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PN ; vraie ou fausse victime ?

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drôle de gars   Si vous vivez ou avez vécu sous la coupe d’un pervers narcissique, vous le savez, ce démon est un as du mensonge, et adore se faire plaindre, alors que c’est lui l’agresseur. Tromper les gens renforce son sentiment de pouvoir sur autrui et son plaisir – car cela lui confirme que les gens sont bêtes et qu’il peut leur faire avaler n’importe quoi – sans compter que ces mêmes gens (crédules, peu informés & sensibles à l’apparence), s’ils ont le moindre pouvoir, insulteront, tortureront ou puniront la victime à sa place – et ceci est aussi jouissif pour un PN ; avoir poussé autrui à agresser sa victime, tandis que lui jouit du spectacle !

Bref, un PN a l’art de se faire passer pour la victime, et vous, pour l’agresseur – et comme il est plus doué que vous pour communiquer et convaincre, la plupart des gens croient sa version des choses et le plaignent, en ne vous croyant pas & vous accablant de leur mépris (j’en parle ici : http://www.bonheuretamour.com/2015/06/14/pn-la-societe-accable-les-victimes/ et compte développer le sujet de ces « flying monkeys » plus tard).

Eh oui ; comme les PN projettent leur côté sombre sur leur cible, & l’accusent d’être le (la) mauvais(e), il faut savoir distinguer qui est une victime réelle, et qui n’est qu’un menteur, et le vrai mauvais !

En outre, jouer les victimes sert aussi aux pervers à mieux connaître une personne qu’ils ont ciblée comme victime potentielle ; pour déterminer si elle a du coeur (donc, si elle est une bonne source d’approvisionnement narcissique), ils lui narrent leur « triste vie » et observent soigneusement si ça va l’émouvoir…

Donc, quand quelqu’un vous raconte ses malheurs, sachez reconnaître les vraies victimes des fausses, qui sont en fait des PN.  Voici comment distinguer ces loups déguisés en brebis ;

  1. a) manque d’ « affects » ; quand une vraie victime raconte ses déboires, elle est émue, tandis qu’un PN les raconte bien calmement, de façon détachée ; ils emploient des mots négatifs (« je crains pour ma vie », « j’ai peur car elle est folle », …), mais leur attitude n’y correspond pas.

Une vraie victime semble tremblante, effrayée, choquée, ravagée – elle va, par ex crier, ou avoir une « absence », puis revenir à ce qu’elle disait, avec beaucoup d’émotions. Leur discours est précipité, très émotionnel…

Mais ce 1er critère n’est pas décisif ; en effet, certaines victimes sont si déprimées (ou ont déjà tant raconté ce qu’elles ont subi) qu’elles aussi s’expriment sans affects & de façon détachée. Mais même celles-là, on les reconnaît des fausses victimes parce que, loin d’êtres sereines (comme l’est un PN quand il invente ce genre d’histoires), une vraie victime aura une apparence de zombi, de mort-vivant, un genre d’absence dans le regard, de distraction, de distance d’avec le réel.

Une vraie victime traverse les étapes d’un processus de deuil, avec le choc, le déni, la colère, … jusqu’à l’acceptation, alors qu’un menteur semblera avoir surmonté étonnament vite les émotions dues aux (soi-disant) abus subis, et n’être pas fixé ou obsédé par ceux-ci.

  1. b) utilisation brillante de mots, descriptions & expressions : Ayant étudié leurs victimes, ils connaissent les effets de leurs maltraitances, et peuvent choisir précisément les bonnes expressions pour décrire leur (soi-disant) calvaire. Ils s’inspirent de disputes qu’ils ont eue avec vous, en inversant les rôles, ou en modifiant certains éléments pour vous faire passer pour un(e) cinglé(e) dangereux(se) !

La vraie victime, par contre, n’a qu’un souvenir brumeux de ce qui s’est passé, et le stress permanent où la fait vivre son bourreau a effacé sa mémoire (on sait à présent que c’est le 1er effet d’une exposition constante à des hormones de stress). Elle s’exprime donc de façon décousue, confuse, chaotique, incohérente. Souvent, elle s’interrompt au milieu d’une phrase & s’interroge sur la validité ou l’absurdité de ce qu’elle dit.

La victime semble alors devoir réfléchir à une réponse (comme si elle mentait) mais en fait, elle se rend compte que son interlocuteur ne croit pas à son histoire (il hausse les épaules, ou lève les yeux au ciel, …), tellement les détails paraissent incroyables, ou alors qu’elle est inapte à lui faire comprendre que ces abus font mal (ça a l’air de trucs non-importants, ou faits pas exprès) …

Oui ; ce que nous fait le PN est si insidieux, et « confusionnant » , et paraît souvent si anodin, que les autres prennent la victime pour une menteuse, une mauvaise (un comble !), une paranoïaque, ou une personne hystérique ou mentalement instable (ou les 4 à la fois) !

Alors, elle tente de se défendre en s’expliquant, mais plus elle le fait, plus elle s’embrouille ou s’énerve, et moins l’autre la croit … en sorte qu’elle se sent totalement isolée. Bref, comme l’a écrit Paulo Coelho : “Ne perdez pas votre temps avec des explications : les gens entendent ce qu’ils veulent bien entendre”. Pour eux, vous avez juste une bonne tête de bouc émissaire (& toute société a besoin de se trouver des « moutons noirs »).

En comparaison, le PN semble si doux, sympathique, sain d’esprit & équilibré que, pour le citoyen lambda, il semble plus rassurant ; pour lui, le choix est vite fait de qui est crédible ou non …  & bien sûr, il se trompe à chaque fois !

Souvenons-nous ; un PN est habile ; c’est un « maître des perceptions », c-à-d qu’il a ce don magique : pouvoir modeler & manipuler les perceptions des autres !

Qui pourrait imaginer que ce gentil monsieur (ou dame) devient un monstre sadique derrière les portes fermées ?

Une des choses qui m’a fait le plus mal durant toutes ces années où j’étais avec mon époux PN, c’était de devoir entendre, encore et encore, ces réflexions lors de soirées ; « Oh ton mari est fantastique ; un vrai boute-en-train ! Et puis, il est fou de toi, ça crève les yeux ! » … Ca fait mal… On ne sait pas si on doit en rire ou en pleurer en se tapant la tête contre les murs devant tant de connerie …

Les vraies victimes en viennent à douter de leur santé mentale, comme elles en sont venues, au fil des années, à croire le PN qui les rend responsable des abus qu’elles subissent – elles se sont accoutumées à expliquer l’inexplicable et, courant après la chimère (entretenue par le PN) qu’il pourrait redevenir le Prince Charmant des débuts, elles continuent à s’accuser & à se plier à tout pour lui re-plaire.

Ne pouvant imaginer une telle perversion ( = que leur partenaire crée des discussions, non pour améliorer le couple, mais parce que ce chaos leur plaît et qu’il adore les frustrer & les faire souffrir), elles supposent qu’il a de vrais problèmes et le prennent en pitié, tout en tentant de lui faire comprendre qu’elles sont de son côté.

  1. c) absence de changements de comportement, de style de vie ou de caractère : alors que les vraies victimes changent et agissent pour faire changer les choses (lire des livres de développement personnel ou sur le couple, consulter des thérapeutes, aller sonner à toutes les associations d’aide ou d’entraide, partager leur vécu sur des groupes de victimes, …), les fausses victimes, elles, ne semblent pas affectées du tout par les abus (soi-disant) vécus, ni ne font quoi que ce soit pour améliorer leur situation – et leur sommeil comme leur santé sont excellents ; pas trace d’insomnie, de tachycardie, d’épuisement, de tremblements, de difficultés respiratoires ou d’autres troubles indicateurs de stress post-traumatique.

Or, toute vraie victime souffre si intensément à chaque seconde qu’elle ne peut rester un seul jour sans chercher à sortir de l’enfer qu’elle vit, sans chercher une validation de son vécu, une thérapie ou autres moyens de sauvetage.

Elles sentent aussi de l’empathie pour les autres victimes, et tentent de les aider en les informant. Aussi, elles essaient vraiment de s’en sortir, en se démenant, en s’informant, en  tentant toutes les voies & thérapies possibles.

La fausse victime, elle, ne fait pas toutes ces recherches … et pourquoi le ferait-elle, puisqu’elle NE SOUFFRE AUCUNEMENT de sa situation ? !

Bref, le PN soi-disant victime, passe son temps à profiter de la vie ; à sortir, à s’inscrire sur des sites de rencontre ou draguer en boîte, … pendant que la vraie victime, brisée, n’est même plus capable d’envisager d’aimer à nouveau un jour ! Au lieu de sortir & s’exposer, la victime se terre et se protège du monde extérieur.

  1. d) refus de se remettre en cause : une vraie victime doute d’elle-même, elle examine tout ce qu’elle a pu dire ou faire (ou ne pas dire ou ne pas faire) – elle soupçonne même ses mobiles cachés, ou l’énergie qu’elle émet – pour énerver son bourreau ou faire capoter la relation, elle se croit responsable de tout, en sorte qu’il se passe un temps fou avant qu’elle comprenne de quoi il s’agit et exprime le mot « maltraitance ».

A l’inverse, la fausse victime accuse tout de suite son(sa) partenaire de harcèlement, d’abus & de maltraitance ; il a même préparé (dès avant la séparation) des documents et faux témoignages pour la piétiner & la détruire totalement – car il estime que c’est CA que mérite la victime qui ose le quitter.

  1. e) pas de signes de déni : une vraie victime reste longtemps dans le déni ; voir dans quelle situation elle se trouve, aux mains de quel monstre assoiffé de son sang, est trop horrible à appréhender… Rien de tel chez la fausse victime, bien entendu

L’ex-victime de PN est seul(e) & pauvre !

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Pauvre & seule  Le pis que des parents PN implantent en nous, c’est de nous préparer à une vie d’abus & de maltraitances de la part du monde !

Etant l’enfant « bouc émissaire » de notre famille perverse, on en reste, une fois adulte, le « mouton noir », le « loseur ». Etant plus pauvre  » différent(e) « du reste d’entre eux, on n’est jamais invité(e) aux événements familiaux (sorties, dîners, anniversaires, mariages, …).

Les autres membres de notre « famille » (si on peut appeler ça de la famille) nous méprisent & on est, en fait, devenu(e) exactement ce que nos parents PN avaient prévu pour nous & avaient besoin que l’on devienne ; en nous faisant devenir un(e) «perdant(e) », ils sont sûrs de garder la position supérieure.

C’est hélas un fait : les ex-enfants boucs émissaires sont comme programmés pour rester des victimes toute leur vie.

En effet, on a pris l’habitude de se nier totalement soi-même pour, à la place, « sentir » les besoins d’autrui & les combler immédiatement – et bien sûr, éviter toute situation de conflit en cédant à tout !  Une ex-victime a énormément de mal à distinguer ses besoins, ou à oser les combler ou demander, ainsi qu’à oser s’exprimer ou contredire. Elle fait « profil bas », car elle a trop peur des conséquences de fâcher ou mécontenter autrui !

On dirait que je suis affublée d’un  « charisme négatif » ; quand je dis quelque chose, les gens agissent comme s’ils n’avaient pas entendu et il m’est très difficile de me faire des amis ou de me fâcher quand il le faut, parce que, dès ma plus tendre enfance, j’ai été « entraînée » à avoir mortellement peur de tout le monde.

Bien qu’en tant qu’adulte, je ne sois plus victime d’intimidation, les gens (TOUS – pas seulement ceux de notre famille)  sont poussés à nous rudoyer, à nous traiter comme un(e) arriéré(e), ils nous ignorent (comme si on n’existait pas), nous excluent des conversations, & nous « oublient » lors des augmentations ou des promotions au travail.

Et je ne parle pas des situations de détresse ; pour citer mon exemple, en plus de 50 ans, les flics, avocats, psys, assistantes sociales, médecins et infirmier(e)s d’hôpital ne m’ont jamais crue, prise au sérieux, défendue ou soignée ! – mais au contraire, m’ont moquée, injuriée, humiliée et punie d’être la cible d’êtres pervers & éhontés … Ils ont, en même temps, constamment soutenu mes bourreaux !

Comme dit ailleurs, un PN a investi du temps & de l’énergie pour vous « capturer » et s’assurer une abondante source d’approvisionnement narcissique. Mais il lui faut encore vous garder en son pouvoir – pour qu’il ne doive pas recommencer… Par conséquent, il doit vous affaiblir & vous isoler (ce qui vous affaiblit encore plus).

Un (ou des) parent(s) PN le font pour s’assurer un approvisionnement à vie : ils savent que, étant de la famille, vous aurez dur à totalement couper les ponts avec eux.

Pour vous isoler, ils vous humilieront en public (à CHAQUE fois que vous vous trouvez hors de la maison avec eux, en fait), au point que leur bouc émissaire n’osera inviter personne chez lui, et, plus tard, se faire des amis…sans compter que le parent le « salit » & détruit sa réputation partout, surtout chez ses amis et la famille.

Et personne ne soupçonne que c’est faux, car tout en racontant sur leur victime des choses qui la décrédibilisent, ou la font passer pour dingue & agressive, ils jouent la comédie des bons parents qui s’inquiètent pour leur « cher enfant » !

Si l’enfant se fait un nouvel ami, ses parents toxiques vont vite tenter de semer la zizanie entre lui et leur enfant, ou aller insinuer aux parents de ce nouvel ami que leur enfant est un voyou infréquentable.

Et si ça ne réussit pas, ils vont jusqu’à eux-mêmes se faire passer pour des gens dangereux, en sorte que les parents de l’ami, effrayés, interdiront à leur enfant de nous fréquenter.

Subissant les « piques », le mépris & les moqueries des voisins, des « copains d’école » et des profs, l’enfant bouc émissaire se renferme dans sa coquille pour se protéger et se coupe de ces humains si cruels…

Bref, tout ce qui leur reste dans la vie, ce sont leurs parents toxiques … Justement le résultat que ces mauvais voulaient obtenir !

Cet isolement pourrait cesser quand l’enfant grandit & quitte ce « nid » toxique, mais hélas, le pli est pris, en sorte que l’adulte ex-bouc émissaire continue à s’isoler ou à manquer de compétences sociales ; ayant été élevé par des êtres mentalement dérangés qui ne nous ont appris que des mensonges, on apparaît comme étranges aux autres (d’ailleurs, on se SENT étrange – étranger –  aux autres).

Les PN ne nous ont pas appris les choses utiles, car ils ne veulent pas qu’on vive dans le monde, mais bien dans leur monde – alors, il est fatal que la victime commette bêtise sur bêtise…& se prive ainsi des seuls éléments qui lui auraient permis de réussir sa vie : des amis et un job stable.

Isolée, sans argent (car dans ces conditions, il est dur de trouver ou garder un job), la victime peut faire l’erreur de se raccrocher à ses parents, car elle n’a personne d’autre vers qui se tourner.

C’est pour ça qu’il faut prendre conscience de ce qu’on a subi, qu’on en a nécessairement été marqué(e) et qu’il faut travailler sur soi pour en sortir.

En plus, les victimes courent le risque d’attirer un PN comme partenaire de vie – lequel nous fera revivre exactement les mêmes émotions (rejet, solitude, abandon, terreur, contrôle) que celles qu’on a vécues dans notre famille d’origine (à ce sujet, voir « Pourquoi le monde va-t-il mal, & nous aussi ? » https://bonheuretamour.wordpress.com/2013/10/11/pourquoi-le-monde-va-t-il-mal-nous-aussi/ ).

Ce PN, lui aussi, nous isolera pour nous affaiblir & se garder sa « source de nourriture » sous la main, toujours à disposition – et ce, en utilisant les mêmes tactiques que nos parents ; en contactant notre famille, nos amis (le peu qu’on en a) et même notre employeur et nos collègues, pour détruire notre réputation auprès d’eux… Et, si on a des enfants ensemble, il fera en sorte de les tourner contre leur victime !

Les adultes « normaux » peuvent compter sur une famille aimante et un cercle d’amis sincères, toujours prêts à les soutenir, & les conseiller, ils ont avec ceux-ci de longues conversations ou ils sortent ensemble ou partent en vacances, ou fêtent diverses occasions spéciales – Ceci leur donne le sentiment d’être membre d’une communauté, ce qui les rends forts et heureux.

L’ex-bouc émissaire d’une famille de PN n’a rien de tout ça (puisque tout le monde, même ses enfants, lui tourne le dos) ; il (elle) est seul(e), & en souffre souvent.

Les gens croient qu’il faut être dérangé pour n’avoir pas d’amis, mais c’est faux ; même s’il est vrai que certains tueurs en série vivent isolés, les PN ont une vie sociale & sont bien intégrés dans la société, puisqu’ils sont experts à fournir une image normale & sympathique d’eux-mêmes ! Bien sûr, ces gens-là (les personnes extérieures) ne pourraient jamais se douter de leur vrai visage – Leur côté taré et violent, ils le réservent à leur victime, derrière les portes fermées !

Ah, si seulement les gens pouvaient voir au-delà des apparences !

Et cela n’a rien d’étonnant ; un adulte ayant eu des parents pervers, a été saboté depuis le début, car ces êtres maléfiques VEULENT qu’on rate tout, ils veulent détruire totalement notre vie. Donc, tout ce qu’ils nous disaient étaient – exprès – des contre-vérités !

Par la suite, non seulement on souffre de plein de troubles bizarres, de timidité (manque de confiance en soi dû aux années d’insultes & de rabaissements), d’isolement (retrait social, manières bizarres), … mais en plus, quand on se lance dans un projet quelconque (amour, amitié, carrière), comme on ne sait que des faussetés, on manque à tous les coups : on a beau se donner à fond, on est comme la souris tournant dans sa roue ; elle aussi court très fort sans pour autant avancer d’un centimètre !

Mais un jour, la victime finit par remarquer que ses bourreaux, bien qu’ils prétendent l’aimer & se soucier de son intérêt, ont une attitude hostile envers elle, qu’ils tentent toujours de saboter ses relations ou son travail, et qu’elle se sent toujours mal en leur présence – et elle finit par se décider à couper le contact avec eux.

Au début, elle se sent bien de ne plus avoir ces vampires dans sa vie… mais elle se retrouve sans rien, sans personne… une vie qui ressemble à un désert.. et la victime a si soif d’amour !

En plus, elle voit constamment (dans sa vie ou à la télé) des gens bien intégrés, entourés d’amis amusants… et elle se sent encore plus seule, par comparaison… Cette solitude est vraiment très douloureuse.

Comme les victimes n’ont pas les compétences requises pour se « vendre » à un employeur ou pour se faire et garder des amis, ou pour choisir un partenaire de vie convenable, elles dépriment et courent se réfugier chez les seules personnes qui leur restent : leurs bourreaux !

Brrr ! Voilà une sombre perspective, non ? Est-ce que j’écris pour vous désespérer ? Hé non : plus on en sait, mieux on est armé pour les éviter & guérir – d’où cet article (& tous les autres).

Donc, rassurez-vous : cette vie solitaie et ratée n’est pas une fatalité. Mais alors, comment faire ? Comment avancer malgré tout ?

Si les ex-boucs émissaires ratent leur vie, c’est parce qu’ils se sont identifiés à ce qui leur est arrivé, oubliant que ça les rend négatifs.

Cette négativité, leur ôte tout courage pour faire qq chose de leur vie, attire plus de négativité (personnes & circonstances néfastes) dans leur vie… et font fuir les êtres sains !

En effet, les personnes saines (et ayant eu la chance d’avoir grandi dans une famille aimante, puis d’avoir rencontré un(e) partenaire aimant, fuient toute personne qui se plaint & se présente comme une victime ; ça ne les concerne pas, et ça les choque, les ennuie, ou les répulse.

Pour la victime, néanmoins, se désengager de sa propre histoire est très dur, parce que la société l’a déjà trahi(e) en la rejetant, en ne la croyant pas, en la maltraitant, l’excluant ou la punissant … Alors, surmonter tout ce qu’elle a subi, ça lui semble comme se trahir soi-même, et même comme l’ultime trahison ! (sans compter qu’elle est droguée aux peptides négatifs ; voir http://www.bonheuretamour.com/2015/06/11/traumatises-drogues/ ).

Au lieu de s’accrocher comme un noyé à son statut de victime (en gardant l’espoir utopique qu’un jour, la société lui rendra enfin justice), l’ex-bouc émissaire devrait se dire que, ce faisant, elle réalise le but des PN … et que réussir sa vie est, en fait, la meilleure revanche !

Se dire ceci : Il n’y a rien qui soit arrivé dans le passé, qui puisse vous empêcher d’être (dans le) présent maintenant (E. Tolle)

Mais pour ça, il faut CESSER radicalement de vous focaliser sur le(s) PN dans votre vie et combien il(s) est (sont) mauvais, et vous faire aider – Attention : il FAUT trouver un thérapeute qui ait LUI-MEME eu une expérience avec un PN, sinon, il ne vous croira pas, il pensera que vous êtes dingue & vous revictimisera davantage ! (voir : L’histoire du chat sauvage ; http://www.bonheuretamour.com/2013/01/01/lhistoire-du-chat-sauvage/ ).

Son soutien vous sera précieux pour vous apprendre la vie, faire de meilleurs choix, & vous bâtir des limites saines pour ne plus vous laisser exploiter ou manquer de respect.

Si vous n’avez pas les moyens d’aller chez un thérapeute, je vous conseille de ( ! : sans vous focaliser sur le Mal) vous informer sur les PN ; on trouve de bons articles ou videos sur le Net (cet article, par ex 😉 ).

Quand vous avez balayé les sangsues de votre vie, c’est le moment, non de vous apitoyer sur votre sort, mais de réfléchir à ce que vous avez vécu, les conséquences que ça a dû avoir sur vous (vu votre sensibilité), les conclusions que vous en avez tirées sur la vie et votre place ici-bas, et surtout, sur les « leçons » que vous ont martelé vos parents PN – pour systématiquement les remettre en question (car ça ne fait que vous attirer des ennuis ou d’autres PN dans votre vie). Puis, songez au genre de vie que vous désirez & méritez.

Un tel bon thérapeute vous offrira l’environnement sécurisant qui vous donnera la force de commencer une nouvelle vie, d’agir autrement, de vous faire de nouveaux amis, ou défis, …

Cessez de raconter votre histoire à n’importe qui ; ne le faites qu’à des personnes que vous connaissez bien et dont vous êtes sûr(e) qu’ils sauront de quoi vous parlez – foin des « bons amis qui veulent vous aider » et qui ne savent rien de cette problématique, ou sont des PN eux-mêmes, ne faisant finalement que vous enfoncer davantage !

Protégez-vous.

Rejetez vos craintes d’y rencontrer un PN ; comme vous en savez plus à présent, vous les repérerez assez vite… ne laissez pas ces craintes vous empêcher de vivre enfin pleinement votre vie.

Cette solitude des victimes de PN est horrible : ils se sentent comme des naufragés sur une île déserte, ou comme prisonniers d’une bulle de verre, regardant la vie joyeuse des autres à l’extérieur, alors qu’eux sont coincés là.

Mais ce qu’il faut surtout faire, c’est arrêter de vous blâmer pour la stupidité de vos mauvais choix ; ce n’est PAS VOTRE FAUTE si vous ignorez les bases de la vie en société ! Si vous avez été élevé par un ou des parent(s) PN, ce sont eux qui vous ont appris des sottises sur comment va la vie, comment se faire respecter et comment faire des choix pour s’y épanouir. Donc, cessez tout de suite d’être dur avec vous-même : après ce que vous avez subi, ce que vous méritez, c’est d’être traité avec une douceur & tendresse extrêmes !

Sachant ceci, débutez une nouvelle vie, en osant petit à petit – à votre rythme.

Souvenez-vous : « il faut pousser nos peurs dans un coin, sinon, ce sont elles qui nous poussent dans un coin ! »

Cessez de vous soucier de l’opinion d’autrui (de toute façon, ils ne vous connaissent pas, & ignorent votre histoire) ou de comparer votre vie à la leur ; ça vous fait du mal.

Réfléchissez plutôt à vos atouts & talents ; en quoi êtes-vous doué ? Ca vaut la peine de creuser ce sujet, d’améliorer & pratiquer ce talent & tenter d’en vivre. Concentrez-vous sur votre nouvelle vie ; les débuts sont toujours difficiles, mais les nouveaux comportements deviennent de plus en plus faciles & naturels… menant à d’autres rencontres & opportunités. Et si vous retombez sur des êtres toxiques, vous savez à présent comment les fuir.

 

Titanic : la leçon du naufrage

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TitanicTim Maltin (auteur, historien & présentateur télé) n’était pas satisfait des explications des raisons du naufrage du Titanic et a donc décidé de reprendre l’enquête. Il a trouvé la solution, a écrit un livre sur le sujet (“A Very Deceiving Night”) et la National Geographic en a tiré un documentaire ; « Titanic, case closed », qui m’a frappée et fait réfléchir…

On savait déjà que le naufrage du Titanic a donné un sanglant démenti à l’orgueilleuse arrogance des hommes persuadés de pouvoir dompter la Nature, mais les découvertes de Tim Maltin ne laissent, à mon avis, plus aucun doute là-dessus.

Les faits sont tellement étonnants et improbables qu’on ne peut que conclure qu’il y a un dessein délibéré (ou des coïncidences incroyables) sous ce drame.

Les voici, ces faits ; à vous de juger !

– Le bateau comprenait 2 veilleurs ; par mer calme (& c’était le cas le soir du naufrage), on voit sur l’eau à des kilomètres, en sorte de pouvoir avertir d’un iceberg 20 minutes à l’avance. Pourtant, malgré que ces 2 hommes avaient une bonne vue, étaient sobres & bien éveillés, ils n’ont aperçu l’iceberg qu’au dernier moment,

– Le Californian – le seul navire proche du Titanic & qui aurait pu aller sauver les passagers, envoie des messages au Titanic pour l’informer qu’il y a des icebergs mais, bizarrement, ces messages ne sont pas reçus. En effet, juste à ce moment, les opérateurs radio du Titanic sont submergés de demandes de messages de la part des passagers, et excédés, coupent le contact avec le Californian !,

– Le Titanic était insubmersible car construit en sorte que, même avec 4 compartiments touchés (& inondés), il puisse rester à flot. Mais l’iceberg a déchiré la coque de 6 compartiments – un accident qui ne s’était encore jamais produit jusque là dans l’histoire de la navigation, & ne s’est plus jamais produit depuis,

– Le Titanic a coulé au point de rencontre entre le Gulf Stream (chaud) et le courant du Labrador (froid) ; cette rencontre provoque de brusques hausses et baisses de température ; les survivants l’ont dit : soudain, bien qu’il fasse très beau (jamais ils n’avaient vu une nuit avec autant d’étoiles), la température a brusquement chuté.

Or, ces variations de densité de l’air causent des mirages… 2 masses d’air différentes placées l’une au-dessus de l’autre, causent une réfraction de la lumière.

L’air n’est pas une chose transparente, mais un genre de lentille, et ce qu’il nous fait voir dépend des conditions atmosphériques. Quand une couche d’air est plus froide ou chaude que l’air au-dessus d’elle, il y a création de distorsions, de flous, de reflets.

C’est pareil que dans les déserts, où il y a des couches d’air de densités différentes et des écarts de température (sauf que là, ce sont des mirages chauds et ici, un mirage froid).

Ce 14 avril, l’air réchauffé par le Gulf Stream a rencontré brutalement les eaux glacées du courant du Labrador, ce qui a refroidi la couche d’air surmontant la mer.

Le capitaine du Californian a vu le Titanic mais, à cause de la distorsion, il l’a pris pour un petit bateau.

– Le Titanic, contrairement à l’idée commune, n’allait pas trop vite ; en effet, le temps étant très clair, on pouvait naviguer vite, puisque (voir + haut) on voit alors les icebergs à des kilomètres de distance, et on a tout le temps de les éviter…. sauf que, vu la rencontre des 2 courants, un mirage s’est créé, « déformant » la mer, faisant « monter » son niveau ; la faisant paraître plus haute derrière l’iceberg, qui est alors devenu invisible… jusqu’au dernier moment (trop tard pour l’éviter) !

Les données météo confirment que le Titanic a coulé juste au centre d’un anticyclone mobile polaire (on aurait dit qu’il avait visé ce bateau),

Quand la mer est calme, il est difficile – même en plein jour – de distinguer l’horizon (la limite où le ciel commence & où la mer finit). Alors, c’est tout à fait impossible de nuit,

– La radio aurait pu offrir un dernier espoir : appeler un navire proche pour venir secourir les naufragés… Mais cet espoir aussi s’est évanoui.

Car bien que les marins du Californian voyaient des lumières et envoyaient des messages en morse (comme le faisait le Titanic, qui envoyait des messages de détresse frénétiques), dans les 2 navires, ils ont conclu qu’ils ne voyaient que des étoiles, et non des signaux en morse, car ces lumières clignotaient de façon anarchique et n’avaient aucun sens.

Ces 2 bateaux s’envoyaient bien des signaux mais n’ont pas réussi à communiquer parce que le scintillement dû à la friction des couches d’air chaud et froid, a totalement brouillé les signaux lumineux.

A lire ceci, on dirait que les éléments naturels s’étaient ligués pour faire sombrer le Titanic ! Moi, j’y vois comme un avertissement, de rester humble et de ne jamais se croire supérieurs à la Nature… Faites-vous votre idée…

S. Harvey & le couple

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Heartshaped strawberryLe grand motto de Steve Harvey : les 3 P ; « Protect, Profess & Provide » («  Protéger, fournir la nourriture & proclamer ») => voilà selon lui les 3 choses que fait un homme qui est normal (= mature) & vous aime vraiment !

Steve Harvey était un acteur comique américain qui, choqué par l’immense ignorance des femmes concernant les hommes, s’est reconverti dans l’information & le conseil aux femmes. Il a remarqué que personne (ni les hommes, ni les médias), ne disait jamais la vérité aux femmes, et que cette ignorance ou désinformation faisait d’elle des victimes faciles des play-boys et autres rusés, tarés & profiteurs.

Estimant que les femmes méritent la vérité, il a créé son talk-show, participé à diverses émissions & écrit 2 livres («  Act Like A Lady , Think Like a Man » & « Straight Talk, No Chaser : How to Find and Keep a Man »), qui sont rapidement devenus des best-sellers aux USA.

Il y parle de ce que les hommes pensent de l’amour, des relations et de l’engagement & de ce qu’une femme peut faire pour avoir des bonnes relations et non se faire exploiter.

Steve Harvey n’a eu, pour traiter de ces sujets, qu’à interroger ses amis sur les relations (et il en a des tas, dans tous les milieux).

Il se juge bien placé pour traiter le sujet des relations hommes-femmes, car s’il avoue n’être pas un expert des femmes, il est par contre, un as concernant les hommes – dont il affirme qu’ils sont et pensent tous pareil ! – quelle que soit leur couleur de peau, leur âge ou leur religion.

En effet, les hommes – je rappelle que je ne fais que citer ses paroles, & que RIEN n’est de moi, ici – sont faits ainsi (c’est dans leur ADN) & enseignent cette façon de penser à leurs fils.

Il n’aime pas cette conception masculine de « jeu » en ce qui concerne les relations & s’indigne : ça devrait être, non un jeu, mais un échange équitable, parce qu’il s’agit de la vie & du bonheur d’un autre être !

Il s’est dit qu’une fois que les femmes apprendront comment les hommes pensent, comment ils traitent l’information, leurs schémas de pensée, elles seront aptes à prendre de meilleures décisions.

Les femmes pourront alors ENFIN agir efficacement et traiter leurs hommes dans leur meilleur intérêt (à elles).

Dans son livre, Steve révèle donc aux lectrices ce qui motive les hommes, comment ils aiment, & ce dont ils ont besoin – puis, comment agir pour obtenir ces choses d’un prétendant qui leur plaît.

Steve dit que les femmes font l’erreur de s’attendre à ce que l’homme leur renvoie leur amour, alors que les hommes n’ont pas idée de toutes ces menues attentions …

Une femme qui aime se soucie son aimé & prend soin de son bien-être, elle le câline, veut (étant plus douée pour communiquer) régler les problèmes en en parlant, …

Alors que l’amour d’un homme ne va pas si loin dans la sensitivité & l’oubli de soi ; si par ex, on n’est malade, il nous file une aspirine & pour le reste, si on a besoin d’une chose, on doit aller la chercher soi-même, ou l’appeler…

Pourtant (c’est toujours Steve Harvey qui parle !), un gars qui aime fait ces 3 choses : « profess, provide & protect », c-à-d proclamer à la face du monde qu’il est avec nous, fournir à la femme & aux enfants les nécessités (à manger, des vêtements & un toit) et les protéger.

Voilà comment on peut savoir qu’il nous aime – même s’il ne le dit pas & ne se montre pas romantique.

  1. « Profess » : un homme sait assez vite si vous êtes « la bonne » ( = la femme de sa vie) ou non. Par conséquent, si vous êtes 6 mois avec un homme et qu’il n’a pas de « titre officiel » pour vous désigner, c’est qu’il n’a pas d’intentions sérieuses ; s’il vous présente encore à ses amis ou à sa famille comme « Christel, une amie », c’est un signe qu’il n’a pas de plans vous concernant.
  2. « Provide » : Même si c’est la crise, il se débrouille pour avoir un boulot, pour pouvoir toujours procurer à sa famille le nécessaire.
  3. « Protect » : Dans la mesure de ses moyens, il fera en sorte que jamais rien de négatif ne vous arrive.

Attention : les 3 éléments DOIVENT être présents ; s’il vous dit qu’il vous aime, mais omet de faire l’une des 3 choses, ne le croyez pas ; ça indique qu’il ne fait que vous dire ce que vous voulez entendre pour obtenir ce qu’il veut ! … Il ne vous aime pas vraiment !

Steve Harvey conseille aussi aux femmes de demander où va la relation, si elles ont des doutes ; il dit : « C’est sa vie qu’elle joue & elle a parfaitement le droit de savoir, à tout moment, ce qui en est de la relation ! »

Par contre, il leur demande d’éviter certaines choses pouvant faire fuir les prétendants ; par ex, fumer.

Mais surtout, si une femme veut intéresser les hommes & leur plaire, il faut qu’elle ait « une vie » ; c-à-d des buts personnels, de la confiance en soi, de l’indépendance ; une femme trop passive & dépendante  (traduisez ; fade, trop romanesque, geignarde, collante, inintéressante, …) n’est guère attirante pour un homme : au départ, c’est trop facile, et ensuite, trop lourd à porter ! Aucun gars ne veut se traîner un boulet pareil ni ne peut avoir de respect pour une telle épave !

Il y a une différence entre avoir besoin & vouloir ; on peut entrer dans une relation en voulant qu’elle marche, ou vouloir une famille, mais non avoir maladivement besoin de cela. Une avidité affective fait peur aux hommes.

Un homme est aussi sensible au soin qu’une femme a d’elle-même, de son hygiène corporelle, de l’ordre & de la propreté dans sa voiture ou son lieu de vie. Les mains & les pieds surtout (+ les poils) comptent pour eux… Alors, soignez-les, mesdames !

Steve Harvey donne ensuite les clés d’une relation réussie ; l’honnêteté & la confiance, bien sûr, mais surtout, que la femme entre dans la relation avec certains standards & exigences.

Steve Harvey dit que ce qui attire un homme, ce n’est pas tant la beauté que le niveau d’assurance d’une femme, son charme, son allure, ses vêtements et comment elle les porte, sa personnalité.

Et n’oublions pas qu’ils jugent une femme « difficile à avoir » plus fiable & loyale qu’une qui cède trop vite… Les femmes d’aujourd’hui pensent que, en cédant aux hommes, elles ont plus de chances de s’en pêcher un pour une relation longue durée ou le mariage… alors que ce comportement est JUSTEMENT celui qui pousse l’homme à la considérer comme une brève conquête, mais pas fiable à long terme.

Car l’homme, même le plus « moderne » est en fait resté à l’âge des cavernes en ce domaine ; c-à-d qu’il veut surtout une compagne loyale – et devant une femme qui cède rapidement, comme l’homme se connaît & ne voit pas ce qu’il a de plus qu’un autre, il se dit que si elle a cédé à LUI, elle a cédé & cèdera nécessairement à d’AUTRES…

Image cropped from original on Flickr. Origina...

Image cropped from original on Flickr. Original description is « Christina & Steve Harvey » (Photo credit: Wikipedia)

Steve Harvey insiste particulièrement sur ceci dans son livre, affirmant que c’est à la femme de poser ses conditions, car l’homme ne lui donnera que juste autant de respect qu’elle en exige.

Il conseille aux femmes d’exprimer directement ce qu’elle veut de la relation, en se fichant de si ça le fera fuir.

En effet, ça ne fera fuir que les coureurs de jupon immatures & pas les gars ayant des intentions sérieuses.

Les femmes doivent cesser d’aller en rendez-vous en pensant : « on verra comment ça tourne »…car alors, ça tourne comme l’homme veut – et non comme la femme veut – en sorte qu’elle se retrouve utilisée & flouée !

Donc, ne craignez pas de dire ce que vous voulez et si le gars n’aime pas ça, qu’il parte ; ce n’est pas une grande perte ! Au contraire, vous vous êtes épargné bien du temps & de l’énergie, que vous auriez, sinon, perdu à poursuivre une chimère. Car, dit Steve Harvey, soit un homme joue avec vous, soit il planifie avec vous.

Une femme seule ne devrait pas accepter le 1er venu, mais continuer à s’amuser, vivre sa vie, accepter des rencards ; bref être patiente, d’esprit ouvert, et ne pas désespérer (sinon, elle fera de mauvais choix).

Et quand elle rencontre un homme, elle ne doit pas tout laisser tomber & s’accrocher tout de suite à lui comme un noyé à une planche…. Et surtout, retarder le plus possible le moment de « coucher » (voir http://www.bonheuretamour.com/2014/10/14/retardez-le-moment-de-faire-lamour/

) car dès qu’elle a couché, la dynamique du couple change : la femme s’attache à l’homme & lui, au contraire, se détache. Les hommes savent ceci, & en parlent entre eux, dit Steve – qui conseille donc aux femmes de ne coucher qu’avec celui qui aura PROUVE qu’il le mérite…et, en tous les cas, après 90 jours.

Selon lui, en effet, ce n’est qu’après avoir fréquenté quelqu’un 90 jours que l’on voit à qui on a affaire : comment il se traite & traite les autres, s’il arrive aux rencards à l’heure (fiable, organisé & respectueux) , …

Si on couche tout de suite, l’homme vous juge… et sachez-le, ce jugement n’est pas favorable, quoi qu’il en dise (& même s’il semble enchanté !). Si c’est trop facile, le gars perd tout respect pour vous.

Sa conclusion, c’est que les femmes n’osent pas demander ce qu’elles veulent, alors que si un gars vous aime vraiment, il sera heureux de vous le donner (&  s’il ne vous aime pas, pourquoi rester avec lui ?).

Par ex, pour un couple où l’homme n’a pas encore demandé la main de la dame, celleci doit lui dire qu’elle souhaite se marier… Ne pas le faire en lui posant un ultimatum (du genre « bon, tu me demandes ma main dans le mois qui vient, ou tout est fini entre nous ! »), mais en expliquant qu’elle l’aime et que l’épouser la rendrait vraiment heureuse.

Pour lui, la femme doit vraiment être celle qui détermine ce que l’homme obtient d’elle. Qu’elle se respecte, agisse comme une dame et demande ce qu’elle mérite et désire, et qu’elle laisse l’homme se comporter comme un homme, et non comme un animal ou un gamin !

Echanges Facebook : signes révélant un loser

Par défaut

hypocrite2  Vu que les hommes parlent toujours avec un but en tête (ce n’est pas moi qui le dis, mais les spécialistes de la question – ex :  If a Man Talks to You, He Likes You : http://www.therulesrevisited.com/2013/08/if-man-talks-to-you-he-likes-you.html ), si un gars n’a pas de but à votre égard, il ne vous abordera pas.

Le sujet de comment reconnaître les losers ou les PN qui, tout sucre tout miel au début, vous feront souffrir, je l’avais déjà traité ici http://www.bonheuretamour.com/2014/10/21/sortez-vous-avec-un-loser/

Et ici http://www.bonheuretamour.com/2015/03/31/sortez-vous-avec-un-pervers-narcissique/ .

Mais comment commence une relation avec un malade de ce genre ? – car plus tôt on reconnaît le loser à éviter, moins on s’engage, & moins on a à en souffrir.

Pour vous le montrer en « live », j’ai accepté des messages privés d’un certain Eric M., qui s’est mis à me faire du gringue l’an passé, & copié nos échanges (je n’ai gardé que les échanges éclairants, & supprimé la plupart de ses fadaises)  ;

D’abord, comme notre page d’accueil Facebook donne une image du genre d’être qu’on est & de nos intérêts dans la vie, je vais voir son mur pour voir de quel genre il est, & si on a des points communs…

  • constatations :
  1. « Mur » fade, inintéressant (pour moi, en tout cas),…
  2. Photos : il n’y a QUE des « contacts »-femmes (mauvais signe)
  3. Ce qu’il a à dire (en italique & entre parenthèses, mon avis sur ses dires) :

LUN 21:45

Je te trouve de plus en plus attirante sur les photos (Voilà qui est original ! Il n’est que le 10.000ème à me sortir ce fade « compliment » ! Qui d’ailleurs, n’en est pas un pour moi ;  je vois ce genre de phrases plus comme une insulte, vu qu’on n’est +- pas responsable de notre physique)

(…) MER 20:54

Bonsoir

Moi : Bonsoir

Tu travailles beaucoup ?

Moi : Ben non, je suis tjs soit à l’hosto, soit dans les travaux…

Pourquoi à l’hosto? (comme je ne réponds pas tt de suite 🙂 Coucou (houlà ! Red Flag ! Bonjour le taré !)

Moi : je n’en parle pas…

Pourquoi? Tu es une personne tellement adorable (ceci, sans aucunement me connaître)

Moi : Houlàlà … Tu te fais des illusions sur moi émoticône wink

(…)  Tu aimerais correspondre avec moi?

Moi : Pourquoi pas ?

Merci cela me fait plaisir, je veux te déranger le moins possible….

Moi : C’est gentil – mais je me demande de quoi nous pourrions parler…

Faire connaissance puis un jour nous rencontrer (peut être)

Moi : Tu as trouvé des points communs entre toi & moi ?

J’aime ta sincérité, ta pureté, ta gentillesse,(je sais tu n’ as rien à répondre) j’ai une attirance pour une personne comme toi (QUE que des compliments exagérés – en plus à quelqu’un qu’il ne connaît pas du tout ; ça sent la « lettre-type » à plein nez !)

Moi : Pourquoi ?

Je ne sais pas peut être que je ne rencontre pas assez de personne comme toi

Moi : Es-tu ainsi, toi aussi ?

Je ne sais pas j’ai des défauts je vais pas te dire que je suis formidable (toi oui)

Moi : Tu ne me connais pas – je ne suis pas ainsi…

Tu aimes quoi comme loisirs cinema, sports, lecture…….

Moi : lire, l’Histoire, peindre, photographier, chanter, la musique, les animaux, la cuisine, ..

et la « Résistance « , bien entendu…

La « résistance » c’est à dire?

Moi : par ex, ce que je viens de partager…

Je ne comprends pas pardon (« pardon », « excuse-moi » = TROP POLI POUR ETRE HONNETE ! Trait typique des gens agressifs)

Moi : Je te mets le lien : Pétition : #YesWeGraine Pour que les maraîchers aient le droit d’utiliser des semences…

Tu es écologiste tu manges bio? (il n’a lu que le titre, pas de quoi l’article parle)

Moi : Non. On ns a volé une liberté de plus !

(…)  Tu penses qu »il faut avoir des points communs pour correspondre ? (s’il ignore ça, à son âge !!!)

Moi : Déjà que chuis une femme & toi un homme… Donc oui

Tu as raison je suis charmé Tu as raison mais c’est difficile de s’exprimer comme cela et de faire ressentir une émotion

Moi : Je ne comprends pas …

Je veux dire que de se connaître de cette manière la n’est pas facile

Vous avez manqué un appel de Eric. (il me fait le coup en vache de m’appeler sur le « tél » facebook)

(…)  J’espère que tu as passée une bonne journée j’ai vu des nouvelles photos de toi, c’était très agréable (agréable pour lui – non pour moi, de lire ceci !!!)

Moi : Ok. Moi, j’ai de nouveaux châssis…

C’est à dire?

Moi : Autant te le dire tt de suite : je m’exprime tjs très simplement & terre à terre.. Donc, j’ai de nouveaux châssis

De nouvelles photos? Des révélations? Tu veux me rendre fou? C’est à dire?

(Bonjour le cinglé ! j’ai dit, la veille, que j’étais dans les travaux & aujourd’hui, que je m’exprimais très terre à terre ! On voit que son respect obséquieux n’est qu’une comédie !)  Je veux tout savoir. Je pense beaucoup à toi

Moi : Tu sais pas c’est quoi des châssis ???

Non pas vraiment dans ta bouche (Et rran ! La machine à fantasmes marche à plein rendement, à ce qu’il paraît ! Bêrk, le porc !)  Explique moi. Je suis peut être naïf. Parle moi (trop doux, trop intense, trop gentil = fort risque de loser !)

Moi : Entourage de fenêtre

Et ça continue… entre interrogatoire policier & banalités… Enfin, la question qui tue :

Je voulais savoir ce que tu penses de moi?

Moi : Je n’ai encore jamais dit à personne ce que je pensais de lui (ou d’elle) & c’est pas là que je vais commencer.. Je ne pourrais même rien dire de moi (sans compter que je refuse les étiquettes, quelles qu’elles soient) Les mots ne veulent tellement rien dire !

Oui tu as raison mais je me sens psykanaliser par toi peut être à tord (Oh, ces fautes !!! Pitié !!!)

Moi : Alors là, aucun danger ! Je suis, sur toute la Terre, la personne qui hait le plus la psychanalyse ! (cette arnaque pour débiles)

Je suis heureux de parler avec toi (Remarquez que je le traite très froidement : on se demande donc vraiment comment il peut être heureux de nos échanges… Donc, nécessairement, soit il est fou, soit il me joue la comédie !)

=>tout cet échange illustre le trait typique du connard cochon : il suit son phantasme, sans jamais tenir compte de ce que la dame lui dit.

(…) Moi : Il est bien rare que je parle à un homme…

C’est un honneur que tu me dise cela

Moi : C’est l’inverse, non ?

Tu parles avec beaucoup d’hommes?   (Euh… A-t-il lu mon avant-dernière réponse ?)

Moi :  Je viens de te dire que non

Donc c’est un honneur que tu fasses une exception avec moi

Moi : Je ne sais pas… (on voit que je suis froide & tente de le décourager, mais il s’accroche => avis aux lectrices : ceci est un GRAND signal d’alarme !!)

Que tu dialogues avec moi c’est déjà beaucoup j’en suis très sensible (encore bien trop poli pr être honnête …et encore mal exprimé !!)

Moi : je me demande pourquoi, en fait… par ex, pourquoi as-tu voulu me parler ?

 Parce je te trouve jolie (je sais c’est pas très originale) j’ai vu sur google tes vidéos et j’ai epprouvé l’envie de dialoguer Avec toi J’ai une attirance spontanée. Tu es une femme qui me fait rêver (nous y voilà !)(PS : orthographe du verbe éprouver !)

Houla! Houla! Je dis trop de choses….(Ho le con !! Le « mec naïf », c’est comme la licorne ou le Père Noël, ça n’existe pas ! Mdr ! Comme si j’allais tomber ds ce piège grossier J’aimerais lui écrire ceci : Ce « Houlàà… » ne peut signifier que 2 choses :

1. que tu me tendais un piège, en t’approchant mine de rien, mais avec un but précis dans la tête – or je ne supporte pas la dissimulation & le mensonge (je n’aime que l’intégrité),

2. Comme si à mon âge, j’ignorais que, quand un gars aborde une femme, c’est qu’il veut la baiser ! C’est une insulte à mon intelligence ! Or, je déteste qu’on me prenne pour une conne !)

Moi : J’ai beau chercher, je ne vois pas ce qui, en moi, peut faire rêver qui que ce soit…

Tu es trop modeste,  Je suis heureux de dialoguer avec toi

Moi : Et ça nous mène où ?

Je ne sais pas encore mais le plaisir de se découvrir, de se connaître plus si affinités (1) tt le plaisir est pour toi !, 2) le « plus si affinités », si aimé des incultes !)

Moi : Tu n’as pas remarqué : je suis une femme … & en + HP, & en + baha’ie

Je ne comprends pas expliqué moi (« expiqué » ; ah – c’est un Arabe…)

Moi : 3 choses qui font qu’il ne peut y avoir d’affinités, non ?

C’est quoi baha’ie  – Hp cela veut dire quoi explique moi  Je ne comprends rien excusé moi – Tu es une femme je vois pas le problème

Moi : Tu vois, c’est ça le problème… Rien n’est possible (je suis bien bonne de le lui dire ainsi !)

 Parce que je ne comprends pas . Tu peux m’expliquer Quel problème ? (Mais suis-je une institutrice, payée pour expliquer des choses évidentes à un adulte ? !)

Moi : m’enfin, c’est impossible que tu ne vois pas que ça ne peut pas aller…

Mais pourquoi?  C’est l’éloignement (Punaise ! Je VIENS de le lui écrire !)  Expliqué moi le mot baha’i.e.

Moi : ma religion

(…) DIM 19:01

Bonsoir. Tu passes une bonne journée?

Bonsoir

Bonsoir

Bonsoir

Bonsoir Bea (insistance prouvant le dérangement mental & le manque de respect – de soi & des autres)

(…)  Donc tu peux dialoguer avec moi ?

Moi : Je ne pige pas cette question

Tu m’as fait comprendre il y a quelques jours que tu ne pouvais pas parler avec moi d’après ce que j’ai compris.

(le con pige toujours TOUT … mais à l’envers !!! En fait, je lui avais écrit que je ne VOULAIS pas causer avec lui)

Moi : mais ce n’était pas pour ça…

Pourquoi? alors

Moi : Je te le redis : 1.je suis une femme …2. HP, 3.baha’ie

Hp c’est quoi? une femme tant mieux ( pardon encore une fois je me sens idiot)  Je ne comprends pas

Une amitié? Une correspondance? C’est pas possible pourquoi? Je me sens « larguer » Perdu dans ce monde cruel

(les Béotiens & leur fameuse utilisation des poncifs ! Oh, que c’est pénible !)

Coucou?

Moi : (perdant patience) Which part of « no » didn’t you understand ?

Je ne connais pas la langue Traduction ?  (Houlà ! L’anglais est la langue la plus parlée au monde – actuellement, même au fin fond de la Mongolie, on la parle !)

Coucou (J’ai droit à « coucou » à chaque fois que je mets plus d’une minute pour répondre ! Bonjour le taré irrespectueux !)

Moi : Crois-moi, c’est pas possible. Restons-en là

Oui mais j’aurai plus d’explications.  Hp explique moi pour un ignare comme moi (IMMENSE Red Flag qui indique le loser dangereux A COUP SUR = le gars qui refuse d’entendre notre « non » !)

Moi : haut potentiel

Donc interdit de parler avec un pauvre bonhomme comme moi (« pauvre bonhomme »… c’est censé me faire pitié ? Ca me fait juste PEUR – surtout qu’il joint un 3ème autocollant « pleurer » !)

Moi : c’est pas ça

Je croyais que ta religion favorisée l’humilité mais je suis pas au niveau malheureusement (& un 4ème visage pleureur !)

Et voilà ! CQFD ! Comme je l’avais prévu & prédit, rien n’est possible ; ça tourne clairement de + en + au vinaigre & cela ne vient pas de mon côté ; je suis restée gentille => les insultes commencent (de son côté)… Il ne pige rien – je l’agace & il m’agace… Là, il a surabondamment PROUVE qu’il est bête, inculte, menteur, dragueur et surtout, un taré dangereux. Les Anglais & leur « Never explain, never complain ; your friends don’t need it, & your enemies will not believe you anyway », ont raison.

Moi : Non, ce n’est vraiment pas de ça qu’il s’agit…

Tu vois je comprends pas mais je veux pas te causer d’embetement.  Je trouve tellement adorable pour aller plus moins ( 1) quand ai-je été adorable ? (encore la basse flatterie) 2) que veut-il dire ?) Un dialogue n’est pas possible c’est la vie

(il m’envoie 4 autocollants avec des coeurs => ? Lui seul se comprend, apparemment …)

Moi : Ta dernière phrase semblait « chinoise », mais bon, chuis contente que tu t’en rendes compte. Cherche ailleurs, il y a des tas de femmes sur Facebook…

Mais tu es tellement exceptionnelle je sentais que c’était sincère et profond (Ha ! Ca n’a jamais été ni sincère, ni profond !)  Tu dois me prendre pour un rigolo qui cherche sur Facebook

Moi : en fait, oui…

Je l’avais compris mais j’ai parlé avec mon cœur (Ne compte pas sur moi pour avaler ça, mon vieux !)

J’ai lu tes articles sur ce sujet  Mais je pensais être au dessus de ça

Moi : au-dessus de quoi ?

Du contact qui cherche la « gonzesse » sur Facebook avec des gros sabots previsiblent

Je pensais que notre dialogue pouvait être d’un nôtre niveau (oh, cette orthographe ! quelle souffrance !)

Notre dialogue n’était pas un crime  Mais merci de l’intérer que tu m’as porté pendant quelques temps

Merci pour ta compréhension

Moi : Ciao, alors ?

C’est tout comme explication

Moi : Crois-moi, tu ne veux pas de cette explication 😉

Pourquoi je ne veux pas de cette explication  J’avais un vif intérêt pour toi c’était pas pour moi une rencontre banale  Je me sens misérable maintenant   Je suis coupable comme un « dragueur » de bas étage (Oh, le pauvre petit… Comme je me sens coupable d’avoir oser le soupçonner… Tu parles ! N’espère pas que je tomberai là-dedans non plus, mec ! Chuis pas née de la dernière pluie & j’ai une bonne estime de moi)

(…)    Explications (si je pouvais les lui donner, ce qui n’est pas le cas) :

Enfin, il n’y a qu’à voir ton mur FB : QUE des femmes ! Même E. Willems (mon ex-époux, grand dragueur devant l’Eternel) n’a pas ça sur son mur ! Ta comédie de l’amoureux transi qui aurait, soi-disant, discerné mes « qualités uniques » & me ferait la cour, ça ne tient pas la route une seconde !…

Quant au « crime » auquel tu fais allusion, il est clair qu’avec toi, c’est une réelle possibilité, car tu m’as l’air fort négatif, violent & dangereux… N’espère donc pas, même un millionnième de seconde, pouvoir me rouler dans la farine !

Je continue ? Voici tes envois & mes commentaires ;

– Page Facebook inintéressante, fade… (Or, cette page montre qui on est)

Refus d’accepter le « non » : un signal d’alarme typique ! Bip bip ! Loser en vue !

– Refus d’attendre – d’où d’agressifs « Coucou ? » quand je ne réponds pas tout de suite ( irrespect – exigence qu’on lui réponde immédiatement => arrogance, « entitlement » !)

compliments exagérés (alors qu’il ne me connaît pas) = compliments insincères, intéressés !

-« pardon », « excuse-moi » « excuse mon manque de culture », « un ignare comme moi » « un pauvre bonhomme comme moi », « je ne suis pas au niveau », etc = , au mieux, manque d’estime de soi & dépression (qui est, je le rappelle, une psychose !) ou au pis, obséquieux (pouah !) & TROP POLI POUR ETRE HONNETE ! (gars dangereux, agressif !)

-fantasmer (= porc) alors que je parle de châssis – le « venant de toi, je m’attends à tout » : ai-je déjà donné, dans tous mes écrits (ou à lui), un indice que je parle bizarrement ? Jamais !

On voit que c’est du pur fantasme ! Surtout que j’avais écrit que j’avais des travaux & que je m’exprime « terre à terre » – bref, ça dégoûte !

– me faire ce coup en vache : m’appeler sans prévenir via la mess. privée de Fb… Ca aussi, c’est « bip, bip, danger ! Mec à éviter à tout prix ! »

– étant sapiosexuelle, son inculture m’inspire une FORTE répugnance.

– Pourquoi il veut me parler ; parce qu’ »il me trouve jolie », que « je le fais rêver » – C’est à la fois bête & dégoûtant de l’avouer ! C’est comme si, à un dîner chic, on se jetait sur la nourriture, qu’on mangeait tout à toute allure, avec les mains… Ben non ; si on est a des usages, on se retient, même si c’est notre plat préféré. Ou, plus précisément, c’est comme si on abordait des hommes &, quand ils nous poseraient cette question, on répondait « parce que tu es riche et que je crois que tu es prêt à partager ton fric avec moi & mes enfants »…C’est tout à fait au même niveau !

– Romantisme échevelé (ridicule, « fleur bleue », digne des romans photos) : « Houla! Houla! Je dis trop de choses…. » Ha le con ! Mdr ! Comme si j’allais penser : Oh, comme c’est romantique ! Ce gars est amoureux de moi et essaie de le cacher. Quand même !!! Il faut qu’il tape cette phrase sur son clavier (ce qui prend du temps – & lui donne donc du temps de réflexion => il peut effacer s’il ne veut pas l’envoyer) et qu’il appuie sur « envoyer »… Donc, le « houlà, j’en ai trop dit » ne tient pas debout !

Et à mon âge, toute femme sait qu’un « homme naïf », ça n’existe pas ! Il doit vraiment me prendre pour une débile pour me tendre ce piège grossier ! L’ennui, c’est que j’ai horreur qu’on me prenne pour une conne !

– je suis bien bonne de te dire gentiment les choses, mais tu exiges une explication. Mais suis-je une institutrice, payée pour expliquer des choses évidentes à un adulte ? !

Voilà ! Sachant ceci, j’espère que vous reconnaîtrez les types « relous » dès qu’ils vous contacteront, & que vous vous épargnerez, en coupant court, une perte de temps de vie, ainsi que de douloureux déboires …

Citations de Shams Tabrizi

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Shams Tabrizi Persan du XII – XIIIè siècle – il fut le maître spirituel de Rumi

Rendre les armes n’est pas une faiblesse.  Au contraire, c’est une force. Celui qui cède cesse de vivre dans l’eau bouillante et commence à vivre dans un endroit sûr.

Il n’est jamais trop tard pour se demander « Suis-je prêt à changer ma vie, suis-je prêt à me changer ? ». Peu importe notre âge, peu importe tout ce que nous avons traversé, il est toujours possible de renaître. Si chaque jour est une copie du dernier, quel dommage ! Chaque souffle est une chance de renaître. Mais pour renaître à une vie nouvelle, il faut mourir avant de mourir.

Une vie sans amour est un gaspillage. « Devrais-je chercher l’amour spirituel ou matériel, ou l’amour physique ?» Ne vous posez pas cette question. La discrimination mène à la discrimination. L’amour n’a pas besoin de nom, de catégorie ou de définition. L’amour est un monde par lui-même. Soit vous êtes dedans, au centre … soit vous êtes dehors, en train d’y aspirer.

La chimie de l’esprit est différente de la chimie de l’amour. L’esprit est prudent, méfiant, il avance peu à peu. Il conseille  « Sois prudent, protège-toi » alors que l’amour dit : « Laisse –toi aller ! » L’esprit est fort, il ne tombe jamais alors que l’amour se blesse, tombe en ruines. Mais n’est-ce pas dans les ruines que l’on trouve généralement les trésors ? Un coeur brisé cache tant de trésors.

La joie est comme une pure eau claire ; où qu’elle coule, de merveilleuses fleurs poussent … le chagrin est comme un noir déluge ; où qu’il coule, il fait faner les fleurs.

L’univers entier est résumé dans l’être humain. Le Diable n’est pas un monstre attendant pour nous piéger, il est une voix à l’intérieur. Recherchez votre diable en vous, pas dans les autres. N’oubliez pas que celui qui connaît son diable, connaît son Dieu.

Ce monde est comme une montagne. Votre écho dépend de vous. Si vous criez de bonnes choses, le monde (vous) les renverra. Si vous criez de mauvaises choses, le monde (vous) les renverra. Même si quelqu’un dit du mal de vous, dites du bien de lui. Changez votre coeur pour changer le monde.

Il faut vivre avec les gens dans l’hypocrisie pour qu’ils restent contents de vous.

La patience n’est pas de s’asseoir & d’attendre, mais de prévoir. Qu’est-ce que la patience signifie ? Cela signifie de regarder l’épine et de voir la rose, de regarder la nuit et voir l’aube. L’impatience signifie d’être myope en sorte de ne pas pouvoir voir le résultat. Les amoureux de Dieu ne manquent jamais de patience, car ils savent que le temps est nécessaire pour que le croissant de lune devienne plein.

Soyez reconnaissant ! Il est facile de remercier après avoir obtenu ce que vous voulez, remerciez avant d’avoir ce que vous voulez.

Nous ne pouvons apprendre et progresser qu’avec des contradictions. Le croyant intérieur doit rencontrer le douteur. Le douteur doit rencontrer le croyant. L’humain avance lentement et devient mûr quand il accepte ses contradictions.

Un bon homme ne se plaint de personne ; il ne cherche pas les fautes.

Pour se rapprocher de la vérité et du juste, il faut un coeur beau et doux.  Chaque être humain apprend un jour ou l’autre à devenir plus doux. Certains accidentellement, certains à cause de la maladie, certains souffrent de pertes humaines, d’autres d’une perte matérielle … Nous sommes tous confrontés à ces situations, mais on peut soit voir le bon en elles et ouvrir notre cœur, ou malheureusement, y voir une nouvelle occasion de le verrouiller à jamais.

Il y a plus de faux guides et enseignants dans le monde que d’étoiles. Le véritable guide est celui qui vous fait voir votre beauté intérieure, pas celui qui veut être admiré et suivi.

Ne vous inquiétez pas à propos des astuces et des tricheurs. Si certains tentent de vous piéger et de vous blesser, Allah les piège également. Les creuseurs de trous tomberont toujours dans leurs trous. Aucun mal ne demeure impuni, et aucun bien ne reste sans être récompensé, donc ayez foi en la justice et laissez le reste être.

Le passé est un brouillard sur notre esprit. L’avenir ? Un rêve total. Nous ne pouvons ni deviner ni l’avenir, ni changer le passé.

Quand tout le monde tente d’être quelque chose, soyez rien. Visez la vacuité. L’humain devrait être comme un pot. Comme le pot tient par son vide intérieur, l’homme tient par la conscience de son néant.

On apprend en lisant, mais on comprend par l’amour.

La quête de l’amour nous transforme. Il n’y a aucun chercheur, parmi ceux qui cherchent l’Amour, qui n’ait pas mûri sur le chemin. Au moment où vous commencez à rechercher l’amour, vous commencez à changer en dedans et en dehors.

Il est facile d’aimer la perfection. La difficulté consiste à aimer l’humain avec son bon et son mauvais. On connaît principalement autant que l’on aime. En n’aimant que Dieu, mais pas ses créatures, on ne peut jamais vraiment savoir, ni vraiment aimer.

Si l’être humain est une créature fière et digne, il ne devrait pas oublier d’agir de cette façon, même s’il tombe, même si le monde entier est contre lui, même s’il finit comme esclave.

Rien ne tue l’âme qui commande au mal comme de voir la beauté du cœur.

Si vous regardez autour de vous, vous pouvez trouver un visage de Dieu dans chaque chose, car il n’est pas caché dans une église, dans une mosquée ou une synagogue, mais partout.

Celui qui Le trouve, reste pour toujours avec lui.

La vraie saleté n’est pas au dehors, mais au dedans, dans notre coeur. Nous pouvons laver toutes les taches avec de l’eau. La seule que nous ne pouvons pas ôter est la rancune et les mauvaises intentions qui collent à notre coeur.

L’univers est une entité unique, complète. Tout et tout le monde est lié avec des fils invisibles. Ne brisez le cœur de personne ; ne regardez méprisez pas plus faible que vous. La peine de quelqu’un à l’autre bout du monde peut faire souffrir le monde entier ; son bonheur peut faire sourire le monde entier.

Vous pouvez étudier Dieu par tout et tout le monde dans l’univers, parce que Dieu n’est pas confiné dans une mosquée, une synagogue ou à l’église. Mais si vous avez toujours besoin de savoir exactement où il réside, il n’y a qu’un seul endroit où le chercher : au cœur d’un véritable amant.

La plupart des conflits et des tensions sont dues à la langue. Ne portez pas autant d’attention aux mots. Dans le pays de l’amour, la langue n’a pas sa place. L’amour est muet.

Le chemin vers la Vérité est un travail du cœur, pas de la tête. Faites de  votre cœur votre guide principal ! Non votre esprit. Rencontrez, défiez et finalement vainquez votre égo avec votre cœur. Connaître votre ego vous mènera à la connaissance de Dieu.

Si les parties sont toujours en évolution, l’ensemble reste le même. Un homme bon mort est remplacé par un homme bon, un mauvais homme mort est remplacé par un homme mauvais. Bien que l’ensemble reste le même, chaque jour est différent.

Si vous attendez le respect des autres, montrez-en d’abord à vous-même. Vous ne pouvez pas attendre des autres ce que vous ne donnez pas à vous-même.

Celui qui vit comme il l’entend ne veut pas mourir comme il l’entend.

Retirez tous les murs et les rideaux de sorte que vous pouvez vous rapprocher et juste aimer. Ayez des principes, mais ne les utilisez pas à exclure ou à juger les autres. Restez loin des idoles, spécialement de celles que vous avez bâties avec vos propres principes. Ayez une foi puissante, mais ne jouer pas le puissant.

Il est vain d’essayer de savoir où le chemin mène. Pensez seulement au 1er pas, le reste viendra tout seul.

L’amour est un Voyage. Tous les voyageurs, qu’ils le veuillent ou non, sont changés. Personne ne peut voyager dans l’amour et rester le même.

L’éternité ne signifie pas un temps infini, mais simplement intemporalité. Si vous voulez faire l’expérience de l’illumination éternelle, mettez le passé et l’avenir hors de votre esprit et restez dans le moment présent.

Peu importe ce que les gens vous appellent, vous êtes juste qui vous êtes. Accrochez-vous à cette vérité. Vous devez vous demander comment est-ce vous voulez vivre votre vie. Nous vivons et nous mourons, voilà la vérité que nous ne pouvons affronter que seul. Personne ne peut nous aider. Donc pensez-y bien, qu’est-ce qui vous empêche de vivre de la façon dont vous voulez vivre votre vie ?

Soyez sûr qu’un jour vous louerez et remercierez Dieu pour vos prières sans réponse comme jadis vous avez pleuré pour elles.

L’intellect vous amène à la porte, mais elle ne vous fait pas entrer dans la maison.

Où que vous alliez, est, ouest, nord ou sud, pensez à cela comme à un voyage en vous-même ! Celui qui voyage en lui-même, parcourt le monde.

Il peut y avoir un défaut chez un homme qui dissimule 1000 qualités, ou une excellence qui dissimule 1000 défauts.

Ne cherchez pas le ciel et l’enfer dans l’avenir. Les 2 sont présents maintenant. Chaque fois que nous parvenons à aimer sans attente, calculs, négociations, nous sommes en fait au paradis. Chaque fois que nous nous battons, ou haïssons, nous sommes en enfer.

Les mots que nous utilisons pour le Créateur sont un reflet de nous-mêmes. Si nous pensons à Dieu en tant que peur et honte, nous avons peur et avons une chose dont on doit avoir honte … Mais si nous voyons l’amour, la compassion et la bonté, c’est parce que nous possédons ces qualités.

Au lieu de résister aux changements, rendez-vous. Que la vie soit avec vous, pas contre vous. Si vous pensez «Ma vie sera à l’envers », ne vous inquiétez pas. Comment savez-vous si le bas n’est pas meilleur que le haut ?

Quoi qu’il arrive dans votre vie, peu importe combien dérangeantes les choses peuvent sembler, n’entrez pas dans les parages du désespoir. Même si toutes les portes sont restées closes, Dieu ouvrira une nouvelle voie juste pour vous. Soyez reconnaissant ! Il est facile d’être reconnaissant quand tout va bien. Un soufi est reconnaissant non seulement pour ce qu’il a reçu, mais aussi pour tout ce qui lui a été refusé.

Vous pouvez être tout dans la vie, mais la chose importante est d’être une bonne personne.

Pour qu’un nouveau moi naisse, la difficulté est nécessaire. Tout comme l’argile doit passer par une chaleur intense pour devenir solide, l’amour ne peut être perfectionné que dans la douleur.

Si vous êtes outragé, si vous êtes accusé, s’ils cancanent à votre sujet, ne dites rien de mal. Ne soyez pas celui qui voit la honte, soyez celui qui la corrige.

Hāfez ; citations

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Hafez Shams-ud-din Muhammad, dit Hāfez (ou Hāfiz) fut un grand poète mystique persan du XIVème siècle

Je suis amoureux de chaque église et mosquée et temple et toute espèce de lieu saint parce que je sais que c’est là que les gens disent les différents noms de l’Unique Dieu.

Rejoignez-moi dans la pure atmosphère de gratitude envers la vie.

L’amour veut parfois nous faire une grande faveur : nous maintenir la tête en bas et nous secouer pour faire sortir tout le non-sens.

Il existe différents puits au sein de votre coeur. Certains se remplissent avec chaque bonne pluie, d’autres sont beaucoup trop profonds pour cela.

Vous portez tous les ingrédients pour transformer votre vie en un cauchemar – ne les mélangez pas !

Seulement de cœur à cœur peut s’exprimer l’extase des connaisseurs de la mystique.

Portez votre cœur à travers ce monde comme un soleil donneur de vie.

Ce que nous disons devient la maison où nous vivons.

Nous sommes des gens qui ont besoin d’aimer, parce que l’amour est la vie de l’âme, l’amour est tout simplement la plus grande joie de la création.

Et pourtant, après tout ce temps, le soleil ne dit jamais à la terre, « tu me dois quelque chose. » Regardez ce qui se passe avec un amour comme ça. Il éclaire le ciel tout entier.

Laissez la tendresse couler de vos yeux, de la façon dont le soleil regarde chaleureusement la terre.

Fuis, mon cher, tout ce qui ne renforce pas tes précieuses ailes en bourgeon.

Votre amour ne doit jamais être offert à la bouche d’un étranger / Seulement à quelqu’un qui a le courage et l’audace de couper au couteau des morceaux de son âme / Puis d’en tisser une couverture pour vous protéger.

Le monde est une jeune mariée d’une beauté surprenante, mais rappelez-vous que cette jeune fille n’est jamais liée à personne.

Les gens disent que l’âme, en entendant la chanson de la création, est entrée dans le corps, mais en réalité l’âme elle-même était la chanson.

Restez près de tout ce qui vous rend heureux d’être vivant.

Pour un jour, juste pour un jour, parle de ce qui ne dérange personne et apporte un peu de paix dans ces beaux yeux.

Un cœur éveillé est comme un ciel qui déverse de la lumière.

Un regret cher monde, que je suis décidé à ne pas avoir quand je serai allongé sur mon lit de mort, est que je ne t’aurais pas assez embrassé.

J’attrapé le virus de bonheur hier soir quand j’étais dehors, chantant sous les étoiles.

La peur est la chambre la moins chère de la maison. Je voudrais vous voir vivre dans de meilleures conditions.

Cet endroit où vous êtes en ce moment, Dieu l’a encerclé sur une carte pour vous.

Tout ce dont un homme sain d’esprit peut se soucier, est donner de l’amour !

Je ne devrais pas faire de promesses en ce moment, mais je sais si vous priez, quelque part dans ce monde – quelque chose de bon va arriver.

La lumière va un jour vous fendre en 2 pour vous ouvrir.

Commencez à tout voir comme (étant) Dieu, mais gardez cela secret.

Pensez à la souffrance comme à être lavé.

J’ai tellement appris de Dieu que je ne peux plus me nommer un chrétien, un hindou, un musulman, un bouddhiste, un Juif.

La vérité a partagé tellement d’elle-même avec moi que je ne peux plus m’appeler un homme, une femme, un ange ou même une pure âme.

Lâchons-nous avec la compassion. Noyons-nous dans l’ambiance délicieuse de l’amour.

Je voudrais pouvoir te montrer quand tu es seul ou dans le noir, l’étonnante lumière de ton propre être.

La terre a disparu sous mes pieds, l’illusion a fui de toute mon extase. Maintenant, comme une radieuse créature céleste, Dieu ne cesse de s’ouvrir. Dieu ne cesse de s’ouvrir à l’intérieur de moi.

Il est maintenant temps de comprendre que toutes vos idées de bien et le mal n’étaient que des roues pour enfant destinées à être rejetées quand vous vivez enfin avec véracité et amour.

Dieu veut voir plus d’amour et d’enjouement dans vos yeux parce que cela est votre plus grand témoin de lui.

Je suis heureux avant même d’avoir une raison.

Chaque enfant a connu Dieu, pas le Dieu des noms, pas le Dieu des interdictions, pas le Dieu qui ne fait jamais quelque chose de bizarre, mais le Dieu qui sait seulement 4 mots. Et qui continue à les répéter, disant : «Viens danser avec moi, viens danser. »

Glisser sur mes chaussures, faire bouillir de l’eau, faire griller du pain, beurrer le ciel : cela devrait être un contact suffisant avec Dieu en un jour pour rendre fou n’importe qui.

La grandeur est toujours construite sur cette base : la capacité à apparaître, parler et agir, comme l’homme le plus commun.

Oh, toi qui essaie d’apprendre la merveille de l’amour à travers le livre de la raison, je crains fort que tu ne voies jamais vraiment de quoi il s’agit.

Malheur à la dupe qui cède au destin !

Quelle est la racine de tous ces mots ? Une chose : l’amour. Mais un amour si profond et si doux qu’il avait besoin de s’exprimer en senteurs, en sons, en couleurs n’ayant jamais existé auparavant.

Car j’ai appris que chaque cœur obtiendra ce pour quoi il prie le plus.

Le soleil sera là comme ton témoin (de mariage) et sifflera lorsque tu auras trouvé le courage d’épouser le pardon, lorsque tu auras trouvé le courage d’épouser l’amour.

Ce ciel où nous vivons n’est pas le lieu où perdre tes ailes, donc aime, aime, aime.

Nous sommes venus dans ce monde exquis pour ressentir de plus en plus profondément notre courage, liberté et lumière divins !

Tu n’apprendras aucun secret jusqu’à ce que tu connaisses l’amitié, car aux insensés, aucun savoir divin ne pénètre.

Méfiez-vous des dieux minuscules que les hommes effrayés ont crée pour apporter un soulagement anesthésiant à leurs tristes jours.

Comment chercher le chemin qui mène à nos désirs ? En renonçant à nos souhaits. La couronne de l’excellence est le renoncement.

Il est maintenant temps que le monde sache que chaque pensée et action est sacrée. Qu’il est maintenant temps pour toi de peser l’impossibilité qu’il y ait quoi que ce soit, sauf la Grâce.

Satisfais-toi de ce que tu as reçu, et apaise ton front renfrogné, car la porte du choix n’est ouverte ni à toi ni à moi.

L’amour est parfois fatigué de parler doucement et veut réduire en lambeaux toutes vos notions erronées de la vérité qui vous poussent à lutter en vous-même, et avec les autres, ce qui cause les pleurs du monde en trop de beaux jours.

Chaque désir de votre corps est saint ; Chaque désir de votre corps est saint.

Tout mon désir est de brûler mon moi.

Rappelez-vous juste une minute de la journée, qu’il vaut mieux tenter de vous voir vous-même plus comme Dieu le fait, car Elle connaît votre vraie nature royale.

En temps de détresse, ne détournez pas le visage de l’espoir, car la moelle molle demeure dans l’os dur.

Lorsque tous vos désirs sont distillés ; vous n’émettez que 2 votes : aimer plus, et être heureux.

Le petit homme construit des cages pour tous ceux qu’il connaît, tandis que le sage, qui doit baisser la tête quand la lune est basse, continue à jeter des clés toute la nuit pour les beaux vauriens de prisonniers.

Apprenez à reconnaître les fausses pièces qui ne peuvent vous acheter qu’un moment de plaisir, et puis vous traîner durant des jours, comme un homme brisé derrière un chameau péteur.

Asseyez-vous là, maintenant. Ne faites rien, reposez-vous et c’est tout. Pour vous, la séparation d’avec Dieu, d’avec l’amour, est le travail le plus dur du monde. Permettez-moi de vous apporter des plateaux de nourriture et quelque chose que vous aimez boire. Vous pouvez utiliser mes douces paroles comme un coussin pour votre tête.

Vous êtes vous-même votre propre obstacle, élevez-vous au-dessus de vous-même.

Maintenant que tous vos soucis se sont révélés être une affaire si peu lucrative, pourquoi ne pas trouver un meilleur emploi.

Soyez aimable avec votre cœur assoupi. Sortez-le dans les vastes champs de lumière … Et laissez-le respirer.

Votre Joseph perdu reviendra au pays de Canaan, ne vous attristez pas. Cette maison de chagrins deviendra un jardin, ne vous affligez pas.

Chacun est Dieu en train de parler. Pourquoi ne pas être poli et (l’)écouter …?

Depuis que le bonheur a entendu votre nom, il a couru par les rues pour essayer de vous trouver.

Restez en-dehors de la compagnie de ceux qui reviennent sur leur parole.

Il est difficile d’arrêter de penser du mal des autres.  Généralement, on doit entrer dans une amitié avec une personne qui a elle-même accompli cet exploit.  Alors, quelque chose pourrait commencer à déteindre sur vous de cette véritable élégance.

Je demandai à un oiseau, comment fais-tu pour voler dans cette gravité des ténèbres ? L’oiseau répondit : « l’amour me porte ».

Il est des pièges partout de l’armée des accidents ; par conséquent, le cavalier de la vie va avec des rênes relâchées.

Il n’y a pas de plaisir sans teinture d’amertume.

Si, comme le prophète Noé, vous avez de la patience dans la détresse du Déluge, la calamité se détourne, et le désir de 1000 ans apparaît.

Va, mêle-toi de tes affaires, prédicateur ! Qu’est-ce que tout ce tapage ?

Chantez parce que c’est l’aliment dont notre monde affamé a besoin. Riez, parce que c’est le son le plus pur.

Le cœur est un instrument à 1000 cordes qui ne peut être accordé (réglé) qu’avec l’amour.

On n’a pas besoin de sucre, de farine ou de riz ou de toute autre chose. On veut juste voir ceux qui nous sont chers.

Otez la chaise de sous votre esprit et regardez-vous tombez sur Dieu – Qu’y a-t-il d’autre à faire pour Hafiz, qui soit un peu amusant en ce monde !

Nous ne sommes pas venus ici pour prendre des prisonniers, mais pour se donner de plus en plus profondément à la liberté et à la joie.

Ne t’attriste pas parce que tu ne comprends pas le mystère de la vie ; derrière le voile se cachent de nombreux délices.

Ne cède pas ta douleur si rapidement / Laisse-la couper plus profond / Laisse-la fermenter et t’assaisonner / Comme peu d’ingrédients humains ou divins le peuvent / Quelque chose manque dans mon cœur ce soir / Qui a rendu mes yeux si doux /  Et ma voix si tendre / Et mon besoin de Dieu, si absolument clair.

Musez & re-musez !

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musique2   

Une des seules activités à utiliser, activer & stimuler le cerveau dans sa totalité, est la musique !

J’ai traité ailleurs (http://www.bonheuretamour.com/2014/12/03/magique-musique/http://www.bonheuretamour.com/2012/06/17/musique-et-chant-les-miracles-du-son/ ,

http://www.bonheuretamour.com/2012/12/31/changer-de-vie-le-miracle-de-la-musique/ )  des bienfaits de la musique, de comment le son influence les fréquences des ondes du cerveau & augmente la sensation de bien-être. Que des études ont prouvé qu’écouter de la musique renforce l’hémisphère droit du cerveau et modifie sa structure  et que ceux qui en écoutaient, avaient plus d’intelligence générale & émotionnelle que les autres.

Sans compter ses bienfaits au niveau cardiovasculaire (baisse du rythme cardiaque, du stress & de la tension)

Que tout est vibration, tout vibre par fréquences en cycles/secondes et que quand il pense, l’être se met à vibrer à la fréquence de l’objet qu’il visualise (résonnance vibratoire).

Que, étant des êtres vibratoires, nos cellules (en oscillation constante) se nourrissent surtout de vibrations de niveau élevé (amour, harmonie) & qu’en maintenant longuement une vibration d’amour, elle attire des expériences positives en tous domaines de la vie.

Aussi, que le message véhiculé par elle, enjambe l’esprit logique et pénètre directement dans l’inconscient 300 fois plus vite qu’une pensée.

De nombreuses études scientifiques ont montré que la musique diminue le stress & la douleur, augmente l’endurance (ce qui en fait un outil de choix pour les séances de sport), promeut la longévité mentale (en gardant le cerveau actif),…

Et surtout, qu’elle facilite le développement (matériel ou spirituel) & le changement – car elle modifie notre humeur et nos idées, et nous pousse à l’action – elle nous fait « tenir le coup » & nous pousse à changer notre vie.

Kepler avait déjà trouvé (au XVIIè siècle) que les rapports entre les mouvements de planètes reflétaient précisément ceux des intervalles musicaux, formant une harmonie céleste.

Tout est vibration, et peut être traduit en musique ; songeons par exemple à la “musique des sphères” (voir, par ex, la “musique” des planètes de notre système solaire, sur Youtube) ; on a découvert que les interactions du plasma cosmique, les particules électromagnétiques du vent solaire, la magnétosphère des planètes, créent ces “airs”.

Et comme « ce qui est en haut est comme ce qui est en bas », ce qui vaut pour l’infiniment grand (les planètes) vaut pour l’infiniment petit (les molécules) ; il existe aussi une “musique des gènes”.  2 chercheurs de Los Angelès ont traduit les acides aminés en sons – ce qui permet de repérer des anomalies dans les séquences de protéines.

Ecouter de la musique est bénéfique, mais chanter l’est encore plus. Cela fait travailler tout le corps, comme un art martial intérieur, et « ouvre » le coeur – c’est pour cela que toutes les religions l’ont inclus dans leurs rituels – bref, chanter présente d’innombrables bénéfices ;

– cela réduit le stress et la sensation de douleur,

– procure un réconfort,

– renforce le sentiment d’appartenance et les liens à autrui (donc, la sensation de bonheur),

– nous motive & nous renforce, & combat la fatigue,

– améliore l’humeur, ainsi que la respiration & le sens du rythme,

– favorise l’apprentissage chez les enfants,

– booste le système immunitaire,

– abaisse la tension (pression sanguine).

Le chant est une thérapie douce et sans danger ; chanter masse, réveille & harmonise les tissus encombrés ou fatigués – la vibration juste réaccorde notre corps et lui rend son harmonie.

Mais, …et pour ceux qui chantent comme des casseroles ?

Eh bien, pour eux aussi, il y a de l’espoir ; on a découvert que rien que fredonner sa chanson préférée ou le son « Om », peut aider le coeur et réduire le niveau de stress, le risque de crise cardiaque, ou d’accident vasculaire cérébral et de sinusite.

Des études montrent que fredonner (“muser”) produit un effet positif sur la fréquence cardiaque et la pression artérielle, de même que des chants et des exercices de respiration, mais les effets ne semblent se produire que s’il y a vocalisation et vibrations ; ne chanter un mantra ou une prière que dans sa tête, ne produit pas ces avantages.

1/3 des gens ont une pression artérielle élevée, et beaucoup l’ignorent – or, cet état (appelée le « tueur silencieux »), mène souvent à des dommages des reins, du cœur et du cerveau avant que le malade se sache atteint.

Une étude a montré que la tension de gens qui fredonnaient le son « OU-Mmma » a fortement baissé en seulement 5 minutes et que leur fréquence cardiaque a aussi un peu baissé.

Il fut demandé aux participants de bourdonner comme une abeille, en veillant à faire vibrer les parois intérieures de leurs narines et du larynx.

Et l’on a pu remarquer que muser combat le stress et apaise ; l’oxygénation accrue du sang provoque des sentiments de détente.

Ce bourdonnement stimule aussi le système nerveux parasympathique – celui qui déclenche une réaction de relaxation dans le système nerveux sympathique. La relaxation des muscles provoque une détente générale, un ralentissement du rythme cardiaque, une baisse de la tension, & aide la digestion.

Fredonner détend les muscles du visage, les mâchoires et les épaules, les pensées ralentissent, l’anxiété & l’agitation se dissipent et la faculté de concentration augmente. Muser freine l’anxiété en relâchant la tension dans l’abdomen.

Les vibrations du fredonnement combattent également la sinusite en diminuant les blocages dans les sinus et en augmentant le débit d’oxyde nitrique – lequel dilate les capillaires, améliorant la circulation sanguine.

Muser allonge enfin les exhalaisons d’une personne, lui permettant d’extraire plus d’oxygène de l’air.

Attention : pour ne pas agacer les autres (car fredonner une seule note, agace, en général), il vaut mieux le faire quand on est seul.

Citations de Léonard de Vinci

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English: Self-portrait of Leonardo da Vinci. R...

(Photo credit: Wikipedia)

La vérité des choses est la nourriture principale des esprits supérieurs.

LE DESIR NATUREL DE L’HOMME BON EST LA CONNAISSANCE.

Les choses de l’esprit qui ne sont pas passées par les sens sont vaines.

Il faut coopérer avec l’inévitable.

La subtilité humaine ne pourra jamais concevoir une invention plus belle, plus simple ou plus directe que ne le fait la nature parce que, dans ses inventions rien ne manque, et rien n’est superflu.

Toi qui veux savoir comment l’âme habite le corps, tu n’as qu’à regarder comment le corps use de sa quotidienne habitation.

Apprendre n’épuise jamais l’esprit.

Il est plus facile de résister au début qu’à la fin.

De petites impatiences peuvent conduire à une grande imprudence.

Le mouvement est principe de toute vie.

J’aime ceux qui peuvent sourire dans les problèmes, qui peuvent rassembler des forces, (à partir) de la détresse et devenir courageux par réflexion.  C’est l’affaire de petits esprits de se raccrapoter, mais ceux dont le cœur est ferme, et dont la conscience approuve la conduite, poursuivront leurs principes jusqu’à la mort.

Aux ambitieux que ni le don de la vie ni la beauté du monde ne suffisent à satisfaire, il est imposé comme châtiment qu’ils gaspillent la vie et ne possèdent ni les avantages ni la beauté du monde.

L’homme et les animaux ne sont qu’un passage et un canal à aliments, une sépulture pour d’autres animaux, une auberge de morts, qui entretiennent leur vie grâce à la mort d’autrui, une graine de corruption.

Tout comme le courage met la vie en danger, la peur la protège.

La patience joue contre les offenses exactement le même rôle que les vêtements contre le froid.

Sachez vous éloigner car, lorsque vous reviendrez à votre travail, votre jugement sera plus sûr.

Tout comme les aliments consommés sans appétit sont un nourrissage pénible, l’étude sans zèle endommage la mémoire, en n’assimilant pas ce qu’elle absorbe.

Le fer se rouille, faute de s’en servir, l’eau stagnante perd de sa pureté et se glace par le froid. De même, l’inaction sape la vigueur de l’esprit.

Qui nuit aux autres ne se préserve pas soi-même.

Celui qui veut être riche en un jour sera pendu dans un an.

Le temps dure assez longtemps pour ceux qui sont décidés à (bien) l’utiliser.

Passé 40 ans, un homme est responsable de son visage.

L’homme déploie de grands raisonnements, dont la majeure partie est vaine et fausse ; les animaux raisonnent moins loin, mais leurs pensées sont utiles et vraies ; or mieux vaut une petite certitude qu’un grand mensonge.

Aucune action naturelle ne peut être abrégée.

Celui qui se réclame de l’autorité ne met pas en oeuvre l’intelligence, mais plutôt la mémoire.

L’homme bon qui veut vivre au milieu de tant d’hommes qui ne le sont pas, est perdu d’avance.

Toute partie tient à se réunir à son tout pour échapper ainsi à sa propre imperfection.

Le bon sens est ce qui juge les choses qui lui sont données par d’autres sens.

Piètre disciple, qui ne surpasse pas son maître !

Celui qui n’aime pas la vie ne la mérite pas.

Les hommes poursuivront la chose la plus redoutée, c’est-à-dire qu’ils seront misérables par crainte de la misère.

La Nature ne brise jamais ses propres lois.

Plus grande est la sensibilité, plus grand est le martyre.

La simplicité est la sophistication suprême.

(…) les gens d’accomplissement s’assoient rarement sur leurs lauriers en laissant les choses leur arriver. Ils sortent et font arriver les choses.

Où l’esprit ne fonctionne pas avec la main, il n’y a pas d’art.

La nature est la source de toute vraie connaissance. Elle a sa propre logique, ses propres lois, elle n’a pas d’effet sans cause, ni d’invention sans nécessité.

Rien ne renforce plus l’autorité que le silence.

Le plus noble plaisir est la joie de comprendre.

Alors que je croyais apprendre à vivre, j’apprenais à mourir.

Combien d’empereurs et combien de princes ont vécu et sont morts et aucune trace d’eux ne reste, et ils n’ont cherché qu’à gagner des possessions et des richesses afin que leur renommée soit éternelle.

La sottise est le bouclier de la honte, comme l’insolence est celui de la pauvreté.

Qui sème la vertu récolte l’honneur.

Détourne-toi des préceptes de ceux qui spéculent sur le monde, mais dont les raisons ne sont pas confirmées par l’expérience.

La nécessité est la maîtresse et le guide de la nature. La nécessité est le thème et l’inventeuse de la nature, sa limite et sa loi éternelle.

Toute notre connaissance a son origine dans nos perceptions.

La sagesse est fille de l’expérience.

Rien ne nous trompe autant que notre jugement.

Il ne faut pas appeler richesses, les choses que l’on peut perdre.

Ce qui fait la noblesse d’une chose, c’est son éternité.

La sagesse de l’âme est le souverain bien pour l’homme conscient : rien ne peut lui être comparé.

Il n’y a pas de maîtrise à la fois plus grande et plus humble que celle que l’on exerce sur soi.

J’ai offensé Dieu et l’humanité parce que mon travail n’a pas atteint la qualité qu’il devrait avoir.

La vérité a une telle excellence qu’en louant les petites choses, elle les rend nobles.

Blâme ton ami en secret ; vante-le devant les autres.

La peur naît à la vie plus vite que tout autre chose.

J’ai été frappé par l’urgence à accomplir.  Savoir ne suffit pas ; nous devons appliquer. Vouloir ne suffit pas ; nous devons faire.

Sans aucun doute, la vérité a le même rapport au mensonge que la lumière, à l’obscurité.

Les larmes viennent du coeur et non du cerveau.

Celui qui ne doute pas acquiert peu.

Le souvenir des bienfaits reçus est fragile, comparé à l’ingratitude.

Tu fais mal si tu fais l’éloge de quelque chose que tu ne comprends pas bien ; et si tu blâmes, tu fais plus mal encore.

L’expérience ne trompe jamais, c’est votre jugement seul qui s’égare en se promettant des résultats qui ne découlent pas directement de votre expérimentation.

Chaque action doit être inspirée par un mobile.

Il y a 4 pouvoirs : la mémoire et l’intelligence, le désir et la convoitise. Les 2 premiers sont mentaux et les autres sensuels.

La connaissance du passé et des lieux de la terre est l’ornement et la nourriture de l’esprit de l’homme.

Un beau corps périt, mais une œuvre d’art ne meurt pas.

La passion intellectuelle chasse la sensualité.

Tant que dure ta jeunesse, acquiers des choses qui ensuite te consoleront du dommage de ta vieillesse.

Les hommes de génie élevé, c’est quand ils font le moins de travail, qu’ils sont les plus actifs.

Car, en vérité, un grand amour naît d’une grande connaissance de l’objet aimé, et si vous ne le connaissez que peu, vous ne pourrez l’aimer que peu ou pas du tout.

La rigueur vient toujours à bout de l’obstacle.

Ne pas prévoir, c’est déjà gémir.

L’ignorance aveuglante nous induit en erreur. O ! Misérables mortels, ouvrez vos yeux !

Cet homme excelle dans la folie car il se prive continuellement afin d’être à l’abri du besoin ; et sa vie s’écoule, cependant qu’il attend sans cesse le moment de jouir de la richesse qu’il a acquise par un labeur acharné.

La partie garde toujours en elle quelque chose de la nature du tout.

Il y a 3 catégories de personnes : celles qui voient, celles qui voient quand on leur montre, et celles qui ne voient jamais rien.

Là où l’âme ne travaille pas avec la main, il n’y a pas d’art.

Qui ne punit pas le mal, commande qu’on le fasse.

Ne me méprise pas tant ! Je ne suis pas pauvre. Le pauvre est plutôt celui qui désire beaucoup de choses.

La nécessité est maîtresse et tutrice de la nature.

Celui qui s’oriente sur l’étoile ne se retourne pas.

(…) une fois que l’on aura goûté au vol, on marchera sur la terre avec les yeux tournés vers le ciel, car on aura été là et l’on aspirera à y retourner.

Veux-tu rester en bonne santé, suis ce régime : ne mange point sans en avoir envie, et soupe légèrement ; mâche bien, et que ce que tu accueilles en toi soit bien cuit et simple. Qui prend médecine se fait du mal. Garde-toi de la colère et évite l’air alourdi ; tiens-toi droit en sortant de table et ne cède pas au sommeil à midi. Sois sobre pour le vin, prends-en fréquemment en petite quantité mais pas en dehors des repas, ni l’estomac vide ; ni ne retarde la visite aux lieux d’aisance.  Si tu prends de l’exercice qu’il soit modéré. Ne te couche à plat ventre ni la tête basse et couvre-toi bien la nuit. Repose ta tête et tiens-toi l’esprit en joie ; fuis la luxure et observe la diète.

Les sens sont de la terre, la raison se distingue d’eux dans la contemplation.

Toute connaissance commence par les sentiments.

Celui qui aime la pratique sans la théorie est comme le marin qui monte en bateau sans gouvernail ni boussole et ne sait jamais où il accostera.

La nature se délecte à abonder en variété dans une telle mesure que, parmi ses arbres, on ne peut pas trouver une plante qui soit exactement comme une autre ; et pas seulement chez les plantes, mais parmi les branches, les feuilles et les fruits, vous ne pourrez pas en trouver un qui est exactement semblable à un autre.

Bien que la nature commence avec la raison et finisse en expérience, il est nécessaire pour nous de faire le contraire, c’est-à-dire de débuter avec l’expérience et de là, de commencer à investiguer la raison.

Le poète se classe bien au-dessous du peintre dans la représentation des choses visibles, et bien au-dessous du musicien dans celle des choses invisibles.

Où il y a des cris, il n’y a pas de véritable connaissance.

L’esprit désire rester avec son corps, parce que, sans les instruments organiques de ce corps, il ne peut ni agir, ni rien sentir.