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Proverbes & Citations XC

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Votre douleur est le bris de la coquille qui renferme votre compréhension (Kahlil Gibran)

Notre grand devoir est de maintenir la vie sur la terre, c’est-à-dire de ne détruire ni les animaux, ni les hommes et de ne pas nous lancer dans l’exploitation des êtres, quels qu’ils soient, quelle que soit leur forme, et de maintenir cette grande diversité, qui est celle de la nature (M. Yourcenar)

Il n’est meilleur commerce que de vendre aux pauvres et aux ingénus, parce que leur faiblesse les fait grégaires et qu’ils ne peuvent ni ne savent choisir (Louis Pauwels)

(…) envisager quelque chose de façon positive, visionnaire, génère des émotions positives. Si tu te contentes de fuir les choses que tu ne veux pas, tu es constamment dans un état d’anxiété & de dépression (Jordan Peterson)

La plupart des hommes mènent une vie de désespoir silencieux et vont à la tombe avec la chanson toujours en eux (H.D. Thoreau)

Vous ne pouvez pas empêcher le corbeau de se poser sur votre tête, mais vous pouvez l’empêcher de faire son nid dans vos cheveux (proverbe)

Soyez une lampe, ou un canot de sauvetage, ou une échelle. Aidez quelqu’un à guérir son âme. Agissez comme un berger (Rûmi)

La vie est parfaite puisqu’elle nous ressert toujours le même plat jusqu’à ce que nous prenions conscience de ce que nous sommes en train de manger (G. Corneau)

Je suis terriblement choqué par les gens qui vous disent qu’on est libre, que le bonheur se décide, que c’est un choix moral. Les professeurs d’allégresse, pour qui la tristesse est une faute de goût, la dépression une marque de paresse, la mélancolie un péché. Je suis d’accord, c’est un péché, et même le péché mortel, mais il y a des gens qui naissent pécheurs, qui naissent damnés, et que tous leurs efforts, tout leur courage, toute leur bonne volonté n’arracheront pas à leur condition. Entre les gens qui ont un noyau fissuré et les autres, c’est comme entre les pauvres & les riches, c’est comme la lutte des classes, on sait qu’il y a des pauvres qui s’en sortent, mais la plupart, non, ne s’en sortent pas, et dire à un mélancolique que le bonheur est une décision, c’est comme dire à un affamé qu’il n’a qu’à manger de la brioche (Emmanuel Carrère) ->Donc, revenir à la compassion (en tâchant de se mettre à l’abri, car « hurt people hurt people »)

Sans la liberté de blâmer, il n’est point d’éloge flatteur (Beaumarchais)

Le respect de soi nous montrera toujours une voie pour aller de l’avant (David Goggins)

Quand les faits changent, je change d’avis (John Maynard Keynes)

Si vous ne pouvez être reconnaissant de ce que vous recevez, soyez-le de ce à quoi vous échappez (Denis Waitely)

Ne leur pardonnez pas. Ils savent ce qu’ils font (Claire Séverac)

La faculté de ramener volontairement une attention errante, encore & encore, est la base du jugement, du caractère & de la volonté (William James)

Tenter d’être heureux en accumulant des possessions, c’est comme tenter de satisfaire votre faim en empilant des sandwiches partout sur votre corps (G. Carlin)

L’enseignement classique vous fera gagner votre vie, l’auto-enseignement vous fera gagner des fortunes (J. Rohn)

Être vous-même dans un monde qui tente constamment de vous changer en quelqu’un d’autre, est la plus grande réussite (R.W. Emerson)

Pour découvrir de nouveaux rivages, il faut oser quitter la côte de vue (Christophe Colomb)

Le meilleur moyen de gâcher votre vie … est de prendre des notes. Le moyen le plus facile d’éviter de vivre est de se contenter de regarder. Chercher les détails. Reporter. Ne pas participer (C. Palahniuk)

Une difficulté n’en est plus une à partir du moment où vous en souriez où vous l’affrontez (Baden-Powell)

Le comble de l’intelligence, c’est la bonté (M. Proust)

Tout obstacle renforce la détermination. Celui qui s’est fixé un but n’en change pas … (L. de Vinci)

Le 1er pas pour vivre la vie que vous désirez est d’abandonner la vie dont vous ne voulez pas. Faire ce 1er pas en avant est toujours le plus dur mais alors, chaque autre pas en avant devient de plus en plus facile. Et chaque pas vers l’avant vous en rapproche de plus en plus jusqu’à ce qu’enfin, ce qui était invisible commence à être visible. Et ce qui semblait impossible commence à sembler possible (K. Salmansohn)

Par le moment présent, on a accès au pouvoir même de la vie (Eckart Tölle)

Le bonheur, c’est d’être fidèle aux aspirations de son âme. C’est d’être assez brave et assez fier pour écouter les voix qui montent de l’âme et obéir à la plus belle (R. Ducharme)

Donnez-vous la permission de vous éloigner immédiatement de toute chose qui vous cause de mauvaises vibrations. Il n’est pas besoin de raisonner ou de trouver une explication. Fiez-vous juste à ce que vous sentez (S.  Chuquette)

Nous vivons dans un cauchemar de mensonges, et rares sont ceux qui sont suffisamment éveillés et conscients pour voir les choses telles qu’elles sont. Notre premier devoir est d’éliminer les illusions et de retrouver un sens de la réalité (Nicolas Berdiaev)

L’âme sait toujours quoi faire pour se guérir. Le difficile, c’est de faire taire l’esprit. Vous êtes déjà heureux et en paix. Il n’y a pas de clé vers le bonheur ou de porte vers la sérénité. C’est votre esprit qui crée ces attentes – ne l’écoutez pas. Ce ne sont que des pensées. Libérez-vous des tendances de l’esprit. Cessez de passer autant de temps à tâcher d’être heureux ou à penser à l’être, et décidez juste d’être heureux parce que vous l’êtes déjà ()

Il est difficile de libérer les idiots des chaînes qu’ils vénèrent (Voltaire)

Vivre avec intégrité signifie : ne pas vous résigner à moins qu’à ce que vous savez mériter dans vos relations. Demander ce que vous désirez et avez besoin des autres. Dire votre vérité, même si cela peut créer un conflit ou de la tension.

Le conformisme est  une misérable maladie, parce qu’elle vous empêche d’exister. Les gens qui sont véritablement conformistes n’ont pas vécu (M. Yourcenar)

Avoir des comportements qui soient en harmonie avec vos valeurs personnelles. Faire des choix basés sur ce que vous croyez, et non sur ce que d’autres croient (B. De Angelis)

Le bonheur est le plaisir du sage, le plaisir est le bonheur du fou ()

Quand on est honnête, on DIT, on n’a pas besoin de promettre –> toujours se souvenir que LES PROMESSES N’ENGAGENT QUE CEUX QUI Y CROIENT ! (B. de Laat)

L’évolution consciente commence lorsque l’on prend la responsabilité d’écarter nos propres obstructions (Dan Millman)

Vous m’offrez la cité… je préfère les bois, car je trouve, voyant les hommes que vous êtes, plus de cœur aux rochers, moins de bêtise aux bêtes (V. Hugo)

Les temps durs créent des hommes forts. Les hommes forts créent des bons temps. Les bons temps créent des hommes faibles. Les hommes faibles créent des temps durs ()

Chaque fois que vous dites oui à quelque chose que vous ne voulez pas faire, voilà ce qui arrivera : vous en voudrez aux gens, vous ferez du mauvais travail, vous aurez moins d’énergie pour les choses que vous faisiez bien, vous gagnerez moins d’argent, et pourtant, un petit pourcentage de votre vie sera parti, brûlé, un signal de fumée envoyé à l’avenir, disant « je l’ai encore fait » (James Altucher)

Ne te sens pas seul, l’univers entier est en toi (Rûmi)

Le jour où l’on décide qu’on est plus intéressé par le fait d’être conscient de nos pensées plutôt que par les pensées elles-mêmes, est le jour où l’on trouve une porte de sortie (M. Singer)

Quand Dieu résout tes problèmes, tu as foi en Ses aptitudes ; quand Dieu ne résout pas tes problèmes, Il a foi en tes aptitudes !

Soyez meilleur, vous serez plus heureux. C’est la meilleure leçon de morale, car elle est fondée sur l’intérêt (Duc de Lévis-Mirepoix)

Le principe de base pour atteindre ses buts, est de comprendre que l’on va aussi loin que ce qu’on peut voir et quand on y arrive, on peut toujours voir plus loin (Zig Ziglar)

Ne craignez pas de vous donner à fond dans ce qui semble de petits travaux. Chaque vous que vous venez à bout de l’un d’eux, ça vous renforce. Si vous faites bien les petits travaux, les grands tendront à se résoudre tout seuls (D. Carnegie). Donc, peu importe ce qu’est votre but, si votre cœur vous y appelle, allez-y ; vous n’avez qu’à vous fier à lui et faire ce petit pas, puis un autre, puis encore un autre…Vous serez aidé(e), n’en doutez pas..

La vie est le caprice de plusieurs trillions de cellules d’être vous pour un court instant ()

Ne doutez jamais de vous, croyez toujours que vous en êtes capable ; dans un an, vous saurez pourquoi vous avez commencé.

Si vous n’avez pas appris la valeur de l’amitié, vous n’avez rien appris (M. Ali)

L’Amour, dans sa perfection, ne peut s’empêcher de chercher à améliorer les autres (Dr M. Iqbal)

Quelqu’un que j’aimais m’a donné une boîte pleine de noirceur. J’ai mis des années à comprendre que cela aussi était un cadeau (Mary Oliver) – Nul homme n’est ton ennemi, tout homme est ton professeur (Bouddha)

La chose peu commune à propos du sens commun, c’est qu’il n’est pas très commun (inconnu)

On tend vers nos désirs avec une soif inextinguible car ils émergent de la source même de notre vie – et de la Vie ! – Ce sont des désirs spirituels – quel que soit leur déguisement ! (moi)

Les personnes les plus heureuses que je connaisse sont toujours en train de s’évaluer et de s’améliorer. Les gens malheureux, en général, évaluent et jugent les autres (L. Villa Prosen)

Dans tous les aspects de la vie, la réussite n’est jamais un cadeau, ni une question de chance ou de destin. Ceux qui réussissent ont le sens du Courage, de la Persévérance et de la Détermination. Il s’ensuit que l’on peut être, faire et avoir tout ce que l’on imagine, il suffit de le rendre réel à l’esprit et avoir la détermination de le matérialiser ()

Citations Mooji

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Ce guide spirituel jamaïcain vaut vraiment la peine d’être découvert – alors, voici quelques-uns de ses enseignements :

Il y a une présence, un silence, une immobilité qui est ici par elle-même. Il n’y a pas d’auteur, de créateur de cette immobilité. Elle est simplement là, en vous, avec vous. C’est le parfum de votre propre personne. Il n’y a rien à faire à ce sujet, elle est naturellement présente. Ce parfum de paix, d’espace, c’est le parfum de votre propre être.

Ne supposez jamais que vous avez atteint la vérité. Ne prétendez pas à la connaissance. Ne tirez aucune conclusion ou évaluation concernant la vérité. Dès que vous le faites, votre chute est assurée. Chaque fois que vous imaginez que vous savez quelque chose, vous cessez d’être ouvert à l’exploration vivante. Vous avez fermé une porte et coupé l’oxygène à la vérité qui respire.

Votre cœur est la lumière de ce monde. Ne le couvrez pas avec votre esprit.

Pour être libre, vous allez devoir sortir du moule du conditionnement personnel, de votre cocon. Chaque chercheur sincère doit être prêt à subir la transformation nécessaire pour passer de la conscience de chenille au papillon de la liberté !

Entrez dans le feu de l’auto-découverte. Ce feu ne vous brûlera pas, il ne brûlera que ce que vous n’êtes pas.

Jetez tout, oubliez tout ! Vous apprenez trop, vous vous souvenez trop, vous essayez trop… détendez-vous un peu, donnez à la vie une chance de suivre son cours, sans l’aide de votre esprit et de vos efforts. Arrêtez de diriger le débit de la rivière.

Quoi qu’il arrive, ne le repoussez pas. Quand cela s’en va, ne vous affligez pas. Les sentiments ne sont que des visiteurs, laissez-les aller et venir.

Si vous accordez trop d’importance à la compagnie humaine, vous ne découvrirez pas votre véritable Soi. Les relations qui ne sont pas fondées sur la vérité ne sont jamais entièrement fiables et sont rarement durables. Prendre le temps de se découvrir est la meilleure façon d’utiliser son temps. Donnez-leur la priorité.

Il ne faut pas chercher à l’excès des partenaires ou des amis, il faut chercher à se connaître et à être soi-même. Lorsque vous commencez à vous éveiller à la vérité, vous commencez à remarquer à quel point la vie s’écoule d’elle-même et à quel point « on » prend soin de vous. La vie soutient les besoins physiques, émotionnels, mentaux et spirituels de celui qui est ouvert à la découverte de soi. La confiance vous ouvre les yeux sur la reconnaissance de cela. L’abandon vous permet de vous fondre dans votre propre être éternel.

Je n’ai pas à être quoi que ce soit. Je n’ai même pas besoin d’être moi-même, car il n’y a rien de tel que de ne pas être moi-même. Je suis inévitablement moi-même.

Aller à la recherche de soi (comme but) est une illusion ; vous êtes déjà l’unique soi. Vous achetez la carte (routière), mais vous êtes déjà ici.

Essayer de comprendre la conscience avec votre esprit, c’est comme essayer d’éclairer le soleil avec une bougie.

Je viens vous appeler (pour rentrer) chez vous. Ceux qui résonnent avec mes mots et les suivent intérieurement, trouveront cet endroit et connaîtront sa complétude, sa joie et sa plénitude. Je suis venu pour vous appeler à vous éloigner de la souffrance, de la peur et d’une vie de chagrin et à vous rapprocher de votre propre Être divin. Je ne suis pas venu ici pour vous donner des histoires décoratives, pour exciter votre imagination ou vous inscrire à un long programme, mais pour vous montrer à quel point la Vérité est disponible et pour vous rappeler que vous n’êtes jamais séparés d’Elle.

Personne sur cette planète n’est séparé de la Vérité (qui est) dans son Coeur et pourtant le monde est si vaste et varié dans son expression. Le plus grand bien et le plus grand mal sont ici. Dans cette forêt de dualité et de complexité, vous devez trouver votre chemin vers la Maison. Vous devez reconquérir votre Soi. La sagesse et la confiance seront votre boussole.

Tout est magique quand vous le voyez avec votre coeur.

Une fois que vous commencez à reconnaître les dons divins dans la vie, vous en arrivez à voir qu’il y en a tant. Votre vie est abondante.

Vivez à la lumière de votre propre cœur… mais assurez-vous que ce cœur est silencieux et vide.

N’essayez pas de créer une sorte de forme pour votre vie comme si vous la coupiez avec une paire de cisailles. Ne taillez pas votre propre vie pour lui donner la forme que vous pensez qu’elle devrait avoir. Ne soyez pas un bonsaï, soyez un chêne puissant.

Priez : Sainte mère, saint père, saint esprit, ne me donnez pas l’illusion que même une seconde m’appartient. Tout est à vous. Moi aussi, je suis vous, et à vous. Car ce n’est qu’ainsi que votre vie a la chance d’être miraculeuse.

Ne soyez pas un entrepôt de souvenirs. Laissez les pensées du passé, de l’avenir et même du présent derrière vous. Soyez un témoin de la vie qui se déroule toute seule. Soyez libéré de tout attachement, de toute crainte et de toute préoccupation en gardant votre esprit à l’intérieur de votre propre cœur. Reposez-vous dans l’être. Ainsi, votre vie est toujours fraîche et imprégnée de joie pure et de présence intemporelle. Soyez heureux, sage et libre.

Les voies de l’esprit sont anciennes, mais votre Soi est intemporel.

Vous dites que vous voulez vous débarrasser du bruit, mais vous et le bruit allez ensemble. Vous devez être vous sans « moi » et tout bruit s’arrêtera. Le vrai « vous » est le témoin sans forme qui se trouve à l’intérieur. La personne, le bruyant, n’est qu’imaginaire. Reconnaître cela, c’est la liberté.

Ce n’est même pas qu’il faille renoncer à de vaines poursuites. Dieu ne vous demande pas de renoncer à vos douceurs, à vos friandises préférées. C’est juste que vous commencez à vous perdre tout intérêt pour elles.

Nous ne sommes jamais sans grâce. Nous ne pouvons jamais être abandonnés, elle est toujours là. Dieu ne peut jamais abandonner l’humanité.

Le sage ne voit que le Soi. La personne voit beaucoup de personnes. On voit de la totalité, on voit de la fragmentation. Tous les 2 sont vous.

Ne vous inquiétez de rien dans ce monde et vos yeux brilleront à nouveau. Votre coeur devient ouvert, clair et pur.

Ayez confiance. Alors que vous avancez, la grâce vous précède. Avant même que vous ne fassiez votre premier pas, elle est là avec vous et vous accompagne tout au long du chemin. Par conséquent, déposez vos armes. Déposez toutes vos techniques et vos efforts afin de découvrir le silence sans effort. Sachez que l’univers entier soutient votre éveil. Ne doutez, ni ne craignez. Tout va bien. Reposez-vous. Retrouvez et ressentez votre Coeur.

En fin de compte, il n’y a pas de dialogues dans le monde ; tout est un monologue divin.

Pouvez-vous vous imaginer être dans un endroit à l’intérieur de vous, où réellement, vous n’avez pas besoin d’être aimé ? C’est un endroit très calme dans lequel votre amour devient ouvert, large, beau et fort.

JE N’AI PAS BESOIN DE VIVRE LA VIE, ET JE N’AI PAS NON PLUS « UNE » VIE À VIVRE. JE SUIS LA VIE.

Tout ce que vous voyez dans la vie sort du sein de Dieu.

Vous avez le pouvoir inné de discerner en vous une présence qui n’est pas celle de l’esprit. Le Divin vous donne un baiser de l’intérieur. Et même un baiser soufflé doucement par Dieu suffira à vous inciter à vous lancer dans la recherche de la liberté. Ce baiser mettra votre cœur en feu !

Allez à la source – vous n’avez pas loin à aller. Vous n’avez pas besoin de faire un seul pas, car tout est là, maintenant.

Et la douleur physique ? Qu’en est-il de la souffrance ? Remettez votre existence à l’existence et taisez-vous. Tout est grâce. Si vous aviez vraiment le libre arbitre et le pouvoir de façonner votre destin, de créer votre vie idéale, vous laisseriez très probablement de côté tous les malaises, tout ce qui met votre ego au défi, tout ce qui expose des sentiments de culpabilité ou de honte ou tout ce qui menace vos attachements. Vous excluriez tout cela et les remplaceriez par des expériences au goût de chocolat. Mais quels que soient vos efforts pour construire et assurer une vie qui satisfasse vos projections, vous ne parviendriez pas à égaler, en qualité et en bienveillance, la vie qui se déroule sans intention humaine. Un homme a dit un jour à Sri Nisargadatta : « Maharaj, tes paroles résonnent au plus profond de mon cœur. Je ressens leur pouvoir et je sais qu’elles sont vraies. Mais si je dois être honnête dans la description de mon expérience de vie, je dois admettre que tout au long de ma vie, j’éprouve continuellement de la souffrance ! Et Maharaj a répondu : « Non, ce n’est pas vrai. Vous ne vivez pas la souffrance, vous dolorisez votre expérience de vie ».

Oins ma tête avec l’huile de ton Esprit Saint, afin que je n’imagine pas, même pour un instant, que la séparation d’avec toi est possible. Scelle mon unité avec toi pour toujours et au-delà. Amen.

Citations Napoléon Bonaparte

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Il y a différentes manières d’assassiner un homme : par le pistolet, par l’épée, par le poison ou par l’assassinat moral. C’est la même chose, au définitif, excepté que ce dernier moyen est le plus cruel. 

Lorsqu’un gouvernement est dépendant des banquiers pour l’argent, ce sont ces derniers, et non les dirigeants du gouvernement qui contrôlent la situation, puisque la main qui donne est au-dessus de la main qui reçoit. L’argent n’a pas de patrie ; les financiers n’ont pas de patriotisme et n’ont pas de décence ; leur unique objectif est le gain.

Qui sait flatter sait aussi calomnier.

Les règlements sont faits pour les médiocres et les indécis ; rien de grand ne se fait sans l’imagination.

Une belle femme plaît aux yeux, une bonne femme plaît au coeur ; l’une est un bijou, l’autre un trésor.

Il faut des fêtes bruyantes aux populations, les sots aiment le bruit, et la multitude c’est les sots.

La plus vraie des sagesses est une détermination ferme.

L’infortune est la sage-femme du génie.

Tous les événements ne tiennent qu’à un cheveu.

On ne peut pas faire semblant d’être courageux.

Une société sans religion est comme un vaisseau sans boussole.

La bonne politique est de faire croire aux peuples qu’ils sont libres.

L’imagination gouverne le monde.

L’art d’être tantôt très audacieux et tantôt très prudent est l’art de réussir.

L’homme n’est jamais si grand qu’à genoux devant Dieu.

L’abus de la propriété doit être réprimé toutes les fois qu’il nuit à la société.

Dans les révolutions, il y a deux sortes de gens : ceux qui les font et ceux qui en profitent.

Le sot a un grand avantage sur l’homme d’esprit : il est toujours content de lui-même.

La mort n’est rien, mais vivre vaincu et sans gloire, c’est mourir tous les jours.

Bien analysée, la liberté politique est une fable convenue, imaginée par les gouvernants pour endormir les gouvernés.

La vraie sagesse des nations est l’expérience.

La froideur est la plus grande qualité d’un homme destiné à commander.

Un homme combattra plus pour ses intérêts que pour ses droits.

Il existe deux leviers pour faire bouger un homme, la peur et l’intérêt personnel.

Le mot de vertu politique’ est un non-sens.

Une tête sans mémoire est une place sans garnison.

Il n’y a qu’un secret pour mener le monde, c’est d’être fort, parce qu’il n’y a dans la force ni erreur, ni illusion ; c’est le vrai, mis à nu.

Si vous escomptez avoir du succès dans le monde, promettez tout, ne donnez rien.