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Proverbes & Citations CXXX

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Celui qui se rend sans réserve aux affirmations temporaires d’une nation, ou d’un parti, ou d’une classe sociale, rend à César ce qui, en tout, de façon la plus catégorique, appartient à Dieu lui-même (C.S. Lewis)

Le mal qui est dans le monde vient toujours de l’ignorance, et les bonnes intentions peuvent causer autant de dommages que la malveillance, s’ils manquent de compréhension (A. Camus)

Le tyran meurt et son règne est terminé, le martyr meurt et son règne commence (Kierkegaard)

Les gens en viendront à aimer leur oppression, à adorer les technologies qui défont leurs capacités à penser (Aldous Huxley)

L’expérience est ce que vous obtenez lorsque vous ne recevez pas ce que vous voulez ()

Si vous devez regarder en arrière, faites-le avec indulgence. Si vous devez regarder vers l’avant, faites-le dans la prière. Cependant, la chose la plus sage que vous puissiez faire est d’être présent dans le présent… avec gratitude (Maya Angelou)

Ceux qui suivent tout droit leur conscience sont de ma religion, et moi, je suis de celle de tous ceux-là qui sont braves et bons (Henri IV)

La plus vraie des sagesses est une détermination ferme (Napoléon 1er)

Sans communication, il n’y a pas de relation. Sans respect, il n’y a pas d’amour. Sans confiance, il n’y a pas de raison de continuer ()

L’expérience seule donne l’intelligence des choses (St Bernard)

Heureux sont ceux qui passent leurs jours à acquérir le savoir, à découvrir les secrets de la nature, et à pénétrer les subtilités de la pure vérité (Abdu’l-Baha)

Le désir, de sa nature, est souffrance ; la satisfaction engendre bien vite la satiété ; le but était illusoire; la possession lui enlève son attrait ; le désir renaît sous une forme nouvelle, et avec lui le besoin; sinon, c’est le dégoût, le vide, l’ennui, ennemis plus rudes encore que le désir (Arthur Schopenhauer)

Le nombre total d’esprits dans l’univers est de un. En fait, la conscience est une singularité en phase avec tous les êtres (Erwin Schrödinger)

Celui qui sait qu’il sait, écoute-le, celui qui ne sait pas qu’il sait, informe-le, celui qui sait qu’il ne sait pas, enseigne-le, celui qui ne sait pas qu’il ne sait pas, fuis-le (Confucius)

Un enfant qui gagne contre sa mère, perd contre lui-même (B. de Laat)

La première étape de la liquidation d’un peuple est d’en effacer la mémoire. Détruire ses livres, sa culture, son histoire.

Ensuite, on fait écrire de nouveaux livres, on fabrique une nouvelle culture, on invente une nouvelle histoire.  En peu de temps, cette nation commencera à oublier ce qu’elle est et ce qu’elle était. La lutte de l’homme contre le pouvoir est la lutte de la mémoire contre l’oubli (Milan Kundera)

Un jour, vous et tous ceux que vous aimez mourrez. Et au-delà d’un petit groupe de gens pendant une période extrêmement brève, peu de ce que vous dites ou faites aura de l’importance. Telle est la vérité inconfortable de la vie. Et tout ce que vous pensez ou faites n’est qu’un moyen élaboré de l’éviter. Nous sommes des poussières cosmiques insignifiantes, qui se cognent et s’agitent sur une minuscule tache bleue. Nous imaginons notre propre importance. Nous inventons notre raison d’être – nous ne sommes rien. Appréciez votre putain de café (Mark Manson)

Il n’est pas de vent favorable à celui qui ne sait où il va (Sénèque)

On n’est pas né pour la gloire lorsqu’on ne connaît pas le prix du temps (Vauvenargues)

La vraie ignorance n’est pas l’absence de savoir, mais le refus de l’acquérir (Karl Popper)

Avec les plus belles vertus du monde, on ne réussit rien sans méthode (A. Gide)

Il faut avoir une parfaite conscience de ses propres limites, surtout si on veut les élargir (A. Gramsci)

Certaines personnes devraient éviter la spiritualité – car sans un esprit clair, on tombe facilement au pays du délirium ! (B. de Laat)

Les yeux ne voient que ce que l’esprit est préparé à comprendre (Robertson Davies)

Ne vous sous-estimez jamais. Vous êtes la chose la plus importante de votre univers (E.L. Kramer)

L’amour, la gloire, la fortune, ne vont qu’à ceux qui en rêvent (A. Ayache)

Pour gagner du bien, le savoir-faire vaut mieux que le savoir (Beaumarchais)

La patience est amère, mais son fruit est doux (Aristote)

Accepter l’idée d’une défaite, c’est être vaincu (Mar. Foch)

Dans les coulisses de la dictature coule du sang, dans celles de la démocratie, de l’argent ( ?)

Un problème sans solution est un problème mal posé (A. Einstein)

Peu importe que vous ayez du style, une réputation, ou de l’argent, si vous n’avez pas bon cœur, vous ne valez rien (Louis de Funès)

Il faut s’aimer soi-même pour accomplir quelque chose en ce monde (L. Ball)

Aide-toi, le ciel t’aidera (La Fontaine)

Ce n’est pas l’impossible qui désespère le plus ; c’est le possible non-atteint (R. Mallet)

Si doué qu’il soit, un pur-sang ne galope jamais aussi vite que sous la cravache de son cavalier.  Alors, cravache-toi ! (A. Ayache)

Ils nous ont tellement tondus que maintenant, s’ils continuent à tondre, il y aura du sang (Charles Gave, sur l’Etat)

Repose-toi s’il le faut, mais n’abandonne jamais (A. J.  Jackson)

L’avenir est à ceux qui ne sont pas désabusés (G. Sorel)

Moins ils ont de talent, plus ils ont d’orgueil, de vanité & d’arrogance. Tous ces fous, néanmoins, trouvent d’autres fous qui les applaudissent (Erasme)

Qui vit d’espoir mourra de faim (B. Franklin)

Ce qui est commencé est à moitié fait (Horace)

Le pire des risques est de perdre le goût du risque (R. Sabatier)

En nous consacrant à ce que nous aimons, nous réduisons le temps que nous consacrons à ce que nous détestons et craignons. C’est ainsi que nous créons un monde que nous souhaitons habiter (Jacob Nordby)

C’est la marque d’un esprit éduqué que d’être capable d’entretenir une pensée sans l’accepter (Aristote)

Qu’importe la surdité de l’oreille quand l’esprit entend ? La seule surdité, la vraie surdité, la surdité incurable, c’est celle de l’intelligence (V. Hugo)

La vie ne nous donne pas ce qu’attendent d’elle les enfants capricieux, mais seulement ce que lui arrachent de force les courageux et les audacieux (M. Saltykov-Chtchedrine)

On ne mène pas boire un âne qui n’a pas soif (proverbe)

Le penseur critique profond est devenu l’inadapté du monde, ce n’est pas une coïncidence. Pour maintenir l’ordre & le contrôle, il faut isoler l’intellectuel, le sage, le philosophe, le savant, avant que ses idées n’éveillent les gens (C.G. Jung)

Lorsque vous constatez que pour produire, vous devez obtenir la permission de ceux qui ne produisent rien ; lorsque vous vérifiez que l’argent coule vers ceux qui ne s’occupent pas de négoce de biens mais de négoce de faveurs ; lorsque vous réalisez que beaucoup deviennent riches par la corruption et l’influence plus que par votre travail et que les lois ne vous protègent pas contre eux, mais au contraire, ce sont eux qui sont protégés contre vous ; lorsque vous découvrez que la corruption est récompensée et que l’honnêteté devient un auto-sacrifice, alors vous pouvez affirmer, sans crainte de vous tromper, que votre société est condamnée (Ayn Rand)

La chance cache souvent un travail acharné (A. Landers)

Vous m’offrez la cité… je préfère les bois, car je trouve, voyant les hommes que vous êtes, plus de cœur aux rochers, moins de bêtise aux bêtes (V. Hugo)

La véracité est le fondement de toutes les vertus de l’humanité (Abdu’l-Baha)

Une source inépuisable d’énergie réside au fond de chacun. L’imaginer, c’est déjà y puiser (L. Pauwels)

La vie est soit une aventure trépidante, soit rien du tout (H. Keller)

La richesse est comme un verger. Partagez les fruits, mais pas les arbres.

Suivez votre chance divine et des portes s’ouvriront là où il n’y avait aucune porte auparavant (J. Campbell)

Sans discipline, le potentiel qu’on a ne restera que cela – du potentiel.

L’action est le moteur de tout, puisque le simple fait de faire les choses les rend possibles (Claude Lelouch)

Personne ne peut vous faire sentir inférieur, sans votre permission (E. Roosevelt)

Un idiot est un idiot. Deux idiots sont deux idiots. Dix mille idiots sont un parti politique (F. Kafka)

Les gens oublieront ce que vous avez fait, ils oublieront ce que vous avez dit, mais jamais ils n’oublieront comment vous les avez fait se sentir » (Maya Angelou)

On peut mener un cheval à l’eau, mais on ne peut pas le forcer à boire. On peut montrer à quelqu’un la vérité, mais on ne peut pas le forcer à penser ()

Il faut que les gens vous apprécient si vous voulez obtenir quoi que ce soit ici-bas ()

Pour gagner plus, il faut apprendre plus (B. Tracy)

La plus grande erreur qu’on puisse faire est de penser qu’on travaille pour quelqu’un d’autre que soi (B. Tracy)

Qui veut faire de grandes choses doit penser profondément aux détails (P. Valéry)

De la messe

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De mon expérience des messes catholiques. *

Quand j’assiste à une messe catholique, je ressens que les chants émanent de gens à la fois peu spirituels et peu doués pour l’écriture – mais les catholiques ne semblent pas le percevoir.

Un handicap physique se voit, en général. Donc, celui qui l’a, le sait. Mais un handicap mental ou spirituel est souvent ignoré ; non seulement celui qui l’a ne s’en rend pas compte, mais il se croit plus malin ou plus vertueux que les autres.

La messe catholique est un rituel vieux & codifié, convenant à l’esprit d’il y a 1000 ou 2000 ans, mais qui n’est plus adapté aux niveaux de conscience d’aujourd’hui. Effectivement ; « qui peut se contenter du pain de la semaine passée ? » (Abdu’l-Baha)

Jésus lui-même a dit qu’on connaît un arbre à ses fruits – or, que vous évoque cette religion ? Quels furent – et sont encore – ses fruits ? …

La vraie piété (pas le suivisme moutonnier de « la lettre ») sert à rester humain. Ayant beaucoup fréquenté les catholiques, j’ai constaté que non seulement la plupart des cathos ne le sont pas – donc, fautent contre l’Esprit, mais ils ne suivent même PAS la lettre ! (C’est mon expérience, & je n’interdis à personne d’en avoir une autre !).

Certains (mais c’est le cas dans toutes les religions) sont même des impies ; c-à-d des gens qui rejettent les préceptes divins, ou prennent la loi divine entre leurs mains, l’interprétant comme ça les arrange.

Beaucoup s’estiment croyants et se sentent « partie du peuple élu », tout en n’ayant rien pigé à « l’Esprit », se contentant de suivre scrupuleusement les rituels extérieurs, pour pouvoir se voir et se faire voir comme de « bons apôtres » et négligeant le principal (aimer autrui & être bon avec lui) !

Bref, s’il n’y a pas d’âme derrière ces rituels, ils sont vides de sens !

Et ça, c’est pour les fidèles « lambda » ; les pires commettent des abus (souvent sexuels) terribles ! Dans le documentaire d’Arte sur le sujet, l’Eglise est comparée à une mafia, à l’organisation comparable à une monarchie absolue, et où le viol est érigé en véritable système où tous sont complices ; les prêtres et l’institution religieuse (qui protège les prêtres violeurs), mais aussi les « bons chrétiens », qui insultent et menacent les victimes dénonçant les viols qu’ils ont subis !

UN SEUL régime (de triste mémoire) a osé dénoncer les violeurs d’enfants & leur honteuse protection par l’Eglise, et a condamné les prêtres violeurs : le régime nazi d’Hitler (!)

Aujourd’hui encore, malgré leurs dires hypocrites, les prélats exigent de continuer à traiter eux-mêmes les cas, sans que l’Etat intervienne – c-à-d laisser se perpétuer les viols d’enfants & de nonnes, avec une totale impunité pour les prêtres coupables !  L’Archevêque Marx présent dans le reportage est à vomir, tant tout ce qu’il dit est mensonger & hypocrite !

Une intervenante, ex-nonne, a perdu la foi à cause des épreuves subies … Et on en revient au 3ème Commandement ; le péché contre lequel il n’y a pas de pardon – car faire le mal en se servant et se couvrant du nom de Dieu, & ainsi, briser des âmes qui étaient tout à Dieu, est la pire violence qui existe !

Pourquoi des adultes restent-ils catholiques, le deviennent-ils alors que ses rites sont aussi vides de sens ? Soit c’est par suivisme ; on a été éduqué dans cette foi & on y reste par habitude – tout comme on resterait hindou, animiste, juif, ou musulman si on avait été éduqué dans ces fois-là au lieu de la catholique (la belle piété que voilà !), soit par pression des pairs ; pour ne pas déplaire aux parents ou pas se faire remarquer dans le village (autre mauvaise raison), soit – vu qu’on adopte les croyances correspondant à notre niveau mental & spirituel – c’est le niveau où on est et on ne trouve pas ces rites stupides … Dans les 3 cas, il n’y a rien dont on puisse être fier …

L’empereur Marc-Aurèle, un homme de grande intelligence & de profonde sagesse, ne détestait pas les chrétiens ; il les méprisait (ce qui est pire), au point de leur dire un jour : « Votre lot est l’ignorance et la rusticité ».

Certains des grands penseurs actuels affirment la même chose – à savoir que la piété n’est réservée qu’à un petit nombre ; La spiritualité est pour l’élite. Elle ne fera pas de compromis pour devenir acceptable, donc elle ne s’associera pas avec les masses, qui veulent du sirop, pas un remède (Anthony de Mello).

La piété est une chose interne, elle n’est pas (même si ceux-ci sont importants) dans les rituels – c’est sentir que Dieu dit ce qu’Il a toujours, & partout, dit – que son message est éternel, éternellement vrai, immuable et que donc, il faut rejeter les formes extérieures de chaque religion (adaptées à la région & à l’époque où chacun des messagers de Dieu l’énonce), pour percevoir le « cœur » ; la substantifique moelle du message de Dieu.

Or, les messes catholiques ne sont que mièvreries sans spiritualité, nouvelles banales des gens du coin (naissances, baptêmes, décès), sottises énoncées d’un ton lent et pompeux ou répétées ad libitum, pour tenter de donner un semblant de solennité à ce qui en est dépourvu – d’où un résultat à la fois barbant, lamentable & ridicule !

Des êtres vraiment pieux ne peuvent que s’y ennuyer – et même, être indignés qu’on ose leur servir ce pain sec, habillé de grands effets de manches !

A une messe où j’étais, par exemple, un prêtre a parlé ½ heure pour dire cette simple chose : Jean-Paul est venu pour être diacre ! C’est dire combien ces gens ont l’art (bien obligés !) de tirer n’importe quoi en longueur !

Quant aux chants, ils sont du niveau de l’école maternelle ; en voici quelques exemples :

Jubilez, criez de joie, acclamez le Dieu trois fois saint ! – Mais si quelqu’un faisait ça, on le foutrait à l’asile !,

-Dieu est si humble qu’il s’est caché dans un petit morceau de pain,

-Plus que l’or fin, j’aime ta loi,

-tu nous ouvres ton cœur,

-tu as posé une lampe sur ma route (ta parole),

-accueille ma prière au creux de tes mains,

-Dieu est assoiffé d’être aimé,

-dans notre barque, il est présent, et le bonheur nous y attend,

-Jésus connaît la traversée, il nous fait signe d’avancer,

-je cours sans peur sur la voie de tes préceptes,

-notre Dieu est toute tendresse,

-Pardonne-moi Seigneur, j’ai quitté ta maison,

-tu désires reposer en nos cœurs,

-Seigneur agneau de Dieu, le fils du père,

-le pain que nous mangeons, le vin que nous buvons, c’est ton corps et ton sang,

Et autres fariboles de même farine … On se demande ce que c’est le plus ; risible ou consternant ! Quel niveau intellectuel faut-il avoir, pour être inspiré par de telles âneries ? …

Et presque tous leurs chants répètent ad libitum : Tu es le fils de Dieu, tu es Dieu, tu es notre seigneur, tu es le plus fort, tu es assis à la droite du Père, … Il n’est pas besoin de répéter sans cesse une chose évidente, mais bon, ils n’ont rien, il faut bien qu’ils trouvent quelque chose à dire pour étoffer leurs messes !

Ces choses très simples, avec des images concrètes, conviennent aux petits enfants (ou aux déficients mentaux), car l’abstraction leur échappe, et il est triste de voir des adultes d’un niveau tel, qu’ils acceptent ces âneries !

Parfois cependant, la mélodie, les arrangements musicaux & la beauté des voix en chœur, procurent une émotion esthétique, mais qui n’est – sauf exception – jamais spirituelle !

Bref, RIEN NE VIT dans ces chants, on n’y trouve RIEN pour nourrir notre âme !

Quelle différence avec les chants chrétiens de Taizé ! (Nada te turbe, Mon âme se repose, …), les chants juifs (Im Hashem Lo Yivneh Bayis (Psalm 127), Durme, …), musulmans (Allah Belwa Ho, Brighter than the Sun, …) ou baha’is (Dastam Begir, …) !

Voici l’image illustrant une messe ; elle montre la même « inspiration » (ou plutôt, MANQUE d’inspiration) que presque tout ce qui est catho ; c-à-d laideur & bêtise !

La messe catholique ne sert depuis bien longtemps plus que « la lettre » (le rituel = l’emballage des aliments pour l’âme), & non le pain frais & nourrissant (la substance, l' »Esprit » du Message) !

Comme seul le « Notre Père » vient de Jésus, TOUS les chants & prières cathos furent écrits par des individus normaux, des Mr Dupont, plus ou moins inspirés – plutôt moins que plus, si j’en juge par l’extrême bêtise des chants (sauf les rares exceptions – qui confirment la règle).

Conclusion : puisque les chrétiens pieux ne peuvent qu’être rebutés du manque de spiritualité de la messe & des prêtres, et mépriser les fadaises qui s’y disent, on peut donc déduire ; 1) qu’on ne les y trouve pas, 2) que ceux qu’on voit aux messes sont (sauf exception) des débiles mentaux ou spirituels, ou des hypocrites ou des prédateurs.

Je viens de voir que Carmen Silva (reine de Roumanie) l’avait dit déjà dit il y a 150 ans ; « La mode est faite pour les femmes sans goût, l’étiquette, pour les gens dépourvus d’éducation, et les églises, pour ceux qui n’ont pas de religion ».

PS : ce post concerne majoritairement les chrétiens que je connais le mieux ; les catholiques.

Les protestants – d’après mon expérience – sont d’un meilleur niveau (en Europe, du moins) !

Quant aux orthodoxes, leurs rituels sont plus longs, mais bien que solennels et « kitch », il y reste de l’âme.

Les Témoins de Jéhovah, eux, se fichent des ordres de Jésus ; bien qu’il leur ait expressément enjoint de ne pas le faire, ils offrent à tous, sans distinction, leur pain (moisi).

Oui, le pain spirituel vieillit & moisit (car les viols d’enfants ont aussi beaucoup cours dans les monastères bouddhistes… & chez les Témoins !)

*Je n’attaque bien sûr ni les vrais chrétiens (trop rares), ni la foi chrétienne en elle-même. Et, étant baha’ie, je ne demanderais pas mieux que les cathos – pour leur bien & celui de l’humanité – élèvent le niveau de leurs messes !