Archives Mensuelles: juillet 2013

Vivre & réussir selon Steve Pavlina

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Baseball Player Resting Bat on Shoulders(Pour ceux qui l’ignorent, Steve Pavlina est un coach réputé aux USA)

– je vois mes croyances comme une boîte à outils composée de lentilles à choisir ; elles sont une extension de mes sens.

– au plus votre modèle interne de réalité correspond à la vraie réalité, au plus vous devenez compétent.

– comprenez que vous gagnerez de l’argent en fournissant une valeur — pas du temps – donc, trouvez un moyen de fournir votre meilleure valeur aux autres, et comptez-leur un prix pour cela.

– au lieu de chercher à éviter vos peurs, prenez l’engagement de les affronter.

– le courage est un choix. Etre courageux, c’est confronter votre peur au pouvoir émanant de vos liens les plus profonds. Quand vous alignez votre vie avec la vérité, l’amour et le pouvoir, l’emprise que la peur a sur vous, s’affaiblit graduellement.

– ne mourez pas sans saisir l’excitante aventure que votre vie est destinée à être.

– lorsque vous vous sentez flapi et démotivé, la simple raison de cela est que vous vous sentez déconnecté.

– observez votre réalité durant un moment, prenez une grande inspiration, bombez le torse et dites : “oui… ça, C’ETAIT moi”.  – assumez tout ce que vous avez créé,  même si vous pensez ne pas le mériter.

– lorsque vous commencez à relier certaines croyances à qui vous êtes, vous restreignez artificiellement votre sens de ce que vous êtes. Cette pratique viole le principe de pouvoir.

– une des compétences les plus importantes à développer dans le domaine de la croissance personnelle, est l’aptitude à vous avouer et admettre toute la vérité, même si vous n’aimez pas ce que vous voyez et même si vous vous sentez impuissant à le changer.

– la plus grande part de la croissance que vous vivrez en tant qu’humain, viendra de vos  interactions avec d’autres gens.

– la paix naît naturellement de la voie centrée sur les principes. Vous ne devez atteindre aucun résultat extérieur spécial pour être en paix ; il suffit que vous soit indiquée la bonne direction.

– souvenez-vous que vos croyances ne sont pas que de simples observations de la réalité ; elles modèlent et définissent également votre expérience de la réalité.

– la vérité est intelligente. En adoptant la vérité et en rejetant l’ignorance, la fausseté et le déni, nous créons les conditions idéales pour une croissance qui durera toute notre vie.

– ne soyez pas loyal envers votre tendance d’apitoiement sur vous-même, mais envers la vision la plus élevée de vous-même et entourez-vous de gens qui vous aideront à soutenir cette vision.

– ce qui vous inspire le plus n’est pas le fait d’atteindre un but en particulier ; c’est le flux  continu de votre auto-expression créative. Vous tombez amoureux du processus en lui-même.

– une qualité fascinante de l’intelligence est qu’elle recherche sa propre amélioration.

– en améliorant votre degré d’alignement avec la vérité, vous obtenez l’accès à de nouvelles vérités.

– nous apprenons des choses sur nous-mêmes en explorant la réalité physique, en prédisant continuellement les conséquences et en les rafinant pour les rendre plus précises.

– avec une carte précise, vous avez plus de chances de prendre des décisions vous menant dans la direction de vos désirs. Avec une carte peu fidèle, vous risquez presque à coup sûr de vivre des déboires et de la frustration.

– en interagissant avec les autres, n’exagérez pas ou n’amoindrissez pas ce qui est vrai pour vous. Soyez complètement honnête.

Votre honnêteté ne recevra pas toujours une réaction positive, mais permettra aux autres de montrer leurs réactions  sans que vous deviez faire semblant d’être quelqu’un que vous n’êtes pas.

– ne devenez pas obsédé par l’effort pour transcender vos sentiments envers des gens qui ne cessent de vous amoindrir. Laissez juste tomber les dénigreurs et allez de l’avant.

– quand je fais quelque chose de bizarre et refuse de reconnaître que c’est bizarre,  les autres peuvent se sentir étrangers à moi, mais quand je montre que je suis conscient de leurs perceptions, le lien avec eux est maintenu.

– si vous n’avez pas compris quel est votre niveau d’auto-discipline, il est peu probable que vous vous amélioriez en ce domaine. Tout comme il y a divers groupes de muscles que l’on entraîne avec des exercices différents, il y a divers domaines dans l’auto-discipline :  celle du sommeil, du régime alimentaire, de l’horaire de travail, de la communication, … il faut différents exercices pour bâtir une discipline dans chacun de ces domaines. Commencez avec quelques exercices faciles, que vous savez pouvoir faire, puis progressez graduellement vers de plus grands défis.

– une façon de vous équilibrer financièrement, émotionnellement et spirituellement, est de centrer votre vie autour du service à autrui. Si vous vous concentrez sur la simple création de valeur et une contribution, vous finirez par pouvoir manifester le bonheur, la richesse, et un sens à votre vie.

– vérité, amour et pouvoir.  Voici nos guides, via tous les défis de la vie humaine. 

Harmonie…très désirable harmonie !

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MP900385536[1]Dans la vie, il arrive souvent que le négatif l’emporte sur le positif et que les rapports avec autrui soient dysharmonieux …   Pourquoi est-il si dur de s’entendre avec les autres ?  Pourquoi est-ce si difficile de créer de l’harmonie entre les gens ?

Eh bien, la paix est difficile entre humains parce que notre esprit tend à voir tout comme étant intentionnel  – c-à-d que, quand quelqu’un fait quelque chose qui nous frustre ou nous blesse, l’on a naturellement tendance à déduire qu’il le fait expres.

La culture permet de dissoudre cette idée fausse, ainsi que l’illusion d’infaillibilité qui accompagne l’inculture, et en outre, elle  rend apte à intégrer des opinions différentes.

La culture, c’est quand on a lu un tas d’ouvrages différents, présentant toute une gamme d’opinions, et qu’on a réfléchi à ces divers points de vue.

Une personne qui a de la culture, ne tient pas ses propres idées comme étant des vérités universelles, elle peut s’en distancer..

Bref, il y a place pour la pensée de l’autre – il n’y a que cela qui donne la force de pouvoir respecter une pensée autre que la nôtre. On peut alors donner à cette dernière le droit d’exister, l’écouter même si elle « combat » la nôtre, ou comprendre et accepter que notre conception est fausse, et même la remplacer par celle de notre opposant, si on la trouve juste.

Louis Pauwels disait qu’il faut toujours, quand on émet une opinion, se souvenir de l’opinion opposée… ce qui demande quand même une certaine force intérieure. On doit pouvoir se rappeler que, tout comme nous avons nos bonnes raisons (sensibilité propre + expériences de vie) d’avoir nos opinions, l’autre a des raisons tout aussi valables d’avoir les siennes.

Alors, quand on pense que l’autre le fait sûrement exprès, la culture est ce qui nous permet de nous corriger, de nous dire que c’est une bêtise  – et c’est cela qui rend l’harmonie possible.

L’esprit est ce qui fonde l’être humain, mais, comme il voit la complexité des choses et non leur unité, notre esprit tend à diviser, donc à détruire l’harmonie entre hommes.

L’amour est ce qui sauve ; c’est « le souffle de l’esprit saint inspiré dans l’esprit humain » (Abdu’l-Baha) ; tout dépend alors du choix que chacun fait entre la peur ou l’amour – entre l’énergie qui prend, se ferme et divise, ou celle qui donne, s’ouvre et unit…

L’humain n’a hélas que trop tendance à croire que les idées qui germent dans son esprit sont la vérité – et plus il est bête et inculte, plus c’est le cas – car moins il peut « sortir de lui-même » pour relativiser.

L’intelligence et la culture permettent de prendre du recul, de se distancier de ses idées et de notre ressenti (car toute idée part d’un feeling), elles nous informent que l’ »intelligence », la « raison », sont inutiles ou nuisibles.  Par conséquent, il en faut pour pouvoir critiquer l’esprit et le voir comme le destructeur d’harmonie qu’il est !

C’est seulement quand on a une vraie culture que l’on peut décider de le désactiver pour laisser agir le cœur ; là, on est apte à « sentir » les situations et comment les comprendre et faire régner l’harmonie ..

 

Recommence !

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Si tu es las et aue la route te paraît longue,

Si tu t’aperçois que tu t’es trompé de chemin,

Ne perds pas une seconde, gagne tu temps,

Recommence !

Si la vie te semble trop absurde,

Si tu es déçu par trop de choses et trop de gens,

Ne cherche pas à comprendre pourquoi…

Recommence !

Si tu as cessé d’aimer et d’être utile,

Si tu as connu la pauvreté et les limites,

Ne laisse pas là une tâche à moitié faite,

Recommence !

Si les autres te regardent avec reproche,

S’ils sont déçus par toi, irrités,

Ne te révolte pas, ne leur demande rien,

Recommence !

Car l’arbre rebourgeonne en oubliant l’hiver,

Car le rameau fleurit sans demander pourquoi,

Car l’oiseau fait son nid sans songer à l’automne,

Car la vie est espoir…

Et tout recommence !

(auteur inconnu)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L’homme qui bée d’admiration devant une femme

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Beaucoup d’hommes pensent que complimenter une femme lui fait toujours plaisir.mais c’est faux ! D’abord, la plupart des femmes vont y voir des sous-entendus critiques et le prendre mal, et en outre, trop complimenter sa partenaire la rend soupçonneuse ou méprisante et si c’est une presque inconnue, la noyer de compliments la fera douter de vos intentions.

Etant femme (et pas trop moche), il arrive que, sans me connaître (ni en avoir envie !), certains hommes osent m’accoster ou me harceler – ne visant hélas que le lit.  Ceci, bien entendu, ne donne pas envie de sortir avec eux, bien au contraire.

Car lors d’une rencontre, la zone du cerveau éveillée chez l’homme est celle de l’aventure, alors que la zone éveillée dans le

cerveau de la femme est celle de la peur – c-à-d la peur d’être utilisée comme objet sexuel – étant entendu que la femme veut être prise comme objet sexuel et utiliser l’homme aussi comme ça, mais juste l’homme qu’elle a choisi et qui a su la gagner.

Dans toutes les espèces (et la nôtre aussi), les mâles sont peu sélectifs, mais même pour eux, certains stimuli doivent quand même être présents – sous peine de « panne » !

Il est donc évident que pour les femelles de ces espèces (et la nôtre aussi), d’autres stimuli (tout-à-fait différents de ceux des hommes) devront être présents pour l’amener à désirer l’accouplement.

Ce qui attire une femme est hélas ce qui fait fuir les hommes, et ce qui attire l’homme (sexe « facile » et rapide) est justement ce qui les fait fuir – car c’est ce qui peutles  faire le plus souffrir  !

Il n’y a que les femmes superficielles a aimer être louées pour leur beauté. Les autres préfèrent qu’on leur parle de leurs mérites, centres d’intérêt, vertus ou ambitions.

En tout cas, que leur interlocuteur respecte leur pudeur et leur sensibilité… La drague – et le fait de complimenter exagérément en est – effraie et dégoûte une femme un peu intelligente.

Bien des hommes sont égoïstes et n’ont aucune raison de s’intéresser à la nature des femmes puisque celles-ci n’osent en général pas les repousser quand ils se conduisent d’une façon qui les choque….Ce qui fait que jamais ils ne s’éduquent à ce qui déclenche réellement l’envie d’une femme.

Pourtant, si les hommes ne devaient avoir du sexe que quand ils ont fait ce qui’il faut pour ça (=  amener la dame à avoir envie d’eux), il n’y aurait que quelques hommes par jour sur toute la planète qui feraient l’amour !

Quand un homme fait à une femme des compliments « généraux » et exagérés, ça le fait paraître comme avide, pressé de « conclure »… La femme se sent comme une proie, comme une salade juteuse guettée par l’œil avide d’un escargot affamé et baveux ! (en tout cas, c’est l’impression que ça me fait). C’est terrifiant et dégoûtant.

Par ex, je fréquente actuellement un homme qui, quand je fais des trucs normaux, se fait tout un cirque dans sa tête, comme un psychopathe ; il me dit d’un air gourmand qu’il aime quand je bouge mes cheveux ou que je me remets du rouge à lèvres  –brr ; ça fait vraiment peur !

Il me dit aussi tout à trac que j’ai une belle silhouette, de beaux seins et de belles fesses… Je me sens alors, non un être humain, mais un quartier de viande à l’étalage … et lui, un pervers. Quand il me dit ce genre de choses, mon estomac se noue et je me sens glacée … Ca me donne envie d’être invisible, ou enveloppée dans une burqa, ou bien à l’abri dans une forteresse … en tout cas, à 1000 km de lui !

La plupart des femmes cherchent à se sentir amoureuses, car il n’y a que l’amour qui donne des couleurs à la vie et les fait se sentir vivantes et vibrantes …mais il n’y a pas moyen de cette façon !  Or, ce comportement indigne et fâche, quand on sent qu’on n’est pas un objet, mais un sujet. Toute femme un peu maligne sait que l’homme doit s’intéresser à son corps, mais aussi  et surtout à elle-même, pour la satisfaire… Elle sait que le seul intérêt physique annonce du sexe bâclé, insatisfaisant, et le risque, ensuite, d’être rejetée comme un outil qui a servi…

Pour ce qui est de coucher, on dit qu’« un homme cherche un lieu et qu’une femme cherche une raison »  – Donc, si je fréquente cet homme, c’est que j’ai jugé qu’il y avait le potentiel (certains points communs) pour avoir une relation avec lui et à partir de là, je suis en train (comme toute femme dans cette situation) à chercher une raison…

Hélas, avec ses sots compliments, le sentiment que je cherche (= l’amour, l’envie d’aller plus loin, l’excitation) s’éloigne, et son attitude génère le sentiment inverse (le dégoût et le mépris) !

En outre,  cet homme fait clairement ce qui lui plaît, sans tenir compte de mon attitude – regard qui le fuit, mimique de dégoût, gêne, corps qui se contracte, …  Et il est clair que ce sera pareil au lit ! Même mes remarques verbales – comme quoi ça me déplaît – ne le font pas cesser !

S’il avait tenu compte de mes réticences, et fait machine arrière il aurait marqué des points, et se serait rapproché de son but, mais là, son attitude égoïste et bête, produit le résultat inverse… Pas bien malin, non ?

Le comble : il prétend s’intéresser à moi, et ne lit même pas ce que j’écris ! Une femme est fière de ses accomplissements, et donc, un homme qui veut l’avoir se doit évidemment de lui parler de cela – pas nécessairement pour le vanter, d’ailleurs ; qu’il dise son avis sincère suffit à montrer qu’il s’intéresse à l’être qu’on est – ce qui est aphrodisiaque pour une femme !

C’est quand la relation est bien installée, que l’homme doit complimenter sa femme sur son physique – car c’est là que la femme a besoin d’être rassurée sur les sentiments que l’homme lui porte – pas avant ! Voilà la « nourriture » convenant à l’union, mais elle ne convient pas du tout à la phase de « construction » !

 

De l’(in)existence du libre-arbitre

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Bien qu’on en parle depuis des millénaires et que les philosophes continuent à y croire (bien sûr ; c’est leur gagne-pain !), les scientifiques sont de plus en plus convaincus (vu les données livrées par les études neuro-scientifiques) que le libre-arbitre n’est qu’une illusion.

Les résultats des études sur le cerveau montrent en effet que l’on a d’abord l’impulsion d’agir ou de décider, et puis ensuite on le pense (= notre neo-cortex le justifie « logiquement ») & on commence à agir selon cette « décision ».

Oui, nous décidons sans en être conscients ! Non, nos mouvements de base et tâches, ne dépendent pas de choix conscients..

Dès les années ’60, des chercheurs allemands découvrirent (à l’aide d’encéphalogrammes) que le cerveau entre dans un état précis avant d’être conscient ; qu’il y a mouvement dans le cortex avant l’acte conscient.

Ceci fut confirmé dans les années ’80 par d’autres études ; elles montrèrent une différence de 0,35 secondes entre l’acte et la « décision » (les zones cervicales du cingulae antérieur sont concernées).

Ceci démontre qu’on n’a pas de libre-arbitre quant à l’initiation d’un mouvement, mais qu’on peut stopper ce dernier en y mettant notre veto – à l’aide de notre savoir.

L’apparition d’une technologie plus avancée (l’IRM) a permis aux chercheurs de démontrer que cet effet est encore plus marqué qu’on ne le pensait : l’action commence en fait une seconde avant la soi-disant décision.  Ce délai cognitif semble dû au fait que le cerveau se prépare à un certain acte avant de le faire.

Même, lorsque l’on implante des électrodes directement dans le cerveau des « cobayes », on voit que tout débute 1,5 secondes avant la « décision ».

Et toutes les expériences faites sur ce sujet, montrent les mêmes résultats ; les décisions sont prises dans le cortex frontal médian avant que la personne n’en ait conscience.

C’est le cortex frontopolaire antérieur qui s’active en 1er, donc, cette zone semble être celle où se font les décisions inconscientes. Eh oui ; l’humain ne croit que ce qui l’arrange… Et « ce qui l’arrange » correspond à la nature profonde d’une personne (= sa sensibilité couplée à ses expériences de vie = conclusions qu’il a tirées sur ce monde).

Les scientifiques continuent à sonder ce sujet, pour clore définitivement le bec aux détracteurs, qui veulent continuer à croire à la fable du libre-arbitre. Pour convaincre tout le monde, les savants devraient arriver à prévoir un acte avant que le sujet n’en prenne conscience – ainsi que pouvoir distinguer entre divers types de prise de décision.

Mais surtout, il faudrait qu’ils puissent décrire ce que cette découverte nous apprend sur l’être humain, et comment ce processus affecte notre vie quotidienne. Par ex, vu que tout se décide en nous avant que l’on « décide » dans un sens précis, peut-on encore être tenus pour responsables de nos actes ?

Mais le libre-arbitre n’est pourtant pas totalement impossible ; il peut exister (partiellement) sous certaines circonstances – ou façons d’envisager les choses.

On peut dire, pour conclure, que la croyance au libre-arbitre doit disparaître ; en effet, il est à présent certain (car scientifiquement prouvé, et à de multiples reprises) que les pensées conscientes d’un être, ses intentions, ses efforts, sont précédées par des causes dont il est entièrement inconscient – dont, par conséquent, il n’est pas responsable (même si ces actes sont horribles).

Bien sûr, ceci heurte la plupart des gens pour qui les crimes doivent être punis, et qui donc, se raccrochent à des illusions morales… sans compter l’éducation des enfants, à qui il faut inculquer des notions de moralité, pour en faire des individus bienveillants et utiles à la société.

Il est vrai que les pensées, intentions et actions diverses sont nécessaires à l’humain, dans sa vie de tous les jours, et le fait de reconnaître que nos actes dépendent de décisions prises dans notre inconscient, ne nous permet pas de faire l’impasse là-dessus..  Il faut trouver quand même un « modus vivendi » entre les 2

Car enfin, on n’a pas été créés pour être des « zombis » pilotés par un inconscient tout-puissant… On peut utiliser notre cerveau pour s’informer, pour arriver à reconnaître nos « réglages » inconscients et, s’ils sont nuisibles à nous-même ou à autrui, on peut choisir de lutter contre eux et de se « reprogrammer » autrement…

Bon, on me dira que ce qui est à la base d’un changement, c-à-d l’envie de s’informer (et la décision de le faire) dépend de facteurs inconscients… mais la souffrance est là pour ça !

En effet, quand, de par notre sensibilité, intelligence et expérience de vie, on a tiré des conclusions fausses sur la vie et notre place en ce monde, on commet des actes erronés, qui nous reviennent sous forme de souffrance, et cette dernière nous pousse à réfléchir, à nous informer.. et ceci est un fort moteur de changement…

Sages & courageux Japonais

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Toji Temple Glowing at EveningLe Japon, bien qu’il n’ait pas de ressources naturelles (métaux, pétrole, …) et qu’il soit en outre sujet à de violents et fréquents tremblements de terre ou tsunamis, a pourtant réussi à s’élever à la place de 2ème économie du monde…

Et après la” Bombe”, par exemple, une ville comme Hiroshima a réatteint le niveau de prospérité qu’il avait avant la catastrophe, en moins de 10 ans !

Mais bien sûr, cela ne s’est pas fait tout seul, comme par miracle ; il y a fallu un travail acharné….et pour cela, la bonne mentalité !

– bien que membres d’un des pays les plus riches, les Japonais n’ont pas de serviteurs ; ce sont les parents qui s’occupent du ménage et des enfants.

– les Japonais connaissent la valeur du temps et sont très ponctuels ; par ex, le taux de retard des trains au Japon est de … 7 secondes par an !

– le système scolaire est très poussé, élitiste, basé sur l’effort personnel, l’intégration, le souci la collectivité,

– de la 1ère à la 3ème primaire, il n’y a pas d’examens, car le but des études est, non l’endoctrinement, mais la construction du caractère.

– chaque soir, les écoliers japonais passent ¼ d’heure à nettoyer leur école avec les professeurs, ce qui les rend modestes et propres.

– soucieux de leur santé, les écoliers prennent ½ h. pour leur repas, et se brossent les dents après le repas scolaire. Ils sont tous conscients du fait que c’est important car les enfants sont le futur du pays !

– durant toutes leurs études secondaires, les élèves japonais ont des cours de morale des relations.

– les gens travaillant au nettoyage ont de gros salaires et sont nommés des “ingénieurs de santé”

– le gsm est interdit dans les trains, les restaurants et les espaces intérieurs.

– les gens qui mangent dans un restaurant genre buffet, ne prennent que selon leur appétit – ainsi, on évite tout gaspillage de nourriture.

– Enfin, chez eux, l’ADHD (trouble de l’attention et hyperactivité) n’ont jamais existé chez eux ; là-bas, un enfant rêveur et turbulent est juste bien encadré, et forcé à se plier aux règles suivies par tous.

Du reste, le “découvreur” de cette soi-disant maladie, le psychiatre américain Léon Eisenberg, vient d’avouer sur son lit de mort, qu’il s’agissait d’une maladie imaginaire, inventée seulement pour ce qu’elle pouvait rapporter à l’Industrie pharmaceutique (Rilatine) … Depuis des décennies, on drogue nos enfants (la rilatine étant un genre de Lsd) sans aucune raison, juste pour que Big Pharma puisse s’en mettre plein les poches ! N’est-ce pas dégoûtant ?!

Pour conclure je dirais que les Japonais montrent, en tout, non seulement un beau courage, mais aussi plus de bon sens que les Occidentaux.

Ils savent que ce qui tient ensemble une société, ce n’est pas l’individualisme forcené qu’on trouve ici, mais le civisme, la solidarité, le sacrifice, le respect des autres et des règles, la construction d’un bon caractère et de solides vertus !

Chez eux, on ne voit pas, comme ici de fierté mal placée, ou encore l’esbrouffe, la vantardise, la poudre aux yeux, mais une juste fierté de soi, basée sur le respect de ce qu’on se doit à soi-même et aux autres !

 

Etre époux, être père.. ça signifie quoi ?

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????????????????Presque tous les problèmes psychologiques ont leur source dans la société, qu’elle soit stricte, ou permissive …

La nôtre est plus que permissive ; elle est relâchée, déchaînée, débridée, car décadente ; le sacrifice et l’auto-discipline y sont dépréciés, les valeurs en berne, et l’espoir est mort..

Pas étonnant que les dépressions fleurissent !

La morale n’étant plus à l’honneur, il n’y a que bien peu de gens qui comprennent les bases du mariage, et donc, ses ingrédients indispensables.  Jadis, il était basé sur le concept d’un homme et d’une femme se donnant l’un à l’autre à jamais, pour amener de nouvelles vies au monde, créer une famille où les enfants sont élevés dans le respect des valeurs et ne craignent pas l’amour. L’acte d’amour conjugal garantit ceci.

Le mariage est ici un acte de service, et non un « droit » de remplir le sentiment de vide de quelqu’un, via une « relation » à un autre.  Personnellement, j’aime la manière dont ceci s’exprime en Inde : là, on ne dit pas « je me marie », mais bien : « je deviens un(e) époux(se) »… car c’est bien de cela qu’il s’agit, en fait !

Hélas, partout et en tous temps, le concept de mariage a été perverti par le matérialisme ; on y a mêlé l’argent, la préservation du patrimoine – d’où l’exigence que l’épouse arrive vierge, et soit ensuite rigoureusement fidèle ; il fallait être certain que les héritiers soient bien issus du père de famille.

Les hommes – puisque ce sont eux qui avaient le pouvoir – ont donc fait de l’union (dont la nature profonde est spirituelle) un simple contrat matériel, garantissant la transmission des richesses, du pouvoir et du statut… Bref, l’essentiel y manque : l’égalité – condition INDISPENSABLE à toute relation basée sur des sentiments.

Bizarrement, la liberté et la fraternité (ou amitié) brillent alors aussi par leur absence… ce qui empêche toute harmonie au foyer (sauf exceptions) … Triste base pour y accueillir des enfants !

Même la notion de famille n’existe pas dans ce contexte, puisque les enfants ne sont que les « outils » devant assurer ces diverses transmissions.

Néanmoins, si l’amour romantique était souvent absent de ce genre d’unions, au moins la religion et la pression sociale faisaient que les conjoints s’engagaient et se tenaient à leur devoir (ne fût-ce qu’extérieurement), et donc, l’union tenait fermement.  Ce cadre-là frustrait en général tout le monde, mais il avait du moins le mérite d’être solide comme le roc, forçant chacun à assumer ses responsabilités.

Les enfants n’étaient peut-être pas heureux dans un tel cadre, mais ils avaient une structure et en général, de quoi manger…

Je l’ai dit ailleurs : on se lie aux gens soit pour l’amour, soit pour l’argent – donc, ce genre d’union tenait par des intérêts communs, si ce n’est par des sentiments partagés…

Nos contemporains occidentaux tiennent l’amour pour l’ingrédient indispensable à l’union – l’engagement, lui, est devenu très flou et dépend de la morale intime de chacun. Or, il est dans la nature de « l’amour-passion » de passer, et c’est l’engagement (à base morale) qui est la « colle » indispensable au mariage …

Mais lorsque ladite moralité est absente, plus personne ne se sent tenu à honorer ses promesses, ou l’union, ou son(sa) partenaire  … et finalement, soi-même ! Et voilà pourquoi il y a tant de ruptures et de divorces.

Les pères, par ex, qui étaient jadis « fonctionnels » parce que moraux et tenus à leur devoir par toute la communauté (les gens vivaient en petites communautés, où chacun se connaissait), peuvent à présent se laisser aller à leurs bas instincts ; plus de morale interne pour les retenir, ni de punition de la société ; cette société de plaisir les y pousserait plutôt !

Avant – « noblesse oblige » – les dirigeants donnaient l’exemple de la moralité, car ils savaient que le peuple les prend pour modèles, et que « le poisson pourrit par la tête » !

Les lois du moins, assuraient que ceux qui ont joui d’une femme, ou ceux et celles qui ont procréé des enfants – êtres faibles et dépendants – s’en occupent.

Mais ces temps sont révolus ; ces lois n’existent plus, les « modèles » sont dépravés, les bas instincts (individualisme, égoïsme, hédonisme, immoralité) règnent et sont publiquement vantés …  en sorte que les êtres n’ont plus de limites et échappent sous tous prétextes à leurs responsabilités, sans se soucier du chaos (souffrances, vies brisées, misère physique et psychologique) qu’ils causent !

Cette absence (réelle ou psychologique) des hommes pèse lourd sur la mère et sur les enfants (que ces derniers sont pourtant chargés de protéger).  Comme c’est le père qui représente l’autorité, et qu’il fait défaut, les enfants ne respectent plus non plus les lois, ni eux-mêmes (d’où décrochage scolaire, addictions diverses, délinquance, promiscuité, …).

Montherlant a écrit : « L’homme est chasseur ; au gibier féminin de se garder ! »… A bonne entendeuse…

Des faits inquiétants…

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grillageNous devons nous souvenir de ne pas avaler n’importe quelle théorie, sous prétexte qu’elle est « scientifique » ; d’abord, parce que la science évolue sans cesse, et que ce qui était cru hier, est reconnu faux aujourd’hui, ensuite parce qu’on sait depuis l’avènement de la physique quantique, que les résultats des études scientifiques sont influencés par l’expérimentateur, et enfin, parce qu’on nous tait pas mal de choses, et nous ment sur d’autres… (« intérêts financiers » oblige).

Il en va de même avec les informations que nous transmettent les médias… On sait maintenant que les pensées sont de l’énergie, qu’elles sont réelles et ont un pouvoir…. Voilà pourquoi ceux qui sont au pouvoir ont jugé qu’il fallait les maintenir sous contrôle…

Le chanteur Marilyn Manson a bien résumé les choses : “Quand vous regardez la télévision, vous regardez les nouvelles, et on vous fait le plein de peur. Il y a les inondations. Il y a le sida. Il y a les meurtres. Coupés par des publicités. Achetez l’Acura. Achetez Colgate. Si vous avez mauvaise haleine, on ne vous parlera pas. Si vous avez des boutons sur la figure, cette fille ne vous baisera pas. C’est juste une campagne de peur et de consommation. Voilà sur quoi je crois que ça se base. En gros, l’idée est de faire peur aux gens pour qu’ils consomment”.

Une chose qui devrait « nous mettre la puce à l’oreille » quant à une évolution néfaste de notre société est par exemple, la suppression de certaines inventions …  L’énergie étant une ressource indispensable, celui qui la possède a donc aussi le pouvoir… et n’ayant pas envie de le perdre, ces puissants éliminent ce qui pourrait « changer la donne » …

Au cours du temps, de nombreuses sources d’énergie alternatives furent découvertes ; non seulement ce n’est pas polluant et ça pourrait nous rendre indépendants vis-à-vis des princes du pétrole, mais si chacun pouvait disposer d’une énergie propre et gratuite de façon illimitée, ça éliminerait pauvreté, famine et sécheresse.

Hélas, le marché de l’énergie est le marché qui rapporte le plus et qui contrôle les gouvernements, les journaux, et même les organismes gouvernementaux censés les contrôler, eux !

Pour savoir ce qui se fait et pouvoir l’étouffer à temps, la CIA crée des organismes censés promouvoir de nouvelles sources d’énergie.

C’est vrai aussi dans le domaine médical, où des traitements alternatifs ont été étouffés, des chercheurs assassinés, …(voir sur Youtube le long (1h30) document en anglais : Cancer – The Forbidden Cures)

Nikola Tesla –dont on parle de plus en plus aujourd’hui, après une période d’obscurité totale – avait inventé il y a environ 1 siècle une machine à courant alternatif (Wardenclyffe) pouvant distribuer partout sur terre une énergie gratuite ; quand son bailleur de fonds (le financier J.P. Morgan) réalisé ceci, il lui a coupé les fonds, détruit ses antennes et ruiné sa carrière. Et après sa mort (mort très suspecte, du reste !), Edgar Hoover a fait saisir et détruire toutes ses notes.

En 1977, Bruce De Palma a créé une machine produisant, à partir du magnétisme, 5 x plus de courant qu’elle n’en consommait. On l’a forcé à abandonner son projet, en le menaçant de lui faire sauter la tête s’il continuait…

Lonnie Johnson : a trouvé une batterie hyper –performante et le JTec (moteur révolutionnaire reconnu par la science).

Stan Meyer a pu transformer l’H2O en gaz HHO => construire des moteurs à l’eau. Il disait que cela pourrait servir à tous, mais, après une visite d’agents du gouvernement, il a changé de ton, et prétendait alors que plus rien n’était possible…

Il existe pourtant des firmes qui produisent une énergie non-polluante : Steorn (Dublin) ; énergie de l’air (gratis et « propre »), LightWorksAV.com, Navigating Insights.

Un long document sur Youtube raconte comment la nourriture est utilisée comme arme pour réduire énormément la population mondiale (Esoteric Agenda – full length movie – welcome to your awakening !).

Par ex, William Cooper (qui avait annoncé le 11 septembre) a été abattu par la police le 5 novembre 2001.

D’ailleurs, que penser de 9/11 ? voir ceci sur Youtube : Total Proof No Planes Hit The Buildings on 9/11 , aussi  : Theories And Bizarre Events On 9/11 ,  et : Plane that struck the World Trade Center was not a boeing 767 , ou encore :  Evidence that George W. Bush had advanced knowledge of 9-11 –  Pour moi, ça ressemble fameusement à une mise en scène…

Et connaissez-vous le groupe (ou club) Bilderberg ? Il s’agit d’une réunion annuelle, comptant +- 130 membres ; la » crème » de la diplomatie, des affaires, de la politique et des médias…Bref, sans doute le plus puissant réseau d’influence au monde !

Il est invraisemblable qu’aucun média ne parle d’une telle réunion, comptant pas mal de membres de l’élite mondiale ; il s’agit clairement d’une volonté délibérée de cacher cette réunion – et l’existence de ce « club » secret, prenant d’importantes décisions politiques et économiques dans l’opacité totale, sans aucun contrôle démocratique !

Lors de la réunion du groupe en 1977, R. Mennevée affirma qu’ils voulaient instaurer un gouvernement mondial dirigé par les USA..  Il y a aussi la Zeitgeist (= théories franc-maçonnes imprégnées de théosophie, favorisant le New World Order), et savez-vous que l’inquiétant Lucis Trust (= pro-Lucifer) est reconnu par les Nations Unies !

La seule rébellion sensée, le seul moyen de lutter contre ce nouvel ordre, de se sauver d’une oppression ou d’un esclavage, est via la connaissance, la prise de conscience, la récupération de notre pouvoir et pensée personnels,  et non en suivant un leader quelconque, en croyant les médias ou en se laissant emporter par la folie de la consommation.

Il y a assez de preuves montrant que les meurtres de masse (Unabomber, 11 septembre, …) sont toujours suivis d’un renforcement de l’Etat et d’une diminution de nos droits – et peu importe les raisons qu’ils en donnent : la vérité se révèle par le résultat final (« à qui profite le crime » !).

L’intention influe sur la matière, et la conscience modèle notre réalité. Peu importe aussi que les médias promeuvent agressivement la matérialité et l’ »état de séparation » de tout, il faut se souvenir qu’en allant au fond des choses, la matière n’existe pas, la conscience n’est pas dans le cerveau, et on est tous reliés à (et on fait tous partie de) une conscience universelle !

Le bonheur d’avoir un homme stable

Par défaut

10583_202473103237326_1846814293_nOn peut le dire ; l’élément qui contribue le plus à la destruction d’une relation est l’incohérence, le manque de durée d’un comportement, bref, l’instabilité .. et plus on la laisse s’installer, plus la relation se détériore.

C’est pourquoi on devrait tous réfléchir à comment on communique avec les autres, et comment eux communiquent avec nous.

Sentir qu’on investit plus que l’autre dans la relation est très pénible… C’est une douleur qui ronge sournoisement et cause un stress énorme. Puis, quand on comprend qu’on fait tout le boulot pour faire marcher la relation, et l’autre rien, la colère apparaît.

Dès lors que l’autre ne travaille pas à satisfaire les besoins émotionnels et à accroître l’intimité dans le couple, on en déduit qu’il se fiche de la relation, nos sentiments pour lui se refroidissent… et on commence à songer à rompre.

Une relation n’est pas “naturelle” (voir mon article d’hier sur l’amour vu comme un compte en banque  : https://bonheuretamour.wordpress.com/2013/06/30/lamour-est-comme-un-compte-en-banque/ ) ; il faut sans cesse y travailler, c-à-d la nourrir, en y portant une attention émotionnelle constante et cohérente, et une communication pareille – sinon, il est impossible qu’elle soit saine, l’incohérence en ce domaine détruisant toute harmonie dans le couple.

Une relation requiert impérativement une bonne communication entre partenaires, qu’ils se fixent des buts communs et travaillent ensemble à les réaliser.

Tous, hommes commes femmes, désirons être aimés et appréciés… alors, pourquoi les hommes sont-ils incohérents en relation?

Quand on leur pose la question, ils éludent, mentent, tentent d’éviter le sujet. La vérité est qu’ils sont menés aveuglément par leur inconscient, et ne savent même pas pourquoi ils se conduisent de façon si stupide et cruelle !

Lorsque l’homme qu’elle fréquente se comporte de façon cohérente, une femme se sent bien. Et à l’inverse, si son homme ne se conduit pas (ou plus) de cette façon, cela lui causera un sentiment de détresse.

Un homme cohérent, en est un qui par ses actes, envoie à la femme le message qu’il a des sentiments pour elle, et de façon stable ; il lui téléphone ou lui “texte” chaque jour, la voit un soir chaque week-end et trouve du temps durant la semaine pour

passer la voir – ce comportement (et lui seul) donne à la femme un sentiment de sécurité, une joie calme et sereine.

Ce genre de cohérence va évidemment de pair avec la confiance ; quand la femme sait qu’elle peut avoir confiance en cet homme, qui lui apporte cette sérénité de la certitude, elle est heureuse et amoureuse.

Elle connaît les sentiments de cet homme, sans avoir à se – et à lui – poser la question, ou devoir “définir la relation”, parce que ses actes disent clairement qu’il a des sentiments pour elle.

Comme la femme a de l’intuition, dès que son homme se comporte de façon non-cohérente, cela la jette dans l’incertitude, d’où un malaise, une inquiétude douloureuse.  Vu qu’un homme communique par ses actes, lorsqu’il semble prendre ses distances, elle en déduit qu’il voit quelqu’un d’autre ou ne l’aime plus.

Et le pis, c’est qu’elle n’a rien vu venir : un jour il était empressé et amoureux, et le lendemain, plus rien ; il n’appelle plus, n’a plus jamais de temps pour la voir, etc…

Beaucoups de gars sont ainsi ; se montrant empressés quand ils font la cour, et perdant tout intérêt quand la dame est séduite.

Ils ont un comportement “cohérent” au début (car c’est cela qui “marche”), mais se gardent de tomber vraiment amoureux…

Souvent, ils n’ont pas digéré une rupture passée, et refusent de courir à nouveau le risque d’avoir le coeur brisé.

A ce stade, la douleur et la colère d’avoir été ainsi trompée et utilisée, peut pousser la femme à pleurer et faire des scènes… L’ennui, c’est que dès qu’une femme crie ou devient trop “émotive”, les oreilles des hommes se ferment.

Une femme alors, tentera de se changer, de se plier à ce qu’elle croit devoir faire pour (re)conquérir le gars, au lieu de se dire que, si elle ne peut se montrer comme elle est avec son homme, il faut rompre.

Il est vain (car tout à fait irréaliste) de vouloir faire “revenir” un homme qui a commencé sa “valse hésitation” ; la relation principale de votre vie – et la personne la plus précieuse – c’est vous ! Alors, aimez-vous assez et quittez ce gars.

Si lui n’est pas cohérent, soyez-le pour 2, soyez cohérente avec vos propres valeurs, et partez.

Notre société (mode de vie) produit hélas une majorité d’hommes qui sont ainsi, en sorte que la plupart des couples suivent un triste cycle : une courte période de “lune de miel”, suivie de chaos, disputes… et rupture.  Et le cycle reprend, avec le(la) même partenaire, ou avec un nouveau (nouvelle)… Tout ceci parce que les hommes ne savent comment maîtriser leur esprit et traiter leurs problèmes de façon consciente, en sorte qu’il soit forcé de les projete sur ses proches, de se fâcher sur eux et de les blesser…

… “Tout ce qui est compris est bien” (Louis Pauwels) !