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Proverbes & Citations LXXVI

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Le silence en présence du mal est lui-même un mal. Ne pas parler est parler, ne pas agir est agir (Dietrich Bonhoeffer)

Un moment de patience dans un moment de colère empêche mille moments de regret (Ali Ibn Abu Talib)

Si quelqu’un te demande de le guérir, commence par lui demander s’il est prêt à supprimer les causes de sa maladie : alors seulement tu pourras l’aider (Hippocrate)

Lorsque les mots ne franchissent pas les lèvres, ils s’en vont hurler au fond de l’âme (Christian Bobin)

Ne permettez pas aux expériences négatives de vous rendre amer. Elles devraient vous rendre plus sage, et avec cette sagesse, vous trouverez la joie (Abdu’l-Baha)

Le bonheur est inséparable de la vertu et exige du courage – ici, celui de la lucidité – laquelle consiste à oser se voir comme on est, ce qu’on fait exactement, & pourquoi on le fait (B. de Laat)

Je suis allé dans les bois parce que je souhaitais vivre consciemment, n’affronter que les faits essentiels de la vie, et voir si je ne pouvais pas apprendre ce qu’elle avait à m’enseigner, et pour ne pas, au moment de mourir, découvrir que je n’avais pas vécu (Henry David Thoreau).

Les 3 C de la vie : choix, chances, changements. Vous devez faire le choix de tenter la chance si vous voulez des changements dans votre vie (Zig Ziglar)

Si les religions nous séparent, les arts nous rassemblent, nous rapprochent. Les arts cultivent L’Amour et soignent le vivre ensemble ! Sans les arts, le monde serait aride, pauvre et ensauvagé (Amine Zaoui)

On a tous des problèmes, et du « bagage en excès » venant de l’enfance, et au fond, on est tous bizarres – mais ce qui différencie les gens fréquentables des autres, c’est la bonne volonté de s’examiner & de s’améliorer, de s’ouvrir aux informations nouvelles, d’aller vers les autres & de les respecter (B. de Laat)

Socrate en a dit ceci : « les gens intelligents apprennent de tout & de tout le monde. Les gens moyens apprennent de leur expérience. Les gens stupides ont déjà toutes les réponses

Cesser de vouloir être meilleur, c’est cesser d’être bon (L. de Vinci)

La chose ESSENTIELLE à la vie spirituelle, c’est pouvoir être l’observateur de notre esprit, en sorte que ce ne soit pas lui qui nous contrôle ; voilà comment on élimine le stress & la souffrance ! (E. Tölle)

Un rejet net est toujours préférable à une fausse promesse ()

La vraie vie n’est pas la vie de la chair, mais la vie de l’esprit (Baha’u’llah)

On n’est pas vieux tant qu’on cherche (Jean Rostand)

Il n’y a que 2 sortes d’hommes : les uns justes, qui se croient pécheurs ; les autres pécheurs, qui se croient justes (B. Pascal)

Si tu veux quelque chose, paies-en le prix (Steve Harvey)

L’enfer est pavé de bonnes intentions proverbe)

Quand tu auras désappris à espérer, je t’apprendrai à vouloir (Sénèque)

Commencer à agir autrement que ce qu’on avait fait jusque-là est très dur, mais si on s’y force, ça deviendra de moins en moins dur. Au début, la vie nous enverra des obstacles dans les jambes, comme pour tester notre motivation, et si on les vainc, si on persévère, les choses se mettront à bouger, & même, des portes s’ouvriront toutes seules ! ()

La preuve du pire, c’est la foule (Sénèque)

Apprenez les bonnes manières avant de rechercher la connaissance (Imam Malik)

Les gens qui sont, par habitude, des penseurs critiques, sont enclins : 1) dès l’abord, à être moins susceptibles d’être trompés ET 2) à réévaluer plus facilement leurs conclusions et à changer de cap sans que leur ego ne bloque leur DÉCISION de changer (John Buchman)

Notre seule nationalité est l’humanité ()

Pour qu’on nous fasse confiance, on doit être digne de confiance, et pour être digne de confiance, on doit pouvoir s’avouer la vérité (Phil McGraw).

La vraie mesure d’un homme réside dans la façon dont il traite quelqu’un qui ne lui est d’aucune utilité (Samuel Johnson)

Une fois qu’on atteint un certain âge, il est de notre responsabilité de désapprendre des comportements qui entravent notre croissance ()

Le pauvre n’est pas celui qui a peu, mais celui qui en veut toujours plus (Sénèque)

Les obéissants se considèrent toujours comme des vertueux, plutôt que comme des lâches (Robert Anton Wilson)

Une foi qui ne se traduit pas par une activité quelconque est une foi morte ; elle est vide, sans valeur, insincère (Derek Prince)

Ton esprit croit ce que tu lui dis – alors, dis-lui des choses positives ! ()

La société demande à une mère d’élever ses enfants comme si elle n’avait pas de travail, de travailler comme si elle n’avait pas d’enfants & d’avoir l’apparence d’une femme qui n’a ni enfants, ni travail ()

C’est la poursuite de nos rêves qui nous guérit ()

Les épreuves qui assaillent chacun de nos pas, tous nos chagrins, nos douleurs, notre honte & notre peine, naissent dans le monde de la matière ; alors que le royaume spirituel ne cause jamais de tristesse (Abdu’l-Baha)

En me référant à la Secte du « Gentil », j’ai commenté la façon dont ce culte considère comme un « péché » ou un « tort » le fait de blesser les sentiments de quelqu’un. Tant les chrétiens que les laïcs qui ont avalé la psychologie populaire souscrivent souvent à cette croyance. Cette anti-logique offre une belle échappatoire aux narcissiques malins, car on peut vous traiter de « pécheur » pour les avoir dénoncés ou pour juste dire le vrai. Ils brandissent le drapeau de leurs sentiments « blessés » et vous êtes censé arrêter et faire marche arrière, sous peine d’être étiqueté comme une personne haineuse et méchante. On vous accuse d’être méchant… ce qui est comme un gros mot pour les sectaires de pays « Gentil ».  Les rôles s’inversent si vite que la victime devient l’agresseur en un clin d’œil dans cet univers alternatif de l’anti-logique (Anne Valerious)

Ne méprisez jamais votre instinct. Vous n’êtes pas parano. Votre corps peut saisir les mauvaises vibrations. Si quelque chose, tout au fond de vous, dit que quelque chose ne va pas, à propos d’une personne ou situation, fiez-vous-y ()

La douleur vous brise en mille morceaux et vous réassemble à sa guise, faisant de vous une personne totalement différente de ce que vous étiez (Amy Winehouse)

Les commérages sont une mauvaise chose. Au début, cela peut sembler agréable et amusant, mais à la fin, cela remplit nos cœurs d’amertume et nous empoisonne, nous aussi ! (Pape François)

Si tu veux pleurer, pleure ; si tu veux espérer, prie, mais de grâce, ne cherche pas de coupable là où tu ne trouves pas de sens à ta douleur (Yasmina Khadra)

L’éducation est l’arme la plus puissante qu’on puisse utiliser pour changer le monde (Nelson Mandela)

Je crois en une contamination de l’amour, de la bienveillance, de la douceur et de l’intelligence. Chaque fois qu’on pose un acte de tendresse, d’affection, d’amour, chaque fois qu’on éclaire quelqu’un en lui donnant un conseil, on modifie un tout petit peu l’avenir de l’humanité dans le bon sens. Et chaque fois qu’on dit une vacherie, qu’on commet une méchanceté, et qu’on les répète, on fait perdre du temps aux progrès humains.

La patience, c’est avaler l’amertume sans froncer les sourcils (Junaid Baghdadi)

Que chacun cultive le plus grand nombre possible de ressenties et d’actes positifs est donc vital pour tout le monde (Christophe André)

Ce n’est pas sa beauté, sa force & son esprit que j’aime chez une personne, mais l’intelligence du lien qu’elle a su nouer avec la vie (Christian Bobin)

Les révolutions tendent à dévorer leurs enfants ( ?)

Tout le problème du monde est que les idiots et les fanatiques sont toujours si sûrs d’eux, et les gens plus sages si pleins de doutes (Bertrand Russell)

Les optimistes comme les pessimistes contribuent à la société. L’optimiste invente l’avion, le pessimiste, le parachute (G.B. Shaw)

Quel est le bon âge pour se marier ? Dès que l’on trouve la bonne personne, & le plus tôt est le mieux (Dennis Prager)

La chance d’avoir du talent ne suffit pas ; il faut encore le talent d’avoir de la chance (Hector Berlioz)

Vouloir que la réalité soit différente de ce qu’elle est, est sans espoir (Byron Katie)

L’objet de l’éducation est de nous apprendre à aimer ce qui est beau (Platon)

Un sujet normal est essentiellement quelqu’un qui se met dans la position de ne pas prendre au sérieux la plus grande part de son discours intérieur (J.Lacan)

Il est presque impossible de changer la nature humaine, quand elle a une fois pris sa pente (D. de Cosnac)

Le monde appartient aux sensibles, à celles & ceux dont le cœur vibre avec l’humain, la nature, et l’invisible (Régis Carlo)

Ceux qui ne bougent pas ne remarquent pas leurs chaînes (Rosa Luxemburg)

La meilleure leçon de la vie est d’écouter tout le monde & d’apprendre de chacun, parce que personne ne sait tout, & tout le monde sait quelque chose ()

De l’être comme un carrosse …

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Pour comprendre l’être humain & l’aider à mieux fonctionner, comparons-le à un carrosse (en effet, ne dit-on pas « prendre les rênes » de sa vie ?) ;

Le carrosse représente notre corps. Est-ce que nous veillons régulièrement à le protéger de l’usure ? A huiler les roues ? À vérifier que les harnais sont intacts, solides & bien attachés aux chevaux ? A pourvoir, pour que le voyage soit agréable, la voiture de coussins moelleux ?

Les chevaux représentent nos émotions ; ils sont l’énergie qui fait avancer le carrosse, nos passions & envies, désirs, goûts & dégoûts. Dans quel état sont-ils ? Sont-ils bien nourris ou négligés ? Sont-ils sans cesse niés & retenus, ou au contraire, laissés sans frein ? A-t-on trouvé le juste équilibre pour exploiter leur énergie en évitant à la fois de les laisser se déchaîner, et de les paralyser ?

Le cocher représente notre mental ; son boulot est de donner l’impulsion pour faire agir les chevaux & les faire aller dans la bonne direction. Observe-t-il l’état des chevaux & en tient-il compte, ou est-il sans cesse à les contrarier & les brutaliser ? Est-il bien éveillé ou est-il somnolent ? Ecoute-t-il le passager ou croit-il pouvoir trouver seul la bonne direction ?

Le voyageur dans le carrosse représente notre moi profond. C’est la conscience – elle décide de la destination & commande au cocher, en choisissant une voie & une destination qui ont du sens. Mais est-il sûr de lui ou timoré, craignant de donner des ordres ? Comment le carrosse, les chevaux & le cocher se mettent-ils au service de son projet ?

En effet, si personne n’entretient la voiture, elle se déglingue et n’est bientôt plus bonne à rien.

Si les chevaux ne se sentent pas à la fois entendus et un peu maîtrisés, ils seront rétifs & feront des écarts – la destination risque alors de ne pas être atteinte.

Si le cocher est faible, ou fainéant, ou s’endort, et qu’il laisse les chevaux aller où ils veulent, ils emmèneront la calèche dans des sentiers dangereux …

A l’inverse, s’il exige trop d’eux & ne tient pas compte de leur état, il les épuisera. S’il brutalise les chevaux ou les brime, ils vont s’énerver, s’emballer & mener la calèche à dans un gouffre.

Et si personne n’écoute le voyageur à l’intérieur, la voiture n’ira pas là où elle devrait aller.

Un cocher qui se juge seul important pour arriver quelque part, ne se soucie pas de l’état de la voiture, ni de celui des chevaux & « ignore » totalement les ordres de son passager… On a alors un voyage imaginaire, où les 4 éléments (carrosse, cocher, chevaux & voyageur) non seulement restent sur place, mais (vu l’entropie) reculent, et où tout s’abîme de plus en plus.

Par contre, si on s’occupe comme il faut de tous ces éléments, qu’on leur donne leur juste place, & aux bonnes proportions, et si les 4 sont en harmonie, alors le chemin sera agréable et la destination atteinte …

Songez à ceci lorsque vous aurez un objectif en vue …

Bien sûr, ceci n’est qu’une synthèse – pour aller plus loin, vous pouvez lire l’excellent article de la coach Nathalie Decottégnie sur le sujet : https://www.etreproactif.com/comment-reprendre-les-renes-de-votre-vie/