Archives Mensuelles: mars 2015

Sortez-vous avec un pervers narcissique ?

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PN3 J’avais déjà traité ici http://www.bonheuretamour.com/2014/10/21/sortez-vous-avec-un-loser/ de la relation amoureuse avec des brutes agressives.

Mais il y a pire que ces « primates » misogynes ; il y a les pervers narcissiques. Voici les signes qui vous feront reconnaître un de ces êtres éhontés, souffrant d’un trouble psychique grave, et très dangereux à fréquenter.

Si vous remarquez que vous vous épuisez à donner tout à votre partenaire, sans rien recevoir en retour, que vous n’avez quasiment plus de bons moments avec l’autre, que vous êtes de plus en plus « mal » (malheureux-se) dans cette relation, que votre couple va de plus en plus mal, malgré que vous faites d’énormes efforts (discussions, concessions, …) pour l’améliorer, et que les problèmes restent pareils qu’avant, malgré ses promesses, il se peut que vous soyez en couple avec un pervers…

Eh oui, une relation où l’un des partenaires n’est ni moral, ni empathique, est vouée à l’échec ; en effet, une relation a besoin de certains ingrédients pour marcher ; respect, soutien, confiance, saine communication & égalité économique (voir : http://www.bonheuretamour.com/2014/05/22/les-ingredients-dune-bonne-relation-damour/ )

Or, ils manquent dans une relation avec un PN…  car ces êtres émotionnellement très pauvres, dépourvus de moralité ou même de capacité à ressentir quoi que ce soit pour autrui, sont inaptes à une relation profonde et intime. C’est comme si vous vous attendiez à recevoir des oranges, d’un cactus …même si, au début, ce cactus s’est fait passer pour un oranger !

L’amour comprend une attirance romantique et une forte intensité.. qui, chez eux, sont « jouées », jamais réelles !

Ne faites pas l’erreur de confondre l’amour avec une simple attirance ! De même, le piège des débuts (l’apparence cool, sembler obsédé et vaincu par vous, les fleurs, les centaines de messages par jour, …), n’est pas de l’amour non plus.. c’est une comédie !

Ce n’est que lorsque les 2 partenaires s’investissent dans la relation, s’ouvrent à l’autre, se relient à lui (elle) et sont capables d’empathie, qu’une vraie relation existe, saine et solide.

Mais s’il n’y en a qu’un des 2 qui est ainsi, alors que l’autre est insensible, non-investi, indifférent, et menteur, alors, il n’y a pas de vraie relation – seulement un avorton de relation (voir « la relation est le 1er enfant d’un couple » : http://www.bonheuretamour.com/la-relation-est-le-1er-enfant-dun-couple/ ).

Une relation sans empathie, gentillesse, souci de l’autre et reliement, ne peut être que superficielle. Ce qui est présent, par contre, c’est ceci : tromperies, mensonges,  cachotteries, exigence d’avoir tout le pouvoir sur la relation, et refus de perdre le contrôle, refus d’accepter ses fautes & d’assumer quelque responsabilité que ce soit en tous domaines, et, s’il y a des excuses, elles sont peu sincères et perverties, car il ne les présente que pour servir un but et n’ayant que son propre intérêt en vue …

Bien sûr, tout ceci pourrit la relation !

Il faut savoir (au cas où vous nourririez l’illusion que vous pourrez le changer) qu’il n’existe aucun traitement guérissant la psychopathie – même les psy les plus renommés se cassent les dents sur ces cas désespérés !

Parfois (1 cas sur 1 million !), un PN veut vraiment changer – alors, s’il y travaille longtemps et fortement, il peut modifier certains comportements… Ce qui en fait quand même un bien piètre partenaire, puisque le changement est minime, et qu’il ne sait pas aimer … Or, pour une relation AMOUREUSE, il faut de l’AMOUR, c’est évident !

Notre société vise, non notre bonheur, mais ce qu’on « rapporte » (en ce sens, elle est elle-même perverse) nous invente qu’il y a du bon en chaque être humain, que l’amour est capable de tout vaincre car il est plus fort que tout ; alors, on s’imagine que le (la) pauvre a beaucoup souffert, et que notre amour peut le sauver (O, comme j’ai cru à cette chimère !), mais c’est faux !

Il est vrai que l’amour peut guérir bien des maux, mais PAS UN PSYCHOPATHE ! Eux, ça ne fait que les rendre plus enragés contre vous !

Même si notre PN nous jure de changer, ce n’est qu’une de ses tactiques pour nous garder –  du reste, il promet en général ceci après qu’on ait parlé de partir…

Souvenez-vous que, malgré ses dires, il ne peut pas changer, même s’il le voulait. En effet, il s’agit d’un trouble physique ; chez le PN, l’amygdale du cerveau, le système de récompense, le cortex préfrontal ventromédian et divers neurotransmetteurs, présentent des irrégularités, le poussant à mentir, tromper, agresser, …sans aucun scrupule.

Bref, à blesser gravement les autres (émotionnellement ou physiquement).

En relation, ils accusent leur partenaire de leurs propres défauts et fautes, la (le) rabaissent, l’insultent, la contrôlent, la manipulent, lui mentent, … Et ce schéma ne bouge +- pas durant toute la relation ; en fait, avec eux, plus ça change, plus c’est la même chose ! Cessez, par conséquent, d’espérer que la situation évoluera vers un mieux ; elle ne peut évoluer que vers le pis … Sauvez-vous, avant qu’il ne soit trop tard !

Cessez de râler & de geindre !

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humeurs

Dans cet article ; http://www.bonheuretamour.com/soyez-plus-positif/ , je vous appelais déjà à plus de positivité – sous la forme de moins de crainte – avec le conte de « l’arbre à réaliser les souhaits ».

J’avais approfondi le sujet avec http://www.bonheuretamour.com/2012/07/11/etre-positif-et-ensuite/ et surtout http://www.bonheuretamour.com/2015/01/07/choisir-le-bonheur/ (où je disais que le bonheur est un choix).

A présent, j’enfonce le clou, et je m’attaque à la « râlerie » et à la « geignarderie ».

De nombreuses recherches en «psycho-neuro-immunologie »  ont montré que les optimistes vivaient mieux que les pessimistes ; qu’ils étaient plus heureux, plus riches & moins malades. Par ex, une étude de l’Université de Stanford a constaté que se plaindre libère des hormones de stress abîmant les parties du cerveau servant à la résolution de problèmes.

Et vu la loi d’attraction, vous ne ferez, en vous plaignant, qu’attirer plus de frustration, et de circonstances pénibles dans votre vie.

On sait maintenant que les gens que l’on fréquente ont un impact énorme sur notre humeur, donc, finalement, sur notre destinée. Il est donc essentiel de nous couper des êtres négatifs (pessimistes, râleurs perpétuels ou geignards) & de s’entourer de gens positifs, qui nous soutiendront dans nos efforts de développement personnel.

Et il faut aussi devenir assez conscient de soi que pour remarquer à quel moment on va dire quelque chose ayant un sens de « plainte », et se stopper avant de le dire.

Je sais que retenir ses sentiments est nocif – donc, l’astuce, c’est de ne pas nourrir une attitude mentale ou des pensées négatives (penser qu’on est poursuivi par la malchance, envier les autres, réfléchir à tous nos défauts et à ce que l’on n’a pas, …), et au contraire, augmenter notre niveau de gratitude envers la Vie, pour tout ce qu’elle nous a donné, et l’exprimer au moins une fois par jour.

Souvenez-vous ; la négativité n’influe pas seulement notre niveau de bonheur (niveau qui ne dépend que de nous, du CHOIX qu’on fait d’être heureux), mais aussi notre santé physique, mentale & financière !

Donc, choisissez le bonheur ! (voir  http://www.bonheuretamour.com/2015/01/07/choisir-le-bonheur/  )

Il est clair que chacun connaît des épreuves, et si ça nous arrive, on peut évacuer ses sentiments, mais sans exagérer ; sans « nourrir » nos idées noires. Suivons ce sage dicton : « on ne peut empêcher un corbeau de se poser sur notre tête, mais on peut l’empêcher de faire son nid dans nos cheveux » !

Si, par conséquent, vous voulez devenir plus positif (plus heureux & prospère), vous devez d’abord vous engager à rester le plus possible dans le moment présent – pour vous y aider, je ne peux assez recommander le livre magique d’Eckart Tolle ; « le Pouvoir du Moment Présent » !

Une fois cette décision prise, l’appliquer, c-à-d cesser de se plaindre de choses que nous ne pouvons pas changer, comme un temps pluvieux, un train manqué, etc.

Il n’y a pas recette-miracle ; il faut juste cesser de se plaindre. Et pour cela, il faut faire comme les alcooliques : un jour à la fois ; décidez qu’aujourd’hui, vous ne vous plaindrez pas.

Si cela vous arrive quand même, notez quand et pourquoi (circonstances, environnement, sentiments).

Mais qu’est-ce que « se plaindre » ?

C’est quand on se fait du souci, qu’on se sent ennuyé ou frustré…Par ex, constater qu’il gèle dehors n’est pas une plainte, mais dire « je déteste le froid ! », l’est ! Vous connaissez cette mentalité râleuse ou geignarde, où on ne remarque rien de ce qu’on possède de bon et où l’on ne voit que le négatif de la vie ? Catastrophe ; il y a des poils de chien sur le fauteuil, O horreur ; il n’y a pas de biscuits dans la maison, Quelle tristesse ; il est ENCORE en train de pleuvoir,…

Cessez ! Chaque fois que vous vous surprenez à geindre, tournez le négatif en positif , en trouvant tout de suite une solution ou en remplaçant la pensée négative par quelque chose de positif.

Parfois (quand même), il y a une vraie raison derrière votre irritation, comme par ex, un manque de sommeil.  Creusez les choses, trouvez la raison, et créez une solution.

Le vocabulaire qu’on emploie compte aussi ; par ex, les optimistes disent rarement «mais» ou « essayer », car ces mots suggèrent un manque de contrôle de notre vie – les optimistes, eux, ne se trouvent pas d’excuses & prennent la responsabilité de ce qui leur arrive.

Pour recadrer nos soucis, voici le beau conte du disciple geignard ;

Un vieux maître était las des plaintes de son disciple. Un jour, il lui donna une poignée de sel, lui dit de la mettre dans un verre d’eau, et de boire l’eau. « Alors, comment est-ce ? » demanda le maître.

« Très amer »- dit l’élève.

Le maître re-donna à son disciple une poignée de sel, lui demanda de la jeter dans le lac, puis, d’y puiser un verre d’eau et de la boire.

« Comment est l’eau ? » redemanda le maître.

« Fraîche « , répondit l’élève.

« Goûtes-tu le sel ? » dit le maître.

« Non » dit l’élève.

Alors, le maître lui dit :  » la douleur de la vie est comme le sel ; la somme de douleur reste pareille, mais le taux d’amertume qu’on en ressent, dépend du récipient où on met la douleur. Donc, lorsque l’on souffre, il faut élargir notre sens des choses. Cesse d’être un verre, deviens un lac.

All you need is Love

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empathie1

Dans la vie, chacun (du haut en bas de l’échelle sociale) a des problèmes – donc, tout le monde est dans le même bateau.

Il faut (dans l’idéal), comprendre notre unité avec tous nos frères & sœurs humains (ou animaux, du reste) et se soutenir les uns les autres.

Mais pour cela, il ne s’agit pas tant de sympathiser avec les gens, de tenter de les faire se sentir mieux avec des histoires qui flattent leur ego, mais d’aller au fond des choses avec eux ; se relier à eux, sentir ce qu’ils sentent, se mettre à leur niveau sans porter le moindre jugement sur leur situation.

La prochaine fois, que vous serez mis dans le rôle de « l’oreille attentive », que vos paroles  ne s’adressent pas à l’esprit ou à l’ego de l’être qui souffre… Vous verrez quelle grande différence cela fera pour lui.

La sympathie (« sympathiser » avec les gens) est bien différente de l’empathie : l’empathie nourrit le sentiment de connexion avec une autre personne (« l’Amour »), alors que la sympathie mène à une déconnexion (manque).

Theresa Wiseman, une femme ayant étudié l’empathie, lui reconnaît plusieurs qualités ou caractéristiques :

– emprunt de perspective : l’aptitude à prendre la perspective d’un autre individu, ou à reconnaître leur perspective qui est leur vérité,

– se maintenir en dehors de tout jugement : ceci n’est pas facile (surtout quand on sait à quel point la plupart des humains aiment à juger),

– reconnaître l’émotion de l’autre & la lui exprimer.

L’empathie, c’est « ressentir avec les autres ». C’est un espace sacré où, lorsque quelqu’un est au fond d’un puit, pensant : « je suis bloqué ici, il fait noir, je suis submergé », la personne empathique descend tout au fond de ce puit, pour dire à celui qui a mal : « je suis là, je sais ce que c’est, d’être ici, & tu n’es pas tout(e) seul(e). »

La sympathie, par contre, c’est regarder l’autre d’en haut, du dehors du puit, de pencher la tête & dire : « Ohlàlà ! C’est moche, hein ? Tu veux une friandise ? »

La sympathie, en un mot, est à côté de la plaque et donc, elle augmente encore la souffrance de l’autre personne – puisque seul l’Amour – sous forme des « bons mots », peut sauver – et que là, l’être souffrant ne reçoit pas d’Amour, mais au contraire, la confirmation qu’il n’est pas aimé, puisque pas « senti », pas compris, bref, on lui inflige alors une blessure supplémentaire, et un manque intolérable dans la situation où il est !

L’empathie est un choix, et un choix courageux, puisqu’il nous met en danger. En effet, pour se connecter à l’être souffrant, l’empathe doit se relier à quelque chose en lui qui (re)connaît cette sensation…

Mais bon, il est normal, quand on est confronté à une conversation très chargée en émotions douloureuses, d’avoir cette tendance à vouloir améliorer les choses.  Lorsque quelqu’un partage avec un autre quelque chose de douloureux, beaucoup ont tendance à réagir avec un « au moins » ; par exemple, si la personne souffrante nous annonce qu’elle fait une fausse couche, la personne sympathisant avec elle, dira : « au moins, tu sais que tu peux tomber enceinte. »  Ou à  : « je pense que mon mariage est en train de couler », le « sympathisant » répondra : « au moins, tu as connu le mariage. »

Non ! Il tape à côté ! L’autre ne se sent pas compris et souffre encore plus ! Une réaction empathique, elle, ne débute pas avec « au moins » …Une réponse plus appropriée, serait : « je ne sais même pas qu’est-ce que je pourrais te dire… J’ai si mal de ce qui t’arrive. »

En effet, ce n’est pas une réaction, quelle qu’elle soit, qui peut faire du bien à l’être qui souffre ; la SEULE chose qui peut lui faire du bien (même si cela ne se voit pas tout de suite), c’est la connexion  …c-à-d l’Amour !

La huppe qui s’égara chez les hiboux

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conte pour HP de Sohravardi (1155 – 1191)

hibou

A la tombée du jour, une huppe entra par hasard dans la demeure des hiboux. Ils s’étonnèrent fort de leurs différences et toute la nuit, ils échangèrent sur toutes sortes de sujets. Ce fut si passionnant que les hiboux en oublièrent de sortir cette nuit-là.
Au lever du jour, la huppe voulut prendre congé de ses hôtes en les remerciant. Mais ceux-ci furent fort effrayés :
–  Comment ? Tu veux sortir alors que le soleil brille ! Ignores-tu que es oiseaux ne peuvent sortir durant le jour ? C’est trop dangereux… Le soleil est l’ennemi des oiseaux ; il les aveugle.

– Je vous assure qu’il n’en est pas ainsi pour moi, tempéra la huppe. Je ne suis pas semblable à vous. Je peux fort bien sortir sans danger durant le jour…
– Non, dirent en chœur les hiboux ; c’est impossible. Tous les oiseaux sont pareils et pour ton bien, nous ne pouvons te laisser sortir. Le soleil te rendrait aveugle et nous serions responsables de ce malheur !
Les hiboux barrèrent violemment la sortie du nid à la huppe… Ils lui auraient même crevé les yeux à coups de bec … pour empêcher justement (voyez leur folie) que le soleil ne l’aveugle !

En un éclair, la huppe jugea la situation – elle savait qu’il est dangereux de contrarier les fous.
– Ces insensés croient vraiment que tous les oiseaux sont comme eux et refusent d’écouter un avis différent du leur. Il est inutile de les contrarier, cela ne fait que les rendre plus agressifs.
Se pliant aux circonstances, la sage huppe contrefit la raisonnable :
– Vous avez raison ; je me range à votre avis… Les oiseaux ne peuvent sortir que la nuit ! Merci à vous d’avoir ainsi pris soin de moi !
– Enfin tu es raisonnable ! Nous savions bien que tu étais comme nous que le soleil aveugle, et qui ne pouvons sortir qu’à la nuit tombée.
La huppe passa la journée dans la demeure des hiboux, à méditer sur la folie de ceux qui se croient sages. A la nuit tombée, échappant à ses geôliers, elle regagna d’un coup d’aile un buisson proche pour y passer la nuit à dormir et attendre le lever du soleil…

Cela n’est pas d’aujourd’hui que les hiboux qui ne peuvent supporter l’éclat du soleil de la vérité s’en prennent, « pour leur bien », à ceux dont les yeux sont ouverts sur un réel qui leur échappe… Combien de fois avons-nous dû faire comme la huppe, à l’école, dans la famille, à l’armée, dans l’entreprise ou ailleurs ? La folie des gens ordinaires exerce une telle pression qu’il n’est pas toujours facile d’attendre la nuit pour s’envoler vers le véritable Soleil…

Société perverse !

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grand dossier autour de la « chasse aux sorcières » : http://blogs.mediapart.fr/blog/dominique-ferrieres

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Gestation pour autrui (GPA) et condition de la femme

07 JANVIER 2013 |  PAR DOMINIQUE FERRIÈRES

Bien qu’elles soient souvent mises en parallèle, la PMA (procréation médicalement assistée) et la GPA (gestation pour autrui) n’ont rien en commun, ni en terme technique, ni en terme de projet de s

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En 2013, un milliard de femmes se lèveront pour que cessent les violences faites aux femmes

31 DÉCEMBRE 2012 |  PAR DOMINIQUE FERRIÈRES

Le drame de New Delhi, avec la mort tragique d’une jeune étudiante de 23 ans violée dans un bus par 6 hommes, a rappelé au monde entier la violence que vivent les femmes au quotidien.

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Déclaration du Ministre de la Santé italien qui condamne le Syndrome d’Aliénation Parentale (SAP)

15 DÉCEMBRE 2012 |  PAR DOMINIQUE FERRIÈRES

Transmis par le Dr. Mazzeo :  la déclaration du Ministre de la Santé italien dans laquelle il condamne le Syndrome d’Aliénation Parentale (SAP).

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Affaire Chloé : quand les mots disent la violence inconsciente vis-à-vis des femmes

01 DÉCEMBRE 2012 |  PAR DOMINIQUE FERRIÈRES

Article très intéressant de Barbara Sarbourg : docteur en psychocriminologie, spécialisée en criminologie.

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La psychiatre Muriel Salmona : les violences faites aux enfants et leurs conséquences

01 DÉCEMBRE 2012 |  PAR DOMINIQUE FERRIÈRES

Un article particulièrement intéressant sur ce thème écrit par Muriel Salmona.

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Muriel Salmona : le manque de prise en charge des femmes violentées et ses conséquences

01 DÉCEMBRE 2012 |  PAR DOMINIQUE FERRIÈRES

Voici une excellente interview de Muriel Salmona sur le thème du manque de prise en charge des femmes violentées et des conséquences de cette carence de prise en charge:http://www.lamontagne.fr/au

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Un pédophile ayant purgé 12 ans de prison obtient un droit de visite pour sa fille de 5 ans

29 NOVEMBRE 2012 |  PAR DOMINIQUE FERRIÈRES

Cette affaire montre la tolérance des tribunaux par rapport aux droits de visite à des pères pédophiles:

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Catherine Bonnet : pédopsychiatre en exil pour avoir signalé des agressions sexuelles sur des d’enfants

29 NOVEMBRE 2012 |  PAR DOMINIQUE FERRIÈRES

Extraits de l’article « Catherine Bonnet, une pédopsy en exil »:http://www.viva.presse.fr/Catherine-Bonnet-une-pedopsy-e

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Campagne « UN sur CINQ » du Conseil de l’Europe (2010): 1 enfant sur 5 est abusé sexuellement

27 NOVEMBRE 2012 |  PAR DOMINIQUE FERRIÈRES

La vérité sur Richard Gardner, le Syndrome d’Aliénation Parentale (SAP) et les fausses allégations

27 NOVEMBRE 2012 |  PAR DOMINIQUE FERRIÈRES

Excellent article de Forum Au Féminin qui dénonce le SAP depuis des années :http://forum.aufeminin.com/forum/divenfants/__f16890_divenfants-La-verite-sur-richard-gardner-et-le-sap.html

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Le Syndrome d’Aliénation Parentale (SAP) et les faux souvenirs sont dénoncées par tous les victimologues

27 NOVEMBRE 2012 |  PAR DOMINIQUE FERRIÈRES

Article sur le SAP de Marie-Christine Gryson, psychologue/expert qui dénonce activement l’affaire Outreau.

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Dénonciation du SAP par Jacqueline Phélip, présidente de l’association « L’enfant d’abord »

23 NOVEMBRE 2012 |  PAR DOMINIQUE FERRIÈRES

Jacqueline Phélip est présidente de l’association « L’enfant d’abord » et co-auteur du livre « Divorce, séparation : les enfants sont-ils protégés? ».

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En Suisse : 15’000 placements abusifs d’enfants par un service de protection de l’enfance (le SPMi, à Genève)

22 NOVEMBRE 2012 |  PAR DOMINIQUE FERRIÈRES

Un article fait le buzz sur internet depuis hier.

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Vidéo dénonçant le Syndrome d’Aliénation Parentale (SAP) (DailyMotion) :

Le SAP : une psychologie judiciaire et une thérapie de la menace

20 NOVEMBRE 2012 |  PAR DOMINIQUE FERRIÈRES

En créant le Syndrome d’Aliénation Parentale (SAP), Richard Gardner a créé une branche de la  psychologie et une thérapie : la psychologie judiciaire et la thérapie de la menace.

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Le Syndrome d’Aliénation Parentale: une idéologie sans aucune base scientifique et empirique

20 NOVEMBRE 2012 |  PAR DOMINIQUE FERRIÈRES

Excellent article de Stéphanie J. Dallam qui fait un examen critique des théories et des opinions de Richard Gardner, l’inventeur du SAP.

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Absence de fiabilité scientifique du Syndrome d’Aliénation Parentale (SAP)

20 NOVEMBRE 2012 |  PAR DOMINIQUE FERRIÈRES

Extrait de : http://forum.aufeminin.com/forum/divenfants/__f16890_divenfants-La-verite-sur-richard-gardner-et-le-sap.html

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Le SAP est criminogène

20 NOVEMBRE 2012 |  PAR DOMINIQUE FERRIÈRES

Sonia Vaccaro, psychologue espagnole, considère le SAP comme « criminogène ». Pour elle, c’est un instrument qui perpétue la violence et la maltraitance.

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Le consentement, un paravent de la propagande pour l’impunité des violeurs

19 NOVEMBRE 2012 |  PAR DOMINIQUE FERRIÈRES

http://sandrine70.wordpress.com/2012/11/18/le-consentement-paravent-de-la-propagande-de-limpunite-des-violeurs/

Proposition préoccupante au Pays-Bas : légaliser la pédopornographie virtuelle

19 NOVEMBRE 2012 |  PAR DOMINIQUE FERRIÈRES

Une proposition de loi aux Pays-Bas : «Donnez du porno virtuel aux pédophiles».

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Les dangers de « Pedobear » (pédo-ours), la mascotte pédophile

16 NOVEMBRE 2012 |  PAR DOMINIQUE FERRIÈRES

Le choix d’un ours en peluche comme mascotte pédophile n’est pas un hasard, puisque les pédophiles ont toujours utilisé le support des peluches, en particulier l’ours en peluche (qui représente la

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Le film « Jagten », une catastrophe pour la parole des enfants abusés

16 NOVEMBRE 2012 |  PAR DOMINIQUE FERRIÈRES

J’apprends avec beaucoup de tristesse que l’auteur du filmFesten vient de sortir un film qui servira à nier la parole des enfants abusés et à renforcer l’assise de la théorie pro-pédop

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L’idéologie de Richard Gardner, créateur du syndrome d’aliénation parentale (SAP)

16 NOVEMBRE 2012 |  PAR DOMINIQUE FERRIÈRES

http://www.leadershipcouncil.org/1/pas/RAG.html

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Children Lost in the Family Court System-whose child is next

14 NOVEMBRE 2012 |  PAR DOMINIQUE FERRIÈRES

Page Facebook pour rassembler les témoignages de mères et d’enfants injustement traités par les tribunaux de la famille.

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Un PN qui s’ennuie… vous téléphone !

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PN appel

Le pervers narcissique étant vide à l’intérieur, il est fatal qu’il s’ennuie. Or, comme il est également intolérant à l’ennui, il faut qu’il (ou plutôt, ELLE – car ce sont souvent des femmes qui emploient cette tactique) fasse cesser cet état au plus vite. Heureusement, il y a le téléphone…

Votre téléphone sonne… Vous décrochez … C’est ENCORE Fabienne (ou Stéphanie, ou Christiane, …) …

Le ton est d’abord amical ; « Salut, cocotte ! Comment va ?  »
« Bien, merci. Et toi ? »

« Oh, génial ! Je voulais te parler de mon bla bla bla bla bla … »
Ce rituel fait-il partie de votre vie ? Beaucoup d’entre nous avons connu cela ; des gens « pas très gentils » qui nous appellent quasiment chaque jour pour parler de … rien.. Sinon d’eux-mêmes (en glissant de temps à autre une insulte à notre égard – sur notre bêtise, notre saleté, notre laideur, notre fainéantise ou mauvais goût, notre mauvaise manière d’éduquer nos enfants, etc…).

Une fois lancée, l’emmerdeuse en question tient le crachoir, parlant ad nauséam de choses stupides (que du reste, elle vous a déjà dites au moins 20 fois), et, se fichant de ce que vous avez à dire, vous coupe sans cesse la parole – pour bien souligner à quel point ce que vous dites est inintéressant !

Ceci ne vous rappelle rien ? Vraiment ? ? Bon sang, mais c’est bien sûr ! C’est une tactique perverse !

Vous le savez, les pervers, sans cesse assoiffés d’approvisionnement narcissique,  ont toujours besoin d’appliquer le « principe de la bicyclette » ; rabaisser d’un côté (vous) pour (se) remonter de l’autre côté !

Ou, dit autrement : « Toujours doit le fumier puer, les frelons bruire, les méchants, ennuyer & nuire » (« Tristan & Iseut »).

Ces personnes sont les narcissiques conversationnels, monopolisant chaque conversation que vous avez, vous donnant une sensation d’irréalité qui vous vide la tête. En effet, leur blabla est si monotone, si ennuyeux, que vous la laissez parler, en disant « oui, oui » de temps en temps. Parler à un pervers narcissique, c’est comme se mettre la tête dans un blender !

Mais bien sûr, comme un PN se nourrit de vos émotions, la rusée a aussi l’art de VOUS FAIRE MONTER EN MAYONNAISE ( = vous rendre dingue) à l’aide d’une tactique très au point ; 1) elle aborde un sujet sensible, 2) elle nie tout ce que vous dites, ou fait d’avoir pigé de travers, ou vous accuse de torts imaginaires, …

(à ce sujet, voir « reconnaître les vampires » : http://www.bonheuretamour.com/reconnaitre-les-vampires/

et « les faux amis & vrais vampires » : http://www.bonheuretamour.com/les-faux-amis-et-vrais-vampires/ ).

J’y écrivais ceci : “C’est au fruit qu’on connaît l’arbre” disait très justement Jésus – eh bien, remarquez quels “fruits” sortent d’une conversation avec eux ; vous qui, au début de la conversation, étiez dans un état neutre, vous retrouvez à crier ou pleurer, vous sentant mal à l’aise, la gorge serrée, triste, indigné(e), angoissé(e), mis(e) sur la sellette, jugé(e), et forcé(e) de vous justifier. Bref,  ALORS QU’AVANT LEUR APPEL, VOUS ETIEZ CALME, VOUS VOUS RETROUVEZ ENSUITE COMPLETEMENT « A PLAT », OU EN TRAIN DE HURLER !

La narcissique conversationnelle décortique à l’infini chaque détail de sa vie, car, comme tout PN, elle se croit belle, brillante, spéciale, intéressante et importante (cela fait partie de leur psychose).
Il existe 2 sortes de PN conversationnelle ; l’active ou la passive.

-L’active ; elle ramène toujours la conversation à elle-même, et ignore presque totalement vos apports à la conversation.

NB : il est normal et sain de partager des choses sur soi, SI la conversation reste un « ping-pong » où chacun répond adéquatement à ce que l’autre vient de dire.
Exemple 1 ; conversation normale :

Vous : « Je vais acheter un chiot aujourd’hui. »
L’’autre :  » Super ! Et de quelle race ? »
Exemple 2 ; conversation anormale :

Vous : « Je vais acheter un chiot aujourd’hui. »
L’autre :  » Ah oui ? Je pensait justement à acheter un chiot pour ma fille ! »
Vous :  « Ah bon… »
L’autre : « Oui, je pense qu’un caniche serait … bla bla bla ».
-La passive :
Cette forme de narcissisme conversationnel est plus subtile : vous dites quelque chose à la PN (vous partagez une info intime) et elle ne soutient pas cette conversation, la laissant s’étioler… et vous laissant vous, très frustrée !

Un interlocuteur normal montre son  intérêt à vos propos par des « Ok », « Hm hm »,… et vous soutient avec des « c’est génial !», « Et pourquoi as-tu fait ça ? », ou « et que comptes-tu faire maintenant ? »
Mais le(la) Narcissique conversationnel(le) passif(ve), ne vous soutient pas, pour bien exprimer son désintérêt de vos paroles (signifiant que vos dires sont inintéressants, et que ce qu’elle-même a à dire est bien plus important & intéressant ).

Exemple : Vous :  «Je vais au casino ce soir! »
L’autre : « (pause) … oh, ok … (pause) »

Vous : «Je suis vraiment excitée parce que j’ai gagné 500 € la semaine dernière ! »
L’autre : « (Silence) … » – ou elle tourne la tête pour parler à son chien ou demander une chose triviale à son mari …pour dire ensuite d’un ton faussement innocent ; « hein ? Qu’est-ce que tu disais ? »
Vous : » Et toi ; est-ce que tu y es déjà allée ? »
L’autre : « Oh oui, j’y suis allée il ya quelques semaines avec mes amis, et c’était vraiment intéressant parce que nous … bla bla bla ».
Comment réagir si vous êtes confronté(e) à ce genre de dialogue de sourds ? (car discuter avec un PN conversationnel est épuisant et fastidieux).

Comme tenter de changer un(e) narcissique est du temps & de l’énergie perdus, changez votre façon de voir les choses ; si vous continuez encore & encore à supporter ce genre de « conversations » foireuses, c’est le signe que vous manquez de limites & de confiance en vous.

Alors, au lieu de perdre du temps à écouter un PN pérorer sur son insignifiante vie et vous insulter, passez-le à vous renforcer !

Lisez, par ex : http://www.bonheuretamour.com/votre-bonheur-depend-de-vos-limites/ ou http://www.bonheuretamour.com/comment-rejeter-les-profiteurs-quand-on-manque-de-limites/

Ou encore : http://www.bonheuretamour.com/cessez-de-vous-faire-du-mal/

Et une fois mieux armé(e), vous pourrez couper court à ces conversations qui ne mènent à rien & vous démolissent. Si VRAIMENT vous êtes obligé(e) de parler au PN (c’est votre chef, par ex), voici des règles à retenir s’il vous appelle :

– ne vous attendez pas à ce que ça se passe bien
-acceptez que vous devrez vous taire & écouter. Beaucoup,
– ne vous inquiétez pas de stimuler son ego avec vos réponses (ce n’est pas possible de toute façon).
– résistez à la tentation de contester ses pensées et ses désirs,

-ne confiez rien de personnel ou qui vous émeuve,

Bien entendu, il ne faut pas tout le temps rester aussi conciliant(e) avec un PN ; ceci n’est une solution que si vous voulez (et surtout, devez) temporairement calmer le jeu, dans le but de vous sentir moins mal après ce genre de conversation.

D’autre part, si vous voulez mettre fin à une conversation avec eux rapidement, voici comment faire :
– parlez de quelque chose vraiment ennuyeux, et continuez à répéter ce que vous venez de dire de différentes manières. Vous aurez l’air un peu maniaque, mais bon,
– cessez de soutenir la conversation (plus de « hm hm », …) utilisez la psychologie inversée, c-à-d jouer vous-même le rôle de PN conversationnel (actif ou passif),

– fixez-vous un délai ; après ½ h ou 1 h.

Mais n’oubliez pas : le mieux est de prétexter tout de suite une occupation urgente & de couper court. Vous n’avez rien à gagner à ce genre de monologue vantard & hostile !

Leçons d’une séductrice ; Dita Von Teese

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Vous qui me connaissez, vous vous demandez peut-être pourquoi je publie un article sur un genre de « femme-objet » ? Eh bien, parce qu’en fait, Dita Von Teese n’a rien d’une « jolie poupée » écervelée ! Bien au contraire, sa sagesse peut aider toutes les femmes – et c’est pourquoi je lui consacre cet article.

Pour ceux qui ne la connaîtraient pas, Dita (de son vrai nom ; Heather Renée Sweet) est la fameuse star de « burlesque » & du fétichisme, et ex-épouse du chanteur Marilyn Manson.

Je l’aime parce que j’ai toujours préféré les femmes (même moins jolies) qui savent se mettre en valeur (preuve de souci d’autrui & de modestie), que les (même très belles) qui ne s’arrangent pas ; je trouve ceci une preuve de bêtise et surtout d’arrogance, insupportable ! (le genre « on n’a qu’à me prendre comme je suis »).

De toute façon, ça semble aussi l’avis des hommes – ils l’avouent eux-mêmes ; iils sont très superficiels en amour… Cf cette remarque d’un gars ; «  la beauté intérieure, j’y croirai quand j’aurai un œil à ma b… » ! 😉 Un avis un peu « hard », mais très juste.

Bien sûr, Dita parle beaucoup d’apparence – & on ne peut l’en blâmer car c’est son fonds de commerce, et elle y est experte (puisqu’elle est devenue très connue & très riche).

 

Commençons – et d’abord, par une phrase prouvant son humilité ;

– La vérité, c’est que je suis une blonde très ordinaire du Michigan.

 

Autre atout de taille – indispensable au succès ; beaucoup d’assurance (mais réaliste). Avec cette humilité (& lucidité), elle connaît aussi ses points forts, ce qu’elle a à offrir de différent.

Elle a également le courage d’oser être elle-même, de diverger, et de prendre des risques – & ça, c’est le tiercé gagnant ! Cf ces citations :

– Ignorez les critiques … Seule la médiocrité est à l’abri du ridicule. Osez être différent !

– C’est agréable d’être à l’aise, mais je préfère être inconfortable.

-Quand les choses vous dépriment, tirez le meilleur de votre propre vie plutôt que de vous soucier de ce que tout le monde pense.

 

Du reste, elle est très intelligente, très consciente (un atout charme en plus !) de ce qui fait le charme en général – et son charme en particulier :

-Le vrai « sexy » a de nombreuses facettes. Les éléments comprennent des choses comme la confiance, la force, l’intelligence et l’humour.

-Les grandes séductrices de l’histoire savaient qu’il ne s’agit pas seulement d’essayer d’avoir l’air sexy ou jolie ; c’est un art et on y devient habile quand la femme se rend compte qu’il y a tous ces éléments contradictoires qui s’unissent tous ensemble pour faire quelque chose de magique.

-Une fois, j’avais nié mon instinct et fait venir une styliste à la maison pour m’aider à trier ma collection vintage, et je me souviens qu’elle a ramassé une belle paire de chaussures de 1930, et a dit : «celles-ci seraient si mignonnes avec un jean» et à ce moment, j’ai réalisé qu’elle ne savait rien de moi (je n’ai même pas de jeans propre) et que j’aurais mieux fait de rester fidèle à mon propre style plutôt que de laisser quelqu’un d’autre me dire ce qui est juste et ce qui est mal, et projeter ses propres goûts sur moi.

-J’aime quand les gens savent qui ils sont, connaissent leurs limites et ce qu’ils veulent faire.

– J’ai fermement décidé de ne jamais, jamais faire remarquer mes défauts physiques … c’est le conseil que je donne aux femmes aussi souvent que je peux. Les gens ne remarquent pas les choses que nous voyons en nous et que nous détestons, alors pourquoi les diriger par là ?
-On ne peut pas dicter à une femme ce qui devrait la faire se sentir sexy.
-Je ne prends la critique au sérieux que quand elle provient de quelqu’un que j’admire.
-Lorsque les choses vont mal pour vous, tirez le meilleur de votre propre vie plutôt que de vous inquiéter de ce que tout le monde pense.
-Les femmes les plus prolifiques de la mode ne sont pas «du moment», elles osent être différentes et ont un style distinctif qui ne change pas de saison en saison, il évolue juste.

-Vous pouvez être la pêche la plus mûre, la plus juteuse au monde, et il y aura toujours quelqu’un qui déteste les pêches.
-Les gens qui suivent toutes les règles et recherchent toutes les tendances ont tendance à être oubliés – ils ont l’air superbes, mais ils ne sont pas aussi mémorables.

 

Autres :
-Je suppose que les femmes sont parfois attirées par l’image du mauvais garçon, parce que c’est amusant d’avoir une aventure. C’est comme manger de la malbouffe … c’est marrant sur le moment, mais à la fin, ce n’est pas le meilleur choix.

– Marlene Dietrich … connaissait son propre style et a pris des risques et portait un pantalon quand les gens disaient que ce n’était pas glamour et que c’était une chose terrible à faire pour une femme. Elle avait un style personnel. Greta Garbo, aussi. Elles se sont incorporé leur propre cliché et leur image, et j’aime ça. Les femmes aiment s’habiller maintenant, mais j’ai l’impression qu’il n’y a pas beaucoup de preneuses de risques.

– Pour moi, la lingerie n’est pas une question de séduction, c’est la question d’être une femme.

– Je pense que ce sont de mauvaises manières de paraître en public avec des jeans déchirés et des cheveux en désordre, en tenant un Starbucks.

– Le glamour, c’est de créer l’illusion. Je suis clairement pour l’illusion, en partie parce que j’aime parfois la dépouiller et révéler ma vulnérabilité à ceux que je veux. Ca ne consiste pas à se cacher.

-Si j’admire quelqu’un, je préfère le voir à son meilleur. Je ne veux pas voir une femme que j’imagine glamoureuse, dans un épicerie, à porter un pantalon de survêtement et un t-shirt déchiré.

-Je souhaite que plus de gens se concentrent sur ce qu’ils font le mieux plutôt que de sentir la pression à se impliquer dans les affaires de tout le monde!

-Ne réservez pas votre belle lingerie pour vos rendez-vous, portez-la pour VOUS.

Testez la compatibilité de votre couple

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amour s'efface

Vous et votre bien-aimé(e), êtes-vous, ou non, compatibles ?  Voici un petit test (sans prétention !) pour le savoir…

Répondez chacun, à part, au questionnaire suivant, puis, comparez vos réponses.

  1. Si vous pouviez être transportés tous les 2 instantanément quelque part, où serait-ce ?
  2. Hawaii
    b. Paris
    c. Las Vegas
  3. A 2, vous vous amusez le plus à laquelle de ces activités :
  4. Assister à un concert
    b. Assister à un événement sportif
    c. Faire du shopping
  5. Lequel de ces cadeaux est le plus romantique pour la Saint Valentin ?
    a. Une boîte de pralines
    b. Une douzaine de roses rouges
    c. Un bijou
  6. Quel est l’endroit le plus romantique pour le repas de Saint Valentin ?
  7. Dîner dans un restaurant chic
    b. Un pique-nique de minuit sur une plage déserte
    c. Un dîner aux chandelles à la maison
  8. Quelle est la musique la plus romantique ?
    a. Classique
    b. Alternative
    c. Rock and Roll
    d. Autre
  9. Quel est l’endroit le plus romantique pour faire l’amour ?
    a. Le siège arrière d’une limousine
    b. Un bain chaud
    c. Devant la cheminée
  10. Lequel de ces vêtements est le plus sexy pour une femme ?
    a. De la lingerie en dentelle
    b. Une robe longue très ajustée et décolletée
    c. Une jupe courte avec un pull moulant
  11. Lequel de ces vêtements est le plus sexy pour un homme ?
    a. Un uniforme
    b. Un costume d’homme d’affaires
    c. Rien
  12. Quelle activité préférez-vous pour un dimanche matin à 2 ?
    a. Rester couchés et sauter le petit déjeuner
    b. Aller prendre un brunch au-dehors
    c. Se promener et nettoyer la maison
  13. Laquelle de ces activités est la plus relaxante ?
    a. Un bain à bulles
    b. Un massage
    c. Quelques verres dans un bar
    ————————————————–
    7 à 10 réponses pareilles : vous êtes faits l’un pour l’autre

4 à 6 réponses pareilles : vous n’êtes que partiellement compatibles
0 à 3 réponses pareilles : trouvez quelqu’un d’autre

Ce test n’a bien entendu, rien de scientifique, mais peut vous donner une idée de si vous & votre chéri(e) avez des goûts & intérêts communs…

Vivre à moitié .. (Khalil Gibran)

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à moitié

Ne fréquente pas ceux qui sont à moitié amoureux,
Ne sois pas l’ami de ceux qui sont à moitié des amis..
Ne lis pas ceux qui sont à moitié inspirés.
Ne vis pas la vie à moitié
Ne meurs pas à moitié
Ne choisis pas une moitié de solution
Ne t’arrête pas au milieu de la vérité
Ne rêve pas à moitié
Ne t’attache pas à la moitié d’un espoir
Si tu te tais, garde le silence jusqu’à la fin, et si tu t’exprimes, exprime -toi jusqu’au bout aussi.
Ne choisis pas le silence pour parler, ni la parole pour être silencieux …
Si tu es satisfait, exprime pleinement ta satisfaction et ne feins pas d’être à moitié satisfait …
et si tu refuses, exprime pleinement ton refus, car refuser à moitié c’est accepter..
Vivre à moitié, c’est vivre une vie que tu n’as pas vécue…
Parler à moitié, c’est ne pas dire tout ce que tu voudrais exprimer
sourire à moitié, c’est ajourner ton sourire,
aimer à moitié, c’est ne pas atteindre ton amour
être ami à moitié c’est ne pas connaître l’amitié
Vivre à moitié, c’est ce qui te rend étranger à ceux qui te sont les plus proches, et les rend étrangers à toi….
La moitié des choses, c’est aboutir et ne pas aboutir, travailler et ne pas travailler, c’est être présent et …absent
Quand tu fais les choses à moitié, c’est toi, quand tu n’es pas toi-même, car tu n’as pas su qui tu étais
C’est ne pas savoir qui tu es…
Celui que tu aimes n’est pas ton autre moitié…c’est toi même, à un autre endroit, au même moment.

Boire à moitié n’apaisera pas ta soif, manger à moitié ne rassasiera pas ta faim…
Un chemin parcouru à moitié ne te mènera nulle part

et une idée exprimée à moitié ne donnera aucun résultat …
Vivre à moitié, c’est être dans l’incapacité et tu n’es point incapable…

Car tu n’es pas la moitié d’un être humain
Tu es un être humain…

Tu as été créé pour vivre pleinement la vie, pas pour la vivre à moitié
(Traduction: Saadane Benbabaali)

Différences hommes-femmes

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homme vs femme

 

Beaucoup de gens se demandent si les divergences de comportements entre garçons et filles sont innées ou acquises (culturelles).

Les premiers hommes – comme les singes ou les tribus dites « primitives » actuelles – vivaient en petits groupes.

On y constate une différentiation très marquée des tâches dévolues à chaque sexe, mais aussi, une égalité des 2 sexes dans la société.  Les hommes chassent (fournissant la viande), les femmes cueillent ou cultivent (fournissant les légumes, fruits & baies).

Il n’y a pas de prédominance masculine (surtout quand on sait que les végétaux constituent 80 % des apports en nourriture, et la viande, seulement 20 %).  Et bizarrement, les corps aussi sont pareils ; les hommes ne sont pas plus grands ou plus musclés que les femmes.

Mais pour nous, l’évolution de nos sociétés a rendu les hommes plus grands & plus musclés ; on voit immédiatement qu’on a affaire à une société à prédominance masculine et surtout polygame.  En effet, chez tous les animaux, quand les sexes sont de même taille, cela entraîne toujours égalité des sexes & monogamie, alors que quand le mâle est plus grand, il y a prédominance des mâles & polygamie.

Physiquement, l’homme est 30 % plus musclé que la femme, sa masse musculaire est 2 fois plus lourde, il a le coeur, les os et les poumons plus gros que ceux de la femme.  Bref, ils sont les plus forts (en général).

Certains prétendent que ces différences sont dues au fait qu’il chassait, mais les hommes des tribus « primitives », qui sont des chasseurs, ne présentent pourtant pas de différences avec les femmes.  Du reste, leur corps est bien moins musclé que celui des hommes « modernes » – qui eux, ne chassent plus depuis belle lurette.

Les femmes « modernes » sont plus grasses que les hommes (2 fois plus de graisse dès la puberté) ; c’est qu’il leur faut des réserves pour les périodes de famines (pour, même ainsi, pouvoir continuer à nourrir le fœtus).

Les femmes anorexiques ou qui font trop de musculation voient leurs règles (et leur fécondité) disparaître ; la nature leur refuse cette fonction dans ces circonstances mortifères pour un bébé.

Le bassin des femmes est plus large que celui des hommes, d’où une façon différente de se tenir, de marcher et de croiser les jambes en position assise.

Dans le visage, à part la présence de barbe & la voix plus basse, les hommes ont les yeux plus enfoncés, le nez plus grand, les mâchoires plus fortes. Ils ont aussi la peau plus épaisse & plus grasse.

Les seins de la femme ne servent pas qu’à nourrir les petits : seul 1/3 du tissu qui les compose sert à cela ; les 2/3  restants servent à leur donner leur forme ronde, laquelle dure pendant toute la période de fécondité (ni avant, ni après) et servirait donc à attirer les mâles.  En fait, les hommes ont appris à l’associer à la période de fécondité, donc, cela les attire. J’en parle dans cet article ; http://www.bonheuretamour.com/seins-levres-pulpeuses-et-desir-sexuel/

En plus des différences physiques, il y a des différences mentales entre les sexes.  La femme est plus terre-à-terre que l’homme, qui lui, est plus doué pour l’abstrait, le futur, les buts à long terme, les calculs.

L’homme privilégie la vision – d’où le dicton : « les yeux sont les maquereaux de l’âme » – tandis que la femme privilégie la parole pour communiquer et être sexuellement excité(e)…d’où le dicton : « la femme, c’est comme les lapins ; ça s’attrape par les oreilles » !

L’homme est plus doué pour les représentations en 3 dimensions (d’où sa meilleure orientation dans l’espace) ; à l’école, les garçons sont donc meilleurs en math et dessin technique, et les filles, en orthographe (toujours en général… calmos !).

Ils « marchent » à la compétition et la hiérarchie, elles, plutôt à la relation et la coopération.

Ils aiment les objets, les stratégies et les plans complexes (95 % des champions d’échecs sont de sexe masculin), elles, les gens, les discussions.

S’il y a 15 fois plus d’hommes que de femmes qui meurent d’accident, c’est qu’ils aiment le défi, les risques inutiles, (se) prouver leur valeur, … et les femmes, non ; ces idioties ne les intéressent pas.

L’homme a aussi besoin de faire partie d’un groupe ayant un but commun & le goût des idées abstraites.  Pour être fidèle à ce groupe, les hommes feraient n’importe quoi ; ils sont donc plus faciles à endoctriner, si le groupe a un leader inspiré.  La guerre, par ex, est moins le résultat de tendances agressives que celle de ce suivisme typiquement mâle ; ceux qui la font ont moins peur d’être tués ou mutilés que de déchoir aux yeux de leurs camarades (ceci en dit long sur leur prétendue logique !). Ils tuent – ou se font tuer – non parce qu’ils haïssent l’ennemi, mais pour se conformer à l’attitude de leur groupe.

Cette tendance à obéir à des règles même stupides ou dangereuses et à accepter les punitions, est la force et la faiblesse de l’homme.

Ils sont solidaires, mais agissent selon leur rang dans une hiérarchie stricte.

La femme, elle, préfère l’égalité… et la vie !

Les scanners du cerveau prouvent que l’homme et la femme pensent de manière différente : chez la femme, les 2 hémisphères (logique et sentiments) sont généralement tous les 2 impliqués, donnant des conclusions plus globales et raisonnables que chez l’homme, chez qui un seul hémisphère est activé dans la plupart des cas – d’où une vue plus « carrée », moins nuancée des choses …ce qui est bon pour l’action… même si ce n’est souvent pas la bonne action !

Et les femmes, ayant plus de conscience de tout ce (et tous ceux) qui sont impliqués, tendent à hésiter plus, car elles doivent « peser » toutes ces options et sont en outre plus prudentes.

Un scientifique berlinois a prouvé que toute action avait une base émotionnelle; les femmes n’ont aucun problème à l’accepter, tandis que les hommes, qui sont pourtant davantage « poussés » par leurs sensations, persistent à le nier et à se prétendre rationnels.

De plus, en présence d’une tâche à effectuer, ce sont différentes zones du cerveau qui sont activées selon le sexe.

Dès la naissance, les filles sont plus précoces et douées au niveau verbal ; plus tard, elles ont plus de vocabulaire, de don pour épeler, pour la ponctuation et se souviennent mieux des détails d’un récit.

A la pré-puberté, l’amour des filles pour les animaux augmente, ce qui les prédispose à l’amour pour un homme & des enfants. Les garçons, eux, ne s’y intéressent pas plus qu’avant.

L’odorat – et donc le goût – sont bien plus développés chez les filles ; en effet, comme ce sont elles qui nourrissent les petits, elles doivent pouvoir détecter tout goût ou odeur suspects pour ne pas les mettre en danger.

Jadis, c’étaient les mâles qui vivaient le plus vieux, mais à présent, c’est l’inverse ; les progrès dans la contraception, la surveillance de l’accouchement & surtout l’asepsie, ont fait chuter la mortalité féminine.  On a étudié les moines et moniales dont la vie est semblable (même vie calme & sans excès, même alimentation saine, ..) et l’on a constaté que la femme est biologiquement programmée pour vivre 5 ans de plus que l’homme.

La nature l’a voulu ainsi parce que la grand-mère est plus importante pour la survie des jeunes que le grand-père ; il ne peut plus chasser, tandis qu’elle peut toujours aider à leur survie en aidant une mère épuisée à garder les petits.

Remarque : chez la plupart des espèces, les parents meurent juste après la ponte des œufs ou une fois les petits élevés.  Seuls les grands primates gardent des grands-parents ; ce qui prouve leur utilité pour la survie de la progéniture.  En effet, la nature ne fait rien sans raison et la propagation de la vie est sa plus grande loi.

Une autre raison de sa survie plus longue est que la femme, tout en se préoccupant de sa santé, accepte plus la nécessité de la mort & ne craint donc pas de consulter au moindre signe d’alerte.

L’homme, à l’inverse, ne s’observe pas ; il ne repère pas les signes d’alerte ou, craignant un mauvais diagnostic, adopte la politique de l’autruche…  Quand les symptômes deviennent alarmants, il est souvent trop tard pour le sauver (encore la fameuse logique masculine, je présume !).

Toutes les cultures humaines ont accentué les différences naturelles entre les sexes ; peintures corporelles, tatouages, vêtements, comportements,.. doivent souligner les différences sexuelles. Ceci en a poussé certains à déduire que les différences entre sexes n’étaient QUE culturelles.  On sait à présent que c’est faux : l’homme et la femme, bien qu’égaux, diffèrent profondément en essence.

Il faut en tenir compte, justement pour arriver à se rejoindre et à se comprendre – et aussi pour promulguer des lois qui seraient VRAIMENT justes !

Petit conte sur le cerveau & les petites boîtes :

Les hommes ont le cerveau fait de petites boîtes ; une boîte pour l’argent, une pour le job, une pour la femme, une pour la voiture, … Et ces boîtes ne se touchent pas. Quand un homme parle d’un sujet, il va à la boîte concernée, la sort, l’ouvre et ne discute que de ce qu’il y a dans cette boîte-là, puis, il la referme et la remet en place, en ayant soin qu’elle ne touche aucune autre boîte.

Mais les femmes ont le cerveau comme une grande boîte de fils électriques où tout est connecté à tout le reste, un peu comme l’Internet – et fonctionne à l’énergie nommée « émotions ». Et alors, les femmes se rappellent de tout, car si on prend un événement et qu’on le connecte à une émotion, ça brûle à jamais dans la mémoire. Ceci n’arrive que rarement aux hommes, parce qu’ils s’en foutent !

Les femmes, elles, se soucient de tout.

Les hommes ont une boîte avec rien dedans – la « boîte de rien », qui est en fait leur préférée ; s’ils en ont l’occasion, ils y mettront la plupart des choses. Voici pourquoi les hommes peuvent faire des activités (comme la pêche, …) où le cerveau n’a aucune part. Une étude américaine a montré que oui, les hommes peuvent parfois ne penser à rien du tout ! Les femmes par contre, ont toujours le cerveau en activité et ne peuvent pas faire comme eux.

Et, comme elles ignorent l’existence de la « boîte de rien », rien ne les irrite plus que de voir un homme faire… rien.