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Proverbes & Citations CXXIX

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Ne vous laissez pas berner et ne tombez pas amoureux du potentiel de quelqu’un, vous le regretterez à tous les coups ()

Il n’y a pas de règles d’adoration. Il entendra la voix de tout cœur sincère (Rûmi).

Certaines personnes devraient se tenir à l’écart de la spiritualité, car sans un esprit clair, il est facile de se laisser emporter au pays du délire ! ()

L’amour n’est qu’une grande curiosité (dicton)

Beaucoup de gens croient qu’ils réfléchissent alors qu’ils ne font que réarranger leurs préjugés (William James)

J’ai eu honte de moi quand j’ai réalisé que la vie était une fête costumée et que j’y assistais avec mon vrai visage (Kafka)

Tu ne devras jamais négocier ton chemin vers un cœur qui te veut là (Laila Zouaki)

La spiritualité …demande d’abord une culture du cœur, une immense force, une intrépidité sans faille. Les couards ne peuvent satisfaire à une morale (Gandhi)

Vous méritez d’être aimé complètement, et votre présence est un cadeau. Si quelqu’un dans votre vie ne peut comprendre cela, il ne mérite pas une place dans votre vie ()

L’intelligence, c’est l’art de faire des rapports entre les choses (Pierre Yves Rougeyron)

Si ce n’est pas cassé, ne le réparez pas (proverbe)

Dire la vérité est fou dans un monde plein de mensonges ()

La Vérité est Une ; j’ai souvent pensé que si Jésus, Krishna, Bouddha, et d’autres vrais émissaires de Dieu se rencontraient, ils ne se querelleraient pas, mais boiraient à la même tasse unique de la communion en Dieu (Paramahansa Yogananda)

La satisfaction rend les pauvres riches ; l’insatisfaction rend les riches pauvres (Benjamin Franklin)

Faites aux autres 20 % de mieux que ce que vous espérez qu’ils fassent pour vous, pour corriger l’erreur subjective (L. Pauling)

Sens de la vie : si vous vous demandez ce que vous êtes destiné à faire ici-bas, c’est simple ! Vous êtes destiné à faire ce qui vous rend heureux et vous enthousiasme, ce qui vous fait le plein d’énergie et de joie. 

Les vrais méchants ont toujours l’air inoffensif. C’est ce qui les rend si dangereux (R. Guilleaumes)

Être réaliste est la route prise le plus souvent pour arriver à la médiocrité (Will Smith)

Suivez le clair de lune qui est en vous, ne cachez pas la folie (Allen Ginsberg)

Dans ce monde virtuel, la nuance et la raison ont perdu depuis longtemps. La violence et la bêtise sont reines (Cécile Chabaud)

Notre seul libre arbitre est dans le choix de notre environnement – lequel peut modifier notre futur : voilà pourquoi il faut choisir les bons livres, les bons amis et les bons enseignants ou guides !

L’honnêteté est un cadeau cher, donc, ne vous attendez pas à en recevoir des gens de peu de valeur (W. Buffet)

Quand plusieurs routes s’offriront à toi et que tu ne sauras pas laquelle choisir, … assieds-toi et attends. … écoute ton cœur. Puis, quand il te parlera, lève-toi et va où il te porte (S. Tamaro)

Le serpent qui ne peut muer, doit mourir. Et de même, les esprits qui sont empêchés de changer d’opinions ; ils cessent d’être des esprits (Nietzsche)

Quand vous savez comment écouter, tout le monde est le gourou (Ram Dass)

Sans rêve, on devient un animal morne, un promeneur égaré (F. Beigbeder)

La culture est une simplification et un mensonge. C’est la monnaie avec laquelle les idiots parcourent le monde. Les gens intelligents vont au-delà de ça (Terence McKenna)

Parler de liberté n’a de sens qu’à condition que ce soit la liberté de dire aux gens ce qu’ils n’ont pas envie d’entendre (G. Orwell)

Le prix du succès est beaucoup moins élevé que celui de l’échec (Zig Ziglar)

Pauvre est celui dont les plaisirs dépendent de la permission d’un autre (Madonna)

Si quelqu’un peut me réfuter – me montrer que je fais une erreur ou que je vois les choses sous un mauvais angle – je changerai volontiers. C’est la vérité que je recherche, et la vérité n’a jamais fait de mal à personne (Marc-Aurèle)

L’avenir appartient à ceux qui croient en la beauté de leur rêve (E. Roosevelt)

Quiconque pense avoir tout compris de Dieu a un Dieu trop petit ()

La fortune sourit aux audacieux (Virgile)

Pas un instant vous n’êtes seul. Pas une seconde vous n’êtes livré à vous-mêmes. La beauté d’Abhá est avec vous. Le Dieu glorieux est avec vous. Le Roi des Rois est avec vous (Abdu’l-Bahá)

Si vous pensez que les hommes rudes sont dangereux, attendez de voir ce dont sont capables les hommes faibles (Jordan Peterson)

Celui qui donne est plus grand que celui qui reçoit. Si vous voulez être grand, plus grand que la vie, apprenez à donner. L’amour n’a rien à voir avec ce que vous espérez recevoir – mais seulement avec ce que vous espérez donner – qui est tout. On ne soulignera jamais assez l’importance de donner, de bénir les autres, car il y a toujours de la joie à donner. Apprenez à rendre quelqu’un heureux par vos actes de générosité (Katharine Hepburn)

La vie, c’est comme la mer ; elle ne porte que ceux qui remuent (H. Bazin)

Ne craignez jamais, jamais, de faire ce qui est juste, surtout si le bien-être d’une personne ou d’un animal est en jeu. Les punitions de la société sont petites comparées aux blessures que nous infligeons à notre âme quand nous choisissons d’ignorer ceci (M.L. King)

Chaque bonne habitude acquise est une liberté conquise (A. Ferrière)

Lorsque quelqu’un marche vers ses rêves avec confiance et ose vivre la vie qu’il s’est représentée, il connaîtra un succès tel qu’il ne peut même pas l’imaginer (Thoreau)

Ceux qui aiment la solitude sont ceux qui ont payé cher la fausse compagnie ()

Plus on veut, mieux on veut (Baudelaire)

Rêvez passionnément, car le rêve précède l’accomplissement (P. V. Starr)

Attendre d’en savoir assez pour agir en toute lumière, c’est se condamner à l’inaction (J. Rostand)

Viser à réussir sans travailler dur, c’est comme vouloir récolter là où l’on n’a pas semé (D. Bly)

Il faut vivre comme on pense, sinon, on finit par penser comme on vit (P. Bourget)

Par la rue « tout à l’heure », on arrive à la maison « jamais » (Cervantès)

L’homme trop prudent attend qu’il soit trop tard (F. Dard)

On ne trébuche pas sur une montagne, mais sur un caillou (A. Ayache)

Un esprit immobile est celui qui ne rêve que de nuit (R. Sabatier)

Le monde appartient aux optimistes : les pessimistes ne sont que des spectateurs (Guizot)

Dieu nous donne les noix…mais Il ne nous les casse pas (proverbe russe)

L’argent ne fait pas le bonheur, mais calme les nerfs (S. O’Casey)

Toutes les fleurs de l’avenir sont dans les semences d’aujourd’hui (proverbe chinois)

Le fait que les hommes n’apprennent pas grand-chose des leçons de l’histoire est la plus importante de toutes les leçons de l’histoire (A. Huxley)

Si Dieu avait voulu que tout le monde soit pareil, Il aurait fait en sorte qu’il en soit ainsi. Donc, manquer de respect envers les différences & imposer nos pensées aux autres revient à manquer de respect au plan sacré de Dieu (Shams Tabrizi)

Les faibles ont des problèmes, les forts ont des solutions (L. Pauwels)

Croire à l’impossible, ce n’est pas attendre que les choses se transforment seules, c’est les accomplir (R. Vincent)

L’oubli et même l’erreur historique sont un facteur essentiel de la création d’une nation (E. Renan)

Ne crains pas d’avancer lentement, crains de rester sur place (proverbe chinois)

La fortune n’est pas pour les prudents, les raisonnables et les timorés.

Si un ciel trop gris t’attriste, lève les yeux et tu verras qu’au-dessus des nuages, il y a toujours le soleil (A. Ayache)

Les extrêmes ne sont pas la bonne voie. … La voie juste est celle de la modération dans chacune des qualités humaines (Maïmonide)

Prendre soin de soi, c’est choisir de ne pas discuter avec des personnes qui sont bien décidés à ne pas vous comprendre ()

L’activité fait plus de fortunes que la prudence (Vauvenargues)

Vous paierez un prix pour chaque foutue chose que vous faites et pour tout ce que vous ne faites pas. Vous ne pouvez pas choisir de ne pas payer un prix. Vous pouvez choisir quel poison vous prendrez. C’est tout (Jordan Peterson)

Le travail est la base de toute entreprise, la source de toute prospérité et le parent du génie (Zig Ziglar)

La façon de gagner, de garder, de retrouver le bonheur est en fait pour la plupart des hommes, à tout moment, le motif secret de tout ce qu’ils font, et de tout ce qu’ils sont prêts à endurer (William James)

Il faut presque toujours un coup de folie pour bâtir un destin (M. Yourcenar)

Quand vous vous satisfaites d’être simplement vous-même et que vous ne vous comparez pas ou n’entrez pas en compétition, tout le monde vous respecte (Lao Tseu)

Le seul endroit où le succès vient avant le travail, c’est dans le dictionnaire (V. Sassoon)

Si vous n’attendez pas tout de la vie, vous n’aurez rien ! (F. Dard)

Depuis toujours, l’amour ne connaît pas sa propre profondeur jusqu’à l’heure de la séparation (Khalil Gibran)

L’argent, on peut le dépenser très vite mais, pour le gagner, il en faut du temps ( ?)

Un grand plan et un grand but laissent du bonheur dans l’âme, chaque jour qu’on se met à l’œuvre (Hérault de Sechelles)

Citations d’Ambrose Bierce 

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Sans amis : N’ayant aucune faveur à accorder. Sans fortune. Habitué à l’énonciation de la vérité et du bon sens.

Impartial – incapable de percevoir la promesse d’un avantage personnel en épousant l’un ou l’autre côté d’une controverse.

Education, n. : Ce qui révèle aux sages et dissimule aux sots leur manque de compréhension.

Tous sont des fous, mais celui qui peut analyser ses délires s’appelle un philosophe.

Un égoïste est une personne de mauvais goût – plus intéressé par lui-même que par moi.

Les femmes amoureuses ont moins honte que les hommes. Elles ont moins de raisons d’avoir honte.

La vie – un cornichon spirituel qui préserve le corps de la décomposition.

L’histoire est un compte-rendu, le plus souvent faux, d’événements, le plus souvent sans importance, qui sont provoqués par des dirigeants, le plus souvent des valets, et des soldats, le plus souvent des imbéciles.

Devoir – ce qui nous pousse fortement dans la direction du profit, suivant la ligne du désir.

Génie – savoir sans avoir appris ; tirer des conclusions justes de prémisses inconnues ; discerner l’âme des choses.

Présent, n. m. Cette partie de l’éternité qui sépare le domaine de la déception du domaine de l’espoir.

Absurdité, n. : Affirmation ou croyance manifestement incompatible avec notre propre opinion.

La politique : Une lutte d’intérêts déguisée en une lutte de principes. La conduite des affaires publiques pour un avantage privé.

Optimisme – la doctrine ou la croyance que tout est beau, y compris ce qui est laid.

La persévérance – une basse vertu qui permet à la médiocrité d’obtenir un succès peu glorieux.

Le doute est le père de l’invention.

La philosophie : Une route composée de nombreux chemins menant de nulle part à rien.

L’amour : Une folie passagère guérissable par le mariage.

Logique : L’art de penser et de raisonner en stricte conformité avec les limites et les incapacités de l’entendement humain.

Patience, n. m. Une forme mineure de désespoir, déguisée en vertu.

Le succès est le seul péché impardonnable contre nos semblables.

Prier : Demander l’annulation des lois de l’univers en faveur d’un seul pétitionnaire avoué indigne.

Religion. Fille de l’Espoir et de la Crainte, expliquant à l’Ignorance la nature de l’Inconnaissable.

Admiration, n. f. Reconnaissance polie de la ressemblance d’un autre avec nous-mêmes.

Liberté : L’un des biens les plus précieux de l’imagination.

Conservateur, n. f : Un homme d’État qui est amoureux des maux existants, par opposition au libéral qui souhaite les remplacer par d’autres.

Qui n’a jamais douté, n’a jamais cru à moitié. Là où est le doute, là est la vérité – c’est son ombre.

Nous savons ce qui arrive aux gens qui restent au milieu de la route ( restent neutres). Ils se font écraser.

Le destin : L’autorisation d’un tyran pour le crime et l’excuse d’un fou pour l’échec.

Cynique, n. f. : une canaille dont la vision défectueuse voit les choses comme elles sont, et non comme elles devraient être.

Raseur, n. m. Personne qui parle quand on veut qu’elle écoute.

Le doute ne commence qu’aux dernières frontières de ce qui est possible.

La petite partie de l’ignorance que nous arrangeons et classons, nous lui donnons le nom de connaissance.

Bigot : Celui qui s’attache obstinément et avec zèle à une opinion que vous n’avez pas.

Consulter : Demander l’approbation d’une ligne de conduite déjà décidée.

Jaloux, adj. Indûment préoccupé par la préservation de ce qui ne peut être perdu que s’il ne vaut pas la peine d’être gardé.

Préjugé – une opinion vagabonde sans moyen visible de soutien.

Une personne qui doute d’elle-même est comme un homme qui s’enrôlerait dans les rangs de ses ennemis et porterait les armes contre lui-même. Il rend son échec certain en étant le premier à en être convaincu.

Vote : l’instrument et le symbole du pouvoir d’un homme libre de se ridiculiser et de détruire son pays.

Les hommes se civilisent, non pas en fonction de leur volonté de croire, mais en fonction de leur volonté de douter.

On constate généralement que la capacité consiste principalement en un haut degré de solennité.

La moindre connaissance de l’histoire montre que les républiques puissantes sont les nations les plus belliqueuses et les moins scrupuleuses.

Comestible, adj. : Bon à manger, et sain à digérer, comme un ver à un crapaud, un crapaud à un serpent, un serpent à un porc, un porc à un homme, et un homme à un ver.

Dette, n. m. Un ingénieux substitut à la chaîne et au fouet de l’esclavagiste.

Procès. Une enquête formelle destinée à prouver et à consigner les caractères irréprochables des juges, des avocats et des jurés.

Nous nous soumettons à la majorité parce que nous le devons. Mais nous ne sommes pas obligés d’appeler notre attitude de soumission une posture de respect.

Prescription : La supposition d’un médecin sur ce qui prolongera le mieux la situation avec le moins de dommage pour le patient.

Paresse. Repos injustifié d’une personne de bas étageaprès qu’elle ait trimé jusqu’à épuisement.

Cerveau : appareil avec lequel nous pensons que nous pensons.

Patriotisme. Déchets combustibles prêts sur la torche de tout ambitieux voulant illuminer son nom.

Révolution, n. m. En politique, changement brusque de la forme d’un mauvais gouvernement.

Beauté, n : le pouvoir par lequel une femme charme un amant et terrifie un mari.

Impiété. Votre irrévérence envers ma divinité.

Irreligion – La principale des grandes croyances du monde.

Il est évident que le scepticisme, bien qu’il n’apporte aucun changement réel à l’homme, le fait toujours se sentir mieux.

Compromis, n. m. Un ajustement d’intérêts contradictoires qui donne à chaque adversaire la satisfaction de penser qu’il a obtenu ce qu’il ne devait pas avoir, et qu’il n’est privé de rien d’autre que ce qui lui était dû.

Enfance : période de la vie humaine intermédiaire entre l’idiotie de la petite enfance et la folie de la jeunesse – à deux pas du péché de l’âge adulte et à trois pas du remords de l’âge.

Couvent : lieu de retraite pour les femmes qui souhaitent avoir du temps libre pour méditer sur le péché d’oisiveté.

Fou, adj. Affecté d’un haut degré d’indépendance intellectuelle.

Citations d’Earl Nightingale

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Votre monde est l’expression vivante de la façon dont vous utilisez et avez utilisé votre esprit.

Suis-je motivé par ce que je veux vraiment dans la vie – ou suis-je motivé par la masse ?

On ne peut pas plus être quelqu’un de mentalement sain sans lire des livres importants qu’on ne peut être quelqu’un de physiquement vigoureux sans manger des aliments solides (Earl Nightingale).

Tout ce que vous avez à faire est de garder votre but devant vous, & tout le reste se fera tout seul.

Tout ce dont vous avez besoin, c’est d’un plan, d’une carte routière et du courage nécessaire pour atteindre votre destination.

Les gens sont où ils sont parce que c’est exactement là où ils veulent vraiment être, qu’ils veuillent l’admettre ou pas.

Notre attitude envers la vie détermine l’attitude de la vie envers nous.

Nous donnons le meilleur de nous-mêmes, et nous sommes le plus heureux, lorsque nous sommes pleinement engagés dans un travail qui nous plaît et qui nous rapproche de l’objectif que nous nous sommes fixé. Cela donne un sens à notre temps libre et un confort à notre sommeil. Cela rend tout le reste de la vie si merveilleux, si valable.

Les gens sont là où ils sont parce que c’est exactement là où ils veulent vraiment être – qu’ils l’admettent ou non.

Tout commence par une idée.

Ce qui se passe à l’intérieur se voit à l’extérieur.

Une bonne attitude fait bien plus qu’allumer les lumières de notre monde ; elle semble nous connecter comme par magie à toutes sortes d’opportunités fortuites qui étaient en quelque sorte absentes avant le changement.

Le succès est la réalisation progressive d’un objectif ou d’un idéal valable.

Partout où il y a un danger, il y a une opportunité ; chaque fois qu’il y a une opportunité, il y a un danger. Les deux sont inséparables. Ils vont de pair.

 Apprenez à profiter de chaque minute de votre vie. Soyez heureux maintenant. N’attendez pas que quelque chose d’extérieur à vous vous rende heureux dans le futur. Pensez que le temps que vous avez à passer est vraiment précieux, que ce soit au travail ou avec votre famille. Chaque minute doit être appréciée et savourée.

 La créativité est le prolongement naturel de notre enthousiasme.

Nous recevrons non pas ce que nous souhaitons par paresse, mais ce que nous gagnons légitimement. Nos récompenses seront toujours en proportion exacte de notre service.

Nous pouvons laisser les circonstances nous dominer, ou nous pouvons prendre les choses en main et diriger notre vie de l’intérieur.

 Gardez toujours cette attitude heureuse. Faites comme si vous teniez un beau bouquet parfumé.

Toute personne qui contribue à la prospérité doit prospérer à son tour.

Ne laissez pas la peur du temps qu’il vous faudra pour accomplir quelque chose vous empêcher de le faire. Le temps passera de toute façon ; autant utiliser au mieux ce temps qui passe.

L’esprit se déplace dans la direction de nos pensées dominantes du moment.

Votre problème est de combler le fossé qui existe entre votre situation actuelle et l’objectif que vous souhaitez atteindre.

L’excellence fait toujours vendre.

Chaque fois que nous avons peur, c’est parce que nous n’en savons pas assez. Si nous comprenions suffisamment, nous n’aurions jamais peur.

Les idées sont des choses insaisissables et glissantes. Mieux vaut garder un bloc de papier et un crayon à votre chevet, afin de pouvoir les punaiser pendant la nuit avant qu’elles ne s’échappent.

Entrez dans une branche qui vous intéresse profondément, quelque chose où vous aimez réellement passer 12 à 15 heures par jour à y travailler, et le reste du temps à y penser.

Notre environnement, le monde dans lequel nous vivons et travaillons, est le miroir de nos attitudes et de nos attentes.

Nous marchons tous dans l’obscurité et chacun d’entre nous doit apprendre à allumer sa propre lumière.

Plus nous ressentons intensément une idée ou un objectif, plus cette idée, enfouie dans notre subconscient, nous guidera sur le chemin de sa réalisation.

Il suffit de savoir où l’on va. Les réponses viendront à vous d’elles-mêmes.

Nous avons tendance à (agir de façon à) être à la hauteur de nos attentes.

L’important est de savoir ce que vous voulez.

Visualisez-vous comme ayant déjà atteint cet objectif. Imaginez-vous en train de faire les choses que vous ferez lorsque vous aurez atteint votre objectif.

Tout ce que nous plantons dans notre subconscient et que nous nourrissons de répétitions et d’émotions deviendra un jour réalité.

Nous pouvons laisser les circonstances nous dominer, ou nous pouvons prendre les choses en main et diriger notre vie de l’intérieur.

Toute personne qui contribue à la prospérité doit prospérer à son tour.

Ceux qui ont des objectifs réussissent parce qu’ils savent où ils vont.

Votre problème est de combler le fossé qui existe entre votre situation actuelle et l’objectif que vous souhaitez atteindre.

Plus une idée ou un objectif nous tient à cœur, plus cette idée, enfouie au plus profond de notre subconscient, nous guidera sur le chemin de sa réalisation.

Observez ce que tout le monde fait, & faites le contraire. La majorité a toujours tort.

Il suffit d’étudier une heure par jour dans le domaine que vous avez choisi. Une heure par jour d’étude vous placera au sommet de votre domaine en trois ans. Dans cinq ans, vous serez une autorité nationale. En sept ans, vous pouvez être l’un des meilleurs au monde dans ce que vous faites.

Les gens qui réussissent ne sont pas des gens sans problèmes. Ce sont des personnes qui ont appris à résoudre leurs problèmes. Tout au long de l’histoire, les grands sages, les enseignants, les philosophes et les prophètes ont été en désaccord les uns avec les autres sur de nombreux sujets. Ce n’est que sur ce seul point qu’ils sont en accord complet et unanime. Nous devenons ce à quoi nous pensons.

Une seule grande idée peut complètement révolutionner votre vie.

Si une personne travaille en visant un objectif prédéterminé et sait où aller, alors elle a réussi. Si une personne ne sait pas dans quelle direction elle veut aller dans la vie, alors cette personne est un raté.

Le succès n’est pas le résultat de l’argent ; l’argent est le résultat du succès – et le succès est en proportion directe de notre service. La plupart des gens comprennent cette loi à l’envers. Ils pensent que l’on réussit si l’on gagne beaucoup d’argent. La vérité est que vous ne pouvez gagner de l’argent qu’après avoir réussi.

C’est ça le secret : être intéressant. Si tu ne peux pas être intéressant, tais-toi. Il n’y a rien de mal au silence.

N’attendez pas que les gens soient gentils avec vous – soyez gentil avec eux. Ne vous asseyez pas devant un poêle froid en attendant la chaleur. Mettez le combustible. Agissez d’abord.

La sécurité n’est pas ce que la personne sage recherche – (ce qu’elle recherche,) c’est l’opportunité.

Le paradoxe est que c’est exactement l’inverse qui est vrai. Tout ce qui vaut vraiment la peine dans la vie nous a été donné gratuitement : notre esprit, notre âme, notre corps, nos rêves, nos ambitions, notre intelligence, notre amour de la famille, des enfants, des amis et du pays. Tous ces biens inestimables sont gratuits. Mais les choses qui nous coûtent de l’argent sont en fait très bon marché et peuvent être remplacées à tout moment.

Un homme bon peut être complètement anéanti et faire à nouveau fortune. Il peut le faire plusieurs fois. Même si notre maison brûle, nous pouvons la reconstruire. Mais les choses que nous avons obtenues pour rien, nous ne pourrons jamais les remplacer.

En étant persévérant, vous faites preuve de foi. La persévérance est simplement un autre mot pour la foi. Si vous n’aviez pas la foi, vous ne persisteriez jamais.

Contrôlez vos pensées. Décidez de ce à quoi vous allez penser et focalisez-vous là-dessus. Vous contrôlez votre vie dans la mesure où vous prenez en charge vos pensées.

Ne vous préoccupez pas trop de la manière dont vous allez atteindre votre objectif – laissez cela à une puissance supérieure à vous-même. Tout ce que vous devez faire, c’est savoir où vous allez. Les réponses viendront d’elles-mêmes, et au bon moment.

La chance, c’est quand la préparation rencontre l’opportunité.

Les personnes qui réussissent sont des rêveurs qui ont trouvé un rêve trop excitant, trop important, pour rester dans le domaine de l’imagination. Jour après jour, heure après heure, ils travaillent au service de leur rêve jusqu’à ce qu’ils puissent le voir de leurs yeux et le toucher de leurs mains.

Sans objectif, nous sommes un peu comme l’homme avec un bateau et nulle part où aller. Les objectifs nous donnent la motivation et l’énergie dont nous avons besoin pour rester sur la bonne voie suffisamment longtemps pour les réaliser.

Une personne doit éliminer tout ce qui ne ressemble pas à celui qu’elle souhaite le plus devenir.

Chaque soir, j’écris sur une feuille de papier une liste des choses que je dois accomplir le lendemain. Et quand je me réveille… je les fais.

Aucun homme ne peut s’enrichir s’il n’enrichit pas les autres.

La plupart des gens traversent la vie sur la pointe des pieds, en espérant qu’ils arriveront sains et saufs à la mort.

Vos récompenses seront déterminées par l’ampleur de votre contribution, c’est-à-dire le service que vous rendez aux autres.

Bien s’entendre avec les autres reste la compétence la plus nécessaire au monde. Avec elle… il n’y a pas de limite à ce que l’on peut faire. Nous avons besoin des gens, nous avons besoin de la coopération des autres. Il y a très peu de choses que nous pouvons faire seuls.

Ne vous préoccupez pas de l’argent. Rendez service… construisez… travaillez… rêvez… créez ! Faites-le et vous verrez qu’il n’y a pas de limite à la prospérité et à l’abondance qui viendront à vous.

Votre monde et tout ce qu’il contient est le reflet de votre propre attitude mentale envers vous-même.

La quantité d’argent que nous recevons sera toujours en rapport direct avec la demande pour ce que nous faisons, notre capacité à le faire et la difficulté à nous remplacer.

La clé qui débloque l’énergie est le désir. C’est aussi la clé d’une vie longue et intéressante. Si nous voulons créer un élan, une véritable force en nous, nous devons nous enthousiasmer.

La meilleure chose sur terre est une bonne idée !

Il y a des moments pour chacun d’entre nous où le rire semble avoir disparu, mais nous ne devons pas laisser ces périodes durer trop longtemps. Lorsque nous avons perdu notre sens de l’humour, il ne reste plus grand-chose. Nous devenons ridicules. Nous devons alors partir en guerre contre le monde entier, et c’est une guerre que nous ne pouvons pas gagner.

Le secret le plus étrange du monde est que l’on devient ce à quoi on pense.

Une chose qu’un objectif doit faire est de nous remplir d’une émotion positive lorsque nous y pensons. Plus nous ressentons intensément un objectif, plus nous l’atteindrons progressivement.

Pour atteindre le bonheur, nous devons nous assurer que nous ne sommes jamais sans un objectif important.

N’attendez pas le changement. Changez, vous !

Pour réussir, il suffit de s’en tenir à un ensemble de principes de bon sens que tout le monde peut maîtriser.

Les personnes qui réussissent prennent l’habitude de faire ce que les ratés n’aiment pas faire. Ils aiment les résultats qu’ils obtiennent en faisant ce qu’ils n’aiment pas nécessairement.

Avec chaque adversité, il y a un cadeau égal ou supérieur. Ne cessez pas de chercher le cadeau.

Proverbes & Citations LXI 

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En échouant à se préparer, on se prépare à échouer (Benjamin Franklin)

C’est l’oiseau matinal qui attrape le ver, mais c’est la 2ème souris qui attrape le fromage (proverbe)

Il faut rejeter l’idée qu’on peut posséder une sécurité permanente. La réalité, c’est que l’on n’a aucune sécurité, à part notre aptitude à lutter & à nous adapter (Jordan Peterson)

« Tout ce qui ne me tue pas me rend plus fort ». C’est une connerie. Du moins dans son acception banale et contemporaine. Au quotidien, la souffrance n’endurcit pas. Elle use. Fragilise. Affaiblit. L’âme humaine n’est pas un cuir qui se tanne avec les épreuves. C’est une membrane sensible, vibrante, délicate. En cas de choc, elle reste meurtrie, marquée, hantée. (Jean-Christophe Grangé)

Si on ne sait pas faire de l’amour cet absolu auprès de quoi toute autre histoire disparaît, on ne devrait jamais se hasarder à aimer (Sören Kierkegaard)

La punition de ceux qui n’acceptent pas les choses pour ce qu’elles sont, c’est de vivre en prison. Car être quelque part contre son gré, c’est être en prison (Epictète)

Qui s’incline sera redressé, qui se tient creux sera rempli, qui subit l’usure se renouvellera (Tao Tö King)

Eduquer l’esprit sans éduquer le cœur, n’est pas éduquer (Aristote)

Le gars qui ne peut voir qu’une semaine à l’avance est toujours le plus populaire, car il a le même regard que la foule, celui qui peut voir des années à l’avance a un téléscope, mais il ne peut faire croire à personne qu’il l’a (Will Rogers)

Mieux vaut suivre le bon chemin en boitant que le mauvais, d’un pas ferme (St Augustin)

Le savoir est la seule richesse que l’on puisse entièrement dépenser sans en rien la diminuer (Idriss Aberkane)

Sois heureux un instant… Cet instant, c’est ta vie … ()

Il y a 3 genres de gens : ceux qui voient, ceux qui voient quand on leur montre & ceux qui ne voient pas (L. da Vinci)

Plus on met de temps à prendre une décision, plus elle devient difficile à prendre ()

Beaucoup de gens meurent à 25 ans & ne sont pas enterrés avant leurs 75 ans (Benjamin Franklin)

On n’a qu’une seule chance de faire une 1ère bonne impression (dicton)

La vie est une pierre & l’homme est aussi fragile que du verre ()

Qu’est-ce que la sagesse ? C’est accepter la mort & le non-sens général. Tenir les attachements pour des diminutions, les passions pour illusoires, l’espérance, pour faiblesse. Et avec cela, s’efforcer d’être le meilleur exemplaire humain possible, digne d’estime pour soi & pour autrui (L. Pauwels)

Par la rue « tout à l’heure », on arrive à la maison « jamais » (Cervantès)

La seule source de connaissance est l’expérience (A. Einstein)

Voyager est fatal aux préjugés, à l’intolérance et à l’étroitesse d’esprit (Mark Twain)

Si la vie devient une lutte … comme elle peut parfois l’être… creuse profondément dans ton âme et localise ta force intérieure, tu la trouveras sur un rayon de Lumière Divine… Elle est juste là dans ton cœur (Julie Lewin)

Lorsque les mots ne franchissent pas les lèvres, ils s’en vont hurler au fond de l’âme (Christian Bobin)
J’ai beaucoup de chance en affaires … En fait, plus je bosse, plus j’ai de la chance ()

Berne-moi une fois, honte sur toi, berne-moi 2 fois, honte sur moi (proverbe américain)

Il y a 2 types de gens parfaits ; ceux qui sont morts & ceux qui ne sont pas encore nés (proverbe chinois)

Quand je te donne de mon temps, je te donne une portion de ma vie que je ne peux jamais récupérer, alors, ne me le fais pas regretter ()

Celui qui est son propre maître ne peut tolérer un autre patron (proverbe chinois)

Les préjugés sont un engagement émotionnel envers l’ignorance (Nathan Rutstein)

C’est lorsque nous nous élevons que nous paraissons petits à ceux qui ne savent pas voler (Nietzsche)

Occupez-vous du pire, le meilleur peut prendre soin de lui tout seul (proverbe yiddish)

L’ignorance est la pire forme de maladie, & ce qui guérit l’ignorance est donc le plus puissant de tous les remèdes (Manly P. Hall)

Une mort et une renaissance continuelles sont une condition préalable nécessaire à une bonne adaptation humaine. Chaque fois que vous apprenez quelque chose de nouveau, une partie de votre moi stupide doit mourir. Vous devez vous identifier à la partie actuelle de vous qui transcende votre personnalité actuelle, qui peut constamment mourir & renaître (Jordan Peterson)

La clé du succès est de faire une habitude, durant toute votre vie, de faire les choses que vous craignez (Brian Tracy)

En cherchant ce que l’âme désire, nous devenons des pèlerins n’ayant d’autre maison que la voie que l’âme veut nous faire suivre (Michael Meade)

Quand tu souffres, regarde la douleur en face : elle te consolera elle-même & t’apprendra quelque chose (A. Dumas)

La patience est un arbre dont la racine est amère, mais dont les fruits sont doux (proverbe iranien)

Celui qui laisse s’éteindre en son cœur le désir de sauver tous les êtres vivants, a péché (Bouddha)

Rien ne nous quitte sans nous avoir d’abord appris ce que l’on doit savoir (Pema Chödrön)

Le monde entier doit être vu comme un seul pays, toutes les nations, comme une nation, tous les hommes, comme appartenant à une race. Religions, races, & nations sont toutes des divisions créées par l’homme, & ne sont nécessaires que dans son esprit ; devant Dieu, il n’y a ni Persans, ni Arabes, Français ou Anglais ; Dieu est Dieu pour tous, & pour Lui, toute la création est une. Nous devons obéir à Dieu, & tenter de Le suivre en laissant tous nos préjugés & en amenant la paix sur la terre (Abdu’l-Baha)

Il est généralement futile de tenter de citer des faits à des gens qui tirent un sens de supériorité morale de leur ignorance (Thomas Sowell)

Une once de prévention vaut une livre de remède (Benjamin Franklin)

L’art, c’est se tenir avec une main tendue dans l’univers et une main tendue dans le monde, et se laisser être un canal pour l’énergie circulante (A. Einstein)

Comprendre : mot fabuleux, que je définirais comme un rafraîchissement de notre vision du monde afin qu’elle reflète davantage la réalité (Chris Anderson)

Le bonheur de votre vie dépend de la qualité de vos pensées. Gardez-vous donc en conséquence & veillez à n’entretenir aucune notion impropre à la vertu & à la nature raisonnable (Marc-Aurèle)

Je suis libre, et c’est pourquoi je suis perdu (F. Kafka)

Portez la gratitude comme un manteau, & elle nourrira chaque coin de votre vie (Rûmi)

Toutes les sciences sont vaines & pleines d’erreurs qui ne sont pas nées de l’expérience, la mère de toutes les connaissances (L. da Vinci)

Les excuses sont des illusions fabriquées que nous créons pour rationaliser nos comportements lorsque nous avons trop peur de poursuivre ce que nous voulons vraiment (Rûmi)

Si vous projetez délibérément d’être moins que ce que vous êtes capable d’être, je vous avertis que vous serez profondément malheureux pour le reste de votre vie (Abe Maslow)

L’égotisme est l’anesthésiant qui engourdit la douleur de la bêtise (Frank Leahy)

Quand tu danses avec le diable, le diable ne change pas, il te change, toi ! ()

Le progrès spirituel naît de la conscience de soi (Deborah King)

Tu dois devenir l’homme que tu es. Fais ce que toi seul peux faire. Deviens sans cesse celui que tu es, sois le maître & le sculpteur de toi-même (Nietzsche)

Si coquelicot veut briller, il pousse parmi la paille (proverbe)

La vie est l’art de tirer des conclusions suffisantes de prémisses insuffisantes (Samuel Butler)

Succès : l’atout-clé

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Cet atout essentiel à la réussite en tous domaines est de pouvoir s’exprimer aisément & clairement en public.

Le Pr Jordan Peterson (qui connaît bien la question) conseille de pratiquer – ce qui n’a rien d’original – mais surtout, de beaucoup lire & d’écrire ; écrire chaque jour ce qu’on pense durant 10 à 15 minutes, clarifie notre pensée & l’organise.

Si on veut pouvoir parler en public, il faut en connaître beaucoup plus sur notre sujet que ce dont on parlera dans notre discours.

Un prof d’univ, qui, pour donner son cours sur un sujet donné, ne connaît que ce sujet & rien au-delà, est forcé de s’en tenir à ses notes écrites – il ne peut pas causer librement ; il ne peut pas aller au-delà de ce qu’il a pris en notes, puisqu’il n’en sait pas plus sur le sujet – alors qu’il faut en savoir 10 fois plus sur notre sujet que ce qu’on dit dans notre cours, ou discours. Et pour ça, il faut avoir lu beaucoup – car c’est de là qu’on peut faire une vraie synthèse.

Surtout, il ne faut pas voir notre le discours comme un « package » qu’on livrerait à un groupe – car en réalité, il n’y a pas de « groupe », mais un ensemble d’individus -> il faut s’adresser à chaque personne en particulier.

Cette façon de voir rend du reste le discours plus facile, puisqu’on sait tous comment s’adresser à une seule personne, alors que parler à une foule est intimidant.

Il faut donc considérer qu’il n’y a pas 1000 personnes, mais bien 1000 individus et que donc, on ne parle pas à une foule, mais à 1 individu & selon ses réactions, on voit s’il est intéressé par ce qu’on dit, ou pas (s’il dort, ajoute le Pr Peterson, il faut choisir un autre auditeur sur qui se focaliser).

Mais la base de tout, c’est d’abord d’avoir quelque chose d’intéressant à dire … Ceci rejoint mon article sur les êtres « faux » (https://bonheuretamour.wordpress.com/2022/04/07/comment-eviter-les-individus-faux-nocifs/) ; si on est « fake », même sans mentir exprès, en étant juste inconscient du fait qu’on joue un rôle pour soi-même & les autres, on ne dira que des choses sans intérêt réel, et devant un discours faux, creux, insincère, l’attention de nos auditeurs tendra à s’égarer.

Il faut aussi s’intéresser à ces individus à qui l’on s’adresse ; les autres le perçoivent & accueillent mieux ce qu’on dit

En conclusion, croire que parler en public consiste à livrer un discours à un public, est une mauvaise approche de la chose

il faut plutôt considérer qu’on s’engage dans une conversation avec des gens ; en effet, même s’ils ne parlent pas, ils opinent de la tête ou changent de position, … Il faut détecter ces signes & y adapter le niveau auquel on s’adresse aux gens.

Comment s’y mettre ? Déjà, il faut décider de devenir un bon communicateur & de travailler à augmenter & renforcer notre compétence dans cette branche.

Ce travail-là en vaut vraiment la peine, car devenir un bon communicateur nous rend plus compétent en tous domaines, même dans des branches qui ne semblent avoir aucun rapport avec la communication.

En outre, la valeur économique de cette compétence est littéralement incalculable ; le fait de savoir penser, rédiger, parler & négocier adéquatement est un immense atout à posséder !

Par ex, jamais personne ne s’est elevé dans la vie sans savoir s’exprimer clairement & aisément !

Tous ceux qui ont réussi brillamment avaient évidemment des aptitudes & talents à la base, mais ils ne seraient arrivés à rien s’ils n’avaient pu négocier agilement, et communiquer leur compétence à un grand nombre de gens – puisque le succès se compose de 2 éléments : le savoir-faire, & le faire savoir !

Attention : bien négocier ne signifie pas se débrouiller pour gagner aux dépens des autres – sinon, ces autres ne voudront plus avoir affaire à vous par la suite.

Un bon négociateur est celui qui, à la fin de la discussion, fait en sorte que chacun soit satisfait – ce n’est là qu’ainsi que l’on trouve beaucoup de gens désireux de faire des affaires avec nous !

Et cette voie vers le succès (qui est l’UNIQUE voie vers le succès) ne dépend que de notre aptitude à bien communiquer !

Donc, pour s’améliorer & devenir un as de la communication (et booster notre réussite), il faut pratiquer, encore & encore – & pour ça, à mon avis, rien ne vaut le club Toastmasters.

Succès : ‘Faut ce qu’il faut !

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Steve Harvey a dit : Si vous voulez réussir, vous devez vous lancer, il n’y a pas d’autre solution. Quand vous vous lancez, votre parachute ne s’ouvrira pas tout de suite. Mais si vous ne vous lancez pas, votre parachute ne s’ouvrira jamais. Si vous êtes « safe », vous ne monterez jamais vers les sommets.

Walt Disney pourrait être une bonne illustration de ceci. En effet, certains prétendent (à tort ou à raison) qu’il se savait peu doué pour le dessin, et n’aimait d’ailleurs pas dessiner, que cela explique pourquoi dès 1923 – les débuts de son succès, il n’a (malgré les nombreuses photos où on le voit avec un dessin de Mickey & un crayon à la main) plus jamais dessiné de sa vie ; il a juste payé des gens pour dessiner pour lui.

Selon ces gens, son vrai talent n’était pas le dessin, mais l’aptitude à savoir tirer le meilleur d’autre personnes !

Partons de l’hypothèse que ces gens-là disent vrai ; quelles conclusions pourrait-on en tirer ?

Cette stratégie adoptée par Disney montrerait qu’il savait avoir des idées « vendeuses », mais pas de quoi les concrétiser, car peu doué en dessin …

Et en même temps, qu’il avait conscience qu’il fallait trancher ce nœud gordien, car ce qui fait la différence entre avancer & stagner, entre le succès & l’échec, c’est l’action.

Bref, (dans cette hypothèse), il a bien évalué sa situation et a fait ce qu’il fallait pour pouvoir présenter assez vite ses œuvres au public – même en sachant que ce boulot lui serait pénible & que le résultat final serait loin d’être parfait !

Pendant tout le temps nécessaire pour que « la mayonnaise prenne » et qu’il puisse passer à ne faire que la partie où il était fort & qui le passionnait (la création) en déléguant la partie où il n’était pas fort & qui l’ennuyait (le dessin), il a eu le courage de s’astreindre à la fastidieuse corvée de devoir tout dessiner seul.

Beaucoup d’artistes sont perfectionnistes, et choisiraient d’économiser assez pour se payer un dessinateur, ou trimeraient dur dans l’espoir de devenir bons dans un domaine qui ne les attire pas & pour lequel ils ne sont pas doués.

Cette voie est hélas souvent vouée à l’échec, car elle nous use ; notre enthousiasme s’étiole, et lorsqu’il faut donner le coup de collier décisif, on n’en a plus la force !

Epuisé, découragé, on se rabat alors sur le 1er job salarié qui se présente – c-à-d un job souvent pénible – & pour toute la vie, celui-là ! – incertain, et où il est IMPOSSIBLE de s’enrichir …

Walt Disney était, lui aussi, obsédé par la perfection (il l’a abondamment prouvé par la suite) et, si ces assertions sont vraies, agir comme il l’a fait a dû beaucoup lui peser, mais il a eu l’intelligence & le courage de choisir cette voie – la seule menant à la réussite ; l’action.

Il a fait juste ce qu’il fallait, mais pas plus, ni plus longtemps qu’il ne fallait (et sans s’endetter) et ainsi, a assez vite pu se concentrer sur des tâches qu’il aimait, déléguer le reste, & faire fortune.

Mon avis :

Il est bon de désirer n’offrir que le meilleur au public, mais si ce perfectionnisme vous empêche de progresser, c’est néfaste ; un doute de soi constant nous stresse & finit par nous bloquer.

A un moment, il faut s’arrêter, voir que, même s’il reste des défauts, l’œuvre est finie, & doit être présentée au public, car réussir est l’addition du savoir-faire et du faire-savoir.

Par conséquent, si vous voulez réussir, c’est sans doute une bonne idée de s’inspirer de l’exemple de Walt Disney !

Bref,

Proverbes & Citations XXV

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Lorsque vous savez comment penser, cela vous donne un pouvoir bien supérieur à celui de ceux qui savent quoi penser (Neil de Grasse Tyson)

Nos désirs sont les pressentiments des possibilités qui sont en nous (Goethe)

Faites d’abord les tâches difficiles. Les tâches faciles se feront d’elles-mêmes (Dale Carnegie)

Dans le flux et le reflux incessants de la justice et de l’oppression, nous devons tous creuser des canaux du mieux que nous pouvons, afin qu’au moment propice, une partie de la marée montante puisse être amenée vers les lieux arides de la vie (Jane Addams)

La bonté est une source de soulagement pour l’âme de celui qui la donne, créant un sentiment de force d’âme incompréhensible pour ceux qui ne savent pas ce qu’est la bonté (Janvier Chouteu-Chando)

Vivre pour les autres, c’est vivre pleinement ; ne vivre que pour soi, c’est une mort froide (Joe Hill)

Toute vérité profonde est banale (Jordan Peterson)      

Avant de vous appeler chrétien, bouddhiste, musulman, hindou ou toute autre théologie, apprenez à être humain avant tout (Shannon L. Alder)

Le succès consiste à aller d’échec en échec sans perdre son enthousiasme (Winston Churchill)

Ne vous battez jamais avec un porc. Vous vous salirez tous les 2, et le porc, lui, il s’amuse (G.B. Shaw)

Tourne toutes tes pensées vers comment amener la joie dans les cœurs (Abdu’l-Bahá)

Rejette ceux qui connaissent les usages du monde, aussi grande que soit leur réputation (Baha’u’llah)

Une fois qu’on a pris sa décision, cela diminue la peur (Rosa Parks)

Reliez-vous à ceux qui vous rappellent qui vous êtes ()            

Je ne laisserai personne se balader dans mon esprit avec ses pieds sales (Gandhi)

Quand on sait mieux, on agit mieux (Phil McGraw)

Les gens dans votre vie devraient être une source de réduction du stress & non une cause d’ajout de stress ! ()

La vérité peut blesser momentanément, mais la vérité apporte la santé, la lumière et la vie ; le mensonge tue. Si la vérité peut détruire quelque chose, alors, elle DOIT le faire ! ()

Nous avons tous le même Dieu, on le sert juste différemment. Les rivières, les lacs, les mares, les courants, les océans ont tous des noms différents, mais ils contiennent tous de l’eau. De même, les religions ont des noms différents, et elles contiennent toutes la vérité, exprimée de différentes manières, formes et époques. Il n’importe pas que vous soyez un musulman, un chrétien, ou un juif. Lorsque vous croyez en Dieu, vous devriez croire que tous les gens font partie d’une même famille. Si vous aimez Dieu, vous ne pouvez pas n’aimer que certains de ses enfants (Muhammad Ali)

Pour chaque problème complexe, il existe une solution simple, claire … et fausse (H. Mencken)

L’amitié est la chaleur du cœur contre les intempéries de la vie ()

Si vous ne pouvez rien y faire, laissez tomber. Ne soyez pas prisonnier de choses que vous ne pouvez pas changer (Tony Gaskins)

On croit que Dieu nous voit d’en haut, mais en fait, Il nous voit de l’intérieur (Shams Tabrizi)

Le vrai battant est celui qui s’est inventé lui-même (Al Goldstein)

Ne vous entourez que de gens qui vous feront monter plus haut (Oprah Winfrey)

En ces temps de tromperie universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire (George Orwell)

Heureux ceux qui passent leurs journées à la poursuite de la connaissance, à la découverte des secrets de l’univers et à l’investigation méticuleuse de la vérité ! Et malheur à ceux qui se satisfont de l’ignorance, qui se plaisent dans l’imitation irréfléchie (Baha’u’llah)

Choisissez l’altruisme, car l’égoïsme est un trou solitaire, froid et sombre (Richelle E. Goodrich)

J’attribue mon succès à ceci : Je n’ai jamais donné ni accepté d’excuses (Florence Nightingale)

Quand un homme s’éloigne de la nature, son cœur se durcit (dicton lakota)

Avoir un sens profond de la compréhension est un énorme fardeau pour un esprit qui ne peut pas influencer directement les choses (Janvier Chouteu-Chando)

Rêver, après tout, est une forme de planification (Gloria Steinem)

Que vous pensiez que vous pouvez (faire une chose), ou que vous pensiez que vous ne pouvez pas – (dans les 2 cas) vous avez raison (Henry Ford)

La gratitude transforme ce que nous avons en « suffisamment » ()

Soit vous dirigez la journée, soit la journée vous dirige (Jim Rohn)

Je ne me sentirai pas coupable de fermer ma porte à ceux qui ne m’ont pas écouté (Stefan Molyneux)

La gratitude n’est pas seulement la plus grande des vertus mais le parent de toutes les autres (Cicéron)

Vous devez (d’abord) être là où vous êtes, pour arriver là où vous devez aller (Amy Poehler)

L’amour ne grandit qu’en partageant. On ne peut avoir plus pour soi qu’en donnant aux autres (Brian Tracy)

Le vrai bonheur, nous dit-on, consiste à sortir de soi ; mais il ne s’agit pas seulement de sortir, il faut rester en dehors ; et pour rester en dehors, il faut avoir une mission absorbante (Henry James).

En fin de compte, la seule chose qui compte vraiment est la façon dont nous avons traité tous les êtres vivants (KA Chinery)

Premièrement, ayez un idéal pratique, clair et précis ; un but, un objectif. Deuxièmement, ayez les moyens nécessaires pour atteindre vos fins ; la sagesse, l’argent, les matériaux et les méthodes. Troisièmement, adaptez tous vos moyens à cette fin (Aristote)

Comment réussir sans volonté

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Tous, nous avons plein de choses à faire pour faire progresser notre vie, mais hélas, on a aussi plein de distractions, des choses bien plus agréables qui nous tentent et nous empêchent de progresser vers nos buts.

Les gens croient généralement qu’il faut une énorme force de volonté pour y résister & avancer malgré tout, mais c’est faux. On a découvert récemment un phénomène qui démontre que la volonté n’a rien à voir là-dedans.

Chacun connaît le test du gâteau, qu’on fait subir aux enfants pour déterminer leur volonté : on les assied à une table, on pose devant eux un gâteau, puis on part, en leur disant qu’on revient dans 10 minutes & que si le gâteau est toujours là, entier, quand on revient, l’enfant recevra un autre gâteau en prime.

Les enfants le regardent fixement, le reniflent, le manipulent & même, le lèchent – & pour les 2/3 d’entre eux, la tentation est trop forte ; ils y mordent avant la fin des 10 minutes.

C’est pareil quand on grandit – il n’y a que le type de tentations qui change (encore que …).

Quelles sont les conséquences de résister à la tentation ? Pour un test, les chercheurs ont pris des gens qui n’avaient pas mangé depuis quelques heures, & les ont placés dans une pièce où il y avait un bol plein de radis, & un autre plein de biscuits au chocolat – avec, pour la moitié du groupe, une note disant qu’il fallait manger les radis & qu’il était par contre interdit de toucher aux biscuits.

Ensuite, on demanda à tous les participants de faire un puzzle. Ce puzzle était en fait impossible à résoudre, mais le but des examinateurs était de voir combien de temps les gens « tiendraient ».

Les gens qui n’avaient pas pu avoir de biscuits ont laissé tomber le puzzle 2 fois plus vite que les autres !

Fatigués d’avoir dû, juste avant, dû exercer leur volonté pour résister aux biscuits au chocolat, il leur restait moins de volonté pour le puzzle.

Ils souffraient d’un épuisement du moi – une notion que plus de 200 études différentes ont confirmée. Toutes ont montré que notre énergie est limitée & s’use quand on s’en sert. Donc, quand on a dû fournir un effort, on dispose de moins de force ensuite – pour penser, résister aux tentations, rester concentré & même, prendre de bonnes décisions.

Plus on résiste à des désirs, plus notre moi s’épuise – bref, plus on résiste, plus on est susceptible de céder à des désirs futurs.

Le travail étant rarement satisfaisant, on passe en général ses journées à résister à l’envie de faire quelque chose de plus marrant. Voilà pourquoi, quand on rentre chez soi le soir, il est facile de céder à la tentation de s’affaler devant une série à la télé, au lieu d’aller faire du sport.

Fait intéressant : on a observé que les gens qui, lors du test, se décrivaient comme peu susceptibles de céder aux tentations, avaient en fait moins de désirs, moins de tentations que les autres – bref, au lieu d’avoir plus de self-control que les autres, ils en ont en fait moins !

Les chercheurs ont étudié ce phénomène & ont constaté que ceux qui exercent le plus leur self-control ne sont pas ceux qui sont les meilleurs pour atteindre leurs buts. Ceux qui réussissent le mieux sont ceux qui planifient leur vie en sorte qu’ils ne doivent PAS exercer leur self-control !

Donc, si on voit qu’on a dur à résister à certaines choses, on n’en achète pas ou on s’en débarrasse carrément si on les possède déjà – ainsi, la tentation ne se présente plus, puisque l’objet n’est plus sans cesse devant nos yeux ou à portée de main. En effet, tant que l’objet désiré est là, il attirera notre attention & nous distraira des choses qui nous servent, pour nous faire gaspiller notre temps (& argent, & énergie) à des choses qui ne nous servent pas, bien au contraire !

On l’a vu : le simple fait d’être tenté est déjà nocif, puisque ça abaisse notre concentration & notre productivité. Et ceci vaut pour la plus infime des tentations – comme, par ex, le désir de regarder, après avoir entendu le « bip » indiquant que quelqu’un nous a envoyé un message ou a répondu à un post sur Facebook.

Généralement, quand on doit faire une tâche fastidieuse, exigeant de la volonté, on fait avec soi-même un genre de marchandage – en se disant, par ex, qu’on va jouer à un jeu vidéo durant ¼ d’heure, puis bosser durant une heure.

En fait, il faut voir nos actes comme un processus en 4 étapes : signal (stimulus), envie, réaction & récompense.

Par ex, si on est un peu flappi au travail, c’est un signal qui nous donne l’envie d’un café – donc, on réagit en allant se faire une tasse et on est récompensé par le « coup de fouet » donné par la caféine.

Supprimons un des éléments, & le résultat changera ; par ex, si on améliore notre sommeil, on n’est plus fatigué, & donc, l’envie d’un café ne survient pas !

Ou si on réagit à l’envie de café par une petite balade, au lieu d’aller se faire un café. Ou si on prend un café décaféiné, on n’a plus la récompense d’être énergisé par la caféine.

Tout ceci modifie le processus et donc, affaiblit l’habitude de base.

Ceci est bon à savoir si l’on cherche à se débarrasser d’une mauvaise habitude ! Si l’on veut être plus productif, il faut mettre son portable dans une autre pièce, pour ne pas se faire distraire à chaque fois qu’on reçoit une notification. Ou si on veut résister aux desserts sucrés, il ne faut plus en acheter.

Au lieu d’essayer d’avoir plus de volonté pour résister à nos mauvais penchants, il vaut mieux trouver une stratégie pour ne pas être tenté par eux.

Les enfants du test cité plus haut, furent suivis pas les psychologues, qui découvrirent que ceux qui avait réussi le test – qui avaient résisté à l’envie de manger le gâteau – bref, ceux qui avaient été capables de retarder la satisfaction d’un désir – réussissaient mieux dans la vie que ceux qui avaient cédé à la tentation.

Ils avaient plus confiance en eux, étaient plus fiables & responsables, moins sujets à l’obésité, …

Ces enfants n’avaient pas, comme les autres, fixé le gâteau en se répétant désespérément qu’il fallait résister ; ils ont appliqué des stratégies pour distraire leur esprit du gâteau ; couvrant leurs yeux de leurs mains pour ne pas le voir, chantant, se parlant à eux-mêmes, …

C’est pareil pour les adultes : par ex, on cèdera plus facilement à l’envie d’un gâteau si on prend une route où on doit passer devant une pâtisserie dont l’odeur arrive jusqu’à nous, que si on prend une route sans pâtisserie. Ou un alcoolique résistera mieux à l’alcool s’il évite les lieux où on en vend ou en consomme (comme les cafés).

Dans nos sociétés, il y a tant de choses & d’activités qui s’offrent à nous, qu’on ne sait parfois plus ce qu’on doit faire pour avancer avec notre vie. Et chaque tâche à son propre coût et sa propre récompense …

Notre cerveau, hésitant sur la tâche procurant le plus de plaisir pour le moindre coût, sécrète une angoisse – ce qui abaisse notre aptitude à se concentrer & à décider.

Alors, quand on ôte une des actions possibles, on est plus relaxé et plus concentré – & si on n’a pas le courage (ou la volonté) de rejeter une tentation, quelqu’un a inventé une machine qui peut nous y aider.

C’est une petite boîte avec une minuterie : on y enferme l’objet auquel on veut résister (un chocolat, ou une console de jeux, par ex), on encode un certain nombre de minutes, puis on ferme le couvercle … et la boîte est scellée ; elle ne s’ouvrira pas avant le temps qu’on a fixé à l’appareil.

Ainsi, la tentation est hors de notre portée, et on peut faire quelque chose de plus utile pour nous – étudier, par exemple. Bizarrement, quand céder est devenu impossible, notre esprit oublie la tentation & se reporte sur autre chose.

Certains pensent que cette invention ne sert à rien & qu’il suffit d’écarter soi-même l’objet qui nous tente, mais c’est impossible pour la plupart d’entre nous.

Donc, le fait que la machine supprime efficacement une tentation est utile (même si elle coûte 60$) car annuler une possibilité calme notre esprit & rehausse notre concentration.

Pour ôter l’incertitude sur quoi faire & quand, et cesser d’être distrait par tous ces choix entre les activités productives et les périodes de pause, il faut rendre le choix de céder plus pénible, ou couper toute possibilité de céder – c-à-d extirper les objets tentateurs de notre environnement.

Cette solution semble extrême, mais se priver des choses qui nous tentent revient en fait à se priver de choses nocives, & à avoir plus de ressources à consacrer aux choses qui sont bonnes pour nous – c-à-d celles qui favorisent notre succès en tous domaines. Pensez-y !

Que penser du « Secret » ?

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Le XXème siècle est celui où les savants atomistes (Max Planck, Einstein) ont découvert que finalement, la matière n’existe pas, que tout est énergie.

Du coup, des petits malins ont utilisé cette information pour surfer sur la vague New Age & créer la fameuse « Loi d’Attraction ».

Un tas de gourous vantent (& vendent !) « Le Secret » ; un livre proposant de tirer parti de cette loi en s’alignant avec les vibrations de succès. Bref, c’est une version de plus de « comment attirer dans notre vie tout ce qu’on désire (richesse, amour, gloire, …) sans rien faire.* »

Comme nos sociétés sont devenues assez pénibles (criminalité, pauvreté, maladies, …), beaucoup ne s’y plaisent pas & voudraient désespérément échapper à leur vie pénible.

Et comme, d’autre part, l’être humain est adepte de la loi du moindre effort, cette Loi d’Attraction, assez simple à appliquer, les attire plus que de devoir se fatiguer pour obtenir ce qu’ils veulent.

Mais regardons ces gourous – Joe D. et compagnie ; appliquent-ils leur soi-disant « remède à tous les maux », leur « source de bonheur & d’abondance infinie » ?

Le Secret consiste pourtant à « manifester » (c-à-d attirer magiquement) l’abondance dans notre vie en nous « alignant » avec les ondes d’abondance de l’Univers, en « y accordant nos vibrations », en « entrant dans le Vortex d’énergie », …

Or, si ces gourous – qui semblent des êtres d’une conscience élevée & totalement désintéressés (ben tiens !) – croyaient dans leurs idioties, ils seraient chez eux, en train de s’aligner sur cette vibration et attendre que la « manne céleste » leur tombe dessus, non ?

Mais font-ils ça ? Jamais de la vie ! Ils ne sont pas des jobards, eux !

Ils passent leur temps à donner des conférences (bien chères !), à vendre le livre, le cours, les CD & à engranger de juteuses séances de conseil ! Bref, ils bossent pour gagner leur vie !

On le voit : ce sont juste de petits futés qui ont trouvé une bonne combine & ont su surfer adroitement sur la misère des gens !

Il n’y a pas de secret ou alors un seul : si on veut obtenir quelque chose, il faut se retrousser les manches & bosser pour y arriver !

« Le Secret » ? Ce n’est qu’une grosse arnaque !

* C’est un peu une resucée de la méthode Coué – qui elle, marche dans certains cas.

Les faux gourous du succès

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Il y a des super-cours sur le Net ; on peut s’y instruire gratuitement, ou pour une dizaine d’€ sur Udemy.

Mais que penser de ceux qui coûtent des milliers (ou des dizaines de milliers) d’€ ? Sont-ils tellement meilleurs que les autres, qu’une telle différence de prix se justifie ?

Les gourous qui les proposent gagnent des millions et pourtant … leurs cours ne sont PAS des cours de qualité ! souvent, ils ne les ont même pas créés ; ils se sont contentés de les trouver dans un livre, ou gratuitement sur le Net (tout comme VOUS pourriez y trouver ces infos) !

En fait, TOUT leur succès est basé sur le marketing ! Ils vendent 1 rêve à des gens en détresse, avides de voir leur situation s’améliorer.

Leurs webinaires ne tentent donc pas d’enseigner quoi que ce soit aux clients, mais de les rendre accros & de pouvoir continuer indéfiniment à les pousser à acheter en leur agitant une carotte (la vie de rêve) devant le nez !

Comme la larve de fourmilion, ils ont mis au point un piège perfectionné pour attirer leurs proies dans un entonnoir & faire en sorte qu’elles ne puissent plus en ressortir …

Le gourou leur raconte sa vie ; en sorte qu’ils s’identifient, il leur dit qu’il était jadis juste comme eux ; dans la merde !

Ils prétendent que l’argent est abondant & que tout dépend de la mentalité ! – ainsi, ils se fichent de payer 2000$ pour le cours !

Mais il leur dit aussi que c’est eux qui doivent faire le boulot … Ainsi, si ça rate (& ça rate toujours !), c’est eux qui en sont responsables, pas le gourou !

Enfin, ils montrent des témoignages positifs ; des élèves à eux qui – soi-disant – ont généré très vite des tas d’argent, juste après avoir suivi leur formation – & ce, sans compétences, ni expérience, ni argent à investir, quel que soit leur âge, etc. Ben tiens !

Comme ils savent que le prix de leur formation est quand même très élevé, ces gourous créent de la rareté pour élever sa valeur dans l’esprit des gens ; ils précisent qu’on n’a que 24h pour réagir, par ex, ou il n’y a que 100 places disponibles (pour des cours en ligne !), ou que les 100 premiers inscrits auront droit à une réduction.

Et bien entendu, il offrent divers moyens de payer, un paiement en plusieurs fois, et indiquent même comment emprunter pour pouvoir régler le prix de leur cours ( !).

Ils nous enjoignent aussi de rejeter les « êtres négatifs » – c’est ainsi qu’ils nomment les proches qui voudraient nous éviter de nous faire arnaquer.

Ceux-là, qui voient clair & qui se soucient vraiment de la victime, le gourou les traite de losers qui n’osent pas réussir dans la vie, ou d’idiots incapables d’estimer combien son offre est merveilleuse !

Là, même si le client achète le cours, le but majeur du gourou est de le maintenir accro, pour qu’il continue à acheter ses produits.

Malgré son prix, le cours n’est donc qu’une 1ère étape ; l’étape suivante est que le client s’abonne au programme Mastermind, puis à la conférence mensuelle en vrai, puis qu’il achète le cours « de luxe » – soi-disant encore plus efficace, etc.

Lors de ces conventions en vrai, le gourou étale sa fortune (pour persuader), joue de son charisme (pour attacher & hypnotiser) & fait tout pour flatter l’ego de ses clients ; le but est qu’ils se sentent exceptionnels, membres d’une élite (pour qu’ils veuillent rester dans le groupe – car c’est vrai que dans leur vie normale, ils se sentent juste l’inverse).

Voilà comment le gourou se fait des rentes ; en utilisant leur psychologie contre ses « pigeons » !

La plupart des participants à ces réunions voient bien que l’argent ne s’est pas mis à arriver comme le gourou l’avait promis, mais ils se taisent – d’une part, parce qu’ils ont honte (le gourou leur a bien dit auparavant que s’ils n’avaient pas de résultats, ce serait de leur faute) & d’autre part, parce qu’ils n’osent s’avouer qu’ils ont claqué tout ce fric (& se sont même parfois endettés) pour rien !

C’est ce que j’appelle la Théorie du Trou dans le Pull ;

Mes découvertes en psychologie

Leon Festinger (qui a créé le terme “dissonance cognitive ”), a étudié les adeptes d’une secte qui leur a volé tous leurs biens en échange de la survie lors d’une apocalypse. Devant l’évidence que l’apocalypse prévue n’arrivait pas, au lieu d’en déduire qu’ils avaient été floués & qu’on leur avait raconté des bobards, ils ont déduit que leur ferveur avait évité ladite apocalypse  !

Cet exemple illustre cette théorie du trou dans le pull ; quand quelqu’un a (ou S’EST) investi à fond dans quelque chose (temps, argent ou énergie), il ne peut s’avouer avoir perdu tout cela en vain – ce serait trop douloureux à admettre !  Tout comme un joueur de poker qui a « la tête dans le sac » ; il ne peut pas se dire « bon, maintenant, je me retire ; j’ai perdu assez » – au contraire, il se dit « allez, je vais me refaire au coup prochain » !

Cet élément joue, à mon avis, un grand rôle dans le fait que les femmes (ou même certains hommes) restent dans des relations épouvantables…  L’espoir est hélas une chose qui ne meurt quasiment jamais !

Les formations pas chères dont j’ai parlé au début, sont données par des profs réellement compétents. Donc, non seulement, elles sont de qualité, mais ceux-là ne tentent pas de nous vendre quoi que ce soit d’autre ; ils ne nous promettent rien & ne tentent pas de nous éblouir avec des Porsche, des jets privés, des jolies filles ou des plages de rêve ; ils se contentent de donner leur cours !

Alors, devant les vidéos de gourous qui vous jettent de la poudre aux yeux avec leur bling-bling, posez-vous cette question ; est-ce que ce qu’ils me vantent est la méthode par laquelle EUX ont fait fortune ?

Ecoutez bien ce qu’ils disent, & vous & vous trouverez la réponse à cette question…

Et si la réponse sera non – ce qui est le cas pour la plupart d’entre eux – ne perdez pas votre temps à écouter leurs salades !