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Proverbes & citations, II

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Dans le film « Quand Harry rencontre Sally », Marie (l’amie de Sally) dit « celui qui connaît les proverbes ne peut pas être tout à fait mauvais ».

Du coup, je vous ressers ce florilège des proverbes & citations qui comptent pour moi (1ière fois, en 2015 ;  https://bonheuretamour.wordpress.com/2015/12/21/proverbes-de-ma-vie/).

La plus belle expérience que l’on puisse vivre est le mystère. C’est la source de toute vraie science ou art (Einstein)

Il faut pousser nos peurs dans un coin. Sinon, ce sont elles qui nous poussent dans un coin ()

L’homme sage sait quel côté de sa tartine est beurré (proverbe anglais)

Ce que vous visez détermine la façon dont le monde se manifeste à vous (Pr J. Peterson)

La vérité n’offense que les menteurs, les hypocrites et les sots (Benjamin Delessert)

Avant de guérir quelqu’un, demandez-lui d’abord s’il est prêt à abandonner les choses qui le rendent malade (Hippocrate)

Celui qui ignore la pitié n’est pas un être humain ; celui qui ignore la honte n’est pas un être humain ; celui qui ignore le sens de la déférence & du respect n’est pas un être humain ; celui qui ignore la notion du bien & du mal n’est pas un être humain (Mencius)

Chanter le monde & l’allégresse d’exister, est le fait de l’être accompli (L. Pauwels)

La réalité est l’ombre des mots ()

Celui qui laisse s’éteindre en son cœur le désir de sauver tous les êtres vivants, a péché (Bouddha)

Le point de départ d’une pensée vraie est dans la connaissance de soi. Si on ne se connaît pas soi-même, on n’a aucune base pour penser ; ce que l’on pense n’est pas vrai (A. Huxley)

C’est quoi, un con ? C’est quelqu’un qui a l’esprit tellement faible qu’il ne peut risquer de l’exposer au moindre souffle venant du dehors (B.de Laat)

Il n’est meilleur commerce que de vendre aux pauvres & aux ingénus, parce que leur faiblesse les fait grégaires & qu’ils ne peuvent ni ne savent choisir (L. Pauwels)

La punition de ceux qui n’acceptent pas les choses pour ce qu’elles sont, c’est de vivre en prison. Car être quelque part contre son gré, c’est être en prison (Epictète)

Il n’y a pas d’autre mort que le manque d’amour ()

La clé du succès est de prendre l’habitude, durant toute votre vie, de faire les choses que vous craignez (Brian Tracy)

La seule façon d’accomplir est d’être (Lao Tseu)

La gentillesse est plus importante que la sagesse, et la reconnaissance de ceci, est le commencement de la sagesse (Th.I. Rubin)

Mieux vaut suivre le bon chemin en boitant, que le mauvais d’un pas ferme (St Augustin)

Le service à autrui est le loyer que vous payez pour votre chambre au paradis ()

Jusqu’à ce que vous rendiez l’inconscient conscient, il dirigera votre vie & vous l’appellerez Destin (C.G. Jung)

Les gens intelligents apprennent de tout & de tout le monde. Les gens moyens apprennent de leur expérience. Les gens stupides ont déjà toutes les réponses (Socrate)

Nos paroles nous engagent et nous devons leur être fidèles. Mal nommer un objet, c’est ajouter au malheur de ce monde – la grande misère humaine, c’est le mensonge. Et à l’inverse, la vérité est la source de vie, de guérison. Camus reprendra cette idée, sous une autre forme, dans L’Homme révolté : « La logique du révolté est … de s’efforcer au langage clair pour ne pas épaissir le mensonge universel ».

L’enthousiasme seul est la vraie vie (Champollion)

Les ennemis du savoir ; croire que l’on sait déjà, ou ne croire que ce que l’on voit ()

Pleure, pardonne, apprends, va de l’avant. Que tes larmes arrosent les graines de ton bonheur futur (S. Maraboli)

Dans la vie, il est important de savoir quand s’arrêter de discuter avec les gens, pour les laisser simplement avoir tort ()

Le savoir est la seule richesse que l’on puisse entièrement dépenser sans en rien la diminuer (I. Aberkane)

Il y a dans la vie des choses plus importantes que l’argent. Mais sans argent, on ne peut pas les obtenir (Harvey Kurtzman)

Etre prophète, c’est voir d’avance les effets qui existent dans les causes (Eliphas Levy)

La plupart des gens n’ont pas d’imagination. S’ils pouvaient imaginer les souffrances des autres, ils ne les feraient pas autant souffrir (Anna Funder)

Dieu nous fournit des noix, mais ne les casse pas pour nous (proverbe portugais)

Les yeux sont inutiles quand l’esprit est aveugle (Rûmi)

Procrastiner n’est pas un problème ; c’est un symptôme ; le signe indiquant que l’on vise une chose qu’en fait, on ne veut pas ! Quand on va vers quelque chose qui est important pour nous, il est impossible de procrastiner !

Une relation sans confiance, c’est comme avoir un téléphone sans connexion. Et que fait-on avec un téléphone sans connexion ? On joue à des jeux ()

La vie, c’est ce qui nous arrive pendant qu’on est en train de faire d’autres plans (J. Lennon)

Ne dissocie pas ton cœur de ta langue, & toutes tes entreprises réussiront (Amenemopé)

La seule différence entre vous & quelqu’un que vous enviez, est que vous vous êtes contenté de moins (Dr Phil Mc Graw)

La dictature parfaite serait une dictature qui aurait les apparences de la démocratie, une prison sans murs dont les prisonniers ne songeraient pas à s’évader. Un système d’esclavage où, grâce à la consommation et au divertissement, les esclaves auraient l’amour de leur servitude (Aldous Huxley)

Pour créer son propre paradis, il faut puiser dans son enfer personnel (F. Kahlo)

Rien ne disparaît jamais avant de nous enseigner ce que nous avons besoin de savoir (Pema Chödrön)

La délicatesse est la première vertu du savoir-vivre (Anne Barratin)

Relations ; toujours se rappeler ceci : l’eau et l’huile ne se mélangent pas, et on aura beau les brasser, elles se sépareront toujours à la fin !

La non-résistance est la clé du plus grand pouvoir dans l’Univers (E. Tölle)

Il y a une fondation à notre vie, un lieu où notre vie repose. Ce lieu n’est rien d’autre que le moment présent, lorsque nous voyons, entendons, ressentons ce qui est. Si nous ne revenons pas à cet endroit, nous vivons notre vie hors de notre tête. Nous blâmons les autres ; nous nous plaignons ; nous nous prenons en pitié. Tous ces symptômes montrent que nous sommes coincés dans nos pensées. Nous avons perdu le contact avec l’espace ouvert qui est toujours ici même (Charlotte Joko Beck)

Le secret de l’activité de conseil, c’est d’en savoir plus que votre client, point ! (F. Kern)

La tendresse ne fait défaut que dans le cœur d’un damné (Muhammad)

C’est la vérité, et non les rêves, qui est votre seule sécurité (Osho)

J’ai cessé de m’expliquer quand j’ai pigé que les gens ne comprennent qu’à partir de leur niveau de perception ()

C’est un esprit étroit, celui qui ne peut regarder un sujet de différents points de vue ()

La vérité est plus belle que l’affectation d’amour. Votre bonté doit avoir un côté piquant, sinon, elle n’en est pas (Ralph W. Emerson)

Nous, en vérité, avons fait la musique comme une échelle pour vos âmes (Baha’u’llah)

La véritable intelligence repose sur l’amour : ce que souvent les matérialistes prennent pour de l’intelligence, n’est que la peur habillée de grandes idées. Cette sorte d’intelligence est malfaisante et sans joie (L. Pauwels)

Il y a plus de choses dans le ciel et sur la terre, Horatio, que n’en rêve votre philosophie (Hamlet, Shakespeare)

Même ignorés, les faits restent les faits (A. Huxley)

Oublier qui l’on est pour devenir ce que quelqu’un a besoin qu’on soit, peut-être est-ce cela, être vivant (film My Name is Kara)

Il est téméraire, celui qui veut ravir un lionceau entre les pattes d’une lionne, mais 100 fois plus téméraire, celui qui veut ôter à une femme ses illusions (proverbe égyptien)

Les libres penseurs sont ceux qui sont prêts à utiliser leur esprit sans préjugé & sans craindre de comprendre des choses qui heurtent leur propres coutumes, privilèges, ou croyances. Cet état d’esprit n’est pas commun, mais il est essentiel pour penser juste (L. Tolstoï)

L’idiot le plus paresseux finit toujours par faire 2 fois plus de boulot (proverbe espagnol)

C’est lorsque nous nous élevons que nous paraissons petits à ceux qui ne savent pas voler (Nietzsche)

La haine est la tristesse, accompagnée de l’idée d’une cause extérieure (B. Spinoza)

Il faut être humble pour pouvoir apprendre quoi que ce soit (Pr J. Peterson)

Qui seriez-vous si vous commenciez à vous aimer plus que vous n’aimez votre histoire ? ()

Là où on s’aime, il ne fait jamais nuit (proverbe africain)

Seules les femmes jalouses sont méchantes et seules les femmes méchantes sont jalouses (proverbe chinois)

Par la rue « tout à l’heure », on arrive à la maison « jamais » (Cervantès)

Porte la gratitude comme un manteau, et elle nourrira chaque coin de ta vie (Rûmi)

L’abomination et la misère est tout ce que l’on récolte du fanatisme, de croire les idiots et les écervelés (Abdu’l-Baha)

Qu’est-ce apparemment que la santé des âmes, sinon la bonté ? Et leur maladie, sinon la méchanceté ? Et quel est celui qui préserve les bonnes choses & chasse les mauvaises, sinon Dieu, le maître & le médecin des âmes ? (Boèce)

Si vous projetez délibérément d’être moins que ce que vous êtes capable d’être, alors, je vous avertis que vous serez profondément malheureux pour le reste de votre vie (Abe Maslow)

Qu’est-ce que faire l’amour ? C’est ce qu’une femme fait pendant qu’un homme la baise ()

Les gens qui se fâchent sur vous parce que vous dites la vérité, sont ceux qui vivent dans le mensonge

On apprend plus de choses dans les bois que dans les livres ; les arbres et les rochers vous enseigneront des choses que vous ne sauriez entendre ailleurs (St Bernard)

Il faut rejeter l’idée qu’on peut posséder une sécurité permanente. La vérité, c’est qu’on n’a aucune sécurité, à part notre aptitude à lutter & à nous adapter (Pr J. Peterson)

Sans amour, le monde n’est qu’un souffle de vent qui passe devant tes fenêtres (H. Murakami)

L’homme aime la femme comme le loup aime l’agneau ()

Si on change la façon dont on regarde les choses, les choses que l’on regarde, changent (W. Dyer)

Un paradigme est la lentille par laquelle vous voyez le monde et les gens qui s’y trouvent. C’est l’attitude que vous avez été conditionné à porter avec vous, (et) qui en retour gouverne vos choix & (votre) comportement. Si le paradigme est faussé, votre vie sera faussée aussi. Si vous voulez être heureux, vous devez changer le paradigme qu’on vous a enseigné à adopter (Suzanne Venker)

Nous ne pouvons rechercher le bonheur, nous devons rechercher une profonde satisfaction & la fierté, et il y a une différence (Claire Wineland)

Que l’homme est chose méprisable s’il ne s’élève au-dessus des affaires humaines ! (Sénèque)

L’ignorance est la pire forme de maladie et ce qui guérit l’ignorance est donc le plus puissant de tous les médicaments (Manly P. Hall)

Ne reste que parmi les amants, des autres, éloigne-toi. Bien que ta flamme embrase le monde, le feu meurt par la compagnie des cendres (Rûmi)

Peu importent tes ressources ; si tu ignores comment t’en servir, elles ne te servent à rien ()

La Nature aime le courage. Vous prenez l’engagement et la nature réagira à cet engagement en ôtant les obstacles impossibles à franchir. Voilà l’astuce. Voilà ce que tous ces enseignants & philosophes qui ont vraiment compté, qui ont vraiment touché l’or alchimique, voici ce qu’ils ont compris. Voilà la danse chamanique dans la cascade. Voilà comment la magie opère. En vous jetant dans l’abîme et découvrant que c’est un lit de plumes (Terence McKenna)

Ceux qui ne sont pas des complotistes sont des collabos (J-M. Bigard)

Dieu est un état de conscience au sein duquel les idéaux spirituels comme la vérité, la justice, la bonté, l’amour et la beauté sont évidents … « Le sot ne voit pas la Voie, quand bien même il serait en train de marcher dessus » => Ceux qui ne sont PAS sots, reconnaissent la Voie quand ils la voient ! + l’effet Dunning-Kruger (les incapables surestiment leur intelligence & leurs compétences, et sont inaptes à distinguer leur incompétence, et la compétence des autres)

On ne décide pas de son avenir ; on le mérite (Carlos Zafon)

Quand tu danses avec le diable, le diable ne change pas ; le diable TE change ! ()

Toutes les sciences sont vaines & pleines d’erreur, qui ne sont pas nées de l’expérience, la mère de toutes les connaissances ! (L. de Vinci)

Le secret pour avoir une bonne vie est de savoir exactement en quoi consiste la vie, et dans quel genre d’environnement on vit, et d’agir en fonction de cela (= intelligemment). Si vous refusez d’apprendre ceci, vous agirez stupidement et vous vous ferez blesser ! (B. de Laat)

La patience est un arbre dont la racine est amère, mais dont les fruits sont doux (proverbe iranien)

Qui s’incline sera redressé. Qui se tient creux sera rempli. Qui subit l’usure se renouvellera (Tao Tö King)

Le vrai secret de la magie est que le monde est fait de mots. Et si vous connaissez les mots dont le monde est fait, vous pouvez en faire tout ce que vous désirez (Terence McKenna)

Citations de Constance de Théïs

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Un des plus poignants chagrins que l’on puisse éprouver est de voir que ceux à qui on a donné son entière confiance n’en étaient pas dignes.

Chacun brille un instant, nul ne brille toujours.

Les hommes nous prêchent sans cesse la douceur et la patience, parce qu’ils trouvent plus facile de nous élever à supporter leurs défauts que de s’étudier à les vaincre.

Rien ne plaît de la part de ceux qu’on n’aime pas.

Le véritable égoïste a, pour comprendre à l’instant ce qui peut lui nuire ou lui être utile, une force d’instinct, une perspicacité de jugement qui lui donnent sur l’homme droit et généreux, sur l’esprit même le plus éclairé, une supériorité honteuse, mais positive.

Les hommes sont bizarres ; ils ne savent rien refuser à une femme qui leur est étrangère, et celle qui mérite le plus leurs égards semble toujours celle qui en obtient le moins.

Il y a dans l’amour autre chose que l’amour, une union plus intime encore, des rapports qu’il n’appartient pas aux âmes communes de comprendre ni de sentir, un entraînement d’un être vers l’autre, qui ne tient à rien de ce que la pensée peut définir.

La sensibilité a sa pudeur ; ce n’est que dans le tête-à-tête qu’elle aime à s’épancher : un instinct secret l’avertit qu’elle est rarement comprise, et qu’elle doit se dérober aux regards des indifférents, à qui, peut-être, ses plus douces jouissances paraîtraient des rêveries ou des faiblesses.

La vie sociale est un continuel combat entre le devoir et l’instinct de l’indépendance.

Quand on considère l’espèce de domination que, de tout temps, les hommes ont tenté d’exercer sur les femmes ; la résistance qu’elles n’ont cessé d’y opposer; le peu de moyens qu’ils ont de se garantir de leur influence, et la parfaite compensation établie entre leurs facultés et leurs devoirs, on finit par se convaincre que toute idée de supériorité d’un sexe sur l’autre est vaine et illusoire, et que cet instinct d’autorité , qui semble inhérent aux hommes, ne leur a pas été donné pour que nous fussions dominées par eux , mais, au contraire, pour qu’ils ne fussent pas dominés par le genre de pouvoir et de séduction qui est notre partage.

En effet, la nature ne fait rien au hasard ; si elle nous eût destinées à la dépendance dans laquelle tant d’hommes voudraient nous retenir, nous n’aurions, nous ne pourrions pas même avoir l’idée de nous en affranchir, et il est évident qu’elle n’a voulu, par ces contradictions apparentes, que maintenir l’équilibre qui doit exister entre nous, puisque l’orgueil, les préjugés, l’autorité des lois, les injustices même de la force, n’ont jamais pu y porter réellement atteinte.

La flatterie est à la fois alarmante et humiliante : alarmante parce qu’elle annonce un dessein secret de tromper ; humiliante parce qu’elle prouve que celui qui cherche par ce moyen à gagner votre confiance, vous croit capable d’être séduit par de ridicules éloges.

L’agitation du corps semble calmer le trouble de l’âme.

Il y aura toujours une circonstance qui, en amour, donnera une supériorité véritable aux sentiments des femmes sur ceux des hommes : c’est qu’une femme qui se respecte ne peut même concevoir la pensée d’aimer un être qui lui est réellement inférieur, et qu’il n’existe point d’homme dont l’amour ait été arrêté par cette seule pensée.

Qu’est-ce que cette vie qui nous échappe à chaque instant et que nous remplissons si légèrement d’amertumes ? Un supplice, si l’on souffre ; un délire, si l’on est heureux ; et toujours de la vie, de la vie que l’on dépense, que l’on prodigue, qui ne reviendra plus, qui emporte tout ; tout, même l’amour !

Le feu des arts ressemble à celui de l’amour, il enivre, il absorbe, il isole de l’univers et de soi-même.

À un petit nombre d’exceptions près, celui qui occupe une grande place, sans y avoir été porté par l’opinion publique, son droit, ou son mérite, est nécessairement un intrigant.

La conversation des femmes, dans la société, ressemble à ce duvet dont on se sert pour emballer les porcelaines : ce n’est rien, et sans lui tout se brise.

Les personnes franches et loyales se livreraient moins qu’elles ne le font, si elles pouvaient se figurer à quel point ce qu’elles disent dans l’abondance de leur cœur est interprété bizarrement, et quelquefois dangereusement, par la plupart des personnes qui les écoutent.

Il y a trois choses qu’un honnête homme ne doit jamais permettre que l’on offense réellement devant lui, quoi qu’il puisse en penser : c’est sa patrie, sa religion et sa famille.

Un des plus beaux avantages des âmes droites et grandes est de n’avoir jamais même compris la possibilité d’une bassesse.

Le bonheur est comme la santé, un parfait équilibre, un calme, un état simple et naturel dont on jouit sans penser à s’en rendre compte. Du moment où l’on s’en aperçoit, où l’on en parle, où l’on s’en applaudit, il doit déjà être altéré par des causes, des craintes que l’on n’ose s’avouer à soi-même, et sur lesquelles on cherche à se rassurer, ou plutôt il n’existe déjà plus.

La bouche de l’homme de bien ne peut pas plus proférer de mensonge que celle de l’homme faux ne peut dire la vérité.

Passé un certain âge, on considère les hommes et les événements comme on lit un roman ou comme on voit un spectacle ; on en devine au premier abord le commencement, la suite et la fin. C’est ce qui rend les vieillards si détachés de tout.

Le sang-froid avec lequel un homme qui veut en tromper un autre observe les sensations qu’il fait naître en lui par ses discours ou ses actions, les fausses joies, les fausses douleurs, les fausses espérances qu’il éveille dans son âme, ce sang-froid a quelque chose d’affreux, et place en cela l’homme fort au-dessous de l’animal le plus féroce qui au moins attaque ouvertement, et ne cède dans sa fureur qu’à la loi du besoin, ou à l’instinct que lui a donné la nature.

On a besoin de s’accoutumer à tout, au malheur, à la maladie, au bonheur même.

Un des vices des esprits médiocres est de juger d’après eux les esprits élevés et les grands caractères ; de leur supposer des vues, des intentions, des projets qu’ils calculent nécessairement d’après leurs petites passions, et de donner à leurs moindres actions les interprétations les plus révoltantes …

L’amour !… Qu’est-ce que l’amour ? … Un caprice, une fantaisie, une surprise du cœur, peut-être des sens ; un charme que se répand sur les yeux, qui les fascine, qui s’attache aux traits, aux formes, aux vêtements même d’un être que le hasard seul nous fait rencontrer. Ne le rencontrons-nous pas ? rien ne nous en avertit, ne nous trouble … nous continuons de vivre, d’exister, de chercher des plaisirs, d’en trouver, de poursuivre notre carrière comme si rien ne nous manquait ! … L’amour n’est donc pas une condition inévitable de la vie, il n’en est qu’une circonstance, un désordre, une époque… que dis-je ? un malheur ! une crise … une crise terrible … elle passe et voilà tout.

Deux angoisses de l’écriture : ne plus rien avoir à dire, n’avoir jamais fini de dire.

Les petites âmes, qui devinent avec tant de sagacité l’endroit où elles doivent frapper les âmes élevées pour leur causer une profonde douleur, n’ont pas même le sentiment, le moindre instinct du mépris qu’elles leur inspirent.

Le malheur grave les époques dans l’âme.

L’amour tient tant de place dans la vie ! C’est quand il n’est plus là que l’on sent le poids de ces longues minutes qui doivent s’écouler sans lui ; c’est quand nous l’avons perdu que nous voyons qu’il était le motif de toutes nos actions, le charme de toutes nos pensées, le foyer de tous nos sentiments ; c’est alors seulement que nous comprenons bien ses véritables délices, et que, privés de la plus chère moitié de nous-mêmes, nous errons dans le vide de notre âme, et ne jetons plus autour de nous que des regards tristes et désenchantés.

Pas plus sans doute que l’on aime ou que l’on souffre, il ne faut dire que l’on écrit.

La pensée est une sensation, l’une des plus belles peut-être.

Il y a une chose qui est quelquefois abominable à voir, c’est l’intérieur des familles.

L’idée d’un demi-dévouement n’entre pas dans l’esprit, on pourrait dire dans les facultés d’une femme : l’homme, au contraire, accommode toujours, sans s’en apercevoir, son dévouement avec son intérêt et ses goûts ; c’est ce qui fait entre eux ce continuel mécompte de sentiments et de procédés.

L’insolent orgueil de celui qui sait beaucoup, mais qui ne s’est rien approprié, fait pitié à celui qui sait peu, mais qui sait bien.

Un philosophe [J. J. Rousseau] a dit : La meilleure de toutes les habitudes serait de n’en contracter aucune. Quoique cette pensée frappe et séduise au premier moment, on s’aperçoit, en y réfléchissant, qu’elle n’est réellement applicable, ni aux hommes, ni à la société. Nous ne sommes pas maîtres d’avoir des habitudes ou de n’en pas avoir. Elles sont la suite de notre organisation régulière, qui nous rend sans cesse, malgré nous, les mêmes désirs, les mêmes besoins, les mêmes sensations. La nature, toujours sage et prévoyante, nous a donné, il est vrai, la faculté de plier nos habitudes à la nécessité, et quelquefois à notre volonté ; mais, outre que cette faculté est bornée, elle n’est qu’illusoire ; car nous ne renonçons à une habitude que pour en contracter une autre, et nous revenons ainsi, par un chemin différent, au point d’où nous étions partis. En un mot, nous ne pouvons que nous soumettre à cette première condition de notre existence; et si, en effet, il était possible à l’homme de s’y soustraire, celui qui y parviendrait ne serait plus qu’un être malheureux et isolé sur la terre, parce qu’il serait sans cesse en opposition avec lui-même et avec les autres, et parce qu’ayant pris l’habitude de n’en pas avoir, l’ordre nécessairement établi dans les relations, les devoirs, les plaisirs même de la vie sociale, la lui rendrait insupportable.

Rien ne pèse plus sur l’âme que le souvenir de l’offense dont il a été impossible de témoigner son ressentiment.

Les divers types de flying monkeys

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La triangulation étant l’une des armes préférées des PN, tous emploient des agents, que l’on nomme « Flying Monkeys » (en référence à ceux du film Le Magicien d’Oz) – j’ai d’ailleurs écrit plusieurs articles sur ces agents du Mal (voir à la fin de l’article).

Tous les Flying monkeys ne se valent pas ; il en existe de différents types, plus ou moins nocifs ;

1. Les « mouches du coche », c-à-d les fâcheux bien intentionnés, avides de fourrer leur nez dans les affaires des autres & dans les choses traumatiques, même s’ils ne pigent pas de quoi il s’agit & que ça ne le regarde pas.

Ceux-ci sont des « no-life » cherchant à pimenter leur vie en y intégrant des sensations fortes ; affamés d’excitation, ils adorent le « drame », et le PN le leur offre grâce à ses échanges avec la victime.

Ce n’est pas tant qu’ils sont mal intentionnés, mais c’est qu’ils sont attirés par ce genre d’interactions & leur climat dramatique.

2. Les fauteurs de trouble ; ceux-là sont mal intentionnés. Ces flying monkeys hostiles se spécialisent surtout dans le répandage de rumeurs. Ceux-ci ne croient pas toujours les mensonges du PN, mais aiment à détruire des vies ; celles de gens qui valent mieux qu’eux.

3. Les machiavéliques loyaux ; ceux-là croient les mensonges du PN, parce que ça les arrange !

En aidant le PN dans sa tâche de mort, ils savent très bien qu’ils font le mal, et, étant eux-mêmes des PN ou ayant des traits psychopathiques, ils se montrent les plus extrêmes – par exemple, en harcelant directement la victime du PN.

4. Les lâches ou faiblards ; ceux-ci n’ont pas la force mentale de résister au PN. On peut dire d’eux qu’ils ne sont pas tant manipulés, qu’effrayés ou intimidés.

Le PN peut les priver de quelque chose qu’ils désirent ou dont ils ont besoin, alors, ils laissent les abus se commettre sans réagir, ou y participent, pour « hurler avec les loups » & rester bien à l’abri du danger !

C’est le cas, par exemple, de subordonnés envers un chef PN qui torture un autre employé, choisi comme bouc émissaire ; ils craignent de perdre leur boulot, ou de devenir, eux aussi, la cible du chef sadique.

5. Les manipulés : ces gens sont des benêts qui se laissent berner par les apparences et qui, dans leur ignorance de la vie, ne peuvent imaginer, même une seconde, que le Mal existe, et que quelqu’un puisse salir quelqu’un d’autre sans aucune raison. Ils marchent donc à fond dans les mensonges du PN.

Ce dernier a su les convaincre qu’ils font quelque chose de bien en fuyant ou méprisant sa victime et en protégeant le PN. On peut en dire qu’ils expriment « l’innocence au sourire sanglant » de Kundera.

Si on examine les traits de ce 5ème type de flying monkeys selon le modèle Big Five, on voit qu’ils ont un haut niveau d’extraversion, d’agréabilité (ils font facilement confiance, croient ce qu’on leur raconte et sont donc aisément manipulables) & de neuroticisme.

Et le pire, c’est qu’une fois qu’ils se sont fait cette idée fausse de la situation, il est quasiment impossible de les faire changer d’avis (c-à-d comprendre la vérité) !

Si, en tant que victime, un de ces flying monkeys vous approche pour vous blâmer, sur base des mensonges que le PN leur a mis dans la tête, ou s’il tente de jouer les intermédiaires pour le PN (lorsque vous avez, par ex, coupé les ponts avec celui-ci), adoptez une attitude neutre, indifférente, et tâchez de changer de sujet de conversation.

S’il insiste, laissez-le là & partez.

Ne faites surtout pas l’erreur de réagir violemment aux mensonges que le singe savant du PN vous régurgite bien docilement, car ce faisant, non seulement vous confirmez le flying monkey dans la mauvaise opinion qu’il a de vous, mais vous fournissez sa « pitance » au PN ! Celui-ci, en effet, attend avidement que sa marionnette vienne lui raconter vos réactions aux méchancetés qu’il vous a lancées.

Ne donnez pas cette satisfaction au PN !

Et ne vous expliquez pas non plus au flying monkey, dans l’espoir qu’il comprendra ce qu’il en est ; c’est « mission impossible » avec de tels imbéciles ; il ne ferait que tout embrouiller et vous faire encore plus la leçon … Souvenez-vous que pour une raison ou une autre, cet individu a BESOIN de croire du mal de vous.

Sans compter que cela fournirait d’utiles informations au PN ; comme savoir = pouvoir, les PN tirent en effet parti de chaque info sur leur victime, qu’ils utilisent ensuite pour pouvoir viser juste & la blesser au cœur !

De plus, ce serait récompenser un mauvais comportement – ce qui, comme pour les enfants, ne ferait que renforcer ledit comportement ; vous vous retrouveriez alors avec plus (+) de ce genre d’attaques « par procuration », de ce flying monkey ou d’autres.

L’indifférence est donc la meilleure méthode pour vous protéger …

Si ce sujet vous intéresse, voici mes autres articles sur le sujet ;

Le PN & ses flying monkeys

Les obligeants « flying monkeys »

Plus sur les flying monkeys

Pourquoi les Flying monkeys se font-ils les complices du PN ?

Le PN & ses complices secrets

Ne diffusez pas la diffamation des PN

Etude de cas ; « L »

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Exposé des faits

Dernièrement, une femme, prétendant en avoir marre de souffrir & d’être déprimée, fait appel à moi pour la guérir d’un soi-disant PTSD.

Durant notre longue conversation, elle m’apprend qu’elle est « autiste Asperger », jamais mariée (et ne veut pas d’enfants, a 33 ans, une sœur de 29, un père suicidé en 2018, une mère PN, une demi-sœur de 5 ans, qu’elle vit à Paris, qu’elle est athée – mais avec des principes & du sens moral (tous disent ceci, & c’est presque toujours faux), qu’elle fume des cigarillos & est sans doute végane.

Exemple de ses croyances : le schéma de l’univers, des galaxies et des planètes, c’est du pipeau, les étoiles sont très proches de nous (d’ailleurs, les enfants, non-pollués par l’éducation, le voient bien), et non loin comme on veut nous le faire croire, la terre n’est pas ronde, personne n’est jamais allé sur la Lune, et autres idioties de même farine.

J’avoue que là, je doute déjà fortement de son génie … Un sage chinois a dit que l’être sage observe & s’informe d’abord avec précision et sans préjugé, puis se forme une croyance, tandis qu’à l’insensé, ses croyances lui disent quoi voir.

D’ailleurs, durant notre longue conversation, le SEUL moment où j’ai senti qu’elle était vraiment intéressée, c’est quand je lui ai expliqué l’histoire du travail (fausse Lune) de Kubrick pour la Nasa en ’67 – j’ai vu que ça l’intéressait car cela la confortait dans sa théorie du non-voyage sur la Lune. Pour tout le reste, elle ne m’a quasiment pas écoutée – avide qu’elle était de montrer son savoir …

Se référant à mon article du 6.02.’21, elle m’écrit : « Si t’as besoin d’être agressive pour faire passer tes idées c’est dommage » – 1er exemple de projection – car dans l’article en question, je me contente de citer des faits … Pourquoi serais-je agressive ? C’est bête)(& ça confirme, une fois de plus, qu’il ne faut jamais donner d’explications !)

Et ajoute : « Juste pour te dire que le ton de ton article m’a fait arrêter la lecture après le. 1er paragraphe » – Il est pourtant clair qu’elle a lu tout cet article, puisqu’elle y réagit agressivement – les derniers alinéas faisant effectivement référence à sa réaction ; j’y écrivais que je savais que je me ferais critiquer pour cet article, et que ces critiqueuses prouveraient que beaucoup de femmes sont si bêtes qu’elles ne peuvent même pas voir que c’est ELLES qui paient cet aveuglement généralisé, & je terminais en citant Benjamin Delessert ; « La vérité n’offense que les menteurs, les hypocrites & les sots ».

Et avec ça, lors de notre 1er échange téléphonique, elle n’avait pas de mots assez durs pour les femmes actuelles, qu’elle traite de dégénérées … C’est l’hôpital qui se moque de la charité, non ?

Elle est toujours en position de « je le sais mieux, tu n’es qu’un pauvre ignorant & voici ce que tu dois croire » ( !) – & ce en sortant des balivernes grosses comme des maisons.

Elle se dit « gentille », mais quand elle décrit ses actes, ils montrent l’inverse. Et les invectives de sa page Facebook ne montrent aussi que des critiques envers tout et tout le monde (d’ailleurs, elle vient encore – pour la énième fois – de se faire bannir pour 30 jours de Facebook pour discours haineux).

Ceci confirme que quand un être non-éveillé parle des autres, tout ce qu’il en dit se rapporte en fait à lui-même – car moi par ex. (comme la plupart des gens & malgré ma soi-disant « agressivité »), je n’ai jamais été bannie de Fb.

TOUS ses posts sont ainsi dans la râlerie, la critique, le blâme & le Virtue Signalling – pas étonnant qu’elle aille mal, avec cette négativité & nocivité (accusations, complotisme, cérébralité excessive, drama queen) ; c’est le « salaire » habituel de ce genre d’attitude.

Je l’informe donc que si on veut vraiment améliorer le monde, il ne faut pas blâmer les autres, que chacun doit le faire en devenant un meilleur individu, & en aidant autrui, et pas en dénonçant des scandales – ce qui ne change rien et n’est que de l’ego tripping.

Durant notre entretien, elle signale plusieurs fois qu’elle est très « savante » & montre un fort besoin d’« instruire » les autres & de dénoncer des scandales – en se plaçant « du bon côté » grâce à une indignation vertueuse.

J’avais envie de lui poser la fameuse question du Dr Phil ; comment est-ce que ça fonctionne pour toi, cette mentalité, ces croyances, et ces façons d’agir ?

Car malgré sa « brillante intelligence », sa vie va à vau-l’eau, elle n’a ni mari, ni rien dans sa vie, et elle songe au suicide … A quoi sert une intelligence qui nous mène à une telle misère ? Et peut-on appeler ça de l’intelligence ? Ceci démontre, au contraire, un singulier manque de jugeotte.

Comment n’a-t-elle pas vu qu’il faudrait qu’elle commence à tourner le projecteur vers elle-même, au lieu de s’occuper des péchés du monde ?

« Ote d’abord la poutre de ton œil, avant de songer à ôter la paille de l’œil de ton voisin », a dit Jésus. Elle passe ses journées à regarder partout autour d’elle & à condamner, là où il faudrait regarder en elle-même.

L’ennui, c’est qu’alors, il serait impossible de continuer sa comédie de la gentille savante ; elle serait forcée de mettre le nez dans des choses pas très propres sur elle-même …

On le voit, L. est déséquilibrée, car trop cérébrale, adepte de théories grotesques mal digérées, et monomaniaque (pour elle, TOUT est dû aux glandes endocrines et surtout à la glande génitale interne) – mais avec ça, très sûre d’elle & de son génie … un trait typique des gens les plus bêtes et les plus déraisonnables. Cette pauvre fille illustre parfaitement la citation de Chesterton : Le fou, ce n’est pas celui qui a perdu la raison, c’est celui qui a tout perdu, sauf la raison !

Socrate en a dit ceci : « les gens intelligents apprennent de tout & de tout le monde. Les gens moyens apprennent de leur expérience. Les gens stupides ont déjà toutes les réponses ». Vu les éléments qu’elle a montrés jusqu’ici, on peut donc légitimement déduire qu’elle est stupide …

Elle prétend avoir été la proie de pervers narcissiques, mais j’en doute. En outre, elle me fait la leçon, veut m’apprendre des choses et me convertir à ses croyances – et ce, alors que j’ai le double de son âge, que j’ai appris bien plus et surtout, que j’ai du bon sens.

Elle dit en avoir marre d’être déprimée – tout en refusant de lâcher ses idées & rejetant les miennes.

On n’a le droit d’avoir raison qu’avec les faits dont on dispose – or, les faits sont pour moi ; je vis bien, tandis que « Madame Je Sais Tout » est une loque humaine.

En fait, j’ai rarement vu un déprimé sans voir un être vivant mal et faisant le mal aux autres & à soi. Mais elle n’a pas eu assez de malheurs que pour être au fond du trou – sinon, elle serait plus humble (ou plus vraisemblablement, vu sa nature débile, morte).

Si elle était vraiment lassée de son état, elle accepterait de s’effacer & aurait soif d’apprendre, alors qu’elle adopte clairement la position du maître d’école ou du dictateur ; celui qui sait tout & veut l’imposer aux autres.

Guérir exige l’humilité de reconnaître qu’on fait fausse route, et ensuite, de se vider de toute la sottise qui nous nuit, et se placer en position de recevoir. Vu qu’il est impossible de guérir une chose qu’on refuse de reconnaître ; il faudrait d’abord qu’elle découvre le pourquoi de son attitude.

On pourrait conclure qu’elle souffre de croyances inconscientes l’amenant à se punir en se sabotant, mais les indices me poussent à un autre diagnostic ; celui de ce que j’appelle un « ego-baudruche », typique des êtres dérangés.

Elle reproche aux hommes de ne pas savoir d’où ils parlent (c-à-d qui ils sont, qui ils furent petits, et ce qui les fait parler & agir comme ils le font), et dit qu’on peut « transcender le fonctionnement de programmation de nos instincts », mais elle est au même point ; elle n’a AUCUNE lucidité réelle.

D’autant qu’avec son caractère dictatorial & querelleur (caractère qui a sûrement poussé tous ses mecs à la plaquer) & sa manie de vouloir claironner partout son intelligence (malgré qu’elle ne sache pas se mettre à la place des autres, ce qui est un signe de bêtise), ça ne peut pas tourner bien.

Dans les jours qui suivent cette conversation, elle m’envoie un poème étrange, et comme je réponds que je n’y pige rien, elle me dit qu’elle aussi avant, ne pigeait pas, mais que c’était parce qu’elle était à un niveau plus bas, et que là, ça commence à venir – Sous-entendu ; si je ne pige pas, c’est que je suis à un niveau plus bas …

Elle m’envoie ensuite des tonnes de messages vocaux de banalités ; qu’elle est tombée à patins & s’est fait mal étant petite, qu’elle faisait de la moto, etc … Ceci est un trait typique des PN ; raconter indéfiniment des détails sans intérêt, et se sentir en droit de prendre tout le temps & l’énergie des autres.

Aussi, j’avais posté un « meme » comique (du pape François ressemblant à Woody Allen), mais au lieu d’en rire, elle affirme que les oreilles ne sont pas pareilles – et comme je dis que c’est pas très évident, elle répond très fermement qu’elle a raison.

Elle n’a visiblement aucun humour & par contre, un don pour créer des discussions à partir de tout. Bref, c’est une fouteuse de merde, du genre qui ferait se battre des montagnes ! (au vu de cette propension à l’agressivité, je prévois donc qu’un jour, elle s’en prendra à moi & ne lui réponds plus que par monosyllabes).

Pas étonnant que son pseudo Fb est un terme désignant un phénomène violent & incontrôlable … Il la décrit parfaitement !

Et voilà le « drama » ; un gars auprès de qui elle voulait pontifier, s’est énervé, et du coup, elle m’envoie des dizaines de messages vocaux, pour se plaindre & jouer les victimes.

J’ai beau lui dire que je dois partir, elle continue à me submerger de messages ! (bien sûr, je n’y réponds pas).

Analyse approfondie

On se trouve en face du cas typique – celui du patient sans valeur, qui dit une chose & fait l’inverse ; il prétend vouloir guérir, mais se complaît dans sa misère & s’y accroche.

Comme elle me fait perdre mon temps à des discussions absconses qui ne mènent à rien, je suis tentée de lui dire : TU m’as demandé de t’aider – donc, c’est que tu reconnaissais que je sais des choses que tu ignores. Mais tu contredis tout ce que je dis et tu t’accroches à tes croyances. Tu « sais » déjà tout, malgré que ça ne t’apporte que de la misère & tu n’as pas l’humilité de vouloir te changer, t’ouvrir à d’autres vérités, te mettre en position de recevoir un enseignement. Dans ces conditions, je ne vois pas ce que je peux faire pour toi – mais, sans faire de procès d’intention, ce qu’elle m’a montré jusqu’ici m’incline à penser qu’elle ne comprendrait pas. Je ne peux qu’éviter qu’elle phagocyte mon temps & mon énergie à des échanges farfelus & délirants.

Changer est dur – surtout que, comme l’a bien dit D. de Cosnac (Aumônier de Monsieur) : « Il est presque impossible de changer la nature humaine, quand elle a une fois pris sa pente », mais chez ceux à l’esprit fort, c’est possible.

Chez les êtres débiles, par contre, les ersatz à une estime de soi saine offrent une alternative plus facile (car coulant de source) et moins pénible que de devoir fouiller en soi, examiner honnêtement sa conduite & ses mobiles, et en tirer les conclusions logiques.

On perd son temps & son énergie à vouloir soigner ces personnes ; leur dérangement mental fait qu’elles n’écoutent pas les conseils de bon sens, & continuent à s’accrocher à ce que leur souffle leur ego malade.

Bien sûr, elle va droit dans le mur – mais elle n’a pas encore atteint l’âge où les conséquences apparaîtront clairement – et tant qu’elle continuera à croire avoir raison & voir clair, rien ne s’améliorera.

Tant que les conséquences graves de sa déraison sont encore « sous terre » en quelque sorte, en train de germer, son système est viable ; elle peut continuer à fonctionner parce qu’elle garde une estime de soi – qui, bien sûr, n’est pas basée sur des qualités réelles (qu’elle ne possède pas), mais sur le « principe de la bicyclette » (rabaisser d’un côté, pour se remonter de l’autre). Ce n’est que quand ces conséquences « sortiront de terre » pour éclater au grand jour, que son système s’écroulera – et plus elle aura attendu, plus lesdites conséquences seront graves … mais ça, elle l’ignore.

C’est comme le gars qui s’est jeté du 30ème étage d’un building et qui, passant devant le 20ème étage, dit : Jusqu’ici, tout va bien !

Si, par miracle, elle comprenait ceci & décidait REELLEMENT de changer, elle devrait en 1er lieu accepter de s’abandonner, se dire : « je choisis quelqu’un dont je SAIS qu’il (elle) a les connaissances requises, l’expérience vécue, du bon sens & la moralité pour ne pas profiter de cet état d’abandon de mes défenses pour profiter de moi ou me blesser » – ce qui est mon cas.

Je voulais la guérir, mais, comme l’a dit Hippocrate, « avant de guérir quelqu’un, demandez-lui s’il est prêt à abandonner les choses qui le rendent malade » – & je vois bien qu’elle ne l’est pas !

Pour qu’elle le soit, il faudrait d’abord qu’elle comprenne qu’elle est moins maligne qu’elle ne pense, qu’elle en sait moins qu’elle ne croit, qu’elle est malade et que je sais mieux qu’elle ce qui la sauverait … L’ennui, c’est qu’on juge de notre esprit … avec notre esprit ; donc, on en a toujours assez, & il est toujours de bonne qualité.

Elle devrait rejeter ses croyances nocives et au moins tenter le coup en adoptant d’autres croyances, puis juger des résultats obtenus, pour voir lesquels sont les plus véridiques – sachant que l’efficacité est la mesure de la vérité.

En fait, chacun a les croyances qui répondent à ses besoins. Par ex, les gens envieux ou agressifs vont croire (c-à-d dénicher partout des « preuves ») qu’on les attaque, pour pouvoir, justement, faire ce que leur mentalité les pousse à faire, c-à-d attaquer.
La marque d’une vraie sagesse est de vivre serein, non d’avoir l’esprit agité de tempêtes perpétuelles.

A-t-on déjà vu, par exemple, de Dalaï Lama en train de crier, d’insulter les gens ou de pleurnicher en disant qu’on lui a fait du mal et que ses ennemis sont des salauds ? Bien sûr que non !

Mais comme tous ceux qui n’ont pas de vie utile sur cette planète, elle a le besoin d’injecter de la vie dans son existence à l’aide de ces tempêtes d’émotions. On voit de plus en plus de ces gens ; ils ont besoin de se trouver des ennemis, de créer des conflits ou des accidents, ou de s’étourdir dans l’alcool ou la drogue, …

Surtout, ils se donnent artificiellement une valeur – pis ; une supériorité ! – de par un certain « savoir » et par le fait de dénoncer d’un ton outré des maux de la société.

Capture d’un message montrant son problème :

Comme je lui demande pourquoi elle lui dit ceci, voici sa réponse :

Voilà donc son idée d’une relation ; faire la leçon au gars & lui montrer sa supériorité … Ca part mal …

On peut voir aussi – son « ça marche » le prouve – que TOUT lui sert à réaffirmer sa supériorité … Ce trait est tellement typique des êtres sans valeur.

Et comme si le bon moyen de se faire une idée sur la qualité d’une relation passait par la cérébralité ! D’ailleurs, quel âge mental faut-il avoir pour tester ainsi les gens avec qui on veut une relation ?

Et remarquez qu’elle est enchantée … de quoi ? De l’avoir pris en faute … Ca commence bien !

Pense-t-elle vraiment que les hommes supporteront une telle mégère ? Et même s’ils la supportent, une telle attitude peut-elle faire régner l’harmonie ? Il est clair que non.

Une relation (d’amour ou d’amitié), c’est se sentir bien avec l’autre, et être au même niveau, et non pontifier du haut de sa superbe, vouloir prouver à l’autre par A + B qu’il se gourre, s’enorgueillir d’en savoir plus que lui, et lui faire des cours sur la condition masculine.

Et son idée que pour apprendre à connaître quelqu’un, il faut lui exposer ses propres idées, révèle encore l’illogisme de sa pensée – tout être sensé voit en effet que c’est l’inverse qui marche ; le laisser parler & bien écouter ce qu’il dit, car c’est la vision du monde d’un individu qui révèle son caractère.

Je réponds donc en lui demandant si c’est bien raisonnable, et voici sa réponse :

Bref, au lieu de donner une réponse simple, j’ai encore droit à un laïus … Tout est sujet à pontifier, semble-t-il (je vous épargne la suite, qui vous lasserait autant que moi).

Quant à « l’orgueil se dompte », il n’a rien à faire là et expose une fois de plus sa problématique mentale.

Voilà pourquoi elle est seule (et le restera probablement) alors qu’elle ne veut pas l’être ; au lieu d’être ouverte, d’échanger avec tact & au même niveau, elle ne vise qu’à discuter, polémiquer, pontifier & gagner, et lui prête de mauvaises intentions.

Alors que cet homme et elle ont de grands points communs et qu’une belle relation pourrait s’ensuivre, elle ne peut s’empêcher de chercher la confrontation et l’affirmation de sa supériorité – bref, voilà comment on perd en « gagnant » !

Ceci illustre le comportement de TOUS les êtres indignes ; au lieu de suivre une voie de développement personnel continu – où, chaque jour, on travaille à devenir un meilleur être humain (un meilleur époux, ami, parent, collègue, …), on crée un « nous » (nous ; les bons, les intelligents, les raffinés, …) et un « eux » (eux ; les idiots, les barbares, les mauvais), et l’on claironne partout & à toute occasion des « preuves » qu’on se trouve dans le 1er groupe !

Ils ne postent que des infos négatives – du genre ceux qui abandonnent leur chien, ou tapent leur femme, ou couchent avec des gosses, qu’ils font suivre de commentaires indignés – cette indignation vertueuse étant là pour montrer à tous qu’ils réprouvent ces choses et ne sont pas du genre à jamais les commettre.

En fait, c’est un besoin chez ces individus-là ; comme leur valeur n’est en fait qu’une grosse baudruche pleine de vent (« fake », donc), et que le réel leur envoie sans cesse des démentis à cette bonne opinion qu’ils ont d’eux-mêmes, ils sont obligés de réaffirmer sans cesse leur prétendue bonté, intelligence & supériorité au monde entier … Et si le monde y croit, ça les aide à y croire eux-mêmes …

C’est ce qui fait que sur Facebook, on voie tant de résultats de soi-disant tests de personnalité, où le sujet reçoit des compliments dithyrambiques (toujours les mêmes, du reste) sur son caractère.

Des tests sérieux ont prouvé que ceux qui font du virtue signalling présentent des traits psychopathiques. Et connaissant bien certains de ceux qui postent ces fariboles, je peux dire que ce sont effectivement tous des individus nocifs.
Les êtres bons que je connais ne postent jamais de ces tests ou de ces posts indignés.

Bref, que d’énergie dépensée en vain par L. & ses semblables dans ces activités contre-productives ! Car enfin, renforcer son ego n’est VRAIMENT pas la chose à faire – or, ces gens-là ne font quasiment rien d’autre de leurs journées (notez qu’avec toute cette indignation vertueuse, ils ne font strictement RIEN pour agir concrètement contre les maux qu’ils dénoncent – et en sont parfois coupables eux-mêmes).

Bien sûr, tout le monde ne peut pas être un grand philanthrope, mais comme disait Mère Teresa : « Si vous ne pouvez pas faire de grandes choses, faites de petites choses de façon grandiose » – bref, rendez-vous utile, ne fût-ce qu’à votre petit niveau. Or, jamais ces « indignés chroniques » ne font cela !

Et quand ils ne sont pas occupés à s’indigner, ils sont en train de pleurnicher sur leur sort, sur les injustices subies des autres & de la société, qui piétine leurs droits et refuse de reconnaître leur bonté & leur grandeur.

Malheureusement, la plupart des gens ont (ce n’est pas moi qui le dis, mais ceux qui ont étudié la question) un niveau de conscience assez bas, en sorte qu’ils ne font que suivre leurs instincts, écouter leurs mauvais penchants et avoir les besoins cités ci-dessus – en sorte qu’on ne peut rien faire pour les sortir de leur merde mentale et des problèmes qui en découlent.

Les gens ne sont pas coupables de ces problèmes, vu qu’ils n’ont eu aucun choix quant à leurs gènes, leurs expériences précoces, leur niveau d’intelligence et de sensibilité, qui ont modelé ce qu’ils percevaient du monde & comment ils l’ont interprété.

Mais par contre, ils sont responsables ; responsables d’en prendre conscience, et de faire ce qu’il faut pour mener une vie utile (à eux comme aux autres) – et ça, bien peu de gens le font, donc, bien peu de gens peuvent être aidés, en réalité. Traînant une vie morne & négative, ils ont besoin d’injecter de la vie dans leur vie (& de se punir aussi) en créant des drames.

Evidemment, ils ont des excuses ; d’abord, nos vies sont très stressantes, et on subit des pressions diverses, ce qui nous pousse à choisir les croyances et les réactions les plus basiques.

Ensuite, tandis que les mensonges s’étalent partout dans les me(r)dias, la vérité est muselée & supprimée – & donc, on a bien des raisons d’avoir des croyances fausses – Il est évident que, quand on sait mieux, on agit mieux.

Mais si ces personnes non-conscientes réfléchissaient sérieusement à leur vie, en rejetant les 1ères réponses qui surgissent (celles dictées par l’ego, qui offrent de fausses bonnes raisons à tout ce qu’on fait), ils se rendraient compte que, sans les drames qu’ils causent (souvent inconsciemment) & leurs indignations et autres passions futiles, il ne se passerait littéralement plus rien dans leur vie et ils verraient qu’elle n’a en fait aucun sens. La vraie vie est la vie de l’Esprit (non le mental, mais l’âme).

Mais bon, ils ont « un petit système qui marche » et qui les soutient plus ou moins, les empêchant d’être poussés à faire une introspection honnête. Et L. en est là aussi ; comme ces êtres inconscients, elle n’a ni vrai savoir, ni bon sens, ni bonté réelle, ni humilité, ni moralité.

Très éclairant par exemple, est le fait que, lui disant au revoir après un échange de messages (je devais partir), elle me demande si je lui en veux. Elle sent donc confusément (ou en a l’expérience) qu’elle agit en sorte qu’on lui en veuille – par ex, de façon non-respectueuse. Et de plus, si je répondais oui, ça lui donnerait l’opportunité de faire ce qu’elle préfère dans la vie ; créer une dispute – ou au minimum, une discussion …

Aussi, que, suite à un de mes articles – assez dur, mais informatif – elle me dise que je suis agressive ; on voit ici la projection de ses propres tares sur autrui – un phénomène typique des individus dérangés.

Et comme je dénonce la bêtise de ce genre de réactions (clairement non pour m’en moquer ou le leur reprocher, mais en disant bien que, ce faisant, elles se font du mal à elles-mêmes), elle se sent visée & m’envoie un message injurieux, bourré de termes très grossiers … ce que, ayant l’expérience de ce genre d’individus, j’avais prévu de toute façon.

Cette réaction démente, typique d’une « défense de l’ego », ne fait qu’illustrer que chez les individus à l’ego surdimentionné, la moindre piqûre à l’ego est prise comme un danger mortel, provoquant une rage démesurée contre celui ou celle qui l’a causée … (un trait caractéristique des pervers narcissiques).

Le bonheur est inséparable de la vertu et exige du courage – ici, celui de la lucidité – laquelle consiste à oser se voir comme on est, ce qu’on fait exactement, & pourquoi on le fait.

Par conséquent, tant qu’elle n’aura pas pris conscience de sa situation réelle (ce qui, vu son mental très déséquilibré, est quasiment impossible), elle continuera sur sa lancée, et rien ni personne ne pourra arrêter sa course à l’abîme.

En soignant autrui, je vise l’efficacité, et pour ça, il faut l’intégrité … qui est totalement absente ici. On a tous des problèmes, & du « bagage en excès », et au fond, on est tous bizarres – mais ce qui différencie les gens fréquentables des autres, c’est la bonne  volonté de s’examiner & de s’améliorer, de s’ouvrir aux informations nouvelles, d’aller vers les autres & de les respecter.

Comme pour tous ceux ayant fait appel à moi, je me suis mise de son côté, et étais sincèrement désireuse de l’aider à s’en sortir, mais à l’impossible, nul n’est tenu … Abdu’l-Baha a dit un jour que l’être sage n’offre son savoir qu’à celui qui écoute, comme l’échanson ne remplit la coupe que de celui qui est assoiffé – Ainsi ferai-je, car on ne peut remplir une coupe que si elle est vide … Si elle est toute pleine d’ego, on ne pourra y verser aucune goutte de Savoir !

Je peux soigner des personnes névrosées – c-à-d des gens qui ont été nourris d’informations fausses, qui les desservent & leur créent des problèmes, mais qui ont gardé le contact avec la réalité – mais je ne peux rien pour les psychotiques, car ceux-là ont perdu tout contact avec les faits.

Or, la thérapie implique de parler pour changer leur façon d’interpréter le monde, de switcher vers des croyances qui les servent (car plus adaptées au réel), & c’est justement ce qui est impossible avec eux, puisque, trop faibles que pour accepter le monde tel qu’il est, ils ont cessé d’être raisonnables (dans tous les sens du terme) & s’accrochent à leurs délires !

En resongeant à tout ceci, je me suis souvenue du conseil de Jésus ;  » Ne donnez pas ce qui est saint aux chiens, ni ne jetez vos perles devant les pourceaux, de peur qu’ils ne les foulent à leurs pieds, et que, se retournant, ils ne vous déchirent », et du commentaire qu’en a fait Jordan Peterson : si on essaie d’aider quelqu’un & que ça ne marche pas, il faut cesser ; on perd notre temps. Si on offre quelque chose et que l’autre ne le prend pas, on devrait l’offrir à quelqu’un d’autre – il faut laisser le taré se noyer tout seul et se sauver.

Oui, j’avais très vite vu qu’elle n’écoutait pas mes conseils pour la sauver, & j’aurais dû couper les ponts bien plus vite.

Femmes & connerie

Par défaut

Pourquoi ce titre ? Sans doute parce que l’un va avec l’autre…

L’adage disant « Dieu a fait la femme belle pour que l’homme puisse l’aimer, & Il l’a faite stupide, pour qu’elle puisse aimer l’homme » est TELLEMENT vrai ! Ou Sacha Guitry, qui disait que les femmes sont allergiques à la vérité, comme à une langue étrangère qu’elles n’arriveraient pas à apprendre.

La plupart des femmes méritent ces adjectifs, elles qui me supplient de les aider après s’être fichues dans la merde & ne m’en remercient quasiment jamais, ou m’injurient.

« Discuter avec un idiot prouve seulement qu’il y en a 2 » – Donc, je les évite ; je veux bien causer avec des êtres polis, cultivés, tolérants, d’un niveau de conscience élevé, non avec des gens bêtes, pas informés, dénués de bon sens, agressifs et en plein « ego trip » ; ayant besoin de rabaisser d’un côté pour (se) rehausser de l’autre & ayant le niveau de conscience d’une pierre !

Dès qu’elles s’expriment, on croit entendre des oies se disputant un bout de pain & quand elles se mêlent d’écrire, on dirait des guenons venant d’apprendre à lire & impatientes de « montrer leur science » (voir https://bonheuretamour.wordpress.com/2019/02/24/des-auteuses/).

Je sais que l’immobilisme mental des femmes est dû au fait qu’elles sont (de par leurs gènes et leur éducation) les gardiennes des traditions, et que ceci n’est pas dû entièrement à leurs gènes ; qu’une situation d’oppression de + de 7000 ans les a fait devenir ainsi – surtout que la sélection « naturelle » a favorisé la survie des plus bêtes, lâches, obséquieuses & superficielles (tout comme elle a favorisé les mâles les plus froids, fermés & « fonceurs inconscients »).

Stendhal écrit qu’un badaud qui se promènerait à Versailles en déduirait que les ifs naissent tout taillés – signifiant par là que les femmes deviennent comme elles sont à cause de leur éducation – & c’est toujours vrai … Mais je me souviens aussi d’un philosophe du XIXème siècle, qui voulait libérer les femmes, puis, à force de les fréquenter, en est venu à conclure que ce sont des cas désespérés, car on ne peut les tirer de leurs petites préoccupations mesquines et les amener à des vues plus globales & plus élevées …

Dieu nous a donné un cerveau pour nous en servir – c-à-d, principalement pour piger qu’il ne sert pas à grand-chose & doit toujours être subordonné à Dieu 😉 (Les athées riront de ceci, mais « nul ne nie Dieu s’il n’a intérêt à ce qu’il n’existe pas »).

Il faut donc voir que cet esprit timoré, immobiliste, nunuche est un conditionnement dont, si elles veulent se libérer, et surtout, prétendre à un peu de respectabilité, elles doivent se sortir !

Elles se prétendent libérées, mais plus elles le sont, plus elles sont des marionnettes au pouvoir des hommes ! (voir l’histoire de Meli : https://bonheuretamour.wordpress.com/2020/04/08/lhistoire-de-meli/).

Elles n’ont pas d’avis fondés en raison, mais juste des opinions ; celles qui les arrangent. Elles ne se renseignent pas ; elles ne font qu’avaler & régurgiter docilement des théories (ANTI-FEMMES !) forgées par les hommes.

Elles adorent coller des étiquettes sur tout et tous (ce qui est une violence en soi) et, tels des singes savants, adorent les termes abscons & autres jargons crétins & incompréhensibles (à part, justement, par les tarés dans leur genre !).

« La force d’un esprit se mesure à la quantité de vérité qu’on est capable de supporter ». La plupart des femmes sont donc lâches & faibles d’esprit, car dès qu’elles rencontrent la vérité, elles sont choquées ! (bien sûr, il y a aussi pas mal d’hommes bêtes & mal informés – mais pas à ce point-là !).

Refuser de voir les vérités qui nous déplaisent, accepter de vivre d’espoir, dans les illusions, est nuisible envers soi-même & envers les autres femmes – car elles ont parfois des postes à responsabilités et « enfoncent » les autres femmes au lieu de les aider, à cause de leur cécité volontaire ! C’est « l’innocence au sourire sanglant » dont parlait Kundera !

Voici un exemple de l’aspect « militant » néo-marxiste ; les commentaires d’une certaine « SEH »(dont la photo de profil est montrée ci-dessus) à mon article « de la femme comme jardin » (https://bonheuretamour.wordpress.com/2012/05/10/de-la-femme-comme-jardin/ ) :

SEH : ton article est tout autant patriarcale sur le fond je trouve. Comme si la femme doit attendre son bon jardinier. Non la femme est complète en elle-même, elle n’a pas besoin de bon jardinier pour s’épanouir.

Bea de Laat Voilà mon avis personnel sur la question : je trouve qu’on est sur terre pour faire du bien et que donc, on doit produire avec notre corps (des enfants), notre esprit (des écrits ou bonnes paroles) & notre âme (prières)… sans compter que Dieu nous demande de nous multiplier 😉

SEH : Houla, je suis pas sûr du tout que tu sois sur la même ligne féministe que Francine ou même que tu sois féministe. Déjà rien que d’entendre « Dieu nous demande de nous multiplier » et complètement anti-féministe en tant que tel.

Bea de Laat Je ne suis pas féministe, en effet. Comme je dis plus haut, je ne pense pas… je n’aime pas les théories… Et je suis croyante…

 SEH :  Le féminisme n’est pas une théorie mais une lutte sociale, un mouvement pour la justice et l’émancipation de la femme. Effectivement vu que vous aviez commenté « si seulement les féministes modernes voyaient ça », j’avais pas compris que c’était aussi une critique du féminisme.

Bea de Laat Je ne critique pas le féminisme ; je suis juste pour la vie & j’ai aimé faire mes enfants. D’ailleurs, si on ne se reproduisait pas, le monde serait sans humains d’ici 100 ans.

L’article de Francine (où elle disait que la « libération des mœurs » ne profitait qu’aux hommes) était pour le bon sens – ceci aussi est du bon sens !

SEH : Non ce n’est pas uniquement du bon sens, son article s’inscrit clairement dans le féminisme radicale, et a une ligne politique, ce n’est pas du bon sens, non malheureusement le bon sens dans une société emprunt par des codes patriarcaux, le bon sens n’est pas là où on pense qu’il est.

 Bea de Laat Je ne mets pas d’étiquettes – ni à moi, ni aux autres, ni aux idées – Il y a du bon & du mauvais partout…

Anne-Marie Isabelle Christiane Guyard-Rasmussen il faut eduquer les filles c’est vrai…..mais surtout eduquer les petits garcons ……(Et allez ! Encore leurs chimères du « tout éducatif » !)

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Voilà ce qui arrive quand on s’accroche à ses opinions infondées au lieu de s’informer ! J’ai aussi cru à cette ânerie, mais, m’étant informée, j’ai vu que les neurosciences ont prouvé que c’était une bêtise !

Répondre à ces commentaires est une perte de temps, car c’est parler de « nuées », de choses qui n’existent pas ! Etant expérimentée, cultivée & bien informée, je n’apprécie pas ces papotages bébêtes sans plus de signification qu’une cloche au cou d’une vache !

Conclusion :

Il est dur de devoir constater que ces femmes reprochent aux hommes leur agressivité & font pareil, qu’elles se gargarisent de théories &, avec leur esprit étroit, ne supportent aucune contradiction !

Comme je le disais dans « des auteuses », on dirait des guenons à qui on viendrait d’apprendre à lire, et qui sont toute fières de montrer qu’elles savent – alors qu’elles ne font que régurgiter les « bonnes leçons » des hommes – et les plus stupides ont leur préférence !

Le marxisme culturel, ça leur parle, et elles se tartinent la gueule de ses slogans … sans voir que ça nous fait crever ! J’avais déjà attaqué certaines de leurs croyances dans P.C. & New Age https://bonheuretamour.wordpress.com/2016/03/12/p-c-new-age/, mais là, j’envisage de publier les résultats d’études montrant que ces individus ont des capacités mentales inférieures aux autres…

Après avoir suivi ces « bons conseils », elles viennent pleurnicher, chez moi ou sur les groupes de « victimes », mais surtout, comme tous les êtres mauvais & non-conscients, elles projettent leurs tares & leur mal-être sur des boucs émissaires ; ceux qui disent le vrai –  ça leur évite de devoir s’examiner et constater leur bêtise, leur méchanceté et l’inutilité, la merde morne & désolante qu’est leur vie !

Ouais, allez-y, continuez comme ça ! Vous faites bien le jeu des élites démoniaques – qui, vu votre bêtise crasse – s’engraissent sur notre compte !

Bref, on n’est pas rendus … C’est pas avec des débiles pareilles que la cause des femmes avancera ! Grâce à elles, les hommes violents ont encore de beaux jours devant eux & les révéleurs de vérité seront muselés – car à cause de leur terrorisme, on a peur de dire ce qu’on pense, de crainte de se faire « dogpiler » (comme je l’ai été) …

Le monde dirigé par ces harpies serait encore pis que le monde actuel régi par les hommes !

John (de begood 4000) le dit bien : elles harcèlent, étiquettent & font honte à ceux qui osent avoir du bon sens & infirmer leurs idioties !

Bien que je répande la vérité – ce qui est faire oeuvre de Bien, je me ferai critiquer pour cet article, et (je les connais !) par des femmes – car les hommes lisent moins & s’en foutent, car ils ont une vie, eux !

Ce faisant, ces critiqueuses prouveront qu’elles sont si bêtes qu’elles ne peuvent même pas voir que c’est ELLES qui paient cet aveuglement généralisé !

Et voilà, ça ne rate pas ; une femme me reproche un ton « agressif » et me dit que j’aurais dû m’exprimer plus doucement … Voilà un trait TYPIQUE des connes ; ce sont de « petites choses fragiles » pour qui il faut tout envelopper dans de la ouate – C’est justement pour ça qu’elles préfèrent les « doux mensonges » à la vérité, toujours rêche !

Mais osez avoir un avis différent, & vous verrez ces « petites fleurs » se changer en dragons cracheurs de feu, confirmant le proverbe égyptien ; Téméraire est celui qui vient entre les pattes d’une lionne pour lui enlever son petit. Plus téméraire est celui qui tente d’ôter aux femmes leurs illusions !

Donc, merde ! « Sugarcoating », ce n’est pas mon genre ! Je m’adresse à de vraies femmes (même si je me rends compte que ce n’est pas la majorité) – les autres peuvent aller ailleurs, lire les idioties qui conviennent à leur nature débile !

« Je ne désire pas gaspiller mes paroles pour des esprits fatigués.  Je ne peux parler qu’à ceux qui ont soif de la mer » (Rumi)

PS : une bonne illustration de ceci ;

Cette charmante jeune Américaine était chez une amie, quand elle a vu un alligator. Et comme il avait l’air très chou (d’ailleurs, regardez quel beau sourire il a !), elle a voulu aller le caresser … Conclusion : Ils sont tellement devenus potes qu’ils ne se quittent plus ! Eh oui, puisqu’il l’a bouffée …

Voilà le pouvoir, chez les femmes, de ce désir crétin que les choses soient comme ça les arrange de croire qu’elles sont…Conclusion : quand on est con, on meurt ! Et quand je dis la vérité (sur ceci ou autre chose), les êtres bons savent heureusement en tirer parti pour sauver ou améliorer leur vie.

Quant aux autres … tant pis pour eux ! « La vérité n’offense que les menteurs, les hypocrites & les sots » (Benjamin Delessert)

New Age, Vanité & Destruction

Par défaut

Le mouvement New Age m’a toujours paru stupide, avec ses théories grotesques – mais s’il n’était que cela, ce ne serait rien … L’ennui, c’est qu’il est aussi dangereux (j’en ai traité dans « P.C. & New Age » (https://bonheuretamour.wordpress.com/2016/03/12/p-c-new-age).

Michael Black ayant traité ce sujet plus en profondeur dans sa vidéo du 7/01/’18 (hélas supprimée) ; « The New Age Delusion of ‘Spiritual Awakening’ » (https://www.youtube.com/watch?v=UUG-RJap-ro&feature=em-uploademail),

je l’ai traduite – en respectant totalement ses opinions – et voici ce qu’il en dit :

Ce mouvement New Age, qui est présent depuis 50 ans, vise à renforcer la poussée vers notre esclavagisation totale !

Une de ses figures emblématiques est Barbara Marx Hubbard, une communiste ayant des liens avec le KGB – elle était financée par eux pour propager (dans ses livres) ces idées stupides & destructrices.

Comme de nombreuses agences d’espionnage dans le monde, le KGB avait pigé que ces doctrines-là étaient un bon moyen pour contrôler les gens & avait envoyé – dans les années ’50 & ’60 – des agents en Inde, étudier les gourous, …

Yuri Bezmenov (un transfuge membre du KGB passé à l’Ouest) en parle.

Cette notion de « conscience spirituelle New Age » (pas la vraie conscience spirituelle, bien sûr) est dangereuse parce qu’elle prétend qu’on peut devenir spirituellement conscient ou éveillé sans un dur labeur d’introspection, sans douleur, qu’il suffit de méditer au milieu des fleurs, en position du lotus, en vivant de rien …

Oui, certains déclarent sans rire qu’on peut vivre juste d’air ou de lumière (voir « breatharianisme »), en regardant fixement le soleil ! (Déjà, il est dur d’écouter ou lire ces corneries sans éclater de rire, mais les adopter prouve un manque total de bon sens).

Tout ceci déconnecte l’individu de la réalité objective – et ce alors que notre être spirituel (notre conscience) dépend de notre être physique – dans ce monde, nos paramètres physiques sont une contrainte absolue, et l’idée qu’on est un être éthéré, flottant dans l’espace, est donc stupide ; un contresens total !

Écarter par ces bêtises New Age l’attention des gens, les plonge dans une situation d’ignorance, d’inaction, de passivité et surtout de pacifisme envers la tyrannie imposée aux gens.

Car pour être « spirituellement conscient » ou « éveillé », il faut d’abord être lucide (conscient de soi) ; se connaître à fond, avec nos bons côtés, mais aussi avec les côtés les plus sombres de notre personnalité.

Seulement, le pouvoir politique n’aime pas les êtres lucides ; il les veut aveugles ; ainsi, il peut utiliser le côté sombre des gens pour les mener où il veut ! (c’est le désir des élites).

Mais être conscient de soi ne suffit pas ; pour être spirituellement éveillé, il faut aussi, bizarrement, connaître les mécanismes de l’Economie.

Ce domaine semble n’avoir rien à faire avec l’Eveil, mais comme on vit dans un système économique, que chaque pays comprend un système financier actif & immoral, il faut en tenir compte & ne pas faire comme si ça n’existait pas & qu’on n’y était pas soumis.

On doit consommer des biens & les échanger (eau, aliments, propriétés, …) – donc, chacun de nous doit négocier notre parcours dans ce monde, & une des façons de le faire est via l’Economie – voilà pourquoi il faut savoir comment elle fonctionne.

Même si on décide d’aller vivre tout seul dans un lieu isolé, ou de rejoindre un monastère, il y a de grandes chances qu’on dépende d’autres personnes vivant dans l’Economie – donc, c’est une réalité incontournable pour tout le monde, & en tant que tel, il faut en tenir compte.

De même, il faut être conscient de ce qui se passe au niveau politique – une fois de plus, parce que les lois pèsent sur tout le monde.

Attention : il ne s’agit pas de la lutte de la droite contre la gauche – qui est une fausse dialectique hégélienne inventée pour contrôler les gens – mais bien de la réalité de la politique.

En fait, dans tout système politique, chacun a le choix entre préférer l’autoritarianisme ou la liberté individuelle – mais on doit quand même être conscient du paradigme gauche-droite, puisque c’est une réalité avec laquelle on doit vivre.

Et il faut connaître les méthodes employées par l’extrême gauche & par l’extrême droite pour contrôler les gens & restreindre leur liberté – par exemple, le problème de la liberté de parole ; dans nos sociétés, c’est l’extrême gauche qui tente de museler la liberté de parole pour favoriser ses buts totalitaires !

Aussi, pour être « éveillé », il faut connaître la philosophie ; les philosophes grecs, chinois, & européens – tout ce qui permet de s’informer de la nature de la réalité, du monde & où est notre place dans ce monde & cette réalité.

Bref, l’Eveil spirituel exige une grosse somme de connaissances (des savoirs réels, objectifs) ; il faut connaître la vérité scientifique, philosophique & même métaphysique (en se souvenant que toute vérité métaphysique dépend de la réalité physique).

Les gens qui s’imaginent être « spéciaux », sans avoir aucune raison objective pour croire cela, mais juste parce qu’ils ont écouté tel ou tel gourou, ou médité dans une prairie en position du lotus, sont en plein délire !

Il est vrai que la méditation apaise & nous rend plus aptes à gérer notre quotidien, mais faire ça ne rend pas meilleur que les autres.

L’individu réellement « éveillé » est un chercheur de vérité, qui chaque jour, s’informe sui lui-même & sur le monde qui l’entoure, cherchant à en savoir le plus possible – un savoir réel, pas le « non-sens » .

Quelqu’un qui a du bon sens à la base & qui, en plus (vu sa grande érudition) est capable de passer les informations au tamis de sa raison, rejetant les conneries menteuses & ne gardant que le savoir concret, les pépites de vérité.

Mais les adeptes du New Age (qui fut, rappelons-le, fondé par des forces maléfiques), tout en nageant dans l’illusion, se sentent supérieurs aux autres, se perçoivent comme la « crème » de la société, ce qui les rend insensibles & cruels.

Etant « supérieurs » ( !), ils méprisent les autres & ne se soucient guère des « êtres non-éveillés » (= inférieurs) que sont les autres ; ils sont incapables de ressentir de l’empathie – leur endoctrinement (& sans doute aussi le manque d’empathie dont ils avaient, à la base, déjà des dispositions) les a rendus totalement inhumains ! – ce qui était justement le but des élites, des marionnettistes qui les manipulent & visent à dissoudre le tissu social.

On peut d’ailleurs facilement constater, dans leurs écrits ou vidéos, qu’ils privent les autres de leur humanité, comme ils les privent de leur sexe & de leur nature physique. Ces gens auraient leur place dans un asile de fous !

La vie est courte, donc, on la veut de bonne qualité, on désire prendre soin de soi, de ses proches, de sa communauté, peut-être même de son pays, ou du monde – mais les New Agers ne tiennent aucun compte de ces choses concrètes & à l’inverse, s’enflamment pour des abstractions.

Ça se voit, par ex, dans la question de l’afflux massif de migrants vers l’Occident – Le New Age, étant d’origine d’extrême gauche, ses adeptes adoptent l’idéologie gauchiste – donc, ils défendent la notion abstraite d’immigrants, & sont incapables de voir la réalité que cela représente … & les conséquences qu’on voit tous les jours !

Ils prétendent défendre les droits des migrants, mais agissent en fait CONTRE les vrais droits de ceux-ci. Sinon, ils iraient leur expliquer les vertus de la liberté, des idéaux philosophiques (orientaux ou occidentaux) ; ils les aideraient à se libérer des vraies chaînes de l’esclavage, du contrôle exercé par les gouvernements & de soi-disant religions.

S’ils voulaient vraiment le bien des migrants, ils tenteraient de leur ouvrir les yeux sur leurs croyances (auto)destructrices.

Ils veulent sympathiser avec ces gens, mais sont dénués d’empathie (pour voir la différence entre les 2, voir cette excellente video en anglais ; (2’53) Brené Brown on Empathy : https://www.youtube.com/watch?v=1Evwgu369Jw).

Quand on est dans l’empathie (= un vrai souci de l’autre, un reliement), on se met à la place de l’autre, on voit les choses de son point de vue – ainsi, on peut comprendre qui il est, ce qu’il vit & ses mobiles d’action.

La sympathie, par contre, est une démonstration d’une vertu ; la pitié – il n’y a ici aucune connexion avec l’autre !

Montrer de la sympathie, c’est sortir des platitudes, ne rien offrir de valable ou de concret – bref, c’est un « ego trip » ; un mépris & indifférence aux autres destiné à faire remonter l’estime de soi du « sympathiseur » !

Ouvrons les yeux : la plupart des migrants ne sont pas des gens qui fuient l’oppression ; ce sont des racailles provenant de nations islamistes.

Les New Agers comme les gauchistes ne sympathisent (tiens, tiens… !) qu’avec ceux qui défendent une idéologie totalitaire, & jamais avec d’autres personnes, qui eux, fuient pourtant réellement la tyrannie !

Vu que les New Agers ne se soucient pas réellement des autres, comment pourraient-ils être « éveillés spirituellement » ? C’est impossible qu’ils le soient, même s’ils croient & prétendent l’inverse.

Ces individus ne veulent pas s’astreindre à la dure & longue discipline qu’implique l’Eveil spirituel véritable.

Les êtres éveillés se sont tous soumis à des auto-examens très profonds & sans complaisance – ce qui est pénible, car on distingue le mal en soi ; les choses qu’on a faites & qui ont nui à nous-mêmes ou à autrui – et ce n’est qu’en reconnaissant cela qu’on peut le contrôler & le maintenir en lisière.

Dans « Les Gens du Mensonge », Scott Peck le dit bien : ce qui fait l’être mauvais, ce n’est pas le côté sombre (car chacun en a un) ; c’est le refus de voir & d’affronter ce côté sombre !

Adopter les concepts délirants des croyances New Age abîme l’être & le rend de plus en plus mauvais.

L’empathie est en grande partie innée, mais peut aussi s’apprendre. Elle consiste à s’aimer d’abord soi-même, à s’aimer assez que pour se libérer des chaînes de l’endoctrinement de la tyrannie (la nôtre d’abord, puis celle d’autrui, quel qu’il soit).

L’empathie s’étend ensuite à la famille, puis aux amis, puis à la communauté au sens large, puis au monde entier – mais plus ce cercle s’agrandit, moins le souci est profond ; on peut être bon avec tous, mais on ne peut se soucier profondément de gens qu’on ne connaît pas.

Ceux qui aiment se représenter sous un jour brillant ont beau se tartiner de grands sentiments & d’ »Amour universel », en pratique, il est impossible d’aimer aussi fort des inconnus, que des gens de notre entourage proche.

Quant à la naïveté consistant à s’ouvrir à tous sans discrimination, c’est un péché envers soi-même. Un dicton le dit bien ; « si tu me bernes une fois, honte sur toi, si tu me bernes 2 fois, honte sur moi ».

Ce n’est que lorsqu’on atteint un niveau très élevé de conscience, que l’on peut éprouver des niveaux d’amour de plus en plus grands envers les autres. Or, on sait que :

1) la plupart des gens se trouvent à un niveau de conscience de peur & non d’amour,

2) il est très dur de monter même d’un seul niveau,

3) 85% des gens ne bougeront pas de niveau durant toute leur vie.

Donc, ces New Agers qui, après quelques séances d’écoute d’un gourou ou de méditation, estiment avoir atteint un niveau que n’atteint qu’un humain sur 100 millions, sont en plein délire de Virtue Signalling (pratique consistant à afficher des opinions sur un sujet donné, & visant à prouver la supériorité morale de celui qui les émet).

Bien sûr, étant dénués de bon sens & de moralité et très peu informés, ils n’ont pas conscience pas qu’ils se déshumanisent de plus en plus, qu’ils causent du mal, & qu’ils sont utilisés comme des marionnettes pour promouvoir des idéologies meurtrières – dont ils seront du reste (juste retour des choses) les 1ères victimes !

Déshumaniser quelqu’un est un acte de violence envers cette personne. Les Etats, corporations, idéologies & religions déshumanisent les gens, les transformant en robots qui agiront contre les humains et pour ces Etats, corporations, idéologies & religions !

Regardons autour de nous : combien de gens vivent vraiment, & combien survivent, à l’état larvaire d’esclaves consentants ?

Considérer les autres sous forme de concepts abstraits, n’est pas se soucier d’eux ! Le vrai amour d’autrui implique de discriminer entre les gens. Par ex, on a un meilleur ami ; on l’a choisi car on a des goûts & des centres d’intérêts communs – alors, comme on l’aime beaucoup, on le traite mieux qu’on ne le ferait avec un inconnu.

Mais l’extrême gauche (qui s’est infiltrée partout dans nos sociétés) promeut l’idée qu’on est une masse, qu’on fait tous partie d’un même groupe, qu’il est possible de traiter chacun de la même façon & qu’il ne faut pas discriminer pour savoir à qui étendre notre amour.

Pourtant, nous ne sommes pas une masse ; nous sommes des individus ! (même si on fait partie de divers groupes, au plan physique ou social).

Les New Agers, étant bêtes & inconscients, sont hypocrites, car tout en croyant cette bêtise & en la proclamant partout, ils agissent comme tout le monde – c-à-d en offrant un traitement de faveur à leur famille & leurs amis …

Etre à ce point déconnecté du réel, est une psychose délirante !

Et ceux qui se sont cultivés toute leur vie, en n’acceptant que la vérité & y ajustant à chaque fois leurs croyances, et qui se sont imposé cette constante introspection sans pitié, sont honnis de ces paresseux haïsseurs de vérité que sont les gauchistes & les New Agers.

Seulement, comme la réalité rattrape toujours ceux qui veulent la fuir, ces ignorants vivant dans l’illusion ne sont pas heureux & sont forcés de vivre des drames (censés leur ouvrir les yeux sur la vraie réalité).

Comme l’a dit Ayn Rand : « On peut ignorer la réalité, mais on ne peut pas ignorer les conséquences d’ignorer la réalité »

Croire qu’on peut être spirituellement conscient ou éveillé sans souffrance, est une fausseté.

Un dicton bouddhiste dit : « Avant l’Eveil, on coupe du bois & on porte de l’eau, après l’Eveil, on coupe du bois & on porte de l’eau » – signifiant que même si on est un Maître, on doit toujours continuer à vivre dans le monde réel, la réalité objective.

Pour beaucoup, ces enseignements soi-disant spirituels ne sont qu’une forme d’escapisme, destiné à leur masquer la triste réalité de leur vie, leur absolue insignifiance & non-valeur, à cacher qu’ils sont des nuls qui glandent ici-bas en se laissant porter par les autres, sans rien faire pour apporter un peu plus de bonheur ici-bas !

Ca leur fait croire que, étant supérieurs & à part, ils ne doivent pas traiter avec la société – mais c’est faux ; ils auront affaire à la société à un moment ou à un autre, qu’ils le veuillent ou pas.

Les New Agers sont souvent pacifistes, ce qui signifie qu’en cas de guerre ou de tyrannie, ils refuseront de combattre, donnant ainsi à tout tyran la permission de nous (& de les) violenter.

Et vu que cette idéologie tueuse s’est infiltrée à tous les niveaux de nos sociétés & qu’on baigne dedans – pis : que les enfants sont endoctrinés maintenant quasiment dès la naissance – elle ne fera que s’étendre… ainsi que les dommages qu’elle cause…

Aux armes, citoyens ! (si tant est qu’il en reste)

Si vous comprenez l’anglais, vous pouvez visionner (avant qu’elle soit effacée) cette excellente vidéo de lui ; (50’09) Why The World Is In Chaos – Michael Black : https://www.youtube.com/watch?v=h0X7pf_tjlE