l’autorité à sans cesse le contrôler. Au fond de lui, doit-on penser qu’il ne déteste pas vraiment l’autorité ou qu’il cherche à être contrôlé par elle ? Les 2.

3- Le non-respect de nos obligations

Vous avez accepté de faire certaines choses, or, vous ne le faites pas. Qu’est-ce qui se passe ensuite ? On vous confronte à votre comportement ; quelqu’un vient exiger que vous respectiez vos obligations.

En ne faisant pas ce qu’il faut ou ce que vous avez accepté de faire, vous invitez les autres à intervenir et à vous prendre en charge.

4- Demander continuellement de l’aide ou des conseils

Avez-vous déjà connu quelqu’un qui demande tout le temps de l’aide pour faire les choses qu’il pourrait faire tout aussi bien seul ? Parfois, il s’agit d’une invitation pour avoir de la compagnie. Mais si vous faites cela en permanence, vous demandez en fait aux autres de vous prendre en charge.

5- Se lover dans le doute de soi, refuser d’oser risquer de faire des erreurs

Si vous avez peur de faire des erreurs et d’être tenu responsables à cause de cala, vous invitez encore d’autres personnes à intervenir et à vous prendre en charge. Craindre les erreurs est craindre l’inévitable, puisque tout le monde en fait. Les gens intelligents sont reconnaissants pour leurs erreurs parce qu’elles nous aident à apprendre, ce qui nous rend plus indépendant.

6- Refuser de dire non

Ceci est un « excellent »  moyen pour donner son pouvoir personnel, et se sentir contrôlé par (= subir) les exigences de la vie.  Si vous ne pouvez pas dire non quand vous devez dire non, vous attirez automatiquement les profiteurs & « contrôleurs » ! Et ensuite, bien sûr, ces gens s’attendent à ce que vous gardiez cette attitude de mouton – et quand vous refusez, ils commencent à vous harceler.

7- Refuser d’exprimer votre opinion

Un moyen sûr de s’assurer que d’autres ont tout le pouvoir est de retenir vos pensées, sentiments et opinions. De cette façon, vous n’avez pas de mot à dire dans ce qui se passe, et devez suivre l’ordre du jour de ceux qui sont prêts à prendre la parole. Ils ont le pouvoir et vous êtes à leur merci en vertu de votre « respect silencieux ».

8- Attirer les êtres contrôlants

Vous pourriez être attiré par les gens qui aiment contrôler les autres. Ces « contrôlants » peuvent vous sembler plus puissants, indépendants, charismatiques et sécurisants à fréquenter. Si vous avez un désir inconscient d’être contrôlé, vous pouvez même vous sentir mal à l’aise avec quelqu’un qui attend que vous preniez vos propres décisions et soyez responsable pour eux.

9- Pas de conscience de vos sentiments

Les sentiments sont un élément indispensable de la prise de décision. Des sentiments clairs reflètent vos valeurs et vous donnent une base solide dans la vie. Si vous n’êtes pas en contact avec vos sentiments, vous ne pouvez pas avoir une idée claire de où vous vous situez.

Par exemple, si quelqu’un vous demande de faire quelque chose qui vous met mal à l’aise, votre mal être est vague, en sorte que vous n’en tenez pas compte, vous refusez de ressentir quelque chose d’aussi désagréable. En ce cas, ignorant vos sensations (qui sont pourtant là pour vous guider dans la vie et vous faire éviter ses pièges), vous agirez comme on vous le demande.. . d’une manière qui vous nuit !

Ceci est risqué ; c’est ce genre de « répression des sentiments » qui vous pousse à céder aux pressions extérieures (« ami », groupe) ou à prendre des décisions sur base de l’intérêt d’un d’autre.

Le résultat final

Le résultat de ces invitations subconscientes à être contrôlé, est que vous finissez par un sentiment d’impuissance, dans un état très bas, impuissant, victime de des personnes et des circonstances.

Si vous vous sentez ainsi  – comme si votre vie ne vous appartenait pas, vous souffrez sans doute d’un attachement psychologique au contrôle.

C’est de l’auto-sabotage à son meilleur. Un attachement inconscient  au fait d’être contrôlé, nous pousse à rechercher cela tout en, consciemment,  haïssant chaque minute. Inconsciemment, c’est ceci qui vous est familier (donc, en quelque sorte, « rassurant »). – C’est dans cet état misérable que vous vous sentez en « sûreté », car c’est ce que vous avez connu jadis…

N’est-il pas temps d’apprendre à être à l’aise en tant que personne indépendante – un individu ?

10 astuces-bonheur

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Bonheur3

 

  1. Le vrai bonheur naît d’un besoin noble, du fait d’utiliser son temps de vie de façon utile, et non pas des plaisirs des sens ou de satisfaire nos désirs.
  2. Le bonheur est la récompense que l’on obtient quand on offre aux autres les services qu’ils méritent : courtoisie, gentillesse, aide, mots aimables, amour, affection, amitié, tendresse.
  3. Le bonheur est une mosaïque composée de nombreuses petites pierres. Chacune a peu de valeur, mais, ensemble, elles forment un cadre agréable, un bijou précieux.
  4. la richesse, en elle-même, ne fait pas le bonheur. Les désirs sont comme un océan sans fin. Je n’ai jamais vu un être égoïste ou avide être heureux.
  5. se réjouir de tout ce dont nous pouvons nous réjouir, de tout ce qui nous appartient ; la vie, la nature, les étoiles, les fleurs, les oiseaux, les arbres nous appartiennent de toute façon.
  6. Le secret du bonheur réside dans un esprit joyeux et satisfait.
  7. La capacité de tirer du plaisir de toutes les sources est un don divin. Il élargit notre vie, approfondit notre expérience et enrichit notre vie.
  8. chez soi ou au travail, il faut viser à rendre notre environnement joyeux et harmonieux.
  9. Le travail est essentiel à la santé et la santé est le fondement du bonheur.
  10. nos principales réalisations découlent de notre vigueur et vitalité. Améliorer notre santé améliore notre situation globale.

 

Trouvez votre voie… et le bonheur !

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femme heureuseEn matière de travail, on a l’impression que tout ce qui compte, c’est d’avoir un beau Curriculum Vitae… Warren Buffet a pourtant dit : « accepter certains jobs, juste pour augmenter (ou agrémenter) son CV, c’est comme épargner le sexe pour quand on sera vieux ».

Il est incroyable de penser que 80% des gens font un boulot qui ne leur convient pas vraiment, qui n’est pas leur mission de vie, qui ne les inspire pas… ce qui revient en fait à vivre une vie de désespoir silencieux !

Il faut se demander pourquoi on fait le travail que l’on fait. Souvent, il n’y a aucune réponse valable !

Si on y est tombé, c’était pour ne pas sortir du lot et être accepté, et si on y reste, c’est qu’on a peur de sortir de l’ornière du connu, d’affronter l’inconnu et en plus, l’incompréhension – et même l’hostilité – des autres…

Alors, on continue d’avancer vers… rien, vers le néant, restant dans une situation frustrante, juste parce que c’est ce qu’on est censé faire…. Eeh, réveillez-vous ! C’est votre vie, et vous n’en avez qu’une ! (à moins d’être bouddhiste 😉 )

Il y a néanmoins des gens qui changent – et ces gens-là font les choses suivantes :

– devenir un expert de soi-même :

Si on ne sait pas ce que l’on cherche, on n’a aucune chance de le trouver. Et personne ne peut faire ceci à notre place : nous seuls pouvons découvrir quel est notre talent et notre passion.

Il faut s’engager à réfléchir sur soi-même pour découvrir nos ressources ; ce que l’on aime faire, et qu’on ferait même si on n’était pas payé pour ça, ce pour quoi les autres nous remercient.

Il faut ensuite découvrir nos valeurs, car elles forment le cadre dans lequel nous prenons nos décisions.

Il s’agit ensuite de songer à nos expériences et de se poser régulièrement ces questions : Qu’est-ce qui a été bien ? Qu’est-ce qui a foiré ? Qu’est-ce que je veux répéter ? Ou éviter à l’avenir ? Ecrivez ce – ou ceux –  qui vous inspirent.

Avec ces 3 facteurs, on peut voir ce que le succès représente pour nous.

Il y a en fait 2 raisons pour lesquelles les gens ne poursuivent pas leurs propres buts : soit ils s’en croient incapables, soit, leurs proches leur disent qu’ils en sont incapables. Alors, soit ils abandonnent en chemin, soit, ils n’essaient même pas.

Tout ce qui existe est né dans l’esprit de quelqu’un, et ce quelqu’un a dû, sans aucun doute, travailler beaucoup pour faire de son idée une réalité – et ce, d’autant plus que tous les autres disaient à l’inventeur que c’était impossible ! Eh oui ; TOUT était impossible avant que ce ne soit fait !

– s’entourer des bonnes personnes :

Pour franchir la distance entre ce que vous êtes aujourd’hui et celui (celle) que vous voulez être, il est essentiel d’être entouré de bonnes personnes, qui vous soutiennent & vous inspirent. Souvenez-vous ; « vous êtes la moyenne des 5 personnes que vous voyez le plus » (Jim Rohn).

C’est à nous de contrôler les gens dont on s’entoure. Par ex, si vous travaillez dans un bureau, à un bête job, vous fréquentez des êtres qui sont pour le statu-quo, et vous empêchent de changer …

Entourez-vous de gens passionnés. Si vous changez de fréquentations, que vous fréquentez des gens inspirants, tout d’un coup, tout se mettra en place tout seul…

« Un rêve qui ne se réalise pas est un rêve qui n’a pas été assez rêvé » => Une vie imaginée peut devenir réalité !

Il ne s’agit pas de quitter la terre avec des rêves irréalistes ou de faire des choses folles, mais juste de faire quelque chose qui compte pour vous et d’avoir un impact que vous seul pouvez avoir.

On ne contrôle que peu de choses (on ne peut maîtriser la récession, le risque d’accident ou de chômage, ..) mais changer ne dépend que de nous.

La seule question qui importe est : quel est le travail que vous NE POUVEZ PAS ne pas faire ? Cette question change tout, pour vous et le monde.

Alors, voici déjà des choses que vous pouvez faire :

– connaissez-vous : qui êtes-vous ? Quelles sont les choses que vous aimez ? Celles que vous détestez ? Qu’est-ce qui vous fâche ? Ou qui vous amuse ? Pensez-y..

– appréciez-vous : si, par ex, vous êtes un ringard ou un geek, aimez-vous malgré cela, et même, POUR cela !

– entourez-vous de gens inspirants & encourageants : nos fréquentations ont une grande influence sur nous ; ce sont elles qui déterminent où l’on va dans la vie ! On est la somme des gens qu’on voit ; donc, si l’on fréquente des battants, motivés, on le sera aussi. De même, rejetez les gens décourageants, les oiseaux de malheur, les pessimistes, ratés & autres négatifs.

– sachez ce que vous voulez : en réalité, on ne veut pas d’argent ; on veut seulement ce qu’il permet ; la liberté, la sécurité, … Par ex : vous ne voulez pas 1.000.000 d’€, mais bien acheter une maison à votre famille, etc.

– bougez-vous : il faut travailler dur pour réussir.

– rendez l’impossible, possible- et pour ça, croyez que c’est faisable !

– échouez souvent et fort  : c’est l’échec qui nous fait avancer.  Du reste, il ne faut même pas penser en termes d’échec ou réussite : vous ne pouvez pas échouer, en fait, puisque soit vous réussissez, soit vous engrangez de l’expérience !

– exploitez vos talents : et rien que ça ! songez à votre talent comme à un matériau brut, et travaillez-le.

– apprenez à aimer la confrontation : les gens font tout pour l’éviter, mais ce n’est qu’en affrontant l’obstacle face à face que les choses se mettent à changer. Il faut prendre des risques.

– faites ce qui est bon & juste : faire le juste amène le succès, alors que la non-fiabilité ou la malhonnêteté ne mènent qu’à la ruine.

Secret pour découvrir en quelques minutes notre mission de vie

La plupart des gens aimeraient apprendre quelle est leur mission de vie, pour donner un sens à leur vie – car nous, humains, avons besoin d’un sens pour pouvoir être heureux !  Mais, malgré les milliers de livres traitant du sujet, c’est dur à détecter…

Certaines personnes ont des jobs de pouvoir et bien payés, mais sont pourtant malheureux. Quant à ceux qui sont heureux, ils le sont parce qu’ils savent 5 choses ; qui ils sont, ce qu’ils font, pour qui ils le font, ce que ces gens veulent ou ont besoin & comment ça les modifie.

Pour connaître notre mission de vie, répondons aux 5 questions ci-dessous.

1- D’abord, dites tout haut votre prénom …   Voilà ; on sait à présent qui vous êtes. Plus que 4 !

2- Ce que vous faites => Qu’est-ce que vous aimez faire ? => pour trouver ceci, songez à ceci : quelle est la chose que, maintenant, vous vous sentez suprêmement qualifié à apprendre à d’autres gens ?

3– Pour qui le faites-vous ? Pensez-y & dites-le à haute voix.

4- Qu’est-ce que les gens ont besoin ou désirent – en sorte qu’ils viennent à vous pour l’obtenir ?

5– Comment ils changent ou se transforment à la suite de ce que vous leur donnez.

=> A présent, faites une longue phrase avec ces 5 éléments …

Cette formulation est très puissante, car elle se fonde plus sur les autres & leurs besoins que sur nous.

Lorsque des inconnus nous demandent ce qu’on fait dans la vie, il faut donner cette réponse-là, et non dire ce qu’on fait, car cette réponse conventionnelle, ne citant qu’un métier, ne « parle » pas aux gens et en plus, on ne suit en général pas du tout la voie qui nous convient et qui donc, pourrait nous définir.

Voilà ! Vous possédez à présent de quoi faire votre bonheur ici-bas … & celui des autres !

Le système scolaire est nul !

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(Résumé de Sir Ken Robinson : how to escape education’s death valley)

Pour qu’un être vivant prospère et donne le meilleur de lui-même, il a besoin de certaines conditions… Par conséquent, lorsque ces conditions sont absentes, l’être se « raccrapote » …

Il donne comme exemple la Vallée de la Mort ; rien n’y pousse car il n’y a pas d’eau. Mais un été, il a plu, et aussitôt, un tapis de fleurs est apparu, preuve que la vie existe dans Vallée de la Mort, mais à l’état dormant, n’attendant que des conditions favorables pour s’épanouir…

Pour les humains, le contrôle et la domination ne constituent pas de bonnes conditions pour prospérer ; le vrai leadership est dans le « climat » : on peut dire des enfants que, sous un bon climat, ils fleuriront et que, si leurs facultés restent en sommeil, s’ils sont à l’état « minable » (« raccrapoté »), c’est que les conditions sous lesquelles ils pourrraient déployer leurs talents, sont absentes !

Selon Ken Robinson, l’esprit humain se base sur 3 principes pour donner le meilleur de lui-même, et notre système d’écucation les viole tous !

Voici ces 3 principes :

1.les humains sont naturellement différents et divers :

Chacun qui a plusieurs enfants sait que chacun de ses enfants, depuis la naissance, diffère de ses frères et sœurs. Or, l’éducation scolaire se base non sur la diversité, mais sur la conformité. Les écoles se concentrent sur ce que les enfants peuvent faire dans un cercle très resteint de réalisation. On a beau dépenser des fortunes pour l’enseignement, c’est dépensé en vain, car dans la mauvaise direction.

Pour lui, l’ADHD n’est sûrement pas l’épidémie qu’on décrit ; il est normal que les enfants s’agitent quand on les place dans les conditions d’apprentissage des écoles, c-à-d rester immobiles durant de longues heures, à faire des travaux stéréotypés et de bas niveau.

Tous les enfants ont des talents et nous les gaspillons, ils bouillonnent de créativité, et nous la détruisons. Petits, les enfants n’ont pas peur de se lancer, de risquer – quand on n’a pas peur de se tromper ou d’être humilié, on ose apporter des solutions originales. Or, dans notre société, on stigmatise les erreurs, en sorte qu’arrivés à l’âge adulte, ils n’osent plus risquer.

  1. curiosité

Les enfants sont curieux de nature, ils sont avides d’apprendre, en fait – et c’est un genre d’ « exploit » de nos systèmes d’écucation d’arriver à éliminer cette tendance chez eux !

Les professeurs sont essentiels à un pays, puisque ce sont eux qui sont chargés de former les membres futurs de la société ; leur rôle est d’encourager l’apprentissage, soutenir, stimuler, provoquer, donner envie – et au lieu de ça, ils passent bêtement des infos, comme si les enfants étaient des outres passives qu’il faudrait remplir..

En plus, au lieu de se focaliser sur l’apprentissage, on se focalise sur les tests, les notes, les examens – alors que les notes ne devraient pas servir à ceci, mais bien à diagnostiquer une situation.

Au lieu d’exciter la curiosité des enfants et leur envie d’apprendre, on les pousse à prester, au lieu de les pousser à s’améliorer individuellement, on les pousse à la concurrence.

3.La vie humaine est intrinsèquement créative : les animaux aussi ont une certaine créativité, mais pas à notre échelle. Donc, l’éducation devrait développer la créativité… Au lieu de ça, on a une standardisation stérilisante.

En Finlande, l’enseignement est individualisé et on soutient les écoliers, il n’y a pas d’examens et on encourage la créativité, conclusion : personne ne redouble ou n’abandonne les études.

Les  conceptions mécanistes de l’éducation ne marchent pas, et ne l’ont jamais fait, car l’éducation est un phénomène humain et pas mécanique !

Alors, qu’est-ce qu’on attend pour changer le système et en faire un de succès plutôt que d’échec ?

Troll & irrationnalité (échange facebook 15/9/14)

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Voici un échange qui, je l’espère, vous montrera les trolls à l’oeuvre, et aussi (très instructif !) comment les êtres non-éveillés ont toujours besoin de trouver des boucs émissaires pour projeter leurs propres défauts (qu’eux-mêmes ne veulent ou ne peuvent accepter) sur eux.

Vous pouvez voir à quel point le discours est décousu et non pertinent  –  remarquez aussi à quel point ce pauv’gars a besoin de se défouler ; il continue à « parler tout seul » (9 posts sans réponse de ma part) 😉

Il faut comprendre (et c’est pourquoi je poste ceci) que quand on vous insulte, ça n’a rien à voir avec vous ; par ex, ce gars ne me connaît pas du tout, ni moi, ni ma personnalité, ni mon caractère, ni ce que j’ai vécu, …) – alors, vous voyez quel genre de réponse ces idioties méritent : AUCUNE !

Je vois souvent des membres fb qui s’efforcent de se justifier encore et encore en face d’obstinés du genre du « brave garçon » ci-dessous (en vain bien sûr) … Faites comme moi ; dites-vous « discuter avec un idiot, prouve seulement qu’il y en a 2 » !

Personnellement, je suis assez occupée, et j’ai des choses beaucoup plus intéressantes à faire de mon temps & de mon énergie que de causer avec un taré aigri !

  • Bea de Laat Pour Stéphanie : j’avais lu ce truc de la savonnerie dans Gil Jourdan (l’Enfer de Xique-Xique)..
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  • Stéphanie Delgarde Ah oui je confond en effet
  • Bea de Laat Ta daa xD
    9 h · J’aime · 1
  • Al Patch hey hey moi aussi j’suis cochon! Et tu sais ce que ça dit sur cette année !!
  • Al Patch Mlle Na sucre, me traite de trou duc! Qu’a Na sucre? Mlle Sonlon me traite de con ! Qu’a l’sonlon? Caleçon long ! Serge gainsbourg.. C’est vrai quoi c’est quand même plus stylé que les slips ! http://www.youtube.com/watch?v=lowuIou_B8Y

    Lire la vidéo

    L’Ami Caouette (réal. Bernard Lion N°1 Michel Sardou – 1/11/75) L’ami Caouette MAfficher la suite
  • Al Patch Non pt être y’a les surdoués et les génies. Surement qu’un surdoué peut se transformer en génie à force de travail et de volonté. Voyons la définition du génie de monsieur Larousse(je sais que tout le monde ne l’aime pas mais moi j’aime bien découvrir Voir plus
  • Al Patch Mais je pense Bea de Laat que tout à l’heure tu parlais de toi peut être ? Doutes tu d’être HP? Comment exploites tu ton potentiel? T’en es ou? Enfin c’est un peu privé tout ça, je t’en veux pas si tu réponds pas .
  • Bea de Laat Al Patch : comment j’exploite mon potentiel ? eh bien, mais j’écris des articles géniaux, voyons Blague à part, j’ai arrêté de me traiter de débile et de me justifier auprès des normo-typiques…
  • Al Patch ah ah retourne regarder tes vidéos de norman et consort ! T’es au courant qu’on parle parfois de soi quand on parle des autres ? En psycho ça s’appelle le transfert mon enfant.
  • Al Patch des articles de quoi?
  • Al Patch T »as un joli cœur en avatar mais tu respires pas trop l’amour, universel j’entends bien.
  • Bea de Laat et pourtant, mon site (en reconstruction pour l’instant ) traite de l’amour, le bien-être, l’alimentation saine, … j’ai aussi 1 blog
  • Al Patch et ben piiiiiiouuu ton site est comme ta tete, en reconstruction et tu t’es dit tiens si j’étais surdouée. Mais tu sais vraiment ce que c’est être surdoué. C’est travailler 10h de suite en pensant que ça fait 3 heures, à n’importe kel heure de la journVoir plus
  • Al Patch et sur ton site, ça m’étonnerait pas que tu fasses du publishing tu sais genre christian godefroy ça te parles ?
  • Al Patch t’as un blog tiens ouvre le bec j’ai une sardine pour toi gluuurp
  • Al Patch ma poule tu déconnes, tu te permets des choses pas terribles.
  • Al Patch Mais bon c’est pas une critique. C’est un constat.
  • Al Patch Le plus grand ennemi de l’homme est son égo tu devrais le savoir.
  • Al Patch regarde ce que papa Einstein te dit : « Le culte de la personnalité reste à mes yeux toujours injustifié. » Si tu pouvais le rencontrer Einstein tu lui parlerais de quoi? voilà une question qu’elle est belle ! de ton blog ?
  • Al Patch de norman ?
  • Al Patch tu peux pas comprendre lâche l’affaire, où ouvre les vannes de la bonté, de l’acceptation, toutes ces choses qui font que parfois on est bloqué dans un schéma réducteur de sa personne

Amitié (devenue) toxique

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méchant

Si votre ami(e) vous fait vous sentir mal à l’aise en sa présence, s’il vous insulte (ouvertement ou non), s’il est raciste ou sexiste, s’il ment, s’il vous utilise (pour vos ressources, vos relations, votre argent, votre voiture, …), vous devez vous séparer de lui (elle).

N’oubliez pas que la recherche scientifique a prouvé que ce qui a la plus grande influence sur notre vie (réussite ou vie ratée) est … les gens que l’on fréquente ! Aussi, qu’une mauvaise relation est plus nocive à notre santé (mortelle, en fait !) que l’alcool, le tabac, l’obésité & la sédentarité REUNIS !

Par conséquent, si quelqu’un est négatif ou méchant avec vous, cela nuit à votre santé physique et mentale, à vos succès et à votre bonheur en général, et donc, il faut s’en débarrasser.

Voici les 5 signaux montrant qu’il est temps de vous protéger en partant :

  1. Les disputess sont OK, ne pas écouter ne l’est pas : toute amitié entre 2 humains adultes tourne parfois à l’orage. Donc si vous avezgénéralement une bonne relation avec votre ami, et juste quelques éruptions occasionnelles, sachez que c’est tout à fait normal – et c’est bon que vous et votre ami puissiez parler ouvertement et honnêtement. Comme dans toute relation, il est bon de discuter, et de se réconcilier après une dispute, une fois que vous êtes calmés.

Mais si vous vous disputez régulièrement avec votre ami, et s’il ou elle refuse d’écouter ou de reconnaître votre point de vue, ou s’il revient plusieurs fois sur des sujets où vous avez toujours été en désaccord, juste pour vous provoquer, ou s’il casse du sucre sur votre  sur votre dos ou vous fait la leçon, c’est irrespectueux.

2.Le mensonge est pas OK : Si votre ami vous ment (sur qui il (elle) est, sur  son travail, sa famille, ou d’autres aspects de sa vie), quittez-le immédiatement. Il y a beaucoup de menteurs dans le monde, et si un ami ne peut pas être honnête avec vous, cela signifie qu’il a des problèmes de santé mentale plus grands que juste mentir. Les menteurs  ont besoin de gens dans leur vie qui vont écouter leurs histoires, et un ami dans ce cas est juste quelqu’un qui va écouter et croire leurs histoires.. Ceci ce n’est pas une véritable amitié.

Bien sûr, il faut avoir du tact (la franchise de consiste pas à dire tout ce que l’on pense, mais à penser tout ce que l’on dit) mais si vous vous trouvez dans une relation avec un menteur, c’est assez pour mettre fin à la relation.

3.Vous rabaisser n’est jamais OK : si votre ami vous maltraite verbalement – ar des insultes, des commentaires sarcastiques,ou des médisances à d’autres amis ou collègues de travail – mettez fin à votre relation maintenant.

4.Vous utiliser n’est pas acceptable : Si quelqu’un n’est votre ami pour les avantages que ça lui rapporte – l’accès à certains lieux ou personnes, de l’argent, des cadeaux (restaurant, …), ou des trajets en voiture, ce n’est pas votre ami ; il vous utilise.

  1. Ne pas agir comme un ami : Si vous faites constamment des choses pour votre «ami» – devoir toujours aller chez eux (& eux ne viennent pas chez vous), devoir téléphoner ou leur écrire pour les voir, leur envoyer des cadeaux pour leur anniversaire (alors qu’eux ne vous offrent rien), indique aussi que ce n’est pas une véritable amitié.

Parfois, il peut être difficile d’y voir clair, mais si vous vous sentez mal à l’aise dans une amitié, examinez soigneusement  si une ou plusieurs des choses décrites ci-dessus se passent avec lui – cela pourrait être difficile à distinguer si vous êtes amis depuis longtemps (depuis l’enfance par ex)

Une fois que vous vous êtes honnêtement avoué la situation et constaté que vos amis ne le sont pas vraiment – qu’ils n’agissent pas comme des gens qui vous aiment et se soucient de vous, il n’y a qu’une chose à faire : rompre avec eux.

Comment?

La seule façon qui fonctionne est d’être simple et concis ; dites simplement à la personne que vous voulez mettre un terme à votre relation, que vous jugez que vous n’êtes plus faits pour être amis.

Si n’accepte pas votre décision (une preuve de plus qu’il ne vous respecte pas !), coupez la discussion – puis refusez tout contact avec lui. Vous avez mieux à faire de votre temps et de votre énergie que de vous faire démolir.

Lui a besoin de vous pour ventiler ses émotions négatives, mais vous n’avez nullement besoin de lui (sauf si vous avez un attachement psychique : voir http://www.bonheuretamour.com/?p=4989  ).

Soyez fort ; tenez bon ! Il est tentant de vouloir « lui redonner une seconde chance », ou d’écouter ses « explications » …

Et s’il tente de vous culpabiliser, dites-vous que ça ne fait que confirmer que vous avez pris la bonne décision ! (car c’est encore une manœuvre perverse de manipulation).

Enfoncez-vous dans la tête que nous avons tous le droit de mettre fin à des relations qui nous sont nuisibles, pour aucune autre raison que ça nous est nuisible. Donc, vous n’avez pas besoin de vous justifier !

Vous saurez que vous avez pris la bonne décision de rompre avec un ami, car vous vous sentirez plus léger (ère) ; envahi(e) d’un sentiment de bonheur et de liberté, vous vous sentirez soulagé(e).

Car quand on prend la bonne décision, on le sait… Mieux vaut être seul que mal accompagné !

 

Où trouver votre bonheur ?

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triomphe reconnaissantRésumé & passages essentiels de «Trébucher sur le bonheur » de Daniel Gilbert ; un livre pour nous aider à prendre de meilleures décisions, pour aller vers un avenir plus heureux.

Le principal argument de D. Gilbert, c’est que nous ne sommes pas très bons pour prédire ce qui va nous rendre heureux plus tard. Ceci est pourtant très important ; en effet, si nous voulons prendre maintenant des mesures qui contribueront à notre bonheur futur, nous devons pouvoir anticiper ce qui nous rendra heureux.

Considérez, par ex, un jeune qui paie 1.000€ aujourd’hui pour un tatouage … et qui, dans 5 ou 10 ans, devra en payer 7.000 pour le faire enlever !

Ou la personne qui sacrifie une somme énorme de temps, d’argent et d’énergie pour fréquenter une université et réussir des études de droit, quitte à décider quelques plus tard, que le droit n’est pas sa tasse de thé et que sa mission est d’élever des chèvres dans le Cantal !

Le travail que vous avez, le corps que vous avez, la ville où vous vivez, tout ceci reflète vos choix passés ; des décisions que vous avez prises dans le passé au sujet de ce qui serait important pour vous dans l’avenir.

Gilbert suggère de plutôt faire ainsi : pour prédire ce qui est susceptible de vous rendre heureux à l’avenir, demandez à quelqu’un qui vit réellement dans la situation que vous pensez désirer : par ex, si vous voulez travailler dans un cabinet d’avocats, demandez à plusieurs personnes travaillant dans ce secteur s’ils aiment leur travail, ou ce qu’ils apprécient dans leur travail, et ce qu’ils aiment moins…

Si vous songez à démarrer un blog, questionnez des blogueurs sur leur expérience. Si vous songez à collaborer à un projet, demandez aux gens qui l’ont fait, comment ça s’est passé, …

Mr Gilbert soutient que même si cette méthode semble trop spécifique à un individu (et que donc, nous-même, placé dans cette situation, pourrions la ressentir tout-à-fait autrement), nous sommes bien plus semblables dans nos préférences que nous ne l’imaginons.  Par conséquent, l’expérience d’autres personnes est selon lui le meilleur guide à suivre.

Cette suggestion est utile, mais n’oublions pas qu’on n’est jamais à 100 % pareil à un autre ; il y a toujours des différences dans les perceptions, la sensibilité, les goûts & dégoûts, … En d’autres termes, nous sommes un peu comme les autres, mais les différences sont quand même assez grandes.

Supposer que ce qui fonctionne pour d’autres personnes, marchera pour vous, peut donc s’avérer faux et vous faire manquer la chance de façonner une habitude qui vous convient => Comment vous créer des habitudes s’accordant à vos goûts & sensibilités particuliers ?

Une chose prouvée est que beaucoup de nos actions visent à éliminer le sentiment amer de regret (= quand on se blâme pour un résultat malheureux qu’on aurait pu éviter si l’on avait agi différemment) mais que l’on regrette plus de ne pas avoir agi, que de l’avoir fait ; il est plus facile de se consoler avec les leçons apprises d’une action qui a mal tourné, que de voir un avantage résultant de notre inaptitude à agir.

Il faut garder ceci à l’esprit si vous songez à prendre une décision risquée – on voit bien qu’il faut prendre des risques (calculés !) dans la vie, car il est presque certain que plus tard, vous regretterez plus de n’avoir pas osé risquer quelque chose, que d’avoir pris le risque et échoué.

Puissiez-vous retenir ceci et faire à l’avenir des choix plus heureux !

Le courage est ce que la vie exige de nous en échange de la paix (Amélia Earheart)